Nini, La « Grenouille De Bénitier » Chez Les Tékés Au Congo. 3/3

Nicole en avait assez du Makoko Ngono Kubwa, ce vieillard devenait de plus en plus pressant et voulait lui toucher le cul en permanence, ça devenait vraiment gênant et désormais, il lui faisait des avances, elle ne pouvait même imaginer un seul instant qu’elle puisse se donner à lui, comme le sous-entendait son épouse Fula Mampuya qui la harcelait pour qu’elle prenne sa place lors de la fête du « Jumapili » et des propos du père Boutin qui lui conseillait aussi de le faire. Elle ne le reconnaissait plus pensant que lui aussi était . Il en était hors de question, elle voulait bien participer à cette fête sans problème, suivre la tradition en s’habillant et en se faisant maquiller comme eux mais ses intentions s’arrêtaient là. Nicole s’était jurée de renoncer définitivement à toute relation sexuelle et ce n’était pas ici qu’elle trahirait sa parole.

Il était l’heure de la préparation, Fula Mampuya vint la chercher pour son maquillage, il sera identique à l’épouse du Makoko, c’est-à-dire :
Son corps était peint par des bandes jaunes l’une largeur de 4 cm partant des chevilles, tournant tout autour sur les genoux pour remonter vers l’entre jambe et sur le tronc, ses mêmes bandes partaient du coude montant vers l’épaule pour redescendre entre les seins faisant le tour de ceux-ci pour finir en demi-cercle sous le nombril. De chaque côté de ces bandes, de gros point d’un diamètre de 4 cm, en peinture, alternés de bleue et de rouge. Sur le visage, une bande bleue descendait du front jusqu’au bas du nez, sous les yeux une bande noire et deux petites lignes rouges étaient parallèles sur les deux joues ainsi que sur le menton.

Ta mère n’avait fait aucune difficulté pour suivre Fula Mampuya jusqu’à sa case, mais lorsqu’elle commença à la peindre, sous le regard Ngono Kubwa qui la matait avec envie, elle détournait les yeux, cet homme lui faisait peur. Et cela dura pendant toute la durée du maquillage. Le travail étant fini, l’épouse commença à lui caresser les seins, les soupesant, les malaxant, tout en la félicitant de ses merveilleuses mamelles, elle qui n’avait que deux gants de toilette en guise poitrine.

Ce qui excita fortement le Makoko qui se leva et vint pétrir le cul qu’il trouvait magnifique, ça faisait plus de trente minutes qu’il en mourait envie. Nicole éprouva un réel dégoût, une forte répugnance, à l'idée que ce vieillard pervers de 104 ans puisse poser les mains sur ses fesses. Elle repoussa Fula Mampuya et s’enfuit dans sa case rejoindre l’abbé Boutin.

S’en suivi une nième explication mais cette fois-ci l’abbé s’était fâché, il trouvait inadmissible que Nicole puisse passer ses intérêts personnels avant ceux de l’église :
— Je te croyais vraiment plus pieuse et charitable Nini, tu me déçois beaucoup.
— Mais Monsieur le curé, ces nègres sont horribles et obsédés par le sexe même l’épouse m’a peloté les seins, vous vous rendez compte ?
— Je t’en conjure Nini, ne sois pas raciste, dieu ne l’acceptera jamais. Tout ce qu’il demande, c’est que tu t’offres à lui, deux heures contre une église qui va accueillir des pèlerins pendant des siècles, ce n’est quand même pas la mer à boire.

La potion et le pain à base de champignons hallucinogènes que le sorcier avait fait boire à Nicole par l’intermédiaire du curé, commençait à faire son effet. Nini à demi inconsciente s’écroula sur le lit. L’abbé André Boutin sortit de la case, avec un large sourire, lorsqu’il laissa Nini en compagnie de Fula Mampuya qui lui massait le front pour la calmer.

Puis comme par enchantement quelques minutes plus tard, elle se mit assise sur le lit, surprise d’être seule, Fula Mampuya et l’abbé André Boutin n’était plus là. Elle ressentait toujours cette drôle de sensation dans le bas ventre. Cette fois-ci, elle décida de fuir cet enfer, elle se leva et voulut récupérer une robe dans son sac mais celui-ci avait disparu : « Tant pis ! Je pars en chemise de nuit. » Se dit-elle. Elle passa la tête par la petite porte et ne vit plus Monsieur le curé : « Mais où est-il passé, j’espère qu’il ne lui est rien arrivé. » Les alentours avaient l’air désert, elle s’avança au fur et à mesure discrètement et alla jusqu’à la place du village.
L’hôtel pour la fête du « Jumapili » était prêt mais il n’y avait aucun indigène, même le Makoko était absent. C’était surprenant mais c’était aussi une aubaine pour elle. Nicole espérait qu’elle allait retrouver son chemin. Après avoir tourné en rond quelques minutes, elle entrevit le sentier qu’elle avait emprunté lors de sa venue à Ngabé.

C’était sans doute son jour de chance, elle devait fuir d’ici, sachant qu’avec sa corpulence et son poids elle ne pouvait courir, elle accéléra le pas et s’avança dans cette forêt qui lui semblait hostile mais ayant tellement envie de quitter ce village d’obsédés sexuels que cela lui donna le courage nécessaire. Ce qui la gênait pour aller plus vite, c’était ce ruissellement permanent sortant de son vagin qui coulait le long de ses cuisses. Tout en vérifiant si elle n’était pas en danger. Elle força la cadence et s’arrêta pour souffler une demi-heure plus tard. Elle écouta les bruits aux alentours, afin de s’assurer qu’elle n’était pas suivie mais comme tout avait l’air calme, elle reprit son chemin après s’être essuyée comme elle le pouvait son intimité.

Nicole n’avait plus sa montre, mais par rapport au soleil, elle estima qu’elle n’était plus qu’à une petite heure de route de la voiture. Elle s’arrêta, et déchira le bas de sa chemise de nuit, elle devait absolument s’éponger le vagin, ça coulait et sa sentait mauvais. Après une nouvelle petite pause, elle décida de repartir, elle pensait être sortie d’affaire, le Makoko ne penserait jamais qu’elle était parvenue jusqu’ici, seule dans la forêt sacrée : « Mais où sont passé ses gardes qui devaient l’empêcher de s’enfuir ? » Se dit-elle en souriant, fière d’être déjà arrivée jusque-là. Plus elle avançait plus il faisait chaud : « Encore un petit effort Nini, tu vas y parvenir. » S’encouragea-t-elle. Elle n’en pouvait plus, elle fatiguait et pourtant le paradis était au bout de ce chemin, elle s’épongea encore : Elle sentait la chienne en chaleur, cette fois l’odeur devenait insupportable.


Il ne lui restait que 2 à 3 kilomètres, néanmoins, épuisée, elle était obligée de faire une nouvelle pause, elle était en âge, elle avait des difficultés à respirer. Elle s’allongea quelques minutes sur l’herbe et s’essuya énergiquement avec ce chiffon qui puait tant qu’elle le jeta le plus loin possible. Juste à ce moment-là, Nicole entendit un bruit de branchage écrasé, dans la jungle, à quelques dizaines de mètres. Tendant l’oreille, elle se releva et repartit en essayant de courir, elle avait soudainement peur, elle était surprise de parvenir à courir s’en être trop essoufflée : « Sans doute la potion du sorcier. » Se dit-elle.
Elle entendit encore ces bruits mais cette fois, ils se rapprochaient, elle avait l’impression que plusieurs hommes couraient tout autour d’elle.

Avec appréhension elle accéléra la cadence, lorsque devant elle, se dressa un autochtone, sa tête était mi singe mi-homme, son corps musclé était recouvert de poils avec des jambes assez courtes par rapport à ses longs bras tel un australopithèque. Celui-ci l’empêchant de poursuivre sur cette voie. Elle regarda à droite, elle vit un deuxième primate du même type et à gauche, il y avait son jumeau. Elle se retourna, elle devait faire demi-tour mais là encore, le quatrième hominidé bipède lui bloquait le chemin. Prenant son courage à deux mains, elle fonça sur le premier et essaya de forcer le passage, malheureusement cet autochtone était bien trop fort, avec une force incroyable, il l’empoigna et se laissa tomber en arrière.

Nicole se retrouvait à quatre pattes, au-dessus du primate qui la maintenait dans cette position par ses bras sur les reins et lui léchait le visage, pendant que les deux autres se trouvant sur les côtés s’accroupirent, lui tirèrent les mamelles avec leurs mains et tétèrent ses mamelons. Le quatrième quant à lui, s’était allongé derrière elle, son visage entre ses cuisses lui faisant un toilettage comme il le faisait sans doute à ses congénères, lui recherchant des puces dans sa forte toison touffue et léchant sa cyprine à grand coups de langue.
S’apercevant que ces descendants de la fameuse Lucie, ne lui voulaient aucun mal, Nicole pensa que c’était quatre jeunes qui voulaient jouer.

L’espoir de pouvoir s’en débarrasser revenait dans son esprit, elle essaya une nouvelle fois de se relever, mais l’hominidé qui se trouvait sous elle la maintenait bien. Elle leva les yeux lorsqu’elle entendit un nouveau bruit et à ce moment-là, elle prit peur. L’autochtone qui arrivait ne semblait pas inoffensif, son long gland effilé d’un rouge vif et luisant était sorti de son court sexe tout poilu. Moins impressionnant qu’une verge normale, mais beaucoup plus répugnante. Il se tenait debout le bras droit levé, tenant de sa main le chiffon trempé de sa cyprine, de son poing gauche, il se tapait la poitrine en criant : « Wou-Hou, Wou-Hou. Toi perdu chemin. »

Ta mère croyait que sa derrière heure était arrivée, cet homme préhistorique impressionnant était menaçant, elle savait à présent qu’elle allait se faire voire même manger. Elle hurlait mais il lui semblait que les sons ne sortaient pas de sa bouche : « Toi perdue, toi vouloir retrouver chemin ? »
— Oui ! s’il vous plait, je veux partir d’ici.
— D’accord ! Nous jamais voir femelle blanche sans poils, toi laisser moi et petits frères engrosser toi ou nous manger toi.

Quand ce géant homo habilis probablement un de nos ancêtres passa derrière, elle ne pouvait plus le voir mais elle sut ce qu’il allait faire et acceptait le marché si cela pouvait lui sauver la vie. Lorsqu’elle sentit son pénis entre ses cuisses et ses mains lui empoignant les hanches, elle se demandait s’il allait tenir sa promesse. Sans forcer le passage, ce long gland pénétra dans sa chatte trempée, l’autochtone commença ses va et vient en criant : « Hi-Hi-Hou ! Hi-Hi-Hou ! » puis, elle ressentit couler dans ses entrailles ce liquide chaud et limpide lui inondant le vagin.

Le primate satisfait, se tapait le poitrail toujours en criant : « Wou-Hou, toi bon cul. » Il venait de se vider en elle et laissa sa place à un de ses congénères qui fit la même chose. Nini c’était fait prendre et abusée par les cinq hominidés sans jamais avoir fait le moindre geste pour se défendre. Elle était écœurée, elle vomissait tripes et boyaux, les australopithèques ayant pris leur plaisir, l’avaient laissée affalée dans l’herbe, en vie mais traumatisée à jamais. Lorsqu’elle se remit assise et se réveilla dans sa case, Fula Mampuya lui tenait la main, elle venait de finir son histoire. Ce cauchemar avait enfin pris fin, néanmoins, Nicole n’était pas sortie d’affaire, elle se retrouvait encore à Ngabé avec le Makoko qui voulait lui aussi son cul : « Je ne m’en sortirai jamais. Seigneur ! Sauvez-moi. »

À cet instant, elle entendit à travers les murs de la hutte, faits de branchage et de feuilles, une voix rauque et calme sortant de nulle part, dire :
— Je suis là mon ! Je t’ai montré dans ton songe, ce qu’il adviendra de toi si tu t’enfuis. Garde l’espoir Nicole, ait confiance en ton Seigneur, fais construire mon église.
— Mon Dieu ! Comment le faire comprendre à ce vieillard ?
— Nicole ! Ton seul but sur cette terre est de parvenir à construire cette église, n’oublie pas que j’ai sacrifié mon corps pour sauver l’humanité.

La voix de Dieu s’était tue, Nini demanda à l’épouse de Ngono Kubwa si elle avait, elle aussi entendu les paroles du Seigneur : « C’était ton Dieu ? Oui ! Je l’ai bien entendu. » Ta mère appela plusieurs fois Monsieur l’abbé mais celui-ci était déjà reparti dans la case du Makoko avec son porte-voix.

« - Que voulait dire cette dernière phrase ? Lui aussi voulait que je m’offre à cet obsédé sexuel ? » Se demanda-t-elle. Elle se rappelait des propos de Monsieur l’abbé : « Ngono Kubwa échange le terrain contre le cul de Nini. C’était donc cela le seul but qui m’était donné ? Et je devais me sacrifier comme l’avait fait le Christ avant moi. » Se demandait Nicole : « Qu’il en soit ainsi, je ne renierai jamais mon Seigneur et Maitre. » S’était-elle convaincue.

L’heure approchait, Nicole entendait déjà les tamtams et les chants des indigènes résonnés au loin, elle avait peur. L’abbé déguisé comme elle, était venu la chercher et l’emmena jusqu’à la place où un tronc d’arbre recouvert d’une épaisse peau de bête, tel un cheval d’arçons servant d’hôtel des sacrifices, était posé sur la grande estrade installée sur la place du village. Tous les habitants tékés étaient là, sauf les s, on ne comptait pas moins de deux cents aborigènes hommes comme femme chantant et dansant tout autour de l’estrade. Le sorcier allongea Nicole à plat ventre sur le tronc et attacha ses chevilles et ses poignets sur des anneaux sortant du plancher, elle allait être le jouet sexuel du Makoko et avait enfin pris sa décision de se laisser faire.

Si les chants n’étaient pas entonnés aussi fortement, on aurait pu entendre Nini prier : « Seigneur ! donne-moi la force. » À partir de la hauteur de son visage, le sorcier fit trois pas et traça à la craie un trait derrière lequel se positionna le jeune Mjukuu Ngono. Le sorcier appela les deux femelles les plus âgées du village et leur demanda de commencer à masturber le futur successeur du Makoko, placé quant à lui derrière les fesses de sa promise et admirait toujours son beau cul qu’il caressait avec envie. Il n’aura pas fallu longtemps avant que Mjukuu Ngono expédie les 12 cl de sperme atterrissant sur les fesses de Nini sous le regard désabusé du roi qui n’en revenait pas. Le jeune garçon avait battu son propre record, pendant que toute la foule scandait son nom.

Mjukuu Ngono avait gagné le droit d’aller dans sa case nuptiale où l’attendait sa première femelle qui deviendra la reine, après une saillie mémorable. Le sorcier fit monter Fula Mampuya sur l’estrade, harnachée, à sa taille, d’un gode ceinture représentant à la perfection, le sexe du Makoko. Ce phallus magnifique sculpté en bois d'ébène mesurait en longueur, trente-cinq centimètres pour 8 de large, il était énorme, l’équivalent d’une grosse cucurbitacée et ses testicules avaient la taille de deux citrons. Nicole n’en revenait pas, elle se demandait comment elle allait pouvoir se faire pénétrer par ces deux pénis tour à tour. Le vieux Ngono Kubwa se présenta devant son visage, elle ne voulait pas ouvrir sa bouche, Nicole priait toujours le bon dieu à voix haute, mais ses paroles étaient couvertes par les chants et les cris des indigènes qui voulaient tous assister au spectacle.

Pendant ce temps, Fula Mampuya massait les fesses de Nini avec le sperme du jeune Mjukuu Ngono et le faisait glisser dans la raie tout en glissant ses doigts dans l’anus afin de dilater sa rondelle étoilée. Nini ne pouvait pas bouger, elle acceptait la volonté de Dieu, c’était son destin. Mais se refusant d’ouvrir les lèvres, les deux femelles qui avaient astiqué la longue queue du jeune Ngono lui pincèrent le nez, devant respirer, elle fut obligée de l’ouvrir. Le Makoko en profita pour glisser son gland entre ses lèvres, sa bouche grande ouverte était exactement de la dimension du diamètre de sa verge. Après de longs mouvements d’avant en arrière, il se déversa au fond de sa gorge et lorsqu’il ressortit son engin, la quantité d’un demi-verre ressortait de sa bouche, elle n’avait pu tout avaler.

Obsédé par son cul, Ngono Kubwa n’avait pu attendre, il se plaça derrière Nini, posa son pénis toujours raide, bandé comme un arc, sur son petit trou bien préparé par son épouse et en s’aidant de son pouce, poussa et poussa encore, afin d’entrer là où personne n’avait encore jamais pénétré, sous les cris de Nicole qui implorait Dieu. Comme l’avait fait son épouse juste avant lui, le Makoko n’avait pas voulu enfoncer plus de vingt-cinq centimètres de sa longue queue dans son anus, néanmoins, lorsqu’il éjacula sans réserve dans son rectum, elle eut l’impression que son sperme arrivait directement dans son estomac. Les cris des indigènes couvraient les prières de Nini, elle se donnait en martyre pour la bonne cause et cela l’aida beaucoup à supporter la douleur, d’autant plus qu’elle venait de jouir.

Le vieil homme prit ensuite possession de son vagin qui n’eut aucune difficulté à recevoir ce pénis gros comme un concombre, elle était tellement trempée de cyprine après la dose de potion que le sorcier lui avait administrée que les couilles grosses comme deux oranges du Makoko frappait ses fesses à chaque fois qu’il la pénétrait jusqu’à la garde. Avec Fula Mampuya, ils intervertir leur place et le vieillard ayant encore la queue tendue, passa devant sa Nini et se masturba pour arroser l’ensemble de son visage et de sa chevelure, pendant que son épouse avec son phallus en bois reprenait la place de son roi, dans l’anus largement dilaté de Nini pour un troisième orgasme de la sacrifiée. Sa chatte et son anus ruisselaient encore du sperme du vieux Makoko, quand ils finirent par une double pénétration, sous les hurlements de plaisir de Nicole qui jouit comme une folle, elle remerciait Dieu de lui avoir permis, dans cette drôle d’après-midi sexuelle, de connaitre enfin une telle jouissance qu’elle ne sera pas près d’oublier.

Mais que croyez-vous que faisait l’abbé André Boutin pendant que Nicole subissait les assauts de Ngono et de son épouse. Il s’était branlé trois fois lui aussi, caché derrière une hutte, en regardant le spectacle qui dura deux heures et demi. Si sa première éjaculation fut puissante, la deuxième était liquide et très peu volumineuse, quant à la troisième. Si sa queue était encore en érection, elle ne sortit que quelques gouttes de sperme avant de ramollir d’un seul coup, quand la fête du « Jumapili » se termina sous les cris joyeux des indigènes fier de leur Makoko. Le curé était venu chercher Nicole comme il l’avait amené puis les deux vielles femelles, l’emmenèrent dans le bain réservé aux épouses du roi où elle fut lavée et habillée avec ses vêtements personnels pendant que Ngono Kubwa signait le document officiel tant attendu par l’abbé Boutin.

La nuit du départ de Nicole vers Mbé, le vieux Makoko était décédé de chagrin. Les dernières images qu’il vit dans son cerveau avant de mourir furent les fesses et les hanches de Nini recouvertes de son sperme.

Chères lectrices et chers lecteurs, cette histoire n’est pas réelle, elle fut entièrement inventée par l’auteur qui, avec mon aide en lui dévoilant mon fantasme, l’a écrite pour mon plus grand bonheur. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
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