Histoires De La Bienheureuse Agnès H1- 3

1ère Histoire - Soir d’octobre en Beaujolais – 3 -

Episode 3 / 6 : Où le lecteur perçoit de rudes coups portés à la belle Agnès.

… Brigitte était descendue du cuveau et avait enlevé sa robe légère. Elle était à trois pas d’Agnès, en slip jaune taché d’éclaboussures de vin et de jus de vendange... Sans résistance, elle se laissait lutiner et peloter par le jeune Adrien, celui qui l’avait déjà copieusement maté entre les cuisses, avant l’épisode du cuveau... Elle dit doucement, mais avec vindicte :
- '' Qu’est-ce que vous attendez, vous autres, pour la mettre à poil ?!...". Armand, le Françou et Johann n'attendaient que cette invitation et ne le firent pas dire deux fois... Le grand rouquin lui tint les bras levés au-dessus de la tête, tandis que Johann s’occupait fébrilement de faire passer la robe par-dessus la tête brune de la jeune femme. Elle faisait de vaines tentatives pour empêcher le tissu fin de la robe de remonter complètement. Par-dessous la jupe retroussée le Françou lui immobilisait les hanches de ses deux mains puissantes. Agnès ne put résister longtemps et la jupe fut retirée d’un coup vers le haut, ce qui la déséquilibra et son corps fut plaqué sur celui d'Armand dont elle sentit nettement sur ses reins la bite tendue... Elle voulut se retirer de ce contact, mais Johann se plaquait sur elle par devant, lui faisant sentir sa belle verge dressée, dont la toute extrémité pointait par le haut, hors du short. Il l’appliqua sur le ventre d’Agnès et pressa de tout son poids sur le nombril. Les deux hommes la tenaient debout entre eux, se frottant à elle et la frottant à eux dans un mouvement tournant et lascif...
Un instant, Agnès se vit ainsi de façon très lucide en petit slip transparent entre les deux hommes et sa honte grandit encore : là, à demie nue, coincée entre deux hommes lubriques, au milieu d’autres, hommes et de femmes épris de boisson. Elle voyait ses seins tombants, son torse strié de coulures de vin et de jus collant, le slip blanc à petits motifs bleus maculé et imbibé de souillures violacées, les cuisses zébrées elles aussi de vinasse jusqu'au chevilles.

.. Elle eut de nouveau un haut-le-cœur, ferma les yeux et se dit : '' Si seulement je pouvais me laver un peu, me plonger dans une eau pure et fraiche enlever ce slip qui n’est plus qu’une serpillère et me laver de ces souillures et de ces humiliations !... '' Mais c’était là, peine perdue... Déjà la Brigitte lançait, terrible :
- '' Mais mettez là donc à poil... Complètement à poil, quoi ! Mais qu'est-ce vous attendez ! C’est une salope, qui ne demande que ça… Vous ne l’avez pas compris ?!"
Le Françou qui s'était déjà accroupi aux genoux d’Agnès entre Johann et Armand qui la tenaient entre eux, n’attendait que cela. Malgré les jambes très serrées de jeune femme, il fit glisser le slip jusqu’aux chevilles. La tête au niveau des genoux d’Agnès il en profita pour bien regarder la fente où les poils étaient collés, et lança :
- '' Ah, la cochonne !... On peut dire qu’elle boit par tous les trous ! Vous verriez sa fente, elle est pleine de vinasse !"
- '' Quoi ? S’enquit la Bernadette, la jolie dame aurait le derrière sale ? Il faudrait voir ça ! Allez, allongez-là sur la table vous autres et attachez-lui les poignets et les chevilles, que l’on puisse voir ça de plus près !''. Agnès eût beau se débattre, protester avec force, crier et demander tandis que les trois hommes l’empoignaient fermement :
- '' Grâce !! Non, non !! Pas ça !!! Laissez-moi, je vous en supplie !''. Elle appela aussi désespérément Toinette, mais rien n’y fit... En un tour de main elle fut amenée sur la table, écartée aux bras et aux jambes et attachées nue, le dos sur le bois, les poignets et les chevilles liés par Armand et le Françou aux quatre pieds de la table… Elle fit des efforts pour se libérer et se redresser, en vain, les liens lui sciaient les poignets et les chevilles si d’aventure elle tirait trop fort...
Autour d’elle, à travers ses yeux embués de larmes, elle ne voyait que des scènes de sexe entre les hommes et les femmes. A sa gauche, à deux pas de la table, la belle Brigitte, légèrement penchée en avant, ses beaux seins très proéminents et pointés vers le bas, le slip jaune descendu jusqu'à mi-cuisses, tendait ses fesses écartées à Adrien qui lui léchait la raie et la fente avec passion.
.. D’un mouvement lent et arrondi, elle tournait doucement sa croupe sur le visage du garçon et semblait se délecter de cette caresse. Par devant, elle branlait doucement d’une main, le beau braquemart de Johann, lui léchant de temps en temps le gland. Le garçon avait sortit de son short la bite magnifique dont il était doté. Une bite très longue, au moins 20 cm, nerveuse et noueuse, dont le gland décalottait de la largeur de la main de la Brigitte.... Vraiment un beau vit qui troubla Agnès malgré la précarité de sa situation.... Ce qui l’excitait le plus, c’était de voir Brigitte darder de temps en temps la pointe de sa jolie langue au sommet du gland, la papille de la bite du garçon et jouer ainsi à l'exciter des frémissements de sa langue !... Vraiment, elle semblait en connaître un rayon et avoir en ce domaine, une certaine expertise. Cette remarque conforta Agnès dans son hypothèse qu’elle s’était déjà formulée : cette fille n'était pas tout à fait à sa place dans cette ferme…
A la droite d’Agnès, le blondinet dont le prénom était Hubert, se faisait sucer la bite, nettement plus petite que celle de son grand camarade blond, par la brune Elise aux jolis seins. Accroupie devant lui, elle le pompait très activement. La jeune femme, apparemment peu experte, compensait son manque d’expériences, par une motivation et une avidité à sucer remarquables. Par côté, ce même garçon, tandis qu’il se faisait sucer, embrassait à pleine bouche et à pleine langue la belle Hélène assise sur un tonneau devant lui, les jambes très relevées. Il pouvait ainsi lui branler en même temps la fente : un doigt dans le vagin et l’autre sur le clitoris.... Agnès voyait que la blonde avait une très jolie fente, peu fournie et dont les poils blondinets restaient peu visibles d’où elle était, c’est-à-dire à 3 mètres environ. La jeune Hélène avait un clitoris très marqué, très ressorti et plutôt gros qui bandait très fort. Les lèvres fines et longues de sa vulve étaient également très développées et la main du garçon les caressait avec adresse.
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A la gauche d’Agnès, et vers le bout de la table, le Jacquot que l’on entendait plus depuis quelques instants, le pantalon sur les chevilles, la chemise ouverte sur un torse et un ventre très poilus, donnait à sucer une bite courte mais très large à Maria la portugaise, affalée au pied de la barrique. Elle avait la tête soutenue par son mari, dont elle branlait la bite. Ou plutôt dont elle avait la bite dans la main, c'est à peu près tout ce quelle pouvait faire tant elle était saoule ! Pour ce qu’en voyait Agnès le portugais avait une verge assez petite, plutôt courte et pas grosse non plus. Il faisait sans doute partie des ''petites cylindrées'', voire très petites ! Mais, d’où elle était, elle ne voyait pas très bien...
Le Jacquot par contre avait un membre plutôt court, une quinzaine de centimètres de long tout au plus, mais d’une rare grosseur d’au moins 7 cm de diamètre, peut-être 8. Le vit était d’un beau diamètre comparé à sa longueur ! Et surtout un gland court, en champignon qui dépassait d’un bon centimètre en surplomb tout le tour de la hampe, Ce gland faisait penser à un chapeau-casquette à très larges bords. Cette forme particulière du gland raccourcissait encore le membre, lui donnant l’impression plus grande de massivité...
Le Jacquot promenait le bout de son engin sur la bouche, le menton le visage de la jolie portugaise qui n’en pouvait davantage et surtout, il s’amusait à lui promener de la même façon que sa bite, le goulot d’une bouteille qu’il tenait dans l’autre main, donnant à sucer à la femme, tantôt son gland, tantôt le goulot, parfois les deux ensemble. De temps en temps, il versait une goulée de vin de la bouteille dans la bouche de la femme qui avalait avidement. Le vin versé trop vite pour être bu, coulait et dégoulinait de la bouche rendue maladroite par l’alcool... La Maria avait la robe, mouillée et imbibée de jus de raisin, relevée jusqu’à la ceinture. Agnès eût la confirmation qu’elle ne portait pas de culotte, car les cuisses très écartées laissaient voir une chatte, brune et très fournie, que son mari lui branlait sans que cela eût l’air de lui faire beaucoup d’effets.
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La Bernadette s’approcha de la table où Agnès était immobilisée. Elle aussi maintenant était nue, et malgré son âge et ses formes généreuses, elle n’était pas difforme. Sa grosse poitrine était bien portée et ses seins encore très fermes avec des tétons bien ressortis et pas trop écrasés comme c’est souvent le cas après la cinquantaine, surtout chez ces paysannes qui ne prenaient en général, point trop soin d’elles... Ses fesses un peu fortes empâtaient le haut des cuisses, mais sans excès. Le ventre plutôt rond escamotait le pubis mais qui restait bien apparent, bien poilu et avec la fente bien marquée... Bref une femme encore avenante et globalement encore désirable, malgré la cinquantaine passée...
Elle se plaça au bout de la table entre les jambes écartées d’Agnès dont la fente et les poils étaient collés par la vinasse et le jus sucré des raisins. De ses mains un peu fortes, elle lui écarta la vulve. Celle-ci était pleine de jus et de vin qui laissait à l’intérieur des traces violettes et rouges. Sa fente sous l’effet de l’alcool la picotait et la démangeait fortement. Sous les doigts peu soignés de la Bernadette, la chatte s’ouvrit, les petites lèvres bien développées s’écartèrent et démasquèrent un joli trou bien bordé par des ''piliers d’amour'' très renflés. Dans l’ouverture de la fente, le clitoris se rengorgea un peu et pointa le nez sous le capuchon.
Agnès se sentait sale, humiliée sous l’effet des gros doigts de cette femme, qui l’écartaient ainsi. Elle avait honte d’être examinée de cette façon, en gros plan ! Quelle humiliation d’être ainsi vue, observée, détaillée, par une femme si rustre, si vulgaire, qui lui regardait le sexe comme elle aurait fait de la bouche de sa chèvre ! Mais en même temps, malgré sa honte, elle était très troublée et elle sentait frémir son corps et son sexe autant par le contact frustre des doigts que par le fait d’être ainsi livrée et montrée... Sa tête était en feu, ses sens à fleur de peau. Le vin de tout à l’heure commençait à agir fortement et la rendait plus réceptive à cette situation humiliante... Bernadette termina son inspection en lui examinant bien la l’œillet ; examen assorti de ce commentaire :
- '' La garce dit-elle, je parierais bien qu’elle a du être prise depuis longtemps par tous les trous ! Et plus souvent qu’à son tour, hein !..." Agnès accusa le coup et fut troublée de cette remarque. A quoi l’avait-elle vu, cette vieille chouette. Car, cela faisait bien au moins 5 jours qu’elle ne s’était pas fait prendre, ni qu’elle s’était engodée ! Bernadette poursuivit son diagnostic :
- '' Tu as vraiment un cul de salope !!... J’veux bien croire que la vinasse t’a engluée la moule et te l’a un peu salie, mais tu sais, si on la regardait bien à fond, on y verrait peut-être pas que du jus de raisin !". Agnès voulu protester. Elle ne pouvait viscéralement supporter d’être considérée comme une femme négligée ou malpropre. Elle faillit se rebiffer avec des protestions véhémentes comme si elle se retirait d’un jeu auquel elle ne voudrait plus participer. Notamment, elle allait dire à la Bernadette que si on regardait sa moule à elle on trouverait sans doute plein de choses ragoutantes ! Mais brusquement elle mesura le dérisoire de cette révolte, et le peu d’importance que ce fait avait au regard des autres choses qu’elle subissait depuis plus d’une demie heure.... Elle n'eut pas la force d'insister. La Bernadette continuait :
- '' Armand, Françou, vous allez lui nettoyer la fente, en la lui léchant bien... Je vais m’occuper de vous pendant ce temps ! C’est vrai quoi, c’est pas tous les jours qu’on peut s’amuser comme ça par ici !... C’est pas comme toi, la jolie bourgeoise, tu dois en voir défiler des bites, hein, ma cochonne !"
Disant cela, elle s’agenouilla au bout de la table et prit une bite dans chaque main. Celle d’Armand était plutôt longue mais pas très grosse ; une que l’on pourrait qualifiée de nerveuse, qui, sans doute à cause d’un phimosis, décalottait assez mal et très incomplètement. Le Françou, qui avait quitté son pantalon, présentait, lui, une bite gigantesque. Un morceau énorme !
Vingt minutes avant, Agnès était loin de penser cela ! D’ailleurs, le Françou était très loin dans son classement initial ! Elle en fut éberluée. Quoi, ce petit nabot édenté de plus de cinquante ans et d’à peine 1m 65, les battait tous en grosseur et en longueur ? Il est vrai qu’il ne bandait pas encore complètement au niveau des autres, mais justement, cela ne faisait rien, même comme ça, c’était du 24 - 25 cm de long, au moins et aussi 8 de diamètre, sans problème !... Quel morceau ! Une bite, noueuse en plus, avec un ressaut marqué à moitié de la hampe et un gland très dissymétrique, partant franchement sur la droite, une bite énorme et difforme… Une bite à tirer dans les coins, qui devait vous défoncer la joue quand vous vous la plantiez dans la bouche, ou qui devait vous attaquer le côté du vagin quand vous arriviez à vous la mettre dans le trou. Car un morceau comme ça, '' il faut déjà se le rentrer !'', comme le dirait la plupart des femmes ! La Bernadette habituée sans doute et pour cause, ne s’en émut pas et commença à le branler ce qui fit grossir encore le braquemart de son nabot d’époux. Agnès était toute abasourdie et se fixant sur ce membre impressionnant à plus d’un titre, fut surprise de sentir une langue se poser sur sa moule, toute occupée qu’elle était par l’énorme vit du Françou...
Bernadette accroupie au pied de la table en face de la fente écartée d’Agnès, suçait avec ferveur la longue bite d’Armand. Le rouquin était debout par côté de la table et écartait d’une main la fente d’Agnès. Le Françou, penché entre les jambes ouvertes d’Agnès, lui léchait la fente et se faisait branler par sa femme, juste au ras de la table... Sous l’effet de la langue râpeuse du vieux, Agnès ferma un temps les yeux. Immédiatement l’image de la bite monstrueuse et très déformée du Françou s’imposait à elle. Elle l’imaginait plus grosse encore qu’elle ne l’avait vue, le gland décalotté se frayant un passage dans sa fente, parmi ses poils... Elle eut un léger gémissement qui n’échappa pas à la Bernadette.
- '' Continue Françou ! Vas-y… ! Tu vas lui faire cracher la mouille et elle prouvera alors à tous qu’elle est une vraie salope. Elle aime la bite, tu peux me croire !... Je te parie gros que je ne suis pas trompée ! Vous entendez vous autres, la mijaurée commence à trouver ça son goût !... "
Agnès résista encore et se contrôla fortement pour ne pas gémir sous la caresse de la langue du vieux... L’image de cette bite l’obsédait et les coups de langue pointue du Françou, justement lui, lui passaient partout et faisaient tressaillir tout son corps. Il lui léchait avec un grand savoir-faire, la fente poisseuse qui devait puer la vinasse et sans doute aussi un peu la pisse, car il lui revenait qu'elle n'avait fait avant de partir que des ablutions rapides ! Elle était partagée entre le plaisir charnel qu’elle éprouvait au léchage de l’homme et le fait que son haleine infecte polluait son sexe.
De se sentir souillée ainsi, l’humiliait autant que les yeux de la Bernadette qu’elle voyait observer les moindres frémissements de sa vulve... Avec délicatesse, le Françou tournait le bout de sa langue sur le trou de cul d’Agnès, il y dardait légèrement la pointe avec délectation. Déjà, en situation normale, cette caresse la rendait folle. Puis remontant vers le con, il lui lustrait d’un mouvement tournant de sa langue, l’entrée du trou à bites. Puis aspirait doucement les petites lèvres sensibles et fines d’Agnès, ce qui la faisait à chaque fois défaillir. Il léchait à larges coups de langue les sillons à l’intérieur des grandes lèvres, passant et repassant en même temps son nez sur le clito qui frémissait, enfin il terminait son ascension par quelques coups de langue précis et appuyés sur le clitoris, qu’il entourait ensuite longuement de sa langue, en tournant et en le détaillant de la pointe de celle-ci...
Agnès avait de plus en plus envie de se branler pour activer la caresse et la rendre plus sensible en même temps que les fringants coups de langue redressaient son clitoris... Ses poignets attachés l'en empêchaient, mais quelqu’un qui aurait bien observé ses mains aurait pu voir les mouvements imperceptibles de son index et de son majeur opérer une masturbation virtuelle... Chaque fois que la langue lui entrait dans le con, Agnès avait l’impression qu’elle allait défaillir, mais ce qui la retenait de décharger et de se laisser aller, c’était la peur que l’homme sente sa cyprine chaude lui couler dans la bouche. De toute façon malgré elle, elle en lâchait à chaque instant, plus ou moins abondamment... Le Françou se releva, sa face clownesque était toute mouillée et luisante. Agnès eût peur qu’il se soit déjà aperçu de ses petits lâchers successifs qu’elle ne pouvait maîtriser... Il lança :
- " La salope, c’est du pinard qu’elle jute ! On dirait qu'elle pisse du vin ! Ah, putain quelle fente ! Eh toi, l’Armand, viens-y lécher la conasse !… Tu vas voir si c’est pas vrai qu’elle a goût de pinard et du bon, sais-tu ! "
Armand prit la place du Françou entre les jambes écartées d’Agnès. Il se tenait maintenant au bout de la table, les jambes écartées entre lesquelles la Bernadette repris sa place, pour lui sucer les couilles, lui langotter le trou du cul et lui branler haut et fort sa bite nerveuse... Le Françou était passé sur le côté de la table, à la droite d’Agnès et d'une main lui écartait à son tour les lèvres de la fente, pour qu’Armand puisse la lécher plus aisément. Debout à côté d’elle, il lui donnait à voir son braquemart énorme, dressé et maintenant très bandé, car bien branlé par la Bernadette. Un engin noueux, difforme, au gland qui a lui seul aurait fait le bonheur de plus d’une (et de plus d’un, "les petits de la bite" !) Agnès était subjuguée. Elle n’avait jamais vu de bite aussi grosse si près de ses yeux... Enfin aussi grosse, si une fois ou deux, pas plus, mais surtout pas aussi difforme !... Ce qui était extraordinaire et qui la fascinait, c’était la monstruosité du membre, par ses dimensions certes, mais surtout les formes qu’il offrait : dantesques, surréalistes, du jamais vu... Une Bite-Quasimodo, tout à fait cela ! Et ça c’était fascinant... Elle ne pouvait en détacher ses yeux : 25 cm sûrs, dressés, tendus, de la pointe du gland à la base des couilles ; et peut-être plus. Et en diamètre au moins 8 cm à la base et encore plus de 5 ou 6 au bout du gland... Du fait de la position du Françou, elle avait le membre juste dans sa perspective, à une vingtaine de centimètres de ses yeux, juste au-dessus de son sein droit. Si le pauvre ''nabot'' avait su l’effet qu’il produisait sur la jolie bourgeoise, il ne serait plus senti de fierté !
Et surtout, ce qui excitait par dessus tout Agnès, c’est que cette bite était, déformée, comme rompue par des coups qui l’auraient, cassée, cintrée, déviée... Coudée vers la droite au tiers à partir de la racine, puis coudée ensuite vers la gauche à partir de la base du gland, lui-même comme cabossé, décalé, excentrique, avec une partie, la droite, hypertrophiée, qui devait bouter l’intérieur des vagins qui l’engloutissaient, avec un réel bonheur... Agnès malgré elle et en dépit de la pression qui la laissait peu libre de ses fantasmes, se prit à imaginer ce braquemart lui entrant dans le con, se frayant un passage difficile au départ, puis accueilli comme elle savait pouvoir le faire et enfin se l’entrer toute entière, lui faire fouiller le fond de sa matrice, déformant les parois internes de son vagin dilaté et la faisant jouir sans répit… Elle se vit le saisissant à pleines mains pour se l’introduire dans le cul et hurler d’être ainsi pénétrée, la protubérance du gland la labourant tout le long du rectum... Oh oui, elle avait envie d’offrir son cul à un tel engin en hommage à toutes les bites qu’elle avait connues et adorées pour leur grosseur, leur forme et les orgasmes qu’elle en avait eu... Oui, oui, elle avait très envie de l’avoir dans le con, dans son cul ; elle aurait aimé qu’elles fussent deux ainsi, monstrueuses et énormes, à la prendre en même temps dans les deux trous... Pour voir et sentir cette sur-dimension... Oui, oh, oui, elle avait envie d’être humiliée et soumise à une bite aussi gigantesque, aussi laide, aussi mal foutue, mais si fascinante... Elle n’en pouvait plus de la voir ainsi dressée par côté d’elle... Elle souhaita pour elle-même que le Françou vit son trouble et lui fourre le bout de son dard dans la bouche... Au moins ce ne serait pas elle qui l’aurait fait, l’honneur serait sauf, et ainsi elle aurait ce dont elle rêvait... Elle passait sa langue sur ses lèvres de sa bouche entr'ouverte...
Mais la psychologie féminine n’était pas la tasse de thé du Françou... Elle décida de tout faire pour toucher l'engin et l’avoir sur elle... Elle essaya de soulever son buste pour remonter son sein qui devait pouvoir toucher l’organe démesuré, sans y parvenir ; puis elle essaya vainement de dégager une main pour s’en saisir... Ses doigts fins et pourtant longs ne devaient pas pouvoir en faire le tour pensa-t-elle, tant elle était grosse... Elle avait de plus en plus de mal à maîtriser son trouble... Surtout qu’en plus de voir devant ses yeux un tel engin, elle se faisait sucer le con, ce qui, on s’en doute, ne la laissait pas indifférente Pourtant elle résistait encore… Elle savait aussi que la contrepartie de ses fantasmes, c’était ce que ses trous allaient bientôt dire d’eux-mêmes à toute l’assemblée... Elle ferma les yeux un instant, comme pour retrouver un peu de calme...
Lorsqu’elle les rouvrit quelques secondes plus tard, autour d'elle les choses avaient changées : Brigitte, qui ne l’avait pas quitté des yeux depuis qu’elle avait été attachée sur la table et, sentant sans doute son trouble monter, était venue se placer à la gauche d’Agnès. Elle avait mis son pied gauche sur la table, juste à côté de la hanche gauche d’Agnès. Le pied droit restant à terre, elle offrait ainsi à la vue d’Agnès son entrejambes très écarté, avec une jolie toison assez fournie, rousse et fauve, faite de poils très fins et soyeux, qui se limitait au pubis, le reste était rasé, à partir de la naissance de la fente... Ainsi, la petite paysanne se rasait la chatte ? Tiens-donc ! Voilà qui est plutôt bizarre pour une femme même jeune, de la campagne ! Elle avait une jolie fente rose et allongée, avec de grandes lèvres peu marquées, mais avec des petites lèvres, fines, longues et bien découpées, assez pendantes même. Agnès voyait entre les jolies fesses bien dessinées et aux courbes quasi parfaites de Brigitte, le menton et la langue de Johann. Le jeune blond l’avait suivi et se tenait derrière elle, à ses fesses ; il lui léchait avec douceur le trou du cul, envoyant de temps à autre sa langue par devant jusqu’au trou du con de la rousse. De la main droite Brigitte branlait juste à côté du sein gauche d’Agnès, la jolie verge de taille moyenne mais aux formes parfaites d’Adrien, le jeune étudiant brun. Celui-là même dont Agnès croyait qu’il était le ''Maître en bites'' de la soirée. En contrepartie du branlage, Adrien donnait à Brigitte sa langue à sucer et lui baisait la bouche avec fougue... La perverse et jolie garce mouillait. Agnès le voyait à la légère mousse qui ourlait les lèvres de son joli con... Agnès fut saisie du désir d’être ainsi langottée elle aussi dans la bouche....
Tournant la tête, elle vit à sa droite la bite dantesque du Françou, dressée comme jamais juste à côté d’elle, cette fois branlée par Elise qui suçait tout à l’heure le jeune Hubert de droite... La petite brune aussi semblait fascinée par le membre qu’elle astiquait... Elle y mettait les deux mains, et pour le branler correctement de haut en bas, le mouvement du poignet n’aurait pas suffit, il fallait y mettre tout le jeu des avant-bras... Elise y mettait du cœur, les deux mains enserrant le même niveau la bite énorme dont une main seule ne pouvait pu faire le tour, loin s’en faut... Elle se tenait à genoux sur la table au niveau de la tête d’Agnès, sur le côté gauche du Françou, qui debout le long de la table, continuait d’écarter de sa main droite la fente d’Agnès pour faciliter le léchage du rouquin… De temps en temps, la petite branleuse se penchait au-dessus de la poitrine d’Agnès pour venir sucer la pointe du vit énorme du Françou. Ses cheveux bruns lui effleuraient alors la pointe du téton de la belle infirmière et cette caresse involontaire de jeune fille la faisait chavirer. Agnès voyait bien la bouche de la fille qui se posait en ventouse sur le sommet du gland difforme. Même le gland seul, Elise avait du mal à le mettre entièrement dans sa bouche, ne pouvant en faire le tour de ses lèvres. Elle aspirait et suçait pourtant avec force. Souvent aussi elle faisait clapoter avec rapidité le bout sa langue pointue et rose sur le trou en papille du vit monstrueux, le titillant et le lubrifiant de salive. Il semblait à Agnès que sous l’effet de ses sussions, léchages et branlages, le membre avait encore grossi. Il faut dire que les mouvements amples des mains de la jeune femme sur ce pieu dressé, le décalottait à chaque fois et faisait saillir hors du prépuce, un gland énorme tel un nain hideux sortant d’une boîte à malices... En tout cas, le membre occupait tout l’espace et toutes les pensées de la belle Agnès...
Le con mis en feu par son lécheur, Agnès ne pouvait plus contenir ses spasmes qui se faisaient de plus en plus vifs et rapprochés... Elle sentait que son ventre commençait à palpiter sous l’effet de ses sens chavirés par cette bite sans pareil, et aussi par les caresses faites à son entrejambe par la langue d’Armand... La petite Elise à côté d’elle devait mouiller car le Françou de sa main gauche resté libre, lui passait par derrière les fesses, ses gros doigts dans la fente ; elle accompagnait la caresse d’un mouvement tournant de ses hanches...
Au-delà du Françou et de la jeune brune, complètement à sa droite, Hélène, la grande blonde toujours les fesses ouvertes sur son tonneau et les jambes relevées, se faisait baiser par la bite très raide d’Hubert, le troisième garçon... De la base de son petit con de blonde, juste en dessous du dard qui l’enfilait, la mouille bulleuse et onctueuse sortait et humectait par-dessous son petit œillet brun qui ne devait jamais avoir été dépucelé. Sans qu’elle sache pourquoi, cette vision excita fortement Agnès qui souhaita avec émotion, voir une langue lécher cette mouille et se darder dans le petit cul étroit... Hélène ainsi baisée à fond par la jeune bite bien raide, geignait doucement et devait en éprouver beaucoup de plaisir...
A la gauche d’Agnès, de l’autre côté de la table, derrière sa femme, le Jacquot qui ne voulait rien perdre de ce qui se faisait sur et autour d’Agnès, s’était rapproché à côté de la Bernadette qui suçait toujours le rouquin. Il s’était à demi assis sur le bord de la table, entre ses cuisses, la tête enfouie dans ses jambes, la portugaise lui caressait les couilles et le branlait mollement, indifférente à tout ce qui l’entourait... Son homme avait glissé par terre et bien qu’Agnès ne pu le voir, elle devinait qu’il était couché sur le dos, la tête entre les fesses de la Bernadette à qui il léchait la fente et le cul... A quelques signes, Agnès pouvait voir que pour la Brigitte, le plaisir montait... Au-dessus d’elle, Elise branlait et suçait toujours le vit dément du Françou... Les sens allumés d’Agnès, chaviraient davantage de seconde en seconde… Sans le vouloir, mais au fond d’elle même, elle aurait souhaité être à la place de la fille et sa tête s’échauffait maintenant de toutes ces choses qui l’entouraient.
Pendant qu’elle branlait le Françou avec force, Elise remarqua le trouble d'Agnès dont la bouche entr'ouverte et la respiration plus courte donnaient des signes d’excitation. La petite brune, tout en continuant d’astiquer à deux mains la bite du Françou, se pencha sur la bouche d’Agnès et la langotta... Agnès chavira, la tête lui tournait... Déjà Elise lui abaissait l'engin du Françou sur la pointe de son sein droit et continuait de le branler, le gland frottant la pointe du sein. Agnès haletait, hallucinée par la vision de cette pine énorme, dessous laquelle son sein entier disparaissait, elle regardait le monstre, aller et venir sur son téton, la papille du nœud dilatée et ouverte. Où perlait une goutte de liquide transparent ... Il la lui fallait maintenant dans le con, dans le cul !... Pourtant elle se contint encore... Mais c’était sans compter avec la fourbe Brigitte. Celle-ci venait de remarquer l’effet produit sur Agnès, de voir ainsi la bite branlée sur son sein. Comme elle-même devait se sentir très échauffée, elle fit signe à Elise :
- '' Dans la bouche, Elise, branle-lui la bite dans la bouche, à cette salope ! Ne vois-tu pas qu'elle ne demande que ça ?!". Disant cela, elle-même déplaça un peu le jeune Adrien qu’elle branlait, vers le sein gauche d’Agnès et lui mit le bout de la bite sur la pointe du sein, continuant de l’astiquer dans cette position. Même si ce jeune membre était sans commune mesure avec l’engin du Françou, en calibre (trois fois moins exactement !) et même en frottement, la caresse contribua à faire monter Agnès d’un cran...
Elise avait tiré le Françou davantage vers Agnès et lui amenait la bite sur la bouche... Les couilles, énormes elles aussi, grosses chacune comme le poing d’Agnès, traînaient littéralement sur la table et frottaient doucement la pointe de l’épaule de l’infirmière. Celle-ci d’abord, refusa d’ouvrir la bouche, résistant là encore. Dans sa tête, elle se disait par contre que ce qu’elle avait espéré depuis le moment où elle avait vu l’engin se réalisait enfin : elle l’avait à disposition pour le sucer et peut-être s’en faire baiser. Cela suffisait : pouvoir mettre dans son mental que la réalisation du désir, permettait de surseoir au réel passage à l’acte. Elle n’ouvrait donc pas la bouche, mais sa cérébralité la mettait de la même façon au bord de la jouissance...
A ce niveau, l'effet produit était relativement équivalent, surtout que le braquemart tant convoitée était là, offert, accessible... La petite Elise lui frotta les lèvres avec. Agnès n’avait jamais vu un membre aussi gros en réalité. Quand Elise lui passait sur la bouche, le gland mis en travers, lui touchait à la fois le bout du nez et la pointe du menton... Agnès sentait que l’homme avait une odeur forte, pas franchement une odeur d’urine, mais une odeur de vieux mâle, qui l’incommodait un peu... Elise essaya encore de lui enfoncer le pieu dans la bouche... En vain.
Le Françou prit alors la direction des opérations : d’une main il saisit son énorme verge et se mit à taper son gland sur les lèvres serrées de la jolie bourgeoise... Agnès ne desserrait pas les lèvres... Il tapait encore en incrustant le gland dans le sillon labial... Rien à faire... Pourtant, à un moment, malgré elle, elle laissa filtrer un espace minime. Ce fut sa défaillance... Elle eut beau se débattre tourner la tête, refermer la bouche et serrer les lèvres, le gland était allé au contact de sa langue, la hampe avait touché ses dents : elle ne pouvait plus désormais qu’enfourner le braquemart comme une salope quelle était. C’en était finie de sa belle résistance, elle ne pouvait plus tenir, le ventre en feu, la tête et les sens échauffés comme jamais... Tant pis, elle allait être une salope, sans doute LA salope de la soirée, mais c’était maintenant au-dessus de ses forces, il fallait qu’elle essaie cette bite monstrueuse...
Brusquement, alors qu’elle ne s’y attendait plus elle-même, elle ouvrit grand la bouche et aspira le gland, enserrant les bords de ses lèvres minces. La protubérance qui déformait le gland lui déforma sa joue gauche... Elle se mit à pomper. Elise tout à côté n’en revenait pas :
- '' Aouha ! Dis-donc, ma cochonne, t’as vu comment elle a enfourné ça ?? !! Aouhaaa !! Alors elle, elle sait pomper une bite ! Et avec ce calibre ! Mais comment fait-elle ?? " Agnès toute à sa succion n’entendait plus, concentrée sur le montre qu’elle avait enfin en bouche... Elle était secrètement fière d’être admirée pour son coup de langue, mais n’en laissant rien paraître... Elle sentait les spasmes monter en elle...
-'' J’le savais !..., dit la Bernadette, qui attendait depuis le début cet instant fatal, ce virage où une vraie salope ne peut être autre chose qu’une salope véritable, on m’avait dit que la garce ne demandait que ça, même si elle veut donner l’impression de refuser ! Putain, mais elle va m’avaler mon Françou !? Il en a pourtant un morceau. Tu n'peux pas dire la bourgeoise que t'en vois souvent des qui sont montés comme ça ? Hein ?... ! Y a des jours j’peux même pas mettre tout le bout de sa bite dans ma bouche ! C’est vous dire !!... Eh, mon Françou fait attention que la petite salope de bourgeoise t'en enlève pas un morceau !''. La plaisanterie primaire et vulgaire de la Bernadette, déclencha les rires des uns et des autres.
- '' Où c’est-y que tu as appris à sucer comme ça salope !, dit doucement et perfidement la Brigitte. Tu ne vas pas m’dire que tu en es à ton coup d’essai, hein ! J’dirais même que tu dois avoir une certaine habitude pour les aspirer comme ça, sans les mains !... C’est-y dans ton boulot d’infirmière que tu t’entraînes à faire la putain ?! Y qu’a regarder ta bouche pour comprendre !... Salope !"
L’injure n’atteignait même plus Agnès qui toute à son pompage, se laissait aller au plaisir infini de découvrir une nouvelle et une très grosse bite, très atypique. De la prendre en bouche, de l’essayer, quoi ! Oui, c’était ça, l’attrait du nouveau, mais dans le sens de ce qu’elle recherche : les gros calibres à explorer ! La découverte de ces engins étant de beaucoup le moteur essentiel de la jolie Agnès pour se laisser mêler à ce genre de soirées... Elle léchait la bite jusqu’au milieu de la hampe, jusqu’où le peu de mouvements qu’elle pouvait faire lui en laissait la possibilité. Le Françou, lui, appuyait de sa main sur le membre et le faisait pénétrer le plus loin possible jusque dans la gorge d’Agnès ; puis il le ressortait presque, allant jusqu’à sortir le gland des lèvres... Là, Agnès titillait de l’extrême bout de sa langue experte la papille au bout, elle-même démesurée… Elise caressait fortement les couilles du Françou de ses deux mains. Elle regardait Agnès enfourner, sucer et pomper, puis lécher la tige, subjuguée par tant de ferveur et de savoir-faire, découvrant sans doute, compte tenu de son jeune âge ce que pouvait être ''l’art de la pipe''.
Agnès, les yeux fermés, voyait dans sa tête l’image du gland énorme et boursoufflé qui lui occupait tout l’espace de la bouche... Elle se voyait en train de pomper la bite et de l'aspirer comme une damnée. L’effet de succion creusait ses joues. Elle aspirait, tantôt plaquant sa langue sur la papille ovale du trou à pisser, tantôt libérant brutalement celui-ci de son aspiration... A ce petit jeu, peu d’hommes lui résistent longtemps...
- '' Ah la garce, je peux vous dire les amis qu’elle sait faire une pipe, lança le Françou excité et le souffle court. Elle a vraiment une technique de pipeuse, la garce ! Aaahhhh, salope !... J’ai jamais été sucé comme ça !! Même par toi la Bernadette !! '' Rires. La Bernadette répliqua avec un soupçon de rancœur :
- '' Oui, mais moi je n’ai pas fait que ça toute ma vie ! Et puis j'ai pas connu autant de queues que la bourgeoise, moi !"
- ''C’est vrai qu’elle a une gueule de pipeuse !! C’est impressionnant de la voir de près pomper comme ça !" dit Elise.
- '' Tu l’as dit, petite !..., renchérit le Françou. Elle n’en a pas seulement la gueule, elle en a aussi la manière tu peux me croire !! Prends-en bien de la graine, ma petite ! J’en ai connu qui après 15 ans de bordels à nègres n’avait pas sa technique pour pomper les nœuds !! Ah, elle sait faire la garce ! Croyez-moi !!"
Sa réputation était faite ! Mais au fond d’elle même Agnès prenait une revanche par rapport à la scène de tout à l’heure concernant ses seins. Là, elle faisait des envieuses parmi les femmes et suscitait l’admiration des hommes. Elle en retira une certaine fierté et redoubla d’ardeur... Le vit démesuré du Françou allait et venait dans sa bouche... Elle faisait glisser sa langue le long du frein du prépuce, puis, de la pointe de sa langue, tournant le long du sillon de la base, elle décolletait le gland. Grisée, dans un état second, comme suspendue, elle sentait le plaisir venir en elle comme une marée montante...
La jeune bite que la Brigitte branlait à la pointe de son sein gauche se durcissait de plus en plus... Le mouvement de la main de la branleuse rousse se faisait plus saccadé... Le Jacquot avait passé sa main sous la jambe gauche relevée de sa femme et lui branlait la moule de sa main gauche, juste au-dessus de la langue du blondinet... Elise, une main sur le sein droit d’Agnès, l’autre palpant les couilles du Françou, léchait par-dessus, la hampe de la bite qu’il faisait aller et venir dans la bouche d’Agnès. Celle-ci sentait la vague monter en elle, la pointe de ses seins se durcir. Elle sentait son clito frémir et se raidir aussi sous les coups de langue du rouquin. Une vague de chaleur lui envahit le ventre...
Puis tout se précipita. La bite d’Adrien sur son sein droit se mit à décharger sur toute sa poitrine... Elise léchait le foutre chaud sur les seins d’Agnès... Brigitte, avec de petits cris, jouissait dans la bouche de son lécheur blond... Agnès sentait le gland du Françou frémir sous ses coups de langue. Il lui explosa dans la bouche en longues giclées chaudes et abondantes qu’elle avalait, tant il restait peu de place dans sa bouche... Le Françou jouissait avec de gros râles d’homme. A la troisième giclée, il avait retiré sa bite énorme de la bouche d’Agnès et finissait de décharger en lui giclant sur le visage de longs jets laiteux, onctueux, abondants et chauds ... Elle en avait partout sur les joues, la bouche, le visage, le cou, les seins... A croire que le vieux n’avait pas craché de foutre depuis des mois... Et il continuait, arrosant alentours. Deux jets avaient traversés la largeur de la table et été allés jusqu’à la Brigitte... Elise léchait le foutre épais et plutôt jaunâtre du Françou jusque sur les lèvres d’Agnès... Celle-ci n’en pouvait plus, le gland du Françou, continuait de frotter le bord de ses lèvres. Elle sentit la vague lui déferler dans le ventre et rouler jusqu’à sa fente... Elle eût deux violents soubresauts son corps se tendit et se cambra, soulevé sur ses attaches… Elle déchargea abondamment et violemment sur le visage de son lécheur... Elle poussait des cris rauques et brefs, qu’elle essayait de contenir... Le rouquin abasourdi, le visage inondé se releva en jurant...
- '' Eh !... Mais regardez-moi cette salope, regardez un peu ! Elle jouit en me mouillant toute la gueule ... ! Ah, la putain !...". Agnès continuait à jouir, comme dans la délivrance d’une chose qui lui faisait mal car trop longtemps contenue... Sa cyprine coulait en nappes régulières de son con béant… Elle savait que ses trous s’étaient détendus sous l’effet de sa jouissance… Depuis longtemps déjà, la moule s’était ouverte, mais le rouquin sans doute peu expérimenté, ne l’avait pas remarqué... Du moins pas encore, car en se reculant il ne fut pas sans voir la taille du con d’où s’échappait le miel chaud et abondant d’Agnès...
.- ''Ah, ben dis-don', tu parles d’un trou, toi !... Eh !... Voyez ça, sa fente est devenue large et béante à y mettre le poing ! Oh la salope, on dirait qu’on l’a baisée pendant deux heures !... Ca alors !!"
Bernadette s’était vivement approchée et examinait l’entrejambes chaud et mouillé d’Agnès. Sucé pendant une demie heure, le clitoris était dressé et sorti du capuchon sous l’effet de la jouissance, mais en dessous il y avait un trou immense et la rosette très relâchée elle aussi, était distendue comme si on venait de la mettre... La Bernadette en '' vieille habituée '' ne s’y trompa pas :
- ''Ah, ben vrai, alors... Quel trou ! J’ai encore jamais vu ça !... T’as pas dû chômer de la moule, toi !... Tu te fais régulièrement saillir par des baudets, ma parole ! J’ai jamais vu un trou comme ça !! Eh, t’es pas seulement une pipeuse de première, t’es aussi une sacrée enfileuse de perles, hein ! A trente ans et des poussières avoir un con aussi alésé et taraudé qu’une vieille pute de soixante dix, ben ça alors, hein, pas vrai !... T’as dû faire tes classes dans un bordel à nègres, c’est pas Dieu possible !...". Comme si cela ne suffisait pas la Bernadette écartait sans ménagement les bords du trou à bites d’Agnès, tirant sur les lèvres très retroussées par la jouissance et continua :
- '' Je suis sûre de ne pas me tromper en disant qu’une fente comme la tienne doit engloutir sans problème dans le même trou deux belles bites des meilleurs calibres... ! Hein ?! C’est égal, mais mon Françou devrait quand même t’en boucher un coin !... Et le trou de derrière me parait aussi avoir pas mal servi... Et pas avec des porteplumes, si j’en crois la taille de la rosette ''. Elle écarta alors les fesses et tira sur le trou du cul, qui relâché lui aussi, s’ouvrit très facilement...
- '' Eh oui, celui-là aussi, reprit-elle, Tu vas voir ma jolie, tu vas voir que nous aussi, on sait s’occuper des petites bourgeoises avec des trous très accueillants... Et tu verras que chez nous aussi, on sait recevoir ma jolie...! Attends voir !... ''
Agnès avait compris qu’il y avait là plus que des menaces...
La Brigitte s’essuyant l’entrejambes avec son petit slip, reprit les choses en mains :
- '' Il ne sert à rien de dire, fit-elle en s’adressant à La Bernadette, il faut lui montrer comment on traite les jolies bourgeoises de la ville ! Allez, détachez-la !
- '' Oui mais avant, il faudrait qu’on boive encore un coup dit le patron ! Ca donne soif ces choses-là ! Et y a beau temps qu’on n’en a pas descendu une… ! Pas vrai, l’Armand ?!
- '' Pour sûr patron, ça fait ben longtemps !...'', dit le grand dadais, debout au bout de la table avec sa bite ridiculement dressée devant lui. Il fit signe au blondinet et Hubert et lui partirent au fond de la cave chercher des bouteilles.
Le Françou et le jeune Adrien avaient détaché Agnès. Les poignets et les chevilles lui faisaient mal. Elle n’osait descendre de la table, ne sachant plus où prendre ses affaires, ni trouver un abri quelconque. Elle se retrouvait assise sur une table, nue, les fesses dans la vinasse et les restes de foutre, les seins pendants, offrant sa nudité aux regards de ces gens plus ou moins ivres et qui la méprisaient, l’humiliaient par leurs sarcasmes, se moquaient de son corps et de sa sexualité, c’était au-dessus de ses forces… Elle avait une telle honte d’elle-même qu’elle aurait voulu ne plus exister… Etre à dix mètres sous terre… Se soustraire à cette situation tellement surréaliste ! Elle aurait voulu s’enfuir, courir, se réfugier chez la Toinette et se mettre sous sa protection... Mais il lui semblait que ces jambes ne la porteraient pas jusqu’à la maison… Et puis les autres la laisseraient-elle s’échapper ? Elle en doutait… Et puis la Toinette pourquoi, elle aussi, ne revenait-elle pas la chercher pour soigner le vieux… Cela faisait déjà plus d’une heure… Elle n’allait plus tarder c’est sûr… Surtout que dans moins d’une heure, il faudrait de nouveaux soins au vieux… Et si l’attaque du vieux, c’était de la frime ? Une mise en scène destinée à l’attirer dans un guet-apens ? Non, il y avait la prescription du médecin... Mais quand même tout cela semblait bizarre…
Et puis cette grande Bernadette, d’où savait-elle ce qu’elle racontait de sa vie et de ses aventures ? Ce n’était pas clair, mais n’empêche, elle paraissait bien informée…

La suite au prochain épisode… le n° 4 / 6

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