Nini, La « Grenouille De Bénitier » Chez Les Tékés Au Congo. 2/3

Les invités pénétrant dans la case du Makoko devaient respecter la tradition Téké. Ils devaient être vêtus de la même façon qu’eux, c’est-à-dire torse nu avec un pagne. Ngono Kubwa tendit donc un de ses pagnes rouges pour l’abbé Boutin et un paréo bleu d’une de ses femelles de la taille approximative de Nicole :
— Déshabillez-vous et enfilez ça ! Toi Nini enlève-moi ce minuscule bout de tissu blanc que tu as sous ta robe, tu seras bien plus à l’aise sans. Dit-il en entrant dans sa case en compagnie de son épouse Fula Mampuya qui était venue elle aussi les accueillir, torse nu et en paréo également.

Nicole ne savait plus où se mettre, elle n’avait pas envie de se dévêtir. Le père Boutin lui fit les gros yeux et essaya de la convaincre d’accepter :
— Nini ! Que fais-tu ? C’est Dieu qui t’en donne l’ordre.
— Mais Monsieur le curé, je ne vais pas me présenter devant vous toute nue, eux ils ont l’habitude.
— Nini, que dis-tu là, tu blasphèmes. Je suis bien le représentant du Christ non ?
— Oui mais … Bon ! Vous ne regardez pas, d’accord ? Oh-là-là…j’ai honte…

Pendant ce temps, Ngono Kubwa demanda à son sorcier d’apporter ses boissons magiques et son petit plat de champignons si spécial dont il avait le secret. Ce fut les gros seins à l’air que Nicole avait franchi l’ouverture de la case du Makoko, elle était vraiment gênée et se sentait humiliée, elle n’osait pas lever les yeux. Fula Mampuya la prit par la main, l’invita à s’assoir à ses côtés et la fit boire sa potion qui lui coupa la soif. Elle lui fit manger son assiettée de champignons et immédiatement après, Nini s’était sentie toute légère, son anxiété avait disparue, elle était comme sur un nuage se croyant même au côté de Dieu. Pendant que les deux hommes avaient bu et mangé, ils discutaient entre eux. Le Makoko en avait profité pour leur présenter son futur successeur Mjukuu Ngono.

Puis le Makoko demanda aux deux femelles de se lever et de se mettre l’une à côté de l’autre.

Nicole comme par miracle mais surtout avec la puissante drogue avalée, s’était totalement transformée, sa pudeur avait disparu et se présenta pratiquement nue devant les trois hommes à côté de l’épouse du Makoko. Toujours en s’adressant au curé, Ngono Kubwa tout en soupesant les seins flasques de Fula et en les comparant à ceux de Nicole, dit : « Y-a-pas photo Curé ! Nini a des mamelles formidables, elle mériterait un homme, un vrai. » Il demanda à son jeune successeur de lever leur jupette et passa chacune de ses mains expertes dans les toisons des deux femelles et donna son diagnostic : « Ceux de ma Fula sont plus frisés mais ceux de Nini sont plus grands et plus touffus, ça me plait bien. »

Puis d’un ton ferme, il ordonna aux deux femmes : « Tournez-vous les femelles que je compare vos beaux culs. » Le Makoko aimait beaucoup celui de sa dernière épouse mais là encore, il avait une large préférence pour celui de Nicole. Mais pour avoir confirmation, il demanda l’avis de Mjukuu Ngono qui s’était lui aussi amusé à les pétrir à son tour. C’est vrai que le cul de Fula Mampuya était énorme, mais elle n’avait pas les hanches de Nicole. Le jeune ado préférait le derrière de Fula : « Viens toucher Curé donne ton avis aussi. »

L’abbé André Boutin se leva, Nini avait remarqué que lui aussi bandait dur mais la bosse que faisait son pénis en érection était presque minuscule par rapport aux deux toiles de tentes que formaient le sexe des deux Ngono sous leur pagne. Le prêtre n’hésita pas à toucher rapidement les fesses de Fula mais laissa bien plus longtemps parcourir ses mains sur le cul de sa paroissienne, il aimait lui aussi le cul de sa Nicole et le dit au Makoko : « Vous avez raison majesté, moi aussi je préfère celui de Nini. » Ngono Kubwa discuta encore avec l’abbé Boutin pendant que Fula Mampuya disait à Nini qu’elle était bénie des Dieux, elle allait enfin, pour la fête du « Jumapili » être de repos et la remercia de la remplacer ce jour-là.
Nicole complètement dans les nuages ne comprenait rien à ce qu’elle disait mais remuait la tête comme si elle acceptait. Le Makoko dit alors :
— Il est temps que tu regagnes ta case avec Nini.

Dans un moment de lucidité, Nini regrettait beaucoup d’être venue, elle n’avait jamais été pelotée par un autre homme que son mari et elle avait honte de ne pas avoir protesté lorsque le Makoko et l’adolescent lui avait peloté les fesses et pire encore quand Monsieur l’abbé ne s’était pas gêné pour les imiter. Nicole ne comprenait pas ce qu’il s’était passé, elle était pressée d’aller dormir pour oublier cela. Seulement lorsqu’elle rentra dans la case, elle s’aperçut qu’il n’y avait qu’un rudimentaire lit. Elle n’avait pas envie de coucher à côté de Monsieur le curé, c’était impensable, elle croyait rêver. Elle enleva sa jupette et passa sa chemise de nuit puis se coucha.

Allongée sur le lit improvisé, Nicole savait qu’elle ne pouvait rien faire d’autre, elle serait obligée de dormir à côté de l’abbé André Boutin mais dans l’état second où elle se trouvait, elle n’y pensait déjà plus. Il faisait si chaud qu’il n’y avait aucun drap. Pendant ce temps, le prêtre était parti faire ses besoins et revint dans la case avec une torche qui éclaira leur couche. Le curé déjà excité d’avoir caressé les formes de sa paroissienne et d’avoir assisté au pelotage en règle du roi, avait toujours son sexe en pleine érection. Jamais il n’avait bandé de la sorte, à croire que le Makoko lui avait fait boire un puissant aphrodisiaque.

En effet, pour Nini c’était identique, elle ne savait pas ce qu’elle avait mais ses entrailles la chauffaient, elle n’avait ressenti cela que lorsque son mari l’excitait avant de la prendre dans la position de la petite cuiller. Avec la lumière, voyant par transparente la verge de Monsieur le curé, Nini tourna le dos en laissant une place dans le lit à son prêtre et fit semblant de dormir quand l’abbé André Boutin se coucha sur le dos, nu sous son pagne avant d’éteindre la torche.


La hutte était désormais plongée dans le noir, le père André bandait toujours et le fait d’être allongée à côté de sa paroissienne l’excitait, d’autant plus que le contact de sa cuisse contre les fesses de Nini ne faisait qu’accroitre son érection. Il souleva le tissu de son pagne, la main sur la hampe de son sexe et s’activait à présent au rythme de la respiration de Nini qui bizarrement s’était accélérée, pendant que de l’autre main il massait ses bourses pleines. Il s’imaginait lever la chemise de nuit de Nicole pour la pénétrer, lentement au début, pour finir à une vitesse folle. Il sentit le désir monter en lui, il contracta fortement les doigts de sa main sur sa verge turgescente, puis relâcha d’un seul coup la pression.

Il prit son plaisir en se branlant, des rêves érotiques plein la tête. Toute sa semence s’éjecta par de grands jets montant jusqu’à cinquante centimètres de haut vers le plafond, pour retomber comme un feu d’artifice sur son bidon de bon vivant qu’il était. L’abbé Boutin fut surpris d’avoir éjaculé autant, quelques minutes après s’être masturbé déjà avant de venir se coucher. Il avait joui si fort qu'il lui fallut plusieurs minutes pour récupérer, mais il était comblé. Nicole qui ne dormait pas avait reçu une goutte de sperme sur la joue, machinalement elle essuya cette goutte de liquide de son doigt et le porta à sa bouche. À n’en pas douté, Monsieur le curé venait d’éjaculer.

Nicole n’y croyait pas et ne parvenait toujours pas à s’endormir tellement son entrejambe la chauffait et se lubrifiait sans qu’elle le désire, elle ruisselait tant, que sa cyprine coulait entre ses cuisses et après avoir compris que Monsieur le curé s’était masturbé à côté d’elle, des pensées perverses lui venait à l’esprit, elle en était presque à regretter de ne pas l’avoir aidé dans sa masturbation, comme elle l’aidait tous les jours en lui lavant ses affaires ou en lui préparant les repas. Cela l’excitait malgré elle.
Le curé ayant senti qu’elle bougeait dans tous les sens, lui demanda :
— Tu dors Nini ?
— Non monsieur le curé, j’ai eu trop honte tout à l’heure, cet indigène est un monstre.
— Non Nini, tu n’as pas le droit de le juger, il n’y a que Dieu qui puisse le faire. Je crois plutôt que tu lui plais beaucoup et cela va nous aider à parvenir à avoir enfin notre église.
— Dites-moi Monsieur le curé, pourquoi ne partons-nous pas ? J’ai peur de cet homme. Dit-elle en se retournant.

Mais n’étant plus très souple, elle s’aida de ses mains et l’une d’entre elle, se posa malencontreusement sur le bas ventre du curé. Il bandait toujours, Nicole l’avait bien ressenti, cette verge était encore en érection, elle se retrouva gênée mais sachant ce qu’il venait de faire, elle lui demanda :
— Vous aussi Monsieur curé vous avez été empoisonné, j’ai le même problème d’excitation que vous.
— Que vas-tu chercher là, c’est le souhait du seigneur, il est en train de nous dire quelque chose.
— Que dit-il ? Monsieur le curé dite le moi, je suis toute chose.
— Si tu as bien appris ta leçon, il a envoyé le Saint Esprit faire l’amour à Marie alors qu’elle n’était qu’une vierge innocente.
— D’accord Monsieur le curé mais je ne suis plus vierge.
— Moi si ! Et toi si tu es l’innocente, je suis peut-être le saint Esprit.
— Vous voulez dire que vous… et moi…on doit…non…
— Je crois qu’il n’y a que cela qui éteindra le feu que nous avons dans les entrailles et effacera nos pensées obscènes de notre cerveau et nous purifiera.
L’effet de la potion du sorcier venait de prendre fin, Nini s’offusqua :
— Monsieur le curé, le sorcier vous a envouté. Maintenant dormez. Dit-elle, juste avant de s’endormir d’un seul coup.

L’abbé André Boutin, comprit alors que Nicole avait résisté à la potion magique qui devait lui permettre de copuler sans aucune retenue. Il savait à présent que sa Nini n’acceptera jamais la proposition que lui avait fait le Makoko. C’est-à-dire : être sa femelle pendant la fête du « Jumapili ». Il ne savait plus quoi faire, il bandait de plus belle et avait peur désormais de toucher et de réveiller ta mère qui dormait à poings fermés.

Quand brusquement, la case s’illumina de la torche que tenait Fula l’épouse de Ngono Kubwa. Elle venait de recevoir les assauts du Makoko deux fois de suite et était sortie dès qu’il s’était endormi en rêvant de Nini dont il était tombé amoureux. En voyant l’érection du curé qui ne pouvait la cacher, celle-ci lui demanda : « Combien de fois ce soir ? »
— Deux fois mais ça ne redescend pas.
— Il faut la purger trois fois de suite avant que s’estompe la potion. Laisse-moi faire.
— On va réveiller Nini.

Fula Mampuya s’était déjà accroupie auprès du curé en disant : « la boisson qu’elle a bue, à le pouvoir de faire dormir comme une masse une fois l’effet d’excitation passé. Ne t’inquiète pas Curé. » Puis elle releva le pagne et découvrit les 18 cm du pénis de l’abbé André Boutin qui était d’une très belle taille dans son pays. Elle sourit pencha sa tête et avant de l’avaler, elle demanda au prêtre :
— C’est bon ! Nini me remplace demain au « Jumapili » ?
— Je crois que j’aurai des difficultés à la décider.
— Veux-tu que je t’aide ce soir ou non ?
— Si bien sûr, je vous promets que je ferai de mon mieux mais doublez sa dose demain.

L’abbé Boutin venait de connaitre pour la première fois ce qu’était une fellation, Fula Mampuya n’avait pas hésité de faire pénétrer toute la longueur de ce sexe qu’elle trouvait petit, dans sa bouche et fut même étonné de la cuiller à café de sperme qu’elle avait avalé. Elle était ressortie de la hutte, que l’abbé dormait déjà, plongé dans des rêves les plus fous mais son pénis était enfin au repos. Le lendemain au réveil, le prêtre attendait que Nicole se réveille, il devait lui dire la vérité avant qu’elle ne l’apprenne par le Makoko lui-même. C’était trop tard, le roi franchit à son tour le rideau, le soleil éclaira la case :
— Je vais bien m’amuser avec la femelle cet après-midi. Mon successeur aussi en profitera, c’est son intronisation dans cinq heures.
— Non ! Hurla Nicole en sursautant.
— Ça te pose un problème Nini ? Tu verras, je saurai t’apporter du plaisir comme jamais tu as connu auparavant. Finit-il par dire avant de quitter la case.
— Dieu t’a choisi et tu dois lui obéir. Tu devras te donner à Ngono Kubwa tout à l’heure lors du « Jumapili » Ta mission n’est pas terminée Nini.
— Comment pouvez-vous dire cela Monsieur le curé, c’est une horreur, je ne vous reconnais pas.
— Et si Nini, notre Seigneur en a décidé ainsi et tu dois l’accepter. Pour moi aussi, je n’avais pas voulu le croire, mais le Christ m’a éclairé et m’a demandé de te parler en son nom. Tu t’offriras à Ngono Kubwa. Pense à tous les fidèles que nous pourrons convertir ici avec l’aide de Dieu et tu comprendras que ton devoir est uniquement de sacrifier ton corps car ton esprit restera intact. Je suis certain que ton mari dirait la même chose.

Cette fois Nini pleurait en silence, les propos de son ami Monsieur le curé, l’avait mise au pied du mur, elle comprenait qu’elle était dans l’obligation de le faire tout en sachant qu’elle ne pêchait pas. C’était le Seigneur tout puissant qui lui confiait cette mission et elle ne devait pas trahir sa confiance. Comme André pensait quelques secondes plus tôt, si le Christ s’était laissé clouer sur la croix, elle pouvait bien s’accoupler avec cet indigène de 104 ans.

Néanmoins la raison fut plus forte, n’ayant pas encore accepté le deal que lui avait proposé Monsieur le Curé et le Ngono Kubwa, elle cherchait un moyen d’échapper à cette double saillie. Le Père Boutin venait de sortir, quand l’épouse du roi revint une nouvelle fois à la case, l’implorer de prendre sa place lors du « Jumapili ». Mais Nicole n’avait pas dit son dernier mot, elle refusa encore :
— Nini, tu dois faire quelque chose, la dernière fois que Ngono Kubwa et Mjukuu Ngono m’ont forniquée le jour du « Jumapili », je suis restée allongée au lit plus d’un mois, je suis trop vieille.
— Mais cet votre mari, dites-lui… Je ne peux rien pour vous…
— Si ! Il a décidé ce soir que si tu refusais, il te donnerait en pâture à cinq de ses guerriers en manque et il prendrait la petite du sorcier, elle est fragile et n’a que 12 ans. Réfléchit Nini…Dit-elle en sortant.
— Tant pis, c’est vos coutumes et je n’y peux rien. Je veux rester fidèle à mon défunt mari.
À ce moment-là, l’abbé André Boutin qui revenait de chez le sorcier entra dans la hutte avec un verre et le fit boire à Nicole en lui disant :
— Prends et bois Nini ! ceci est le sang du Seigneur, livré pour toi !
— Amen !
— Prends et mange Nini ! Ceci est le corps du Seigneur, livré pour toi !
— Amen ! Merci Monsieur le curé répondit-elle en faisant un signe de croix.

La suite dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, cette histoire n’est pas réelle, elle fut entièrement inventée par l’auteur qui, avec mon aide en lui dévoilant mon fantasme, l’a écrite pour mon plus grand bonheur. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Julie, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!