Histoires De La Bienheureuse Agnès H1- 5

1ère Histoire - Soir d’octobre en Beaujolais – 5 -

Episode 5 / 6 : Où le lecteur voit que le guet-apens vire à l’orgie…

Remarque préliminaire : Pour la compréhension de l’histoire, il est très utile d’avoir lu les 4 épisodes précédents.

… On servit à boire. Agnès tenta de refuser tant la tête lui faisait mal de tout ce qu’elle avait déjà bu et de tout ce qui s’était passé dans cette soirée, mais en vain. Le Jacquot, ivre, se tenant à elle et lui intimait l’ordre de boire tout son verre d’un vin blanc liquoreux et très fort. Il avait de plus en plus de mal à parler distinctement et Agnès ne comprenait pas tout ce qu’il disait :
- " Maintenant, petite garce tu vas avoir tous les hommes à ta disposition !... Je veux dire que tu choisis celui qui va te baiser en premier. Un verre…, un homme… Et ainsi de suite… ! T’as compris. Voilà un verre… Tu bois et tu es prise… Et vous les gars, vous la prenez par où vous voulez… Devant…, derrière… Comme vous voulez… ! ". Agnès avait du mal à suivre ce qu’il cherchait à faire. Aussi, elle ne répondit rien.
La Brigitte qui revenait vers la table accompagnée de Johann expliqua à Agnès juste ce qu’il fallait :
- " En fait, on te demande de choisir un homme dans l’assistance pour commencer, puis un autre, de prendre avec lui du bon temps et de boire un verre entre chaque coup qui sera tiré. Tu vois ce n’est pas compliqué et si tu ne veux pas, c’est moi qui vais m’occuper de toi, salope !… Alors, choisit !". Agnès était interloquée par le ton sans appel de la jeune patronne. Tout allait trop vite pour le niveau de sa compréhension du moment. Elle osa demander :
- " Mais que me voulez-vous au juste ?... Que vous ai-je fait pour que vous me traitiez comme ça ? "
- " Tais-toi, putain !, lui asséna la Brigitte… Tu le sauras bien assez tôt et alors pour toi, ce sera le commencement de la fin ! Garce ! "
- Oui, vas-y, ma Brigitte, renchérit la Bernadette, ne t’en laisse pas conter par cette sale bourgeoise qui aime plus les bites et les types que le travail.

Petite salope !... Même si tu es encore jeune t’en as vu tellement que si on les mettait bout à bout, cela te ferait un beau train au cul !... En plus, t’as vu ton trou, distendu qu’il est !... Et tes nichons : des horreurs. Ils sont juste bons pour que les hommes y passent leur bite, hein mon Françou ! "
- " Oh, oui, c’est tout ! " renforça bêtement le Françou.
- " Aller, assez discuté… coupa la Brigitte, qui choisis-tu ? ".
Agnès ne voulait pas répondre. Elle savait parfaitement que si elle coupait dans ce jeu, elle était cuite, il en était fini de la parcelle de liberté qui lui restait et qu’elle ne pourrait remonter la pente. Elle se renfrogna en refusant de répondre. Après un court silence la Brigitte reprit :
- " Bon, comme tu voudras ! Tu peux faire ta mijaurée, tu n’auras pas raison !... Alors je choisis pour toi. Verse-lui d’abord un grand verre de vin, Françou… Et qu’elle le boive, elle va en avoir besoin ! ".
Agnès tenta de résister un moment et ne desserra pas les dents. Mais le Françou qui en avait vu plus d’une, fit mine de l’embrasser sur la bouche. Agnès voulut esquiver le baiser, et tournant la tête fit un "Ahhh" de dégoût. Le vieux profita de la diversion pour lui verser le verre dans la bouche. Bien qu’elle essayât d’en rejeter la moitié, elle en avala une bonne partie. Le vin lui dégoulinait sur les seins et surtout dans le sillon entre les seins et venait lui coller les poils du pubis. Le Françou léchait les trainées de vin sur son buste, son ventre et jusque dans ses poils… Agnès eut de nouveau un haut-le-cœur, mais ne parvint pas à vomir les grandes goulées de vin qui lui brûlaient l’œsophage.
Sans ménagement la Brigitte qui était venue à sa hauteur, la couchait sur la table où elle se retrouvait de nouveau allongée sur le dos. Elle fit signe à Bernadette de la tenir de l’autre côté et à Françou de venir sur elle :
- " Allez mon Françou, monte-là bien et mets lui ton beau calibre dans la fente ! ".
Le vieux ne se fit pas prier :
- " Oui, oui… Patronne !... Tu peux compter sur moi !... dit-il en enjambant la petite infirmière. Je vais la baiser bien à fond !". Le Françou entreprit donc de la chevaucher. La belle Agnès ne desserrait pas les jambes, bien qu’au fond d’elle-même elle eut très envie de connaître enfin cet engin monstrueux en elle, ce membre si différent qui l’obsédait… Brigitte était repassée au bout la table, aux pieds d’Agnès :
- " Hubert, Adrien, écartez-lui bien les jambes ! ". Les deux garçons empoignant les chevilles de la belle bourgeoise et y pesant de tout leur poids lui écartèrent les jambes, non sans difficultés. Agnès résistait de tout son corps. Elle savait que si elle laissait le vit monstrueux du Françou effleurer sa chatte, celle-ci l’avalerait sans qu’elle puisse faire quoi que ce soit et elle serait vaincue… Mais les garçons arrivèrent à lui faire écarter les cuisses. Brigitte s’était mise entre les jambes écartées d’Agnès et guidait déjà la queue énorme vers la fente de la jeune femme. Le Françou, déjà petit et tant sa bite était longue n’était étendu que sur les cuisses et le ventre d’Agnès, pour pouvoir entrer en elle. Sa face édentée était tout juste au niveau de ses seins. Cette position de l’homme sur elle, lui provoqua une forte répulsion. Quand d’habitude elle était prise ainsi à la missionnaire, c’était toujours par des hommes plus grands qu’elle, qui pouvaient lui rouler de patins pendant qu’ils s’introduisaient dans sa chatte… Là, c’était manifestement un nabot qui la sautait. L’expression était tout à fait juste. Il n’empêche, lorsqu’elle évoquait le membre Quasimodo de son cavalier, elle se sentait défaillir à la seule idée de l’avoir enfin dans son trou de femme.
La Brigitte, qui avait saisit le vit du Françou à pleine main, en agitait la tige pour que l’énorme bout se fasse un chemin entre les lèvres du con d’Agnès. Rapidement le gland démesuré, vint frapper à la porte de la chatte. Agnès ne put réprimer un frémissement que la Bernadette, juste à côté d’elle ne manquât pas de remarquer :
- " Vas-y mon Françou, tu y es… Pousse doucement et tu vas enfin la baiser !.
.. Vas droit à son con… Tu l’as vu, le trou est assez grand pour te recevoir en entier ! Elle a un immense trou de salope déjà bien taraudé !... Elle a du en prendre des bites, et pas que des petites, tu peux me croire !... "
La main de la rouquine avait dépassé le bout de l’engin du Françou et de ses doigts, elle écartait les lèvres de la fente et les bords du trou pour faciliter le passage de la tête du nœud :
- " Tu parles que ça lui fait de l’effet, dit la Brigitte, le bout de la bite l’a à peine touchée, qu’elle mouille déjà, la grue… C’est la preuve qu’elle aime les bites et qu’elle ne peut s’en passer…! Vous allez voir : dès qu’il va enter, elle va décharger … !" Agnès voyait bien qu’elle ne pouvait dompter sa mouille qui avait commencé à couler dès qu’effectivement la bite du Françou lui avait touché la moule. Oui, oui qu’il lui mette enfin dans le trou et qu’on en finisse qu’elle le sente le pénétrer comme elle le souhaitait depuis une heure !... Mais la Brigitte toute en perversité prenait un malin plaisir à retarder l’entrée du braquemart dans la grotte. Elle faisait aller et venir le bout de l’énorme gland juste sur les piliers de la porte, sans l’introduire vraiment. Agnès sentait que son clito était rebroussé vers le haut par le diamètre excessif du gland, en même temps le bas de son trou à baiser était complètement frotté par le frein du pénis du Françou.
Afin de précipiter les choses, elle donna un coup de rein de sorte que le bout du gland entra jusqu’à la moitié de son con, distendant les lèvres et forçant le trou pourtant très dimensionné de la belle infirmière. La Brigitte s’en aperçut et fit remarquer pour tout l’entourage :
- " La garce en veut tellement, qu’elle se baise elle-même sur la grosse queue du Françou !... Hein, putain, tu la veux dans le trou et bien va, tu l’as maintenant ! ". Disant cela, elle enfonce de la main le vit du Françou plus profondément. Agnès pense qu’elle est déchirée tant la poussée est brutale et la grosseur du vit importante.
En fait il n’en est rien. Ses lèvres sexuelles épousent les formes biscornues du braquemart qui pénètre lentement mais sûrement plus avant en elle… Elle défaille ; ses sens chavirent. Le monstre est dans la place et pousse encore, gagne du terrain et en arrive à toucher le fond de la matrice alors qu’il n’est pas à moitié entré… Elle se sent devenir une salope pour qui seule compte, la bite qui l’habite…
Sous l’impulsion des coups de poignets de la Brigitte, le vit énorme du Françou commence un lent va-et-vient. Il percute à chaque passage le point G., bouscule les lèvres du vagin, la hampe frotte sur le clitoris qu’elle sent prêt à exploser… La configuration en coudes successifs de la tige du vit, lui procure des sensations inouïes, qu’elle n’avait jamais éprouvées jusque là… Cette bite immonde et tourmentée est capable de lui branler le point G, en même temps qu’elle boute au fond de sa matrice et qu’elle frotte le clitoris… Un divin régal, jamais égalé… Elle sent qu’elle va éclater en mille morceaux et qu’elle ne va pouvoir contenir un véritable déluge de jouissance…
- " Ooooooh, oui, vas-y mon bon ami… Fais danser ta bite au fond de moi… Oui, comme ça… Oooohhhh, tu es merveilleux !... Merveilleux, j’ai jamais connu ça… Baise-moi bien à fond ! Tu es super ! Oh oui, vas-y !… Vas-y encore !! Je suis une salope, une putain tout ce que vous voudrez, mais c’est bon !... C’est trop bon !... Ah salauds, je jouis, je jouis comme une folle !... Pousse ta bite encore ! Encoooorreee… Je jouiiiiiiiiiis… Je décharge encoooooore… Là !! Pour toi !!..."
Elle déferla sur la queue de son baiseur qui lui bouchait si complètement le con que la liqueur ne pouvait sortir. Sous la pression le vieux retirait sa bite, ce qui laissa la place à un déluge de cyprine chaude. La jolie putain déchargeait comme jamais, avec des soubresauts et contractions spectaculaires.
- " Ca y est dit la Brigitte dont la main et le bras était inondée de la liqueur d’Agnès, la garce vient encore d’en tirer une bordée… Mais comment peut-elle jouir comme ça à répétition ? "
- " C’est l’habitude ma belle, à croire qu’elle fait ça toutes ses saintes journées… !" ajouta perfidement La Bernadette qui lui palpait durement les seins… Après ça, tu ne diras pas la pimbêche, que t’es pas une putain et une grande, hein ?... Salope !! "
Agnès était trop à sa jouissance pour entendre les injures… Elle émergeait seulement de l’extrême plaisir où le vit énorme du Françou l’avait plongée, en se disant que malgré tout, il eût été dommage, qu’elle ne connût pas ce moment là…
Rapidement la Brigitte la fit rouler sur le côté de la table, puis elle fit étendre au milieu le Françou sur le dos, à même la cyprine qui faisait une immense flaque sur la table. Elle fit boire un nouveau un grand verre de vin à Agnès. Elle n’avait plus la force de résister à quoi que ce fut. Le ventre encore tremblant de son orgasme formidable, elle se laissait aller à ce qu’on la contraignait de faire… Elle sentait maintenant nettement l’ivresse de l’alcool la gagner, ivresse qui en plus de sa jouissance, lui tournait la tête. La Brigitte la fit monter à plat ventre sur le Françou, face à lui. Le vieil édenté n’avait pas déchargé une seconde fois et bandait toujours, au point qu’Agnès dans l’inconscience de son ivresse se demandait si elle écarterait assez les cuisses pour qu’il puisse entrer de nouveau en elle… C’est cela et seulement cela qui pour l’instant la préoccupait : pourrait-elle s’écarter assez pour qu’il puisse venir se remettre dans son trou distendu…
La grande Bernadette lui avait saisi les chevilles et lui ouvrait les cuisses au maximum. Agnès sentait que sa fente encore dégoulinante de sa jouissance précédente, baillait largement. Elle pensait dans la confusion de son esprit que la vieille allait en profiter pour faire encore des allusions désagréables à son intimité. Ce n’était pas sans raison :
- " Regardez-moi cette ouverture, railla la Bernadette, un trou de salope à y fourrer mon poing !... Même si le Françou l’a bien dilatée, il est quand même sûr que la garce a une entrée comme on en a rarement vue !... Pire qu’une bouche de métro !..." Bien qu’Agnès s’attendit à ce sarcasme, elle en fut, comme toujours lorsqu’on l’atteignait sur ce plan, très offensée. Mais elle n’eût pas le temps de s’en occuper bien longtemps, car la Brigitte avait saisit l’énorme vit du Françou encore dégoulinant de cyprine, dont elle lui menaçait l’entrée du con. L’engin était si gros que la main assez fine et délicate de Brigitte n’en faisait pas le tour, loin s’en faut. Elle appuyait le gland toujours aussi gonflé sur les lèvres de la vulve d’Agnès, pour les faire s’ouvrir sous la pression. Dès qu’il fut de nouveau entre les lèvres de sa vulve, Agnès sentit ses sens chavirer et elle se dit qu’elle allait encore jouir sans pouvoir se maîtriser. Ce sentiment de non maîtrise la rendait folle de honte, mais en même temps l’excitait à l’extrême : échapper ainsi à tout contrôle la rendait encore plus accessible au plaisir, ou plutôt décuplait celui-ci… Des mots, des qualificatifs les plus osés, comme : "salope", "putain", "gourgandine", "traînée", et même "truie", lui traversèrent l’esprit, mais elle les garda pour elle, ne les donnant pas à entendre à l’extérieur.
La Brigitte avec une grande application faisait pénétrer la bite noueuse dans la fente et le trou de la petite infirmière… Elle se mit à tout organiser autour d’elle :
- " Toi, dit-elle à Armand, appuie bien sur les fesses de la bourgeoise et écarte les lui bien à fond pour que le Françou entre bien comme il faut. Toi, Bernadette, branle bien mon homme et tiens-le prêt pour tout à l’heure, et toi mon petit Hubert, mets-toi à genoux devant la bourgeoise pour qu’elle suce ta belle bite, pendant qu’elle se baisera sur le vit du Françou ! ". Puis dans la foulée sans attendre les mises en place qu’elle préconisait, elle ajouta à l’adresse de la petite brune :
- " Elise, viens entre mes cuisses et suce-moi le clito et toi, Johann viens me baiser en levrette pendant toute l’opération. Il n’y a rien que j’aime autant que d’être prise au con et en même temps être léchée au clito !... Adrien, viens prendre Bernadette en levrette, elle aussi à envie de se faire baiser pendant qu’elle maintient la bandaison du Jacquot…".
Pendant que tout cela s’organise, Agnès sent le vit monstrueux pénétrer lentement en elle, écartant ses lèvres, dilatant son trou, distendant les parois basses de son vagin. L’image du braquemart énorme qui l’obsède depuis le début s’incruste dans son mental. Elle voit dans sa tête le vit avancer en elle autant qu’elle le sent… Son orifice urinaire juste à l’intérieur de ses lèvres est tellement comprimé par l’engin qu’elle a l’impression d’avoir envie de pisser. Le vit entre et se cale progressivement dans son antre. La bite a peu de place pour manœuvrer à l’intérieur du con tant elle est énorme et touche d’emblée toutes les parois en même temps. Elle est tellement coudée et de biais que chaque frottement à l’intérieur de son vagin, excite Agnès comme jamais. Le gland difforme, passe et repasse pile sur son point G, et dès qu’il s’enfonce au fond de la matrice, c’est un nœud énorme de la tige qui masse alors le point en question… Et au-dessus d’elle, Armand plus qu’à demi ivre lui aussi, lui appuie par à coups sur les fesses, faisant entrer encore plus profondément le membre démesuré du Françou. Agnès n’en pouvait plus, elle était encore sur le point de jouir, tant elle était baisée bien à fond. De plus Armand, qui de par sa position dominait les fesses d’Agnès lui a mis un doigt dans son joli cul. Pour elle, être baisée devant et avoir un doigt qui lui branle le cul, est un délice qu’elle recherche le plus souvent possible. Elle sentait que son plaisir montait en elle et se développait. La Bernadette donna de nouveau de la voix :
- " Ah, putain… ! Je savais bien que mon Françou, il t’en boucherait un coin de ton trou de salope !... Tu as beau en avoir un superbe, il est quand même bien bouché, hein !… Qu’en dis-tu ?... C’est encore mieux qu’une bite de nègre, hein ! " Puis s’adressant à Adrien qui la prenait en levrette, elle l’invita à la baiser bien à fond :
- " Oh oui, vas-y mon joli… Va bien au fond !... N’aies pas peur de pousser, j’aime que tu sois bien au fond de moi, pendant que je me branle le clito… ! "
Brigitte qui surveillait le bon déroulement des opérations, avait fait signe à son homme pour qu’il vienne se mettre sur la table, à genoux derrière Agnès entre les jambes du Françou :
- " Là, viens mon bon, dit-elle au Jacquot dont elle empoignait la bite bandée en même temps, viens, tu vas l’avoir ta récompense ! C’est la prise de la soirée et elle réservée au patron… ! " Et la salope appuya la bite de son homme sur le petit trou d’Agnès qui les genoux sur la table de chaque côté des jambes du Françou lui présentait bien involontairement l’intérieur de la raie de ses fesses ouverte par Armand…
Dans cette position, Agnès n’avait évidemment pas vu venir le coup, si ce n’est qu’Armand avait retiré le doigt de son cul. L’engin large et bien bandé du Jacquot effleura d’abord son œillet, puis sur une poussée de l’homme, le gland pénétra sans mal dans le cul déjà préparé par le doigt d’Armand. Mais la largeur du membre du Jacquot distendait quand même les bords de la rosette. Elle eut une douleur très vive quand la bite s’enfonça dans son cul. Mais très vite, les aller-et-retours de la queue, dissipèrent rapidement la douleur qui fit place à un plaisir indicible et tellement différent de l’autre, si complémentaire. Elle était prise en double et elle aimait ça. Ses soupirs et ses râles qu’elle essayait d’abord de contenir, ne trompaient personne… Armand, comme la Brigitte, ou encore évidemment le Françou, juste en dessous d’elle, et même les femmes autour, avaient bien compris que le plaisir montait tout droit en elle.
- " Salope, elle aime ça, hein, la cochonne !... Une bite dans le con, une autre dans le cul… Y a qu’à voir… ! Elle aime ça, j’vous dis !!...", lui envoya la Bernadette…
Mais Agnès, tout à son plaisir, l’entendait-elle ? Pas sûr… Elle accompagnait doucement les mouvements de l’homme derrière qui l’enculait et en même temps elle s’empalait davantage sur le vit du Françou qui la comblait si bien, dans tous les sens du terme. Le vieil édenté juste à la hauteur de sa poitrine, mettait les bouts de ses tétons dans sa bouche impure et les suçait. Les relents d’haleine fétide du vieux mâle montaient jusqu’à elle. Mais elle n’en avait cure maintenant… Elle n’avait jamais été baisée et enculée comme ça et donc elle profitait ! Elle sentait que les autres, autour, tous les autres, hommes et femmes, la regardaient avec étonnement, curiosité et réprobation, mais aussi avec une certaine admiration. Maintenant elle n’en fichait. Armand avait glissait une main entre le Françou et elle, et lui avait pris un sein ; il le pelotait tout en la raillant :
- " C’est égal disait-il, tout en la tripotant, avoir un cul d’enfer et des nichons qui valent pas tripette, c’est un monde, ça !… "
- " Oui, insistait Bernadette, dans un bordel, elle gagnerait beaucoup d’argent avec son cul, mais il faudrait qu’elle rembourse tout à cause de ses nichons de vieille salope ! ". Cette remarque déclencha les rires alentours. Johann tout en baisant la patronne, regardait avec admiration le trio sur la table devant lui, n’en revenait pas :
- " Alors ça, disait-il, c’est la première fois que je vois une femme se faire prendre en sandwich… C’est super ! "
- " Oui, lui répondait en écho Hubert, enconnée et enculée en même temps !... Je n’avais jamais vu ça ! On devrait appeler ça : se faire "encon-culer", non ? ! Et tout le monde de rire du bon mot.
Agnès était maintenant folle de son corps dans cette position qu’elle affectionnait et dont elle cherchait à jouir le plus souvent. En même temps qu’elle épousait les mouvements des deux hommes, elle se mit à penser aux différentes fois où elle s’était fait prendre en sandwich. Au sauna, une fois avec Pierre qui regardait… Une autre fois par un noir et un jeune homme, tous deux très fortement montés (Voir le récit : '' Premiers sandwiches '')… Cette fois aussi avec les jeunes hollandais sur la route à quelques kilomètres d’ici… Et d’autres encore… Mais cette fois ci, c’était autre chose : une bite énorme et difforme dans le trou à bites, une autre large dans le derrière et surtout dans cette ambiance hostile où elle savait qu’elle marquait des points auprès des femmes à cause de ses capacités et puis là ici, elle était saoule ou presque et ses sens enivrés décuplaient son plaisir et ses sensations… Elle sentait qu’elle arrivait au paroxysme de son plaisir et qu’elle ne pourrait plus se contenir avant d’éclater dans les bras de ses amants. Pour temporiser, elle leur demandait à ses fouteurs :
- " Doucement, allez doucement… Arrêtez-vous là, un peu… Comme ça… sentez-vous vos bites ensemble ?... Hein ?... Vous les sentez au fond de moi des deux côtés… Vous me faites du bien, mes salauds… Allez reprenez, maintenant…, doucement… Là, comme ça !..."
Et lorsqu’elle sentait que plus rien n’allait la retenir et qu’elle allait tout larguer, elle fit ce qu’elle n’aurait pu faire en temps normal : elle chercha de ses mains la tête du vieux et colla sa bouche sur celle avinée du Françou en dessous d’elle et lui roula un énorme patin. Sa langue heurta la seule dent encore présente sur le maxillaire du vieux et elle faillit avoir un haut-le-cœur, mais ne retint pas son baiser. Le nabot, d’abord surpris n’avait sans doute de longtemps été embrassé de la sorte et par une jeune et jolie femme qui sentait bon de surcroît, en eut les sangs qui lui tournèrent. Dans un soubresaut formidable il déchargea son foutre abondant et chaud dans le con d’Agnès qui partit elle aussi sur le champ… Elle eut l’antre intime inondé à la fois du foutre du Françou, mais aussi de sa cyprine qui ne pouvait sortir tant le trou du con était bouché par le vit énorme du vieil édenté. Elle en eut une douleur furtive, mais violente, due à la surpression des liqueurs dans son vagin. Elle ne pouvait sortir car son enculeur la bourrait et la maintenait en place sur son baiseur... Très vite cependant, devant la jouissance des deux autres, le Jacquot, ne tint pas plus de quelques aller-et-retours supplémentaires dans le cul de la belle et il partit lui aussi lâchant sa sauce si longtemps retenue dans le fondement d’Agnès, en engueulant :
- " Ah la salope !… Elle m’a eu… Elle m’a fait lâcher tout le foutre que j’avais… !! La garce !... Ca c’est une baiseuse vous pouvez me croire… ! "
- " C’est une pute, une pute !... C’est tout !...", lui retourna la Brigitte qui devait se sentir diminuée par la jouissance extrême d’Agnès… Elle continua :
- " Une pute, tu entends !... Pourquoi elle accepte de faire ça ce soir avec tous les hommes, hein, des hommes qu’elle ne connaît même pas !!... Dis-moi un peu…, tu crois que c’est pour tes beaux yeux, hein ?... Et en plus elle en jouit la garce, c’est pour elle, pour son cul et son plaisir qu’elle baise, la salope… ! " La Bernadette relaya la remarque :
- " Oui, oui, tu as raison la Brigitte !!... C’est une pute, capable de baiser avec n’importe qui ! Comme toutes les putes !! "... Puis elle ajouta :
- " Tu vois, pour la punir vraiment, c’est pas ça que nous aurions dû faire… Elle aime trop ça et sans doute, tout ça, c’est lui faire trop plaisir !!... ".
Agnès ne compris pas tout de suite l’allusion. Elle émergeait tout juste de sa folle jouissance et qui était encore dans l’état second que lui avaient provoqué les décharges de ses amants. Le fond du vagin crépi par le sperme épais, chaud et abondant du Françou et le cul rempli du foutre brûlant et liquide du Jacquot, elle flottait encore entre les hommes qui relâchaient progressivement leur étreinte. Les bites du Jacquot et celle légèrement débandée du Françou, sortirent presqu’ensemble des orifices distendus de la jolie bourgeoise. Ce retrait libéra simultanément le flot blanchâtre, mélange de la cyprine et de sperme du con béant de la Bienheureuse Agnès… De l’œillet lui aussi très ouvert, s’épanchait le liquide plus transparent du Jacquot qui bullait à la sortie du sphincter culier. La Bernadette se précipita entre les cuisses encore très ouvertes d’Agnès et de sa langue large et râpeuse, elle ramassa les sécrétions qui maintenant se mélangeaient sur la vulve ouverte d’Agnès. Elle semblait se délecter de cette liqueur aux goûts et aux effluves très métissés… La vieille garce n’en laissait rien perdre, elle dardait sa langue tantôt dans le trou du con de l’infirmière, tantôt dans la rosette très desserrée, pour en récolter les moindres gouttes. Tout juste si elle prit le temps de dire :
- " Putain que c’est bon… Ne jamais laisser rien perdre de ça…, c’est le meilleur !... Et moi ça m’excite… Continue et baise-moi bien à fond mon joli !", dit-elle encore en s’adressant à Adrien qui continuait de la prendre en levrette. Dans la position où elle s’était mise, le visage entre les fesses d’Agnès, elle-même encore couchée sur le Françou, la grande bonne femme avait l’énorme engin de son homme qui débandait à peine, entre ses seins volumineux.
Sous les caresses de la langue de la vieille cochonne, Agnès sentait qu’elle pourrait repartir à tout moment. Son petit trou du cul lui faisait mal d’avoir été dilaté et la langue de la Bernadette la calmait avec bonheur… Quand la langue touchait son trou de derrière, elle poussait sur son fondement afin de faire s’ouvrir davantage l’anus permettant ainsi à langue d’y entrer plus avant… Elle sentait le foutre chaud couler de son vagin et rouler sur l’intérieur de ses petites lèvres ; liquide tout de suite cueilli par le bout de la langue de la Bernadette. La langue s’insinuait au-delà des petites lèvres, jusqu’aux piliers d’amour qui bordaient l’entrée du trou, renflés et meurtris par le braquemart énorme et tordu du Françou. Cette langue qui les massait et les lustrait, lui faisait le plus grand bien et calmait cette douleur sourde que provoquaient les chairs distendues. Lorsque la langue s’aventura complètement dans le trou pour pomper bien à fond le reste de foutre, Agnès sentit qu’elle ne retiendrait pas plus longtemps une nouvelle bordée de cyprine. Celle-ci se mit à couler abondamment du méat du pipi trou sur la langue de Bernadette qui s’en délectait et aspirait alors encore plus fort les profondeurs du con grand ouvert…
Ce fut à ce moment que Brigitte lâcha aussi sa jouissance dans la bouche d’Elise. La petite brune se releva d’entre les jambes de la patronne, le visage tout barbouillé de la liqueur chaude et opalescente de la rousse. La Bernadette qui se sortait d’entre les jambes d’Agnès, apercevant la jolie figure d’Elise dégoulinant de cyprine, l’attira à elle et se mit à lui lécher le visage. Johann qui n’avait pas arrêté de prendre Brigitte en levrette, avec un formidable râle, lui déchargea son jeune foutre abondant dans le con.
Agnès se releva de sa position sur le Françou. Le baiser profond qu’elle lui avait donné au plus intense de sa jouissance, lui laissait un mauvais goût dans la bouche. Elle s’aperçut que ce goût épouvantable venait de l’haleine pestilentielle que le vieux paysan à cet instant lui soufflait dans les narines. Elle en eut presque de nouveau un haut-le-cœur. Elle finit par se dégager de sa position devenue inconfortable : à genoux sur la table entre les jambes du Françou, les seins pendants frottant la bite déformée, le nez sur la bouche immonde de l’homme, les fesses levées et donnant à voir toute son intimité souillée et distendue à ceux qui entouraient la table.
A cet instant elle prit conscience de ce qu’elle donnait à voir à l’aronde : depuis sa rosette jusqu’à son clitoris en dessous de sa fente très ouverte et dilatée. Elle eut brusquement une grande honte de cette position, ce qui l’amena à accepter du rouquin le grand verre de vin qu’il lui tendit dès qu’elle fut de nouveau assise sur la table. Agnès le but d’un trait une gorgée suivant l’autre. Le verre devait bien faire un bon quart de litre… Au moins se dit-elle quand je serai saoule, ils feront de moi ce qu’ils voudront, mais sans moi ! Ou plutôt sans mon consentement.
Le Jacquot, ivre de vin et les sens amollis par la jouissance qu’il n’avait pas ménagée, s’était écroulé dans l’allée entre le banc de la table et une rangée de tonneaux. Incapable de se relever seul de sa position, il grognait en rotant et en râlant contre les autres qui ne l’aidaient pas… Hélène qui était sortie un peu de sa torpeur d’éthylisme avait voulu l’aider à se remettre debout. Mais son instabilité avait fait qu’elle était tombée sur le Jacquot et se retrouvait alors couchée en travers du patron. Ainsi au lieu de l’aider, elle l’avait davantage encore cloué au sol, se vautrant sur lui. Elle lui avait saisi la bite qui ne bandait plus et le branlait en le suçant, comme si elle avait voulu le ragaillardir. Le Jacquot, avait ouvert les cuisses de la blonde et lui léchait l’entrejambes, autant que sa soûlographie lui permettait de le faire. Ils étaient donc maintenant à faire un 69, nus l’un et l’autre à même la terre battue du chai.
De l’autre côté dans l’autre allée, la Brigitte suçait le reste de sperme de son baiseur qui bandait encore pas mal. Accroupie à côté du banc, les cuisses écartées, elle se branlait d’une main la fente dégoulinante de sa liqueur, mélangée au sperme du jeune garçon. De minces filets blanchâtres descendaient de sa chatte ouverte jusqu’au sol que la terre battue de la cave absorbait plus ou moins bien. La jolie salope était échevelée et sa belle crinière rousse était collée par endroits par la vinasse et les sécrétions qui s’étaient croisées là toute la soirée.
La Bernadette s’était assise sur le bord de la table, juste à côté de son Françou qui restait allongé le dos sur la table, les talons dans le vide. Les deux pieds sur le banc, elle écartait largement les cuisses. Entre ses cuisses ouvertes, Hubert, le jeune blondinet avait pris place, les coudes sur le banc, admirant l’énorme fente de la grande femme. Sans soute n’en avait-il jamais vue d’aussi grande et surtout avec un clitoris aussi monstrueux… Le jeune homme, de quelques doigts fouillait l’intérieur du con de la Bernadette et de temps en temps, il pointait sa langue vers l’énorme clito, qu’il happait et faisait tressauter…
Elise était venue vers Armand dont elle branlait et suçait le membre. Le rouquin avait une bite bien proportionnée, plutôt longue et fine, mais d’une belle taille et avec un gland bien formé et bien dégagé qui se dressait bien raide.
Dès qu’elle eut bu le grand verre, Agnès sentit qu’elle était de plus en plus saoule. Elle eut très envie d’uriner. Ne sachant que faire, elle ne se décidait pas à y aller. Plutôt que de risquer d’être importunée en allant faire cela de son plein gré elle choisit de se faire accompagner. Ainsi, pensait-elle, elle serait plus en sécurité pour ne pas être ennuyée. Elle jeta son dévolu sur Adrien qui était juste à côté d’elle au bout de la table. Elle fit signe au petit brun de la suivre… Elle descendit de la table et d’une démarche chaotique et hésitante, s’appuyant sur le jeune homme, elle fit quelques mètres dans l’allée et tourna entre deux rangées de tonneaux. Le coin était un peu plus sombre où elle pensa qu’elle serait ainsi moins remarquée. Elle voulut s’accroupir au fond de l’allée face à la muraille, mais Adrien, tout gentil et respectueux qu’il était, la fit se retourner afin qu’elle lui fit face. Elle hésita un court instant, puis se décida et s’accroupit devant lui, jambes très écartées et la moule très ouverte. Pour Adrien, le seul fait de savoir qu’il allait voir et profiter du sexe de la femme qu’il avait désirée le plus dans cette soirée, lui faisait redresser la bite qui n’avait à aucun moment, cessée de bander… Agnès le remarqua et son trouble s’accentua encore. Mais au lieu de profiter de ce moment de flottement pour se soulager et donner sa miction le plus vite possible, elle attendait. Sans savoir trop quoi, mais elle ne se pressait pas pour se vider…
Le trouble qu’elle éprouvait à cet instant lui brassait de nouveau les sens et elle faillit perdre l’équilibre. Etait-ce dû à son ivresse ou à son trouble, elle ne saurait le dire. Ce délai de quelques secondes pour sa réflexion permit à Adrien de se mettre à genoux entre ceux d’Agnès. Le garçon brun avança sa tête entre les cuisses de la jeune femme, à quelques centimètres de sa fente. Agnès fut encore davantage troublée de sentir le souffle du garçon sur son pubis et sa fente ouverte. Le jeune homme avança la main vers son sexe, tout près des lèvres ouvertes :
- "Attends, s’il te plaît, je voudrais jouir de toi et bien te regarder pendant que tu urineras… J’ai tellement envie de ça depuis longtemps : de voir une jolie femme uriner, bien ouverte, face à moi. Et toi, tu es tellement superbe, classe et si désirable que je voudrais que tu me donnes à voir un si joli tableau !... ".
Agnès ne répondit pas, désarçonnée, certes, mais aussi profondément troublée par la demande du jeune et beau garçon. En tout cas elle ne protesta pas et ne referma pas les cuisses, ce que le petit brun prit pour une adhésion de sa part.
Doucement et respectueusement, de deux doigts il lui écarta les lèvres de la vulve juste en dessous du clitoris. Le contact des doigts sur son sexe la fit chavirer. Elle sentit qu’elle lâchait encore quelques gouttes de sa précieuse liqueur qui d’ordinaire allaient mouiller le string quand ces excitations lui arrivaient dans la journée. Là, le liquide perla au bord du trou dans l’espace des lèvres en grosses gouttes qui roulaient sur son périnée puis jusqu’à terre. Le garçon qui fixait la fente de la jolie bourgeoise d’un regard scrutateur, avait remarqué le petit épanchement et lui demanda :
- " Tu as commencé ?... Mais ne te retiens pas ma belle, laisse-toi aller et libère ton envie… ". Agnès ne savait quoi répondre. Elle savait bien, elle, que ce n’était pas l’urine qu’elle lâchait, mais une liqueur tellement plus subtile et personnelle. Elle se disait que si Adrien avait compris là, qu’à cet instant elle déchargeait, il lui aurait sans doute proposé autre chose…
- " Allez, vas-y… Pisse bien ma jolie, que je te voie, avec le plaisir que tu sais !...". dit Adrien qui en même temps appuyait sur le clito et la commissure des lèvres, les retroussant de façon à bien voir la papille urinaire de la jeune femme. Agnès sentait le souffle chaud du garçon sur sa vulve et contractant doucement son pubis elle commença à uriner, la tête chavirée par ce qu’elle donnait à voir au jeune garçon…
Les images d’une soirée à l’école de Médecine, lui revinrent en mémoire. C’était lors de sa troisième année, alors qu’elle faisait un stage dans un service d’un hôpital de Lyon. Les internes avaient organisé une fête à laquelle ils avaient conviés quelques jeunes infirmières stagiaires. Au cours de la soirée évidemment très arrosée, les jeunes médecins avaient organisé des jeux à gages, gages sexuels évidemment où les petites novices s’étaient trouvées piégées… Pour Agnès, elle avait dû monter sur une table et s’accroupir au-dessus d’un pot de chambre à l’ancienne et uriner dedans. Elle se souvenait vaguement qu’elle avait depuis longtemps perdu son petit slip et que deux garçons la tenaient sous les bras au-dessus du pot, pour l’empêcher de tomber… Elle revit un instant ses jambes écartées gainées de ses bas noirs, tandis que plusieurs visages entre ses jambes et au ras de la table la regardaient uriner. Mais cette vision était un peu floue, tant elle avait bu ; plus encore que ce soir si cela est possible, car elle fut par la suite incapable de souvenir de ce qu’elle avait fait ensuite à cette soirée (Voir le récit : '' Une soirée mémorable '').
Tandis que là, même si elle avait beaucoup bu et avait la tête très chaude, elle avait parfaitement conscience de ce qui se passait pour elle et Adrien : il lui écartait la fente et elle urinait face à lui. L’urine, malgré les lèvres écartées par les doigts du garçon, filait dans un jet tendu et puissant qui heurtait le bord des petites lèvres, ce qui donnait à entendre ce chuintement caractéristique de la miction des femmes et que certains hommes trouvent si excitant… Adrien était de ceux-là. La vue du jet sortant de la petite papille juste en dessous du clitoris l’excitait terriblement. Et aussi le bruit du jet frappant les petites lèvres de la vulve de la jeune femme. Adrien était en train de prendre conscience que cette scène l’excitait sexuellement bien plus que tout ce qu’il avait pu vivre jusque là sur ce plan… Il venait très probablement de se trouver un nouveau secteur de fantasmes… Le jet avait tracé sur le sol un petit sillon dans la terre battue, éclaboussant les chevilles d’Agnès de très fines particules de terre qu’il avait soulevées. Mais le nez d’Adrien en prenait également. Le garçon n’y prenait garde et ne perdait pas une miette du spectacle si excitant qu’Agnès lui offrait… Le jet perdait maintenant doucement de sa force et descendait dans la fente ouverte, coulait à l’intérieur des lèvres de la vulve et dégoulinait sur le bord arrondi à la base du trou, avant de goutter par terre. Agnès contracta son périnée deux ou trois fois, ce qui intrigua beaucoup le jeune homme qui n’avait jamais observé cela chez une femme. Alors qu’elle allait se relever, elle vit le Françou arriver en face d’elle et regarder par-dessus les épaules d’Adrien :
- " Et toi, la jolie dame, quand tu auras fini, tu voudras bien que je te nettoie la fente avec ma langue ? Ce serait extra !".
- " Elle a fini Françou, tu peux y aller, je te la laisse !... Elle pisse super, tu sais ! Bien droit avec un beau jet bien tendu et ce bruit du jet sur ses lèvres, c’est super !...", ajouta Adrien en se relevant et laissant la place au vieil édenté qui vint se mettre bien entre les cuisses ouvertes d’Agnès, le nez dans les lèvres de sa vulve et la joue gauche touchant à la terre détrempée par l’urine.
- " Oh putain, il n’y a rien d’aussi bon que de nettoyer une chatte qui vient de pisser… Et en plus, une belle moule comme la tienne ...", dit le vieux en avançant sa langue dans le trou du con de l’infirmière encore tout mouillé d’urine. Agnès qui décidément ne contrôlait plus rien sentait le nez du Françou lui frotter le clitoris tandis que la langue épaisse et râpeuse du vieux lui entrait profondément dans le vagin. La langue parut immense à Agnès. Large, longue et pointue tout au bout, elle balayait les parois de l’antre de la jeune femme, léchait le pipi-trou mouillé et aspirait comme une énorme pompe en même temps que les restes d’urine, toutes les sécrétions du vagin… Décidément, pensait Agnès ce bougre n’a rien comme les autres : un braquemart déformé et hideux, mais qui vous baise comme pas deux, et maintenant une langue gigantesque qui vous fouille les moindres recoins de votre intimité !... Brusquement une pensée lui vint : et si l’haleine fétide de cette bouche immonde qui se collait à sa bouche d’en bas, à elle, venait lui polluer son trou de femme, au point qu’elle ne puisse plus accepter de bites ? Non, quand même pas, pensa-t-elle !… Et puis, pour l’instant cette langue si large et pourtant agile la faisait jouir de nouveau et c’était le principal… Une nouvelle fois, sans doute pour la énième fois de la soirée, Agnès sentait qu’elle allait décharger, tant cette langue savait l’exciter là où elle aimait… Elle se dit qu’après tout le Françou ne lui reprocherait pas et elle se lâcha une nouvelle fois, cette fois dans la bouche du Françou qui n’en laissa pas perdre une goutte, aspirant la cyprine chaude au fur et à mesure qu’elle sortait, et qu’il avalait. Après avoir bien léché la nouvelle vague de liqueur, le Françou se releva d’entre les fesses d’Agnès.
- " Oh, ben dis donc, t’es une sacrée garce, toi… ! Non seulement t’as un trou à y mettre le poing, mais en plus tu mouilles comme une salope ! Putain, j’ai jamais vu ça ! " Et il ajouta pour Armand qui venait vers eux :
- " Tu sais, c’est un coup énorme cette salope. Tu mets ta tête entre ses fesses et elle te donne à boire pour la soirée !... Putain, c’est un super coup. Le type qui se fait une fille comme ça, il peut plus s’en passer ! … ".
- " Moi, c’est une autre tête que j’ai envie de lui mettre entre les fesses ! Et depuis un grand moment, tu peux me croire !", lui répondit Armand.
Agnès revenait vers la table, quand Armand qui l’y avait précédée lui donna à boire un nouveau verre de vin. Agnès sentait qu’elle commençait à être très saoule et quelle ne pourrait pas continuer comme ça longtemps. Le vin que lui présentait Armand était d’un jaune intense. Agnès pensa d’abord que les hommes voulaient lui faire subir une nouvelle humiliation et lui faire boire leur pisse. Doucement mais fermement, elle repoussa le verre. Le Françou qui était arrivé à son côté lui dit sans hostilité :
- " Bois, tu sais c’est bon, c’est du vin jaune… C’est le meilleur et tu sais, c’est un bon reconstituant… C’est un peu fort, mais il va te remettre d’aplomb ! ". La Brigitte qui elle aussi l’attendait au bout de la table, se dressait devant elle, comme montée sur ses ergots et la tançait du regard :
- " Salope, il a encore fallu que tu te distingues, hein ? Que tu ailles pisser là-bas derrière avec toute une coterie pour te regarder faire !... Mais tu as le vice dans la peau ma parole !... D’abord tu vas boire, puisqu’on te le dit. ! On ne te demande pas de boire, on te le commande ! Pigé ? ". Puis regardant le pubis d’Agnès, d’une main elle lui fit écarter les cuisses et elle lui asséna, acide et mauvaise :
- " Regarde-toi espèce de salope, quand tu pisses tu t’arroses toute les cuisses et les fesses ! Regarde-moi ces traînées de pisse sur l’intérieur de tes cuisses… Tu n’a pas honte de te faire voir comme ça ! ". Agnès saisit le torchon déjà très souillé sur la table et se le passa rapidement à l’intérieur des cuisses. Elle savait que ce qu’elle essuyait n’était pas de l’urine, mais le reste de sa liqueur qui lui avait coulé là, quand elle s’était remise debout… Mais elle n’insista pas sur le sujet, ayant trop peur que l’autre s’en aperçoive…
- " Salope, laissa tomber avec mépris la Brigitte, tu vois bien que tu n’es qu’une pute et même une sale pute !" Agnès ne broncha pas et s’empressa d’ouvrir la bouche pour boire le verre que lui tendait Armand. Elle but d’un trait ou presque tant elle était prête à tout accepter, y compris l’impossible.
Sur cette intervention désobligeante de Brigitte, on n’avait pas entendu La Bernadette. Depuis un long moment elle se faisait branler et sucer par Hubert, le jeune blondinet qui semblait lui faire un réel plaisir. On l’entendait juste murmurer des encouragements à son lécheur :
- " Ouiiii… Vas-y là, mon petit, lèche-moi bien ! Suce-moi bien… Ta langue est bonne, tu sais !... Passe la bien dans le trou ! Là, oui, comme ça… Putain que c’est bon !... ". La garce était à son affaire bien occupée de ressentir les sensations de sa fente.
Armand lui, s’impatientait et réclamait depuis un long moment déjà, que la patronne lui accorde le droit de monter l’infirmière :
- " Eh patronne, vous savez ce que vous m’avez promis l’autre soir… Je voudrais bien pouvoir y arriver, moi !", demandait-il d’un ton suppliant.
- " Oui, lui répondit la Brigitte qui voulait garder la main sur tout, ton heure arrive mon bon… On va essayer quelque chose qui devrait te plaire !... Fais-moi voir si tu bandes bien encore…" Elle lui prit la bite en main et la caressa pour en mesurer la rigidité :
- Hum, fit-elle admirative du beau sexe du rouquin, il n’y a que les roux n’est-ce pas pour bander comme ça !… C’est une très, très jolie bite, dont j’ai toujours autant envie !..." Elle cherchait en fait à valoriser les roux et les rousses dont elle était, ventant de leur sensualité et de leur sexualité débordante. D’ailleurs en temps normal dans la ferme, elle baisait souvent avec Armand. Le Jacquot le savait, mais il fermait les yeux et il n’était pas rare que lorsque le Jacquot était saoul et qu’il cuvait sa cuite toute la nuit, la Brigitte vienne rejoindre le rouquin dans sa chambre au-dessus du chai, Souvent même cela se passait avec le secours du Françou à qui il arrivait de découcher, prenant le prétexte que la Bernadette ronflait… Certes Agnès ignorait ces détails, mais cela montre qu’elle ne s’était pas trompée : la patronne, n’était pas tout à fait à sa place dans ce milieu et en tout cas c’était une baiseuse, certainement autant, voire plus qu’elle-même !
- " Tu n’a pas déchargé encore mon grand ? Alors c’est ton tour !…", dit-elle à Armand. Le grand dadais fit non de la tête et ajouta :
- " Oh oui, patronne… On va la baiser avec le patron, comme on avait dit !... "
- " Non, coupa-t-elle, laisse le patron là où il est il est saoul comme un cochon et on ne peut même plus le faire bander !... N’est-ce pas, Hélène ? " La fille releva à peine la tête au-dessus de la bite toute molle et débandée du Jacquot, qui devait ronfler. Puis s’adressant aux autres :
- " Et vous autres, venez vous occuper de la petite pute ! " Les garçons rappliquèrent près d’Agnès, attendant les ordres. Hubert qui se tenait derrière l’infirmière, sans en avoir l’air lui flattait les fesses de sa paume ouverte. La caresse fit tressaillir la jeune femme.
- " Armand, couche-toi sur la table, ta belle bite en l’air, dit la Brigitte d’une voix d’organisatrice qui ne supporterait pas la contestation. Et toi la petite salope, mets-toi dessus !". Agnès dont la tête tournait de plus en plus, s’exécuta et se mit à califourchon sur le rouquin.
- " Non pas comme ça !... intervint violemment Brigitte, pas dans ce sens. Présente ton dos à Armand et mets-lui sa bite entre tes fesses !... Là comme ça !... Que l’on voit bien ta poitrine hideuse et qu’on puisse bien la malaxée… !" Déjà le Françou s’avançait pour chevaucher le ventre de la belle infirmière :
- " Et moi je l’enfile par devant, patronne ! "
- " Non, coupa la Brigitte, toi Françou, tu l’as déjà baisée !... Tu lui donneras ton engin à sucer, pour lui fermer la gueule !... C’est toi, Adrien qui va la monter par devant… "
- " Vrai ? Oh, oui, oui !! dit-il, j’en rêve !… Je vais pouvoir la prendre à mon tour ? "
– " Oui intervint Brigitte, mais pas de précipitation, hein… ! "
Adrien s’empressa et escalada la table et vint se coucher sur Agnès qui se trouvait désormais dans le sandwich. Il voulut la prendre sur le champ, mais la Brigitte s’interposa pour que les bites n’entrent pas tout de suite. Brigitte expliqua alors ce qu’elle voyait pour la suite :
- " Toi, Armand dans un premier temps tu vas la prendre dans le trou du con. Il est large et tu vas y entrer facilement. Baise-là un petit moment dans cette position, elle dessus à l’envers de toi, en dessous… Et ne vas pas trop vite, hein ! Ne décharge surtout pas !... Tu entends ?! "
Le rouquin acquiesça et Brigitte prenant sa longue bite en main l’amena entre les lèvres de la vulve d’Agnès et l’y enfonça doucement. Le trou était si grand et si béant que le membre fut avalé directement et sans hésitation par la moule chaude et baveuse. Agnès sentit le nœud lui frotter toute la face antérieure du vagin et lui appuyer juste sur le point G, à la racine intérieure du clitoris qui se gonfla sur le champ… L’engin long et nerveux allait et venait dans son trou de femme lui caressant l’intérieur des parois et, si elle ne comblait pas complètement tout l’espace de l’antre, elle lui faisait quand même beaucoup de bien, en la limant juste où il fallait… C’est alors que la Brigitte prenant en main le membre plus court d’Adrien, l’introduisit dans le même trou, juste au-dessus de la verge d’Armand. La pénétration de ce nouvel organe dans le même orifice, fut un peu plus laborieuse… Evidemment deux bites dans le même trou, même si celui-ci est déjà très large, dilaté et accueillant, cela ne va pas de soi malgré tout… Brigitte écarta un peu les lèvres d’Agnès de sa main libre et le vit d’Adrien finit par pénétrer lui aussi, moins profondément certes, mais comme il était au-dessus, il pointait juste sa tête sur le point G, ce qui n’était pas négligeable pour l’infirmière.
Agnès sentit rapidement que les deux sexes la comblaient juste à sa mesure. Bien sûr cela n’avait rien à voir avec le vit démesuré et difforme du Françou, dont le diamètre devait encore dépasser celui des deux autres sexes ensemble, mais quand même, elle sentait que son vaste trou était convenablement bouché et cette sensation lui faisait du bien… Il fallut un petit moment et quelques allers et retours désordonnés pour que les choses se callent et que les mouvements se coordonnent. Il ne fallait surtout pas que les deux baiseurs superposés s’enfoncent ensemble dans le con. Quand c’était le cas, Agnès en retirait quand même du plaisir, celui d’être bien enconnée et bouchée, mais c’était au détriment du limage fait par les deux engins… Par contre quand les mouvements alternaient bien, elle en tirait davantage de plaisir du fait du frottement tantôt en haut tantôt en bas, de ses parois…
Brigitte ne manquait pas de bien observer la manœuvre et au besoin de la diriger, en ralentissant les fesses de l’un de l’un ou de l’autre. Quand la cadence fut installée, elle passa sa main sous la cuisse droite d’Agnès et vint lui mettre un, puis deux doigts dans le cul. Elle avait remarqué que la jeune infirmière adorait cela plus que tout : d’être bien baisée devant et un doigt ou deux dans la rosette. Elle ne se trompait pas, c’était là un déclencheur fort pour la montée de la jouissance d’Agnès.
Une fois dans une soirée à Lyon, Agnès s’était faite fister complètement le cul par une main de femme jusqu’au poignet, tandis qu’un amant bien monté la baisait par devant. Elle en avait éprouvé une jouissance inoubliable (Récit : '' Une expérience très particulière '')… Les deux jeunes hommes s’activaient dans son antre. Elle sentait le plaisir monter et elle ne put s’empêcher de dire à mi-voix ses fantasmes du moment :
- " Ah, oui, c’est bon,… C’est bon !... Allez-y, limez-moi bien mes chéris !... J’aime me faire baiser comme ça !... Oh oui… Deux bites ensembles dans le même trou, c’est bon ! Continuez…". Et elle attrapait Adrien par le cou et lui roulait des pelles d’enfer. Le garçon ainsi flatté redoublait d’efforts pour la satisfaire. Agnès sentit son orgasme monter. Les deux doigts dans son œillet complétaient son bonheur… Ses cuisses se mirent à trembler et à être agitées de soubresauts convulsifs. Elle connaissait bien ces signes qu’elle ne pouvait contrôler. Brigitte aussi les interprétait dans le même sens et encourageait les deux baiseurs :
- " Allez-y mes salauds, ne relâchez pas !... Continuez !... Elle va jouir… La salope est prête à éclater une fois encore… Hein, putain, que tu aimes ça !? ". Et Agnès, complètement accaparée à sa jouissance montante, de s’entendre répondre :
- " Oh oui… Ouiiii, j’aime ça !... Continuez !... Je viens !... Je viens !!".
C’est à ce moment qu’Adrien qui depuis quelques instants déjà résistait pour ne pas partir lui aussi et tout lâcher, se mit à jouir en gueulant :
- " Ohoooo ! Putain... J’en peux plus… Tu me fais décharger, cochonne… J’ai jamais baisé comme ça… Tu es bonne, ma coquine !... T’es super !... Je t’aime !..." Il se crispa pour décharger au beau milieu du con de la jeune femme, son foutre chaud. Agnès eut la sensation que la décharge était si abondante qu’elle lui remplissait le vagin. Et l’éjaculation du petit brun détermina son orgasme. Sa liqueur déferla sur la bite d’Armand et profita de la sortie de celle d’Adrien qui se ramollissait déjà pour couler à l’extérieur. Séance tenante Armand dont le vit était inondé de tout côté par le sperme d’Adrien et par la cyprine d’Agnès, montra qu’il allait jouir à son tour. Mais la Brigitte toujours attentive s’en aperçut et sortant les doigts du fondement d’Agnès, s’empara prestement de la bite d’Armand pour la sortir du con avant qu’elle n’explose et la glisser entre les fesses de l’infirmière. Agnès sur l’instant compris la manœuvre et s’écria :
- " Ohhh… Oui, oui… Dans le cul !... Dans le cul !… Mets-moi la dans le cul !... Décharge-moi derrière, oui… Oh lala, oui, derrière… ! ".
Brigitte eut juste le temps de réintroduire la longue tige d’Armand dans la rosette d’Agnès que déjà le rouquin lui déchargeait dans les entrailles. Agnès que cette pratique excitait au possible, déchargea encore une fois le reste de sa cyprine qui coula sur la hampe du vit d’Armand, lui inondant les couilles et l’intérieur des cuisses… La Brigitte, la fustigea encore :
- " Ah putain !... Encore ?... Mais tu vas te vider pauvre catin… Dis-moi pourquoi tu décharges comme ça tout le temps dès que tu te fais baiser… ? Hein… C’est le propre des salopes, ça non ?... " Agnès qui n’était pas encore sortie de son orgasme ne répondit pas. Elle avait maintenant soif, très soif. Et elle savait que c’était là le signe qu’elle était ivre : la tête chaude prête à éclater et la soif… Et sans doute aussi, se disait-elle, elle se sentait capable de faire tout ce à quoi on l’avait contrainte…
La Bernadette, toujours les fesses sur le bord la table et appuyée sur ses coudes était en train de se faire mettre par Hubert. Elle aussi était saoule, bien que ce ne soit pas facile à voir car elle tenait bien l’alcool. C’était surtout à sa voix pâteuse et à son manque d’articulation que l’on pouvait voir qu’elle avait trop bu. En bafouillant, elle fit remarquer :
- " Alors comme ça, la petit putain a encore déchargé !... Non, mais c’est bien la preuve qu’elle aime les mecs et surtout leur queue, hein ?!... ". Puis s’adressant à Hubert qui la baisait à genoux sur le banc entre ses cuisses très écartées :
- " Et toi, mon joli, j’aime ta jeune queue, elle est superbe, mais tu vois, je ne te sens qu’à peine… Il me faut un autre calibre, à moi, hein… Tu vois mon Françou ?... Eh bien, tu as compris ce qui me va… Tu sais ce que je voudrais là, c’est que tu prennes la bouteille vide là à côté et que me branle le trou avec !… Si, si !... Ne me regarde pas comme ça… Fais ce que je te dis, et tu verras !... ". Disant cela, elle att elle-même la bouteille à côté d’elle et repoussant un peu Hubert qui ne la désenconne pas complètement, elle se met le goulot dans le trou en même temps que la bite du jeune blondin.
- " Là, tu vois garçon qu’il y a de la place pour les deux ! Tiens, recule-toi un peu et enfonce doucement la bouteille tu vas voir… ! "
La coquine avait posé ses chevilles sur les épaules d’Hubert de sorte qu’elle avait les jambes écartées et très relevées et sa fente très ouverte. Le blondinet enfonça doucement la bouteille qui entra presqu’aux trois quarts dans le trou qui paraissait sans fond. Puis il la fit aller et venir dans l’orifice qui aurait pu, au niveau du diamètre, prendre une autre bouteille de même dimension. A chaque fois qu’il entrait de nouveau la bouteille, celle-ci s’enfonçait davantage dans le con, au point qu’après quelques allers et retours, elle disparaissait presqu’entièrement… Les autres, Adrien, Armand, maintenant soulagé, Elise et aussi le Françou avaient fait cercle autour du duo. Seule Brigitte était restée un peu à l’écart et observait la scène depuis l’autre côté de la table. Johann s’était mis à genoux sur la table et soutenait la Bernadette dont il maintenait la tête légèrement relevée, afin qu’elle voie bien la manœuvre qu’elle dirigeait. Le portugais s’était traîné sous la table jusqu’au niveau du groupe et la tête au niveau du banc, il était juste en dessous des cuisses ouvertes de la Bernadette qui se faisait goder le con. Le Jacquot, gisait au même endroit que tout à l’heure dans la rangée de tonneaux la plus près de la table. Il cuvait son vin en dormant, la queue molle, pendante entre ses jambes. La blonde Hélène avait du lui pisser dessus, car il avait les fesses et le torse qui baignaient dans une sorte de mare, partiellement bue par la terre battue. La fille était assise à côté, le dos appuyé à un tonneau, les cuisses écartées et la chatte aux poils blondinets à l’air. Elle avait l’œil torve d’une femme ivre et elle buvait à petits coups au goulot d’une bouteille de vin à moitié pleine.
Agnès était restée assise sur la table, les jambes en tailleur, les fesses dans son foutre qui avait inondé la table. Sa fente était ouverte et le trou du con, plus dilaté que jamais était béant. Elle contemplait la scène du godage de la Bernadette dans un état second dû à la fatigue, à l’ivresse qui l’habitait désormais et au surréalisme de la situation… La Bernadette se faisait pistonner et accompagnait de son bassin, le mouvement de va-et-vient donné par Hubert à la bouteille. Elle poussait des " hans " pour scander ses poussées vers l’avant de la bouteille que son con enfournait complètement :
- " Oui, vas-y petit, là, c’est bon… Enfile-moi bien à fond… ! Que je sente bien le goulot qui bute au fond… ! Ah putain, c’est bien meilleur quand on me le fait !…. Je me le fais souvent, mais c’est pas pareil… ! Pousse bien mon joli… Eh Armand, je boirais bien un coup, moi, j’ai soif bordel, c’est sans doute de décharger comme ça… Ah oui, un goulot enfoncé en bas et un autre en haut !!... " Et le godage continuait, sans précipitation mais avec régularité… Armand qui maintenant se substituait au patron, revenait avec une bouteille de vin jaune qu’il déboucha en disant :
- " Françou, va en chercher quelques bouteilles et sert à boire à tout le monde ! ". Puis il enfila le goulot dans la bouche de la Bernadette. Le breuvage coulait dans la bouche de la vieille femme qui l’avalait à longs traits. Elle but ainsi plus de moitié de la bouteille :
- " Putain ça fait du bien !... Ca rafraîchit !... J’en avais besoin !... Bondiou, que c’est bon… ! Allez petit, vas-y…, n’arrêtes pas, je sens que je monte… ! ".
Le Françou revenait et servait un verre à tout le monde et aussi aux femmes. Agnès avait elle aussi très soif et ne refusa pas le verre bien rempli que lui tendait le Françou. Elle en but une grande gorgée. Le vin était si fort qu’elle se mit à tousser et à s’. Cette première gorgée lui brûlait la gorge, la langue et le palais. Ce qu’Agnès ne savait pas c’est que ce vin jaune, très liquoreux pesait dans les 18 à 20 degrés d’alcool, ce qui le faisait ressembler à des liqueurs espagnoles. La tête lui tourna immédiatement. Elle but encore plusieurs gorgées, car les suivantes lui parurent moins violentes et moins agressives. Ce fut le Portugais qui fut atteint le premier : il retomba de tout son long sous le banc, assommé par l’alcool contenu dans les deux verres qu’il avait avalés. Puis Elise qui ne s’était pas méfiée du breuvage, se mit à tituber et ne resta debout que parce Adrien et Armand la tinrent entre eux, la pelotant et la branlant en face de la Bernadette. Celle-ci elle tenait le coup, car elle haletait de plus en plus fort…
Le Françou, très éméché lui aussi, était venu derrière la Brigitte qui depuis un temps assez long maintenant, ne buvait pratiquement plus. Il lui passait son gros braquemart, dont on ne savait dire s’il avait débandé tant il était énorme, entre les fesses, se frottant à elle. Agnès qui avait toujours aussi soif, s’était affalée sur la table et la tête appuyée sur un coude regardait sans trop voir la Bernadette qui commençait à jouir. L’infirmière avait le regard des jours de cuites : un regard vitreux et vide, dont les mouvements oculaires semblaient n’avoir aucun sens, aucune suite logique…
- " A moi, salauds !..., gueulait la Bernadette au bord de la jouissance, vas-y mon gars pousse encore plus, je vais partir… Oh, putain… Il me faut une bite dans chaque main en même temps que j’ai le con rempli… Toi, viens !, fit-elle à Johann, qui de derrière elle, passa à côté, et toi aussi mon beau brun !", dit-elle à Adrien.
Celui-ci monta sur la table et s’accroupit juste à côté de la tête d’Agnès, qui avait de ce fait les couilles du garçon à dix centimètres de son nez. La Bernadette entreprit de branler les garçons. Armand qui en face de la scène soutenait Elise se branlait lui aussi. Le Françou derrière la Brigitte en fit autant et la patronne, portant la main à sa chatte se frotta énergiquement le clitoris. Agnès, qui sentait qu’elle était de plus en plus saoule, incapable de reprendre son propre contrôle, commença à se caresser elle aussi, un doigt dans le trou du con resté très ouvert. Puis elle glissa sa tête sous les cuisses ouvertes d’Adrien, lui lécha les couilles et lui darda sa langue profondément dans le trou du cul. Le garçon n’en croyait pas ses yeux, ni ses sens…
Ainsi, tout le monde se branlait comme pour accompagner le godage de la Bernadette. Celle-ci était mûre et partit en torche. A une poussée d’Hubert, la bouteille refusa d’entrer à nouveau et ressortit sous la pression. La grande salope déchargeait. Le flot de cyprine opalescente et chargée en mucus, un temps retenu par la bouteille, jaillit au-dehors comme un geyser et un flot brûlant aspergea tous ceux qui étaient en face : Hubert, Armand, Elise… La cochonne délirait dans sa jouissance :
- " Putain de Bon Dieu, oh que c’est bon !!... Oooohhh oui !!… Ca soulage ça, de dégager comme ça… Ca c’est de la liqueur de salope, mes aïeux !!... Ah mes salauds, déchargez vous aussi… Aspergez-moi !! Remplissez-moi de foutre, que je le lèche !! ". Et la vieille garce continuait d’épancher ses flots de liqueur, tandis que Johann d’abord, suivi d’Adrien ensuite, lui déchargeaient sur les seins… Puis ce fut Armand qui lui expédia son foutre sur le ventre, suivi de près par Hubert qui se vida sur la fente ruisselante de la Bernadette… Quant au Françou, il déchargea dans la raie des fesses de Brigitte, qui elle aussi se faisait jouir avec un doigt dans le con… Agnès elle, étendue sous les fesses ouvertes d’Adrien avait pris la bite du garçon en bouche et suçait presque machinalement le reste de foutre qui en coulait encore. Elle sentit bien quelqu’un à l’autre bout de la table qui lui écartait les cuisses et lui passait sa langue dans la fente… Elle pensa, sans en être sûre, que ce pouvait être le Françou… Puis, plus rien. Elle se sentit partir et sombra dans une sorte de coma éthylique. Ivre morte elle était, incapable du moindre mouvement, de faire quoique ce soit, d’ouvrir les yeux… Elle eut un temps l’impression du néant absolu…

Suite et fin au prochain épisode : le n° 6 / 6

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