Histoires De La Bienheureuse Agnès H1- 4

1ère Histoire - Soir d’octobre en Beaujolais – 4 –

Episode 4 / 6 : Où le lecteur a la confirmation qu’Agnès est tombée dans un traquenard.

Remarque préliminaire : Pour la compréhension de l’histoire, il est très utile d’avoir lu les épisodes précédents.

… Déjà Armand et Hubert, le blondinet, revenaient avec quatre ou cinq bouteilles. Ils avaient pris au passage chacun sous un bras, la portugaise complètement ivre, qu’ils traînèrent jusqu’à la table pour l’associer aux libations du groupe. Tandis qu’Hubert tenait la portugaise pour ne pas qu’elle roule à terre, Armand déboucha les bouteilles et les posa sur la table entre les jambes d’Agnès. Celle-ci, assise depuis qu’elle était détachée, n’avait pas bougée, perdue dans ses pensées… On remplit rapidement les verres que la Bernadette et Elise avait disposés sur le bout de la table. Agnès n’osait refermer les jambes de craintes de renverser verres et bouteilles. Elle resta donc les jambes écartées, laissant voir sa moule à travers sa toison assez peu fournie. Elle se dit que les poils masquaient un peu sa fente qui ne serait ainsi pas trop visible aux gens qui faisaient cercle autour de la table.
Sur sa gauche, Agnès remarqua que la Brigitte s’était discrètement éclipsée entre deux rangées de tonneaux. Là, penchée en avant, écartant bien les jambes, les fesses presqu’à toucher la paroi, elle pissait debout ou presque. Agnès l’entendait uriner. Seul Adrien, semblait avoir remarqué le manège de Brigitte et se tenait debout à l’entrée de la petite allée entre les tonneaux. Il observait la rousse en train de pisser en branlant sa queue dressée. Tout en urinant, Brigitte lui adressa un sourire. Le garçon se sentant encouragé, s’avança entre les tonneaux. Brigitte fit alors un demi-tour sur elle-même lui présentant ses fesses écartées qui finissaient d’uriner. Adrien s’accroupit derrière elle et enfouissant sous visage entre les fesses de la rousse, lui lécha avidement la fente encore toute ruisselante d’urine chaude.


Pendant ce temps les hommes faisaient boire les femmes. Au deuxième verre, la petite portugaise échappa à la vigilance et au soutien d’Hubert et roula par terre, sous la table, la jupe remontée jusqu’à la taille, les fesses et le con à l’air. Elle devait être proche du coma éthylique, car elle y resta là, incapable de se relever et personne ne s’en occupa plus.
La Bernadette remplissait de nouveau les verres. Les hommes, les femmes, tous burent au moins deux verres chacun. Elise, la jeune brunette était maintenant pratiquement ivre et avait du mal à rester assise sur le banc à la droite d’Agnès. Quant à la blonde Hélène, elle était complètement saoule et c’était le Françou qui la faisait boire au verre comme on l’aurait fait avec un … Revenue dans l’assemblée, la Brigitte but aussi, largement autant que les autres, mais on aurait dit que le vin était sans effet sur elle : elle avait toujours cette prestance provocante et son regard aiguisé, dur et hautain. La Bernadette but elle aussi et sans doute plus que la plupart, cependant elle portait très bien l’alcool, car rien dans son comportement et son physique ne laissait paraître le moindre signe d’ébriété. Le Jacquot, ivre depuis déjà un bon moment, était plus rouge que jamais, mais les quelques verres de plus ne semblaient pas l’atteindre davantage ; l’entraînement sans doute… Le Françou aussi avait son compte, mais sans plus. Il faisait surtout boire la grande Hélène. Il lui parlait beaucoup alors que la fille, ivre depuis longtemps, ne semblait saisir le moindre mot du discours du vieil édenté… Et puis Armand, le rouquin buvait lui aussi beaucoup ce qui le faisait transpirer abondamment.
Armand et le Jacquot, chacun un verre plein à la main, entreprirent de faire boire Agnès. Celle-ci serrait les lèvres et résistait. Le vin coulait de chaque côté de sa bouche résolument fermée et dégoulinait le long de son cou, sur ses seins, son ventre et finissait par faire une flaque sur la table entre ses jambes qui lui mouillait progressivement les fesses et l’entrejambes.
Le Jacquot avait posé son verre et de ses deux mains, il tentait de lui desserrer les dents. Il y parvenait en partie et invectivait Armand pour qu’il lui verse le vin par la petite ouverture entre les lèvres :
- '' Armand, Bon Dieu ! Vas-y, mets-lui dans le bec ! … Vas-y… N’est pas peur… S’il en tombe, c’est pas grave… Y en a d’autre !''. Le grand rouquin versait du mieux qu’il pouvait. Agnès fut bientôt vaincue et finit par ouvrir la bouche. Elle se disait que si elle était bien saoule, elle ne subirait plus l’humiliation de la même façon… Elle aurait alors l’excuse de l’ivresse pour subir et accepter, puisqu’il n’y avait, pour l’instant, pas d’autres moyens de faire autrement… Elle se laissa donc faire. On lui fit boire deux verres coup sur coup et comme l’Armand s’approchait pour lui faire boire le reste directement à la dernière bouteille:
- '' Suffit !!, tonna la Brigitte qui décidément avait gardé toute sa tête. Comment voulez-vous que nous en profitions encore, si elle est ivre morte ? Si vous la saoulait complètement ce sera une loque, une épave comme la Maria, là, dessous et qu’est-ce vous en tirerez, hein ? Rien, rien du tout ! Et surtout, elle ne se rendra plus compte de rien ! Alors ?! '' Elle avait nettement haussé le ton sur la fin de sa tirade. Il y eu un silence. Même le Françou s’arrêta de parler. Après avoir mesuré son effet, la Brigitte reprit :
- '' Allez, allez, occupez-vous d’elle sans plus tarder et que d’autres en profitent, un peu, bon sang ! '' La Brigitte devait être un peu jalouse de la condition de femme de la ville d’Agnès et même si elle ne lui enviait pas son physique, elle lui enviait à coups sûrs sa liberté et son statut social… C’était comme une sorte de revanche qu’elle prenait là sur sa propre vie.
- '' Oui, oui… Tu as raison ma chérie !, enchaîna le Jacquot. On va s’en occuper tu vas voir ! Que ceux qui n’en n’ont pas encore profité puissent en prendre un peu ! Et j’en suis !!''
- '' Oui, oui, renchérit Armand, qu’on en profite quoi… Je l’ai sucé à fond, j’voudrais bien la mettre un peu au bout de ma queue ! '' Disant cela, il s’astiquait doucement la tige pour ne pas débander.

Profitant de ce moment d’incertitude, et choisissant que tout le monde se fut arrêté, Agnès sauta de la table. Hélas pour elle du mauvais côté, car elle se trouva face au Jacquot, qui l’enserra dans ses bras forts et la retint avant qu’elle ne puisse s’esquiver. Le membre court et trapu de l’homme frottait son ventre de façon obscène. Son halène chargée des relents de vin et d’alcool, l’it littéralement. Agnès suffoquait presque et n’ayant pas eu le temps de se remettre de l’épisode précédent, chancelait sur ses jambes flageolantes et engourdies par les liens. Elle voulu se dégager du Jacquot en le repoussant, mais déjà Brigitte, perfidement s’était collée derrière elle et l’appliquait avec force sur son époux, lui disant doucement dans le cou :
- '' Tiens regarde, chérie… Tu sens comme il bande mon Jacquot, tu sais il a peut-être les mains rudes, et toi tu n’y es pas habituée évidemment, mais il baise bien et il pourrait bien te remplir ton trou de salope, sais-tu ? ''
- '' Oui, ajouta la Bernadette, c’est vrai que c’est un bon coup au lit ! Le Jacquot et mon Françou, pas la peine d’aller voir ailleurs, t’auras ce qu’il te faut, ma belle !... ''. Disant cela, elle vint se mettre à genoux aux pieds de la table, juste derrière le Jacquot, et commença à lui palper les couilles.
Brigitte avait fait signe à Johann d’écarter les cuisses d’Agnès, debout entre elle et son homme. Ce qu’il fit en lui saisissant le mollet gauche et en lui relevant la jambe. Puis la jolie rousse qui avait passé son bras devant Agnès, s’était saisi du vit du Jacquot, et le faisait aller et venir sur le pubis et dans la fente de la jolie bourgeoise. La vulve d’Agnès était évidemment très mouillée et le membre court, mais épais, glissait parfaitement d’avant en arrière, de la rosette jusqu’au clitoris…
La Bernadette, à genoux derrière le Jacquot, surveillait les allers et retours de la bite du Maître dans la fente mouillée de l’infirmière. Elle avait été rejointe par le portugais qui s’était traîné à genoux aussi, jusqu’à elle.
Il avait bu plus qu’il ne pouvait en contenir et l’on ne pouvait dire s’il était encore en mesure de comprendre ce qui se passait autour de lui.
Le Jacquot avait fléchi sur ses genoux pour que son membre se trouve un peu en dessous de l’entrejambes d’Agnès. La main de sa femme assurait le va et vient de la pine qui bandait toujours fortement. De temps à autres, Bernadette se baissait un peu plus et donnait par derrière, des coups de langues sur les couilles du Jacquot, le nez entre les fesses de ce dernier. Les poils de la vulve d’Agnès étaient assez longs et parfois le membre les frottait et les lui tirait de façon douloureuse, au point qu’elle regretta un moment de ne pas s’être épilée comme elle avait coutume de le faire régulièrement. Elle ferma les yeux un instant, évoquant ce que pouvait être la scène, vu par quelqu’un qui serait extérieur, à quelque mètres d’eux dans la cave.
Agnès se représentait debout au milieu du groupe, les fesses appuyées sur le bord de la table, une jambe levée assez haut, tenue par le grand blond. Elle était plaquée sur le ventre poilu du Jacquot qui lui passait sa large bite dans le con. Derrière elle, La Brigitte qui venait de lâcher le membre de son homme, branlait maintenant doucement et avec application Johann juste à côté d’elle, lui roulant des patins très mouillés. A genoux au pied de sa patronne et derrière elle, Armand lui caressait la chatte et se faisait sucer par Elise, la brunette. Elle-même se faisant caresser par Adrien. De l’autre côté du groupe et dans son prolongement, à genoux derrière le Jacquot, se tenait la Bernadette qui caressait les fesses et les couilles du patron. La grande vieille avait les cuisses écartées ce qui permettait au portugais de continuer à la branler d’une main tout en continuant de boire de l’autre.
Le Françou quand à lui, un peu retiré de ce groupe, avait investi l’autre côté de la table avec Hubert. Ils s’occupaient d’Hélène, la grande blonde. La fille était visiblement très saoule. Et tandis qu’Hubert lui suçait les seins, le Françou l’avait renversée sur la table. Et lui passait son vit monstrueux dans la fente. C’était là un tableau surréaliste : un braquemart énorme, noueux et difforme, qui passe et repasse sur la petite chatte d’une très jeune femme, encore fine et serrée, qui disparaissait sous la monstruosité du membre...
Le Jacquot, fléchissant encore un peu plus les jambes, s’enfile au con d’Agnès. C’est vrai que la bite, bien que très courte, la remplit bien, et ce malgré la largeur de son orifice. Elle en a très honte, mais elle est enfin baisée. Depuis le temps qu’elle en a envie… Cela fait maintenant plusieurs dizaines de minutes qu’elle attend d’être enfin prise… Elle a bien davantage honte de se retrouver dans cette situation avec ce genre de personnes que du principe et de l’envie se faire baiser. Elle accepterait volontiers de se faire prendre tant elle en a envie, à condition que l’on enlève, que l’on élimine, que l’on fasse abstraction de cet environnement vulgaire et écœurant… Pourtant la bite du Jacquot lui fait du bien et l’apaise. Avec son ventre, elle va même au devant du va et vient du vit qui la pénètre en force. La Bernadette d’une main ferme pousse à chaque avancée, les fesses du Jacquot, ce qui fait pénétrer le vit encore plus à fond dans la matrice. Avoir la jambe levée, ce qui facilite la pénétration du membre, est un plus pour Agnès… Et là, maintenant, alors qu’elle est enfin bien baisée par devant, elle a très envie, pour que ce soit parfait d’avoir même temps un doigt dans le cul.
Juste à côté et derrière elle, Brigitte s’est accoudée à la table et elle se fait prendre en levrette par Johann, le joli blond. Il la baise bien à fond, la poussant à chaque fois sur la table. Elle gémit de plaisir, tout en se branlant le clito par-dessous. Adrien est venu s’accroupir sous la jambe levée d’Agnès, sa tête à remplacée la main de Johann sous sa cuisse. Il lèche doucement le clito et ce qui reste accessible de la vulve d’Agnès, alors que le Jacquot la baise en lui remplissant bien son trou de femme. Sous la caresse de la langue du garçon brun, Agnès trésaille et commence à gémir doucement. Le Jacquot qui lui fait face est légèrement plus petit qu’elle parce qu’il a fléchi les jambes pour la pénétrer. Il lui a pris les seins en bouche et les tète goulûment avec des remugles de vin et des rôts, sonores et odorants. Qu’importe, la belle bourgeoise oublie un instant la vulgarité de la situation et gémit de plus en plus fort. Au point que le Jacquot, relevant la tête s’adresse à elle :
- '' Tu trouves ça bon, hein !!... C’est pas souvent que t’es baisée comme ça dans cette position !... Tu vois ma garce, que nous aussi les gars de la campagne, on peut aussi te faire du bien !... Hein, ma cochonne… !
La Bernadette toujours à l’affût de tout ce que pouvait faire Agnès, en remet un peu :
- '' T’inquiètes pas le Jacquot, elle aime tout ! Pourvu que ça rentre… ! C’est pas la peine qu’elle fasse comme ça la fine bouche, on sait ce qu’on sait !... ''
- '' Oui, continua la Brigitte entre deux gémissements, sa vraie nature ne peut pas tromper son monde tout le temps ! Profite-en bien le Jacquot, un petit morceau qui a tellement été essayé qu’il n’y a pas de raison que tu en sois privé ! Hein ?! ''
Agnès restait sourde à ces sarcasmes, du moins, ceux-ci ne l’atteignaient plus. La langue d’Adrien sur son clitoris et sur les petites lèvres de sa vulve dilatée, la faisait chavirer… Oui, oui, trois fois oui, elle voulait maintenant plus que tout, une caresse à sa rosette : avoir un doigt dans son cul… Doucement de sa main gauche, elle vint chercher la main d’Adrien posé sur cuisse et l’amena entre ses fesses. Le garçon compris tout de suite ce qu’elle souhaitait et se mit à lui caresser doucement la raie des fesses, le périnée et jusqu’à venir toucher la bite qui pistonnait le con d’Agnès. Puis il s’attarda sur la rosette, mouilla son majeur aux bords du trou baisé de la belle infirmière et lui enfonça doucement dans le cul. Agnès crût défaillir et dû se rattr aux épaules de son fouteur. Maintenant, elle était partie et elle savait qu’elle ne pourrait arrêter la folle jouissance qui montait en elle… Elle se mit à balancer la tête dans tout les sens et à divaguer avec les mots :
- '' Ahhhhh… Oui !... Ouiiiii…! Vas-y !... Vas-y… Baise-moi bien !... Baise-moi, salaud… Ahhh, c’est bon !... Ouiiii … !! '' Et quand Adrien lui enfila un deuxième doigt dans la rondelle, elle éclata dans une jouissance folle, déchargeant des flots de cyprine chaude à la fois sur le bas ventre de son baiseur, mais aussi sur le visage de son lécheur. Sa décharge coulait en nappes le long de sa cuisse et se répandait sur la terre battue de la cave… Elle fut parcourue de soubresauts qu’elle ne pouvait réprimer, qui tétanisaient son corps et firent désenconner la bite du Jacquot ; ces soubresauts qui lui firent perdre l’équilibre. Elle tomba à la renverse et se retrouva assise, sur les jambes d’Adrien qui ne put la contenir à temps… Elle déchargeait encore. Et là, à cet instant la jouissance avait été trop forte et elle ne put retenir l’envie d’uriner qu’elle réprimait depuis qu’elle était avec le vieux dans la maison de la Toinette. Le relâchement provoqué par la jouissance extrême eu pour conclusion qu’elle se mit à pisser, libérant toute sa vessie, sans pouvoir aucunement se retenir. Elle choisit de se laisser aller en silence… La Bernadette toujours à genoux entre les jambes du Jacquot, donc tout près d’Agnès, s’aperçut évidemment que l’infirmière urinait… Elle en avertit l’assistance en beuglant :
- '' Ah, mais la voilà qui pisse, maintenant !... Eh salope, tu ne peux pas te retenir un peu et comme tout le monde, aller te cacher, hein ! Mais t’es pire qu’une vraie salope, toi !... Faire ça au milieu de nous et devant les hommes !...''
- '' Pas étonnant, dit l’Armand, avec tout ce qu’elle a éclusé !... ''.
- '' N’empêche, insista la grande rustaude, c’est pas des choses à faire ! Sauf si on est une cochonne sans fierté !... '' Puis hurlant sur Agnès qui ne pouvait s’arrêter :
- '' Hein, mais t’arrêteras-tu, salope ?! ''
- '' Laisse, la Bernadette, j’aime bien voir ça, ma !'', dit le Jacquot en se baissant et en écartant les jambes d’Agnès. Celle-ci maintenant se laissait aller, ne cherchant plus à se retenir et donnait libre court à sa miction. Le jet était encore dru et puissant. La pisse roulait sur le sol battu de la cave et s’activait vers une petite dépression creusée sous le pied d’un tonneau, où elle se répandait en une nappe fumante et colorée.
- '' Et moi aussi !...'', dit le Françou qui s’empressa de venir se mettre à genoux à côté d’Agnès pour mater sa fente qui urinait. La petite infirmière balbutia une excuse à l’adresse des hommes qui l’entourait et aussi de la Bernadette :
- '' Je vous demande pardon… Je ne l’ai pas fait exprès… Je n’ai pu me retenir… Pardonnez-moi !...'', implora-t-elle.
- '' C’est rien ma jolie, libère-toi bien avant les prochaines festivités, cela n’en sera que mieux !'' lui dit insidieusement la Brigitte entre deux soupirs de plaisir, car elle continuait de se faire prendre en levrette sur le bord de la table par Johann.
C’est alors qu’Elise se releva et demanda :
- '' La coquine m’a donné envie de faire pipi, à moi aussi !… J’ai très envie… Comment je fais ? ''
- '' Te gêne pas pour nous, ma belle lui répondit très vivement Armand, fais-le là aussi toi, si tu veux ! ''. Il désignait le bout de la grande table sur laquelle la Brigitte se faisait baiser.
- '' Oui, oui… Sur la table, là… Oui !'' renchérit le Françou, qui déjà se relevait d’entre les jambes d’Agnès et se précipitait vers Elise, debout près de la table.
- '' Ah ben, je voudrais bien voir ça ! s’écria la Bernadette, Et puis quoi aussi, vieux salaud ! ''
- '' Doucement, hein, on se calme !... fit Brigitte qui décidément contrôlait tout, même pendant une levrette. Elise tu n’as qu’aller entre deux tonneaux, vers le fond de la cave…. Et puis tu emmènes qui tu veux avec toi si tu en as envie !... ''
Elle n’avait pas terminé sa phrase que déjà Armand se précipitait :
- '' Allez viens, Françou, on l’emmène là-bas… !'' Déjà ils avaient pris Elise sous chaque bras et l’emmenaient tambour battant jusqu’au fond de la cave.
Le Jacquot lui, avait fait signe à la Bernadette de venir aider à relever Agnès qui était restée assise sur la terre battue, les fesses dans l’humidité du sol et de l’urine… Bernadette aida la jeune femme à se relever et avant de la faire asseoir sur le banc, lui essuya les fesses toutes ruisselantes avec un torchon pris sur le panier aux provisions. Puis, lorsqu’Agnès fut assisse sur le banc, elle la renversa un peu de sorte que le dos d’Agnès fut appuyé au bord de la table, juste à côté de Brigitte qui continuait de se faire baiser en levrette. La Bernadette lui écarta les cuisses, bien large et s’adressant au Jacquot, elle l’invita à venir se servir.
- '' Aller, vas-y mon Jacquot, je sais que tu aimes ça… ! Lécher une femme qui vient de pisser…Vas-y, nettoie-lui la fontaine, la garce n’attend que ça, tu peux en être sûr… mets ta langue bien profond dans le trou qui pisse, et même le reste si tu veux !… ''. La vulgarité des propos choquèrent profondément Agnès, qui eut un haut-le-cœur à l’évocation de sa moule où devait perler encore des gouttes d’urine. Sa pudeur s’insurgea et se rebellant au plus profond d’elle-même, la fit frissonner… Cependant, elle savait bien qu’elle avait encore envie, confusément, mais de façon très intense, que sa chatte soit léchée, sucée, baisée et prise encore… Elle se sentait saoule aussi. Pas au point de ne plus pouvoir bouger et de ne rien ressentir, non, mais quand même tout ce vin bu l’engourdissait et lui tournait la tête, ralentissant son esprit. Le fait d’avoir changé de position et d’être à demi-couchée sur le bord de la table accentuait encore ses vertiges d’ivresse. Là, maintenant, sans savoir comment cela lui était venu, l’image de la bite énorme et difforme du Françou s’imposa à elle au point de ne pouvoir la chasser de son esprit. A l’idée de ce vit fabuleux et d’une langue dans sa vulve, elle sentit son clitoris se rengorger et se dilater en haut de sa fente…
Déjà, le Jacquot était à genoux entre ses cuisses et commençait à lui lécher la vulve et le cul. Elle tressaillit encore plus fort. Au point que le Jacquot s’en aperçut et s’en réjouit :
- '' Eh, eh, eh… ! Ma belle, ma langue te fait un bon effet à ce que je vois !... T’as une si jolie chatte, qu’on la mangerait… ! Tu préfères ma langue sur le bouton, dans ton trou de pute et dans ton joli petit cul… ? Hein, choisit… ! '' Agnès ne répondit pas mais fut troublée plus qu’elle s’en croyait capable. Devant le silence d’Agnès à sa question, il ajouta :
- '' Oui, tu la veux partout hein, c’est ça, salope !... Tu aimes te faire sucer ma belle ! Eh bien on va s’en occuper ! '' Et alors qu’il revenait vers la fente d’Agnès il lui demanda :
- '' Dis-moi, ma jolie, t’as jamais essayé de faire la putain et de gagner des sous avec ton cul ?...''
- '' T’inquiète pas pour elle, va mon Jacquot !... Il y a longtemps qu’elle sait s’en servir de son cul ! Hein pas vrai !'' ajouta la Bernadette, qui avait commencé à branler le Jacquot et le suçait, assise à même la terre battue de la cave entre les jambes de l’homme.
- '' Vas-y, oui, profites-en bien mon beau Jacquot, dit la Brigitte. suce-là et bouffe-lui le minou… ! Moi aussi, je me fais baiser et j’aime ça, surtout avec des jeunots ! Et je sais que aimes que je sois prise et que je jouisse le plus possible, hein mon Jacquot ?...''. Elle était maintenant couché le dos sur la table et se faisait prendre à la missionnaire par Johann tout en suçant Adrien qui, à genoux sur la table bandait pour elle. Elle ajouta encore à l’adresse d’Agnès:
- '' Hein, petite salope, tu ne t’imaginais pas que nous ici à la campagne, nous aimions la baise nous aussi, hein ?... Tu aimes ça aussi, on le sait !… Alors tu vois la petite surprise de ce soir, tu dois aimer, hein… ! Et tu vas aimer encore davantage tout à l’heure, hein, la jolie putain B.C.-B.G. !… ''.
Agnès fit un effort pour tenter de comprendre tous les mots qui lui étaient ainsi balancés…. Pour l’instant elle se laissait aller à la langue du Jacquot. Il faut dire que tout rustre qu’il était, il savait sucer et lécher une femme… Et puis, Agnès était tellement en attente de jouir et de se libérer qu’elle s’abandonnait maintenant aux caresses du parton. Il lui avait mis un doigt dans le cul pendant qu’il la suçait ; et d’être ainsi limée doucement derrière, c’était pour elle un plus incontestable…
A deux travées de tonneaux, elle voyait Le Françou et l’Armand qui avaient pris Elise sous chaque cuisse, comme on aurait tenu un bébé pour lui faire faire pipi… Ainsi bien écartée, elle avait pissé en un jet dense et violent qui n’en finissait pas, entre les deux barriques, jusqu’au mur où la pisse ruisselait. Puis le Françou l’avait couchée sur un tonneau et tandis qu’elle suçait Armand, il lui léchait la fente encore ruisselante d’urine chaude. La petite brune haletait de plaisir…
Après un temps, il revint à l’esprit d’Agnès les propos de la Bernadette et de Brigitte… Où avaient-elles pris ce qu’elles avançaient l’une et l’autre ? Qu’est-ce qu’elles savaient au juste pour tenir à ce genre de propos ? Décidément, ces deux là étaient de connivence… Quelque chose clochait pour Agnès, dans le fait qu’elle se retrouve dans cette situation là, avec tout ce qui se passait pour elle ce soir… Plus la soirée avançait et plus elle se disait qu’elle ne se trouvait pas là par hasard… Il y avait dans ce qui se passait ici ce soir, quelque chose de pas clair et qu’elle ne parvenait pas à comprendre ni à s’expliquer. Et puis ces remarques sibyllines et chargées d’un sens qui ne se disait pas ! Qu’est-ce qui pouvait bien se tramer ?… Mais déjà, la langue du Jacquot, la ramenait à des choses plus terre à terre ou du moins l’empêchait de se centrer sur ses souvenirs, court-circuitait sa raison et sa réflexion et la ramenait sur son corps et ses émotions. Elle sentait qu’elle allait encore jouir et elle tenta de contrôler son orgasme pour ne pas laisser partir le flot de cyprine et se tordre comme un ver comme à son habitude. Elle essayait au contraire de distiller sa liqueur par petites décharges de façon à les rendre presqu’imperceptibles à son lécheur…
Hubert était venu se mettre à genoux sur la table, au-dessus de la tête d’Agnès. Sa bite et surtout ses couilles à toucher la bouche de la belle bourgeoise. Il avait abandonné la blonde Hélène qui, saoule, avait fini par glisser entre deux tonneaux et y cuvait son vin, les fesses sur la terre battue, une épaule appuyée sur une barrique et les cheveux épars sur ses seins menus, ce qui lui donnait un air de petite sirène non terminée… Agnès se mit à sucer presque machinalement le membre pourtant bien bandé du jeune garçon. Non qu’elle n’en eût pas envie : il lui était agréable de le sucer et aussi de lui lécher et de lui manger les couilles, mais c’était le membre du Françou qui lui prenait l’esprit et il lui était difficile de faire la part belle au sexe du jeune homme, un peu quelconque il faut bien l’avouer…
Johann, lui, qui décidément avait une belle santé, continuait de baiser Brigitte bien à fond, sans précipitation et avec application. Manifestement il lui faisait du bien, car elle accompagnait le plus possible les coups de reins du garçon et de ses jambes passées en tenaille sur les hanches de son fouteur, l’appliquant encore davantage sur elle. Adrien, que Brigitte avait un temps sucé pendant qu’elle se faisait baiser, était parti de la table ; et depuis, Johann et Brigitte se roulaient des patins profonds et passionnés.
Adrien, était venu rejoindre la Bernadette, sous le banc où se trouvait Agnès. Il s’occupait de la grande femme qui elle-même branlait et suçait le membre du Jacquot. En réalité, le garçon brun branlait par-dessous la Bernadette, qui pour l’heure, s’était mis à genoux parallèlement au banc et proposait ainsi sa croupe large au jeune homme. Adrien, presque couché sous elle, lui embrassait les seins tandis que d’une main il lui branlait la fente. La paysanne gémissait de façon étouffée ayant dans la bouche le vit du Jacquot… Adrien devait lui faire beaucoup de bien, car Agnès l’entendait râler et marmonner à ses pieds, des interjections incompréhensibles qui allaient des : '' Haourgth !'', aux : ''Rattuouf…'', en passant par les : ''Ahouert !'' et les ''Ouhrfthg !!''… Bientôt la Bernadette, sans quitter la bite qu’elle suçait, s’arrangea pour faire passer Adrien sous elle. Elle l’enjamba et se mis au-dessus de lui comme en 69 ; il commença alors à la sucer et à la gamahucher.
C’est à peu près à ce moment qu’Agnès revint à son plaisir. Décidément le Jacquot savait faire monter en elle ce qu’il fallait pour qu’elle éclate. Elle avait beau se concentrer sur son ventre, son pubis, sa vulve et son œillet, il n’y avait rien à faire, elle ne pouvait plus contrôler la vague qu’elle sentait monter en elle… Son lécheur avait avancé sa langue profondément dans le trou de son vagin et il en lustrait l’intérieur, juste au-dessus du pipi-trou, là où se situait son ''point G.'', qu’elle connaissait bien. Pourtant elle savait ce point bien souvent difficile à atteindre de la part de ses fouteurs et plus encore de ses lécheurs… La belle infirmière savait que lorsqu’elle était touchée là au ''point G.'', elle était refaite. Impossible pour elle de se maîtriser et elle ne le savait que trop !…
Elle avait conscience que, comme d’habitude dans ces situations où le ''point G.'' était contacté, elle allait déferler et fondre dans un flot de cyprine. Elle ne tarda pas à être agitée de signes avant-coureurs : ses hanches et son ventre s’animèrent comme une marée qui boute sur la paroi d’une falaise. Sa tête, entre les jambes d’Hubert, allait d’un côté sur l’autre, les cheveux affolés. Ses bras commencèrent à faire de grands moulinets désordonnés, heurtant le bord de la table, comme s’ils n’obéissaient plus à des mouvements cohérents… Son bassin se souleva et se crispa fortement, elle faillit glisser du banc et tomber à terre. Heureusement qu’Hubert lui saisit les épaules et que Jacquot, passant ses bras forts sous les cuisses d’Agnès, la remontèrent. Ils arrivèrent à lui faire poser les fesses sur le bord de la table. Et là elle explosa littéralement. Avec des râles énormes et des cris suraigus, elle déchargea comme une folle en jets denses et puissants qui atteignirent le Jacquot en pleine face, avant de passer au-dessus des épaules de l’homme et de percuter les cuves et les tonneaux à deux bons mètres de la table… Le Jacquot en avait partout, il était aspergé de cyprine chaude, claire et légèrement baveuse, la face, les cheveux, le cou, la poitrine et même la bite en avaient attrapé. Il en était dégoulinant. Agnès sous l’intensité de la décharge s’était, comme à son habitude, tétanisée. Les coudes sur la table, les fesses au bord de la table, les pieds sur le banc, elle put s’accorder un moment de relâchement…
Le petit groupe d’Elise, avec Armand et le Françou était accourut du fond aux cris que poussait la belle bourgeoise ; ils avaient donc pu assister à la scène et à la force de la décharge de la jeune femme. Le Jacquot se tournant vers eux et en riant, dit tel un plongeur sortant de l’eau :
- '' Ahhh, la salope ! Regardez-moi ça, vous autres !... Hein, c’est-y pas vrai ! Une pisseuse comme ça !! J’ai jamais vu ça !... Et j’en ai partout !... Il se passa la langue sur les lèvres et ajouta : et c’est du bon jus croyez-moi !''. Les autres le regardaient les riant.
- '' Et moi non plus !... Je n’ai jamais vu ça !..., ajouta Elise, qui restait complètement médusée de ce qu’elle venait de voir. Décharger comme ça, c’est inouï !... ''
- '' Putain, continua Armand, t’as vu comment elle te balance ça… A deux mètres, au moins !... Et quand tu te le prends dans la gueule, je t’assure que tu en as pour ton argent !... ''.
- '' Ah, la cochonne, vous avez vu comme ça a fusé de sa chatte ?..., reprit le Jacquou, puis, montrant aux autres la fente d’Agnès, qui écartait toujours les jambes. Ah, la garce !... Pour une pissée, c’est pas une petite !... Jamais on pourrait croire, à voir la bourgeoise comme ça, hein ? ! ''
Agnès était restée là, affalée, les fesses sur tout au bord de la table, appuyée sur ses avant bras, à demi hébétée par sa jouissance. Elle reprenait peu à peu ses esprits. Au pied du banc, il y avait toujours Adrien sous la Bernadette, celle-ci se faisant sucer. Ils n’avaient pas interrompu leur position et c’est tout juste, si la Bernadette avait pris le temps de remarquer l’événement qui avait arrêté tout le monde… Tout le monde sauf aussi Brigitte et son jeune fouteur. Tous deux avaient continué leur baise, sans plus s‘émouvoir.
Mais passé le moment de surprise la Brigitte reprit l’avantage. Voyant que l’autre prenait un pied d’enfer, et peut-être jalouse du fait, bien qu’elle fût baisée depuis un bon moment déjà, et pas trop mal sans doute, elle repoussa Johann dont elle se dégagea. Puis, poussant de la même façon Hubert qui se tenait à la tête d’Agnès, elle vint se mettre à califourchon sur le visage de la jeune femme, les fesses sur son front et le clitoris au niveau de sa bouche, en disant :
- '' Dis-donc, la jolie dame de la ville, ce n’est pas la peine de faire tant ta mijaurée, pour ensuite jouir comme une folle et décharger partout, en aspergeant mon Jacquot, au point que tu le voies maintenant tout dégoulinant !... T’es une sacrée jouisseuse, toi !... Faut pas t’en promettre, hein, faut t’en donner, pas vrai !... Eh bien tu vas voir que je vais t’en donner aussi moi !... Aller, te fais pas prier !... Lèche-moi salope !... Lèche-moi bien la chatte ! ''. Disant cela, appuyée en arrière sur ses mains et les pieds posés sur la table de part et d’autre d’Agnès, elle s’écarta encore davantage les fesses au-dessus du visage de la jeune femme. Bernadette mit son grain de sel :
- '' Oui, vas-y Brigitte, te gêne pas !... Fais-toi bien lécher le cul par la belle garce… Cela la changera de sucer les types, et puis elle verra que nous aussi, on sait s’amuser !... Pas vrai le Jacquot ?!... ''
Agnès était décontenancée par ce que la Brigitte mettait en place. Où voulait-elle en venir ? Qu’est-ce qu’elle manigançait à vouloir se faire sucer par une femme. Qu’elle fasse baiser Agnès et qu’elle l’humilie, même si cela la blessait évidemment, elle pouvait le comprendre, mais se mettre sur elle pour se faire sucer devant tout le monde, vraiment elle ne comprenait pas… Certes, dans des soirées ou des parties avec ses nombreux amants, Agnès avait déjà été amenée à sucer des femmes, à faire l’amour avec également… Mais c’était toujours dans des situations précises et librement consenties. En plus les femmes ne lui déplaisaient pas et faire l’amour avec certaines, la plupart de celles rencontrées d’ailleurs, avait été pour elle un plaisir tendre, doux dont elle gardait un bon souvenir (voir le récit : '' Des expériences très libérées '') … Et même là, dans la situation de ce soir, elle devait reconnaître que la craquette de la Brigitte était plutôt appétissante, et que même si la vulve de la rousse était très mouillée par la baise et les léchages de la soirée, elle avait une belle forme et elle était bien dessinée…
La Brigitte d’un léger mouvement de son bassin d’avant en arrière, se frottait doucement, sans trop appuyer, sur le visage d’Agnès. De sorte que l’arrête du nez, la bouche et le menton de l’infirmière semblaient être devenus le rail de la coulisse des fesses, de la fente et du pubis de la jeune patronne… Après une courte hésitation, Agnès accepta de faire ce que les mouvements de la rousse lui imposaient : elle avait ouvert la bouche et de sa langue fouillait la caverne juteuse de la jeune femme. Son nez lui frottait doucement la rosette et le menton branlait le clitoris, où il venait y buter à chaque retour en avant du bassin de la Brigitte… Celle-ci s’abandonna aux caresses et en oublia un temps ses sarcasmes et ses sous-entendus, pour se laisser aller plus sincèrement :
- '' Oh, oui… C’est bon ma cochonne ! Vas-y, vas-y !... Tu lèches bien toi, tu sais !... Ta langue est douce, fourre-moi là bien dans le trou du con et aspire…''. Agnès sans s’en rendre compte obéissait, tant elle y prenait du plaisir, elle aussi. Elle aspira les petites lèvres de Brigitte et pompa son trou à bites, pour en aspirer le nectar. Brigitte en avait un plaisir immense :
- '' Oui là, comme ça, c’est bon, c’est… Vas-y suce ma belle, suce-moi bien à fond… T’es une salope, mais j’aime ça… ! Oh oui, j’aime ça… Passe bien ton bout de nez sur mon cul… Oui, comme ça tourne-le bien, là… Oh lala que c’est bon !... ''.
Un nouveau tableau s’installa : Agnès couchée en travers de la table, les pieds sur le banc, écartait les cuisses et le jeune Johann la baisait très doucement, comme s’il n’osait pas. Elise, un genou sur le banc léchait le clito d’Agnès et de temps à autre, enfournait la bite de Johann lorsqu’il désenconnait l’infirmière. La petite Elise était elle-même prise en levrette par Armand. Le Françou qui s’était remis à bien bander, était venu se mettre près de la patronne, debout sur la table. La Brigitte, en position arrière sur ces mains, les fesses ouvertes au-dessus d’Agnès, se faisait sucer qu’en même temps elle suçait le membre énorme et déformé du Françou… Derrière Brigitte, sur le banc de l’autre côté de la table se tenait Hubert, à genoux, qui l’embrassait dans le cou et surtout la soutenait aux épaules ce qui lui libérait une de ses mains, avec laquelle elle avait commencé à se branler au-dessus du visage d’Agnès qui lui léchait la fente… Au pied de la table tout près du groupe d’Agnès et presque en face d’elle, le Jacquot était debout, sucé par la Bernadette, qui était toujours tête-bêche sur Adrien. Sous la table, le portugais complètement saoul branlait la portugaise ivre morte, en essayant de caler son rythme sur ceux de l’étage au-dessus de lui, c’est-à-dire ceux du dessus de la table…
Tout en suçant le Jacquot, la Bernadette surveillait d’un œil vif ce qui se passait juste au niveau de ses yeux : et surtout la Brigitte qui se branlait sur Agnès et pompait son Françou. Les râles de la grande femme étaient montés d’un ton, sans doute parce qu’Adrien mettait tout le cœur nécessaire pour la sucer et la langotter… Il faut dire que le Jacquot, comme il l’avait fait avec la portugaise, se faisait pomper le dard par Bernadette, mais de temps en temps il lui retirait sa queue et il lui mettait un goulot de bouteille dans la bouche et lui versait ainsi de bonnes rasades de pinard. C’est dire si depuis le temps que durait ce manège, même si la vieille tenait bien le vin, elle commençait à être saoule et avait presque son compte. D’ailleurs, elle commençait à jurer et à blasphémer en gueulant presque ses propos :
- '' Vas-y, ma Brigitte... Vas-y ! Branle-toi sur la petite putain ! Hein, qu’elle fait souvent la putain ! T’es bien placée pour le savoir, toi !... Hein, Brigitte ! J’sais que mon Françou il t’a déjà souvent baisée, hein ma garce… Eh ben t’as eu raison d’en profiter ! Parce que moi j’en ai fait autant avec le tien ! Et d’ailleurs, c’est moi qui le suce à c’heure… ! Et la putain qui te lèche, elle est bonne ? En tout cas, mon p’tit brun, il me fait du bien… Rien que du bien ! Vas-y mon joli … ! Oh putain, que c’est bon !... C’est bon !!!... ''
- '' Oh oui, c’est bon !! C’est bon !!!'' lui répondait Brigitte en écho… Elle se branlait maintenant très vivement, presque frénétiquement sur le nez d’Agnès. Un doigt appuyé sur son clitoris que le menton d’Agnès frottait. Le clito de la rousse était maintenant très proéminent, au point qu’Elise qui avait la tête sur le pubis d’Agnès pour gober de temps en temps le sexe de Johann, s’en aperçut :
- '' Ben dis-donc la patronne, t’as la chatte en feu, tu bandes comme une trainée !... Ton bouton d’amour est tout rouge et ressorti ; et tes lèvres sont toutes gonflées... ! Oh lala ! ''. Elise avait sans doute l’incrédulité de sa jeunesse : elle n’avait jamais eu encore l’occasion de voir de près la chatte excitée d’une femme de trente cinq ans sur le point de jouir. Johann tout en enconnant Agnès s’était penchée en avant par-dessus elle, pour voir de plus près, entre les jambes de Brigitte, ce qu’Elise soulignait. Le Françou, ayant retiré sa queue de la bouche de Brigitte ; lui aussi s’était penché par côté pour lui voir l’entrejambes de la patronne. De même le Jacquot regardait entre les cuisses de sa femme sans rien en perdre. Tous ou presque recentraient leur attention sur la vulve de la Brigitte. Sa fente était devenue en quelques instants le pôle d’intérêt de tous les voisins de proximité du groupe…
Et là, sans doute parce qu’elle se sentait observée, la patronne monta d’un cran dans la préparation de son extase. Rien d’étonnant pour une femme qui aime le sexe et la baise, à ce que cette centration sur son intimité en action décuple son excitation. La belle coquine fit des mouvements de hanches encore plus amples, plus appuyés et plus rapides se branlant ainsi plus fortement sur le visage d’Agnès. Elle commençait à sortir des râles plus forts, plus intenses, plus synchrones avec ses mouvements. Sa fente et son cul frottaient maintenant très fort sur les lèvres et le nez d’Agnès… La belle garce, montait son orgasme avec des '' Ahhhh !'' de plus en plus forts :
- '' Ah putain, que c’est bon !... C’est bon… ! Ahhhh … Je vais jouir ! Je vais jouir… Ca y est !... Je jouis… ! Regardez ma fente !... Là ! Regardez-là !... Ouiiiiii… Je jouiiiiiiiiis ! ''
Et là, brusquement, la jolie garce, se souleva un peu plus, au-dessus du visage d’Agnès, et se frottant le clito et l’entrée du trou d’un va et vient frénétique de son doigt, elle explosa. Elle envoya un premier jet de cyprine brûlant qui se fracassa sur la poitrine de Johann qui avait de nouveau enconné Agnès, atteignit la tête d’Elise et coula sur les seins d’Agnès avant de venir mourir sur son menton. Et déjà un autre jet tout aussi violent et chaud empruntait le même chemin, inondant tout ce qui était en face et en dessous. La rousse se contracta encore un peu plus et deux ou trois autres jets de liqueur s’échappèrent encore de sa vulve ouverte et turgescente, faisant se rengorger le clito qui palpitait, juste en dessous de la petite touffe rousse de son pubis. Brigitte s’arcboutait sur les mains d’Hubert qui lui maintenait les épaules… Elle continuait de décharger avec moins de violence et sa cyprine coulait maintenant doucement en nappes de son con très rouge et largement ouvert…
Agnès était pleine du foutre chaud de la belle coquine rousse. Elle en avait partout sur le visage, sur le cou, sur les seins, le ventre et même son pubis où la liqueur perlait dans ses poils… Agnès sentait avec un tout petit de retard sur sa branleuse, qu’elle déchargeait aussi sur le vit de Johann qui continuait de l’enconner… Elle ressentit alors un plaisir apaisant comme libérateur… En fait, elle était libérée de n’être pas sur ce coup là le centre d’intérêt et elle put alors doucement, sans faire de bruit se laisser aller à sa jouissance...
Mais ce calme fut de courte durée, quelques dizaines de secondes au plus, car sans doute excitée par la jouissance de la Brigitte, la Bernadette se mit à jouir à son tour en gueulant des insultes et des jurons comme un charretier ; ou plutôt elle réclamait à Adrien d’aller au bout de son orgasme :
- '' Ahhhhh… Putain, ta langue est bonne mon salaud !...Mets-là bien dans le trou, Oui, comme ça dans le trouoooouu ! Oui, oui, bien au fond du trou !!... J’aime ça !… Oui, j’aime ça… Lèche-moi bien ! Oh lala !... Oui !... Mets-moi ton nez dans le cul !! Dans le cul… Ouiiiiiiii !!! C’est trop ! C’est trop ! Je veux que tu me baises maintenant ! Baise-moi !!… Mets ta bite dans le trou… J’en peux plus moi !... Vas-y bordel de merde ! Vas-y…'', et tandis que le garçon sortait de sous elle et se mettait à genoux derrière et la prenait en levrette, elle continuait, en gueulant comme si on n’avait pu l’entendre :
- '' Vas-y baise-moi bien à fond !… Bien à fond, t’entends !!... Là, oui c’est bon ! Pousse bien ta bite au fond, que je sente tes couilles taper sur mon clito… Ooooooooohh, oui … C’est bon comme ça… Regarde le Françou, ta Bernadette se fait baiser par un jeunot… ! Et bien, sais-tu… ! Très bien ! Il me baise bien au fond, le petit salaud !… Oh oui !… Ouiiiii, je jouis là… Je jouiiiis ... ''. La vieille garce à quatre pattes, appuyée sur ses avant bras, ses longs seins très pendants trainant presque sur la terre battue de la cave, déchargeait un foutre épais qui giclait du trou à chaque poussée d’Adrien sur ses fesses…. Lui, en avait partout sur le pubis, bien sûr, mais aussi sur le ventre et les cuisses ; la cyprine épaisse et dense coulait doucement jusqu’au sol de la cave… Mais la vieille était insatiable, on aurait dit qu’elle n’avait pas été baisée depuis des semaines, voire des mois :
- '' Là, oui… Vas-y… Doucement, chéri, doucement …! Oh, là oui… Reste bien au fond… Je jouiiiiis ! Ah putain, que c’est bon… Là… Plus vite maintenant, que je jute bien… Oui !… Oui… '' Elle dirigeait et pilotait son baiseur à sa guise. Adrien, sans doute assez novice, obéissait sans rechigner et faisait dans l’instant, tout ce qu’elle demandait…
- '' Oui… Tu bandes bien mon chéri… C’est bon… Mets-là moi dans le cul, maintenant ! Oui dans le cul… !! Appuyée de ses épaules et de son cou sur le banc, elle s’écarta les fesses de ses mains, Enfile-moi le fion, salaud avec ta jolie pine… Pine-moi le cul, t’entends !... Encule-moi, j’aime ça !… '' Adrien s’exécuta et appuya son gland sur la rosette de la Bernadette qui déjà râlait de la caresse. Le trou du cul s’élargit brusquement et happa la totalité du gland du jeune gars… La bite fut immédiatement avalée en totalité par le cul de la femme mûre. Adrien commença ses va-et–vient dans les entrailles de la vieille salope. Le vit, certes pas très long ni très gros, était englouti jusqu’à la racine à chaque poussée et la vieille venait s’enculer presque toute seule sur lui… Mais dans cet antre très chaud et plus resserré, les allers et retours du garçon déclenchèrent la montée de son orgasme. En quelques instants, le bel Adrien lâcha sa purée dans le rectum de Bernadette en gueulant son plaisir. Celle-ci remonta d’un cran dans sa jouissance…
- '' Aaaaaahhh… Oui, défonce-moi le cul !!... Vas-y décharge, mon joli… Arrose-moi le cul… C’est si bon ! Je sens les soubresauts de ta bite dans mon cul… Vas-y décharge bien à fond !… Te prive pas mon petit, laisse-toi aller ... ''. De la fente de la Bernadette la liqueur épaisse coulait toujours et descendait le long de sa jambe… Lorsque l’Adrien sortit sa queue qui commençait à s’amollir, le foutre du jeune homme pointait au trou du cul de la Bernadette. Elle poussait pour expulser le foutre chaud du garçon, qui coulait doucement du trou de son cul. Elle passait sa main dans la raie de ses fesses, recueillait de son doigt le foutre chaud qui sortait de son cul et se léchait ses doigts avec délectation…
Quand on en fut là, tout le monde était à la même place que précédemment. Agnès, Brigitte, Hubert et le Françou sur la table, Elise à côté sur le banc, enfilée en levrette par Armand. Devant la table, le Jacquot avec à ses pieds Bernadette qu’Adrien finissait d’enculer, sous la table la portugaise et son mari et de l’autre côté de la table, Hélène toujours endormie entre ses deux tonneaux… Il faut dire qu’entre le moment où la Brigitte s’était mise à jouir et le moment où Adrien finissait d’enculer la Bernadette, il ne s’était pas écouler plus de quelques minutes en tout et pour tout…
Le Jacquot interrompit la dégustation de foutre baveux de la Bernadette en appelant à la cantonade :
- '' Allez les amis, la soirée n’est pas finie !... Faudrait boire encore un coup et à ne pas se laisser abattre. Nos femmes ont déchargées, enfin certaines, il faut arroser ça ! Et penser à celles qui vont encore le faire… ''. Déjà le Françou avait sauté de la table et accompagné d’Armand, ils étaient allés dénicher quelques bouteilles que l’on ouvrit de nouveau sur le bout de la table à grands renforts de rire et de jurons. On fit boire les femmes à raison de plusieurs verres chacune.
On réveilla Hélène qu’Hubert et Adrien frictionnèrent énergiquement pour la réchauffer. Ils en profitèrent pour la caresser entre les cuisses et sur ces petits seins qu’Hubert suça bien au passage sous le prétexte de les réchauffer… Elle était ivre, mais son ivresse commençait un peu à se dissiper. Elle était nue et il fallu lui mettre une couverture sur les épaule et sur le dos, tant elle risquait de se retrouver en hypothermie. Le Jacquot était allé prendre une bouteille d’eau de vie sur une étagère en disant :
- '' On va lui faire boire un bon coup de blanche !... Vas-y l’Armand, fais-lui en boire une bonne rasade ! Tu va voir que ça va la requinquer ! Et tu sais, c’est de la bonne, hein, de la vraie de vraie ! '' Adrien maintenait la bouche d’Hélène ouverte et Armand lui versa directement une bonne goulée de la bouteille dans la bouche. Evidemment Hélène eut un haut-le-cœur et elle toussa au point qu’elle faillit vomir et qu’il fallu lui taper dans le dos pour calmer sa toux…
- '' Aller, verse-en une tournée à chacun, qu’on se réchauffe nous aussi !... ''. Armand ne se fit pas prier et versa un bon demi verre à chacun, y compris à la petite portugaise que le bruit des bouteilles et des verres avait réveillé et qui émergeait de dessous la table. Elle but son verre '' cul sec '' en se pourléchant les babines… Pourtant l’eau de vie était raide, de la bonne ''gnole'', comme l’on dit dans le pays. D’ailleurs Agnès qui avait été copieusement servie, refusa d’abord de boire. Puis, comme le Françou et Armand insistaient et surtout que son regard venait de croiser celui de la Bernadette, elle comprit qu’il valait mieux ne pas insister. Elle but l’alcool violent à petits traits, mais déjà le liquide lui brûlait l’intérieur de la bouche et elle tenta de le recracher mais en vain. Il était impossible d’échapper à la vigilance des autres, assise et nue comme elle l’était au milieu de la table, la Brigitte juste à côté d’elle et, en face, au bout de la table, la Bernadette qui ne perdait rien de ses faits et gestes… Pourtant l’alcool lui donna un brusque courage et s’en s’étonnant elle-même, posa les pieds sur le banc pour descendre de la table et dit :
- '' Bien, maintenant écoutez… Il est l’heure que d’aller faire la piqure au Pépé. Toinette a du laisser passer l’heure et a oublié de venir me chercher… '' Elle n’eut pas le temps de descendre complètement de la table que déjà la Brigitte intervenait :
- '' Toi, tu restes là !... Personne ne t’a dit bouger !... Alors tu ne bouge pas, salope ! ''. Le ton était cinglant et sans appel et Agnès resta interdite, bloquant son mouvement et resta là, les pieds sur le banc, assise, les fesses nues sur la table.
- '' Eh !... On n’en a pas fini avec toi ma jolie !'' dit le Jacquot d’une voix pâteuse. Agnès ayant repris un peu ses esprits insista :
- '' Pas fini, peut-être, mais je dois absolument aller soigner le grand-père !... ''.
- '' Laisse le grand-père tranquille !, dit le Jacquot. Ca suffit maintenant ! Tu fais ce qu’on te dit ! Et rassure-toi, il est pas malade, le grand-père… Juste deux ou trois verres de trop, voilà tout !… Et la mère ? demanda-t-il à Brigitte, tu y as donné ce qui faut ? ''
- '' Oui, t’inquiète pas, je lui ai fait prendre sa tisane, elle va dormir jusqu’à midi, la mère… !'' répondit la Brigitte…
Ainsi, c’était donc cela !… Il s’agissait d’un coup monté, on l’avait attirée dans un traquenard. Ils avaient fais saouler le pépé, l’avaient sans doute pour faire croire à une attaque, avaient fait venir l’infirmière, et comme c’était un soir de fêtes et de libations, rien de plus normal, puisqu’il s’agissait du dernier jour de vendanges !... Puis ils avaient la Mémé avec un somnifère…
Agnès comprenait maintenant pourquoi elle n’était pas venue la quérir pour les soins du vieux… Et soudain, il lui revint en mémoire que la Brigitte était sortie de la cave quelques instants, peu de temps après la Toinette, puis elle était revenue comme si de rien n’était… La Brigitte était donc dans le coup. A n’en pas douter, le Jacquot aussi était dans le coup, à voir ce qu’il venait de demander à sa femme… Et puis sans doute aussi la grande Bernadette, à la façon qu’elle avait de contrer systématiquement Agnès et de la prendre en défaut… Qui d’autres, encore ? Le Françou, Armand, peut-être, sans doute même !... Et encore qui ? Les jeunots ? Non, tous les cinq, les deux filles et les trois garçons, sans doute pas ? Et puis surtout Agnès se demandait pourquoi ce complot avait lieu… Dans quels intérêts ? Sa pensée y revenait toujours mais elle butait là-dessus… Comment ces gens qu’elle ne la connaissait pas pouvaient lui en vouloir à ce point ? Et de quoi, grand Dieu pouvait-on lui en vouloir ?
- '' Alors, ça va ?... T’as compris, maintenant, la petite pute ?… T’as compris que ça va être ta fête ce soir ?…'' lui asséna la Brigitte, la rappelant durement à la réalité du moment.
- '' Mais pourquoi ?... Pourquoi ?... !'' cria Agnès, presque désespéré et que cette situation kafkaïenne angoissait fortement.
- '' Ferme-là, t’en sais assez !... trancha Brigitte durement. Tu n’es qu’une petite salope, alors cherche pas ! ''
- '' Et les salopes nous, on sait les recevoir ! Tu peux en être sûre !'' renchérit la Bernadette. Agnès, au bord de la crise de nerfs et sentant l’alcool la chauffer et lui monter à la tête, se révolta :
- '' Ca suffit ! Je ne vous permets pas de me parler sur ce ton et de m’injurier comme ça !... ''.
- '' Oh ! Stop, coupa la Brigitte d’un ton sans appel, ce n’est pas toi qui commande ici ! Alors tu te la boucle, hein !... Et tu fais ce qu’on te dit ! Compris !! ''. Déjà la Bernadette enchaînait avec violence :
- '' Oui vaudrait mieux que tu t’écrases, hein !... On sait que tu es une traînée, une salope ! Tu ne diras quand même pas le contraire, non ?...'' Il y eut un petit silence. Cela allait trop vite pour Agnès qui ne suivait plus et elle n’osa pas protester assez vite… La Bernadette poursuivit :
- '' Disons que puisque l’on savait ça, on a pensé te faire plaisir en te préparant une soirée comme celle là ! Hein, pas vrai les hommes que c’est sympa ce qui se passe là ce soir ! ''
- ''Ah oui, pour sûr ! T’as raison, la Bernadette, c’est une soirée de première !'', dit l’Armand.
- '' Oui, reprit l’édenté, c’est vrai ! La dernière veillée comme ça pour les vendanges, j’avais 35 ans ! Alors tu vois qu’il y a du temps… ! Et la Bernadette qu’en avait trente à peine était saoule comme une grive…''
- '' Ca va, ça va !... Ce soir, il ne s’agit pas de moi !...'' ronchonna la Bernadette, pour couper court aux propos du Françou.
- '' Oui, aller en s’en occupe un peu ou pas ?, râla le Jacquot. J’ai la queue qui demande à servir avant tout ! Putain, la jolie garce, me donne la trique !… J’ai envie de la baiser pour de vrai, moi !… Lui mettre mon truc dans sa foufoune !... Voilà ce que je veux !... Hein, ma Biche, depuis le temps que tu me la promets cette soirée !... J’ai très envie de me la faire, moi !... Je me suis tellement branlé certains soirs en y pensant… Té, là dans le fond de la cave… Je venais me branler là justement ! Il montrait la rangée de tonneaux au fond à une dizaine de mètres. Là où la petite brune est allée pisser tout à l’heure !! ''. Il parlait décidément beaucoup. Le vin et l’eau de vie sans doute… De façon discrète la Bernadette qui était à côté de lui, avait recommencé à le branler. Le salaud bandait de nouveau beaucoup…
- '' Aller, on boit encore un coup, un dernier pour la route dit-il en riant de façon énorme, et on s’en occupe !... Putain !... Armand, Françou, servaient nous, bordel… ! ''
Les deux servirent ce qui restait dans les bouteilles et aussi celle de gnôle. Agnès revenait sans cesse sur ce qu’elle avait pu faire ces derniers temps… Qu’avait-il bien pu se passer pour en arriver là ? Est-ce à propos de ces derniers amants… Elle n’en n’avait pas eu beaucoup de nouveaux ces derniers temps… Les deux ou trois partouses en juillet à Villefranche puis à Lyon, fin août… Peut-être, mais à ce moment là, elle ne serait pas la seule à être là ! La dernière soirée chez le notaire où saoule, elle était tombée dans un traquenard. Deux mecs qu’elle ne connaissait pas avaient ''abusée'' d’elle ?... (Voir le récit : '' Une notoriété de Notaire ''). Non, ce serait trop bête d’être embarqué dans un complot de ce style juste pour cela… Et puis ces gens on ne peut pas dire que ce soient des puritains qui voudraient la punir d’être une débauchée, alors qu’ils le sont eux-mêmes au moins autant !… La belle Agnès avait beau se creuser les méninges et essayer de se rappeler ce qui avait bien pu avoir lieu, en vain…
Elle revint dans le présent au moment où Armand lui mettait un verre au bord des lèvres. Elle avala machinalement le vin âcre et fort, qui déjà lui tournait la tête. La Brigitte était en train de dire à son homme :
- '' Mais oui, mon Jacquot… Tu vas pouvoir la prendre bien à ton aise… Ton beau membre complètement au fond de sa grotte de cochonne… Ne te gêne pas, tu vas en profiter tant que tu voudras…''. Agnès eut un mouvement de révolte qu’elle réprima rapidement. Ainsi, la rouquine disposait de sa personne comme d’une chose ! La coquine tirait les ficelles… Mais pour qui Bon Dieu et pourquoi ?! Enfin si on lui disait de quoi il retourne, sans doute n’accepterait-elle pas davantage ce qu’on lui faisait subir, mais au moins elle pourrait comprendre… Le plus dur, c’était ça : de perdre son libre arbitre et de ne pas comprendre… La baise et la partouse, encore si ce n’était que ça, mais ce truc, ce coup monté, c’était au-dessus de son entendement…
Le Françou se manifestait à son tour :
- '' Eh… Moi aussi, j’aimerais bien en avoir un peu aussi…! Pas vrai la Bernadette, tu m’avais dit que je pourrais aussi la baiser, la jolie dame !... Hein que c’est vrai ! ''. La Bernadette haussa les épaules sans répondre. Et voilà, pensa Agnès, elle était bien dans le complot avec les deux autres et le Françou aussi… Déjà Armand en demandait aussi :
- '' Moi aussi, patronne, vous me l’aviez dit… Que si on vous aidait pour la soirée, à la faire boire et…''.
- '' Tais-toi donc, imbécile ! Tais-toi ! Bien sûr que tu en auras aussi !… Ne sois pas impatient !...'', coupa la Brigitte.
- '' Oui, il y en aura pour tout le monde, ne vous tracassez pas !... Et vous aussi les jeunots, y en aura pour vous aussi !…'', appuya Bernadette.
- '' Aller, aller !!... Assez discuté ! On y va !!...'', dit le Jacquot, dont le membre avait repris de la vigueur grâce aux attouchements et à la langue de la Bernadette.
- '' On y va, j’ai dit ! Armand, Françou, amenez-la au bout de la table, les fesses bien au bord que je la visite un peu. ! ''. Il était de plus en plus saoul et Agnès avait horreur de se faire prendre par un homme ivre. Elle n’entendait plus se laisser faire et elle commença à repousser de ses bras de ses jambes, les deux hommes qui s’emparaient d’elle. Elle cambrait son corps, envoyait ses pieds à travers l’espace et s’arcboutait. Les deux hommes avaient beaucoup de mal à la maîtriser. Voyant cela, Bernadette avait enjambé le banc et empoignait la petite infirmière. Elle lui saisit les poignets qu’elle emprisonna, dans ses mains aussi dures que le fer. Et pour mettre Agnès à la raison, elle monta complètement sur la table, bloqua de ses deux jambes les épaules d’Agnès, les genoux à hauteur des seins de la petite bourgeoise et le bas ventre juste au-dessus du visage de celle-ci.
D’un seul coup, Agnès fut vaincue et cessa de se débattre. Les deux hommes s’emparèrent chacun d’une jambe et lui écartèrent les fesses juste à la lisière du bout de la table. Elle était maintenant paralysée par la force titanesque de la Bernadette, certes, mais aussi parce que celle-ci lui donnait à voir, accroupie qu’elle était juste au-dessus de ses yeux, les cuisses largement écartées.
La grande paysanne était très poilue. Les poils lui descendaient jusque sur l’intérieur des cuisses. Mais c’était surtout la vulve qui était remarquable. Une moule gigantesque, à l’image de la femme qui en était dotée. La fente était énorme dans toutes ses dimensions, en longueur comme en largeur et en épaisseur… Agnès en avait vu pas mal des chattes, et même des grosses et des longues, mais des comme celle-là, jamais ! Les grandes lèvres étaient très renflées et volumineuses, occupant tout l’entrejambe et même au-delà, touchant nettement les cuisses. Entre elles, les petites lèvres se présentaient en lames brunes, très longues et épaisses, aux bords très découpés et dentelés. Ces lèvres sexuelles étaient à peu près aussi larges et grosses que la menotte toute menue d’Agnès. Entre elles, un trou immense et bien ouvert du fait de l’écartement des cuisses de la géante. Un trou à y mettre le poing, tant il était béant. Il ne devait jamais pouvoir se refermer, pensa Agnès. Immédiatement, elle fit le lien avec la biroute énorme du Françou, son mari. Vu le calibre du vit, il n’y avait plus rien d’anormal à voir un trou à bites pareil !... Et puis au-dessus des petites lèvres, à leur commissure, siégeait là-haut comme un pacha dominateur, un clitoris énorme… Là encore, du jamais vu pour Agnès, jamais. Il était démesuré : de la taille du pouce de l’infirmière au moins. Et comme à cet instant il bandait, il n’en était que plus monstrueux. Il surplombait le con ouvert et même les petites lèvres d’au moins cinq centimètres… Une vraie bite en miniature pensa Agnès. Immédiatement son esprit focalisa sur cet organe, qui l’attirait autant que la bite d’un mâle… Elle dût faire un effort pour chasser cette envie de son esprit. Elle comprenait pourquoi, tout à l’heure, le petit Adrien avait autant sucé la Bernadette…Le jeune brun n’avait jamais dû voir un clito aussi extraordinaire dans sa jeune vie…
Le Jacquot s’était préparé debout au bout de la grande table, le vit à quelques centimètres de la fente d’Agnès, dont les fesses étaient quasiment dans le vide. C’était la petite Elise, qui accroupie aux pieds du Jacquot, lui préparait la bite. Elle la suçait, la branlait et l’humectait de salive. Elle-même se faisait lutiner la chatte et sans doute aussi sucer sa petite fente brune, par le portugais toujours allongé sous la table près de sa femme. D’ailleurs son visage à lui, le Pedro était juste à l’aplomb des fesses d’Agnès qui le surplombaient. Celle-ci était couchée, dos sur la table, les avant-bras maintenus sous les genoux de la Bernadette, elle-même à quatre pattes; le Françou et l’Armand lui tenant les jambes hautes et écartées.
Bientôt, Elise jugeant que le membre était bien à point, l’approcha du con d’Agnès et vint l’y frotter. Elle le passait de bas en haut, de la rosette au clitoris avec de doux allers et retours. A chaque passage le gland frottait son petit trou du cul, glissait sur le périnée et remontait doucement en écartant les petites lèvres fines et longues de l’infirmière, puis enfin, il tournait sur le clitoris, le sortant de son capuchon, avant de redescendre pour suivre le même parcours dans l’autre sens… A chacune de ces caresses qu’elle ne souhaitait pourtant pas, Agnès sentait que son bas ventre frémissait et réclamait plus malgré elle… C’était une envie qu’elle n’arrivait pas à dompter : il lui fallait une bite au fond du trou ! Certes, elle était momentanément capable de différer le moment, les caresses que lui prodiguait le gland du Jacquot, superbement manœuvré par Elise, lui permettait d’attendre en augmentant le désir, mais elle savait qu’il faudrait en arriver là et sans doute assez rapidement…
Au-dessus d’elle, la grande fente ouverte de Bernadette lui servait d’horizon. Armand, qui avait laissé sa place à Adrien pour tenir la jambe gauche d’Agnès, était venu s’allonger, dos sur la table juste derrière les fesses de Bernadette. Il lui avait mis un doigt dans le cul. La grande femme qui s’était maintenant accroupie au-dessus du visage d’Agnès, se branlait le clito de la main droite, tandis qu’elle s’était engagé deux de ses doigts dans le trou de baise. La Bernadette commençait à geindre, surveillant les allers et retours de la bite du Jacquot, en face d’elle, ne pouvant s’empêcher de commenter la scène :
- " Vas-y, ma belle Elise, frotte bien le bout la bite du patron dans la fente… Doucement, hein, pour bien la faire monter et bien la faire attendre !... Que la garce n’en puisse plus et se tortille de désir… ! C’est une salope, alors tu sais, tout lui est bon !" Puis elle ajouta à l’adresse d’Armand qui lui avait mis maintenant deux doigts dans l’œillet :
- " Et toi, l’Armand, vas-y…, frotte bien et tourne bien tes doigts dans mon cul… ! Ooohhh, ouiii, que ça fait du bien !!... ". Et elle se branlait la moule ouverte de plus belle.
Derrière elle, à genoux sur le banc et le corps penché en avant au-dessus de la table, la jeune patronne se faisait de nouveau prendre en levrette mais par le Françou cette fois. Elle suçait en même temps Armand qui se trouvait allongé sous ses seins.
La Brigitte geignait doucement de plaisir sous la butée du gros calibre. D’une main elle s’écartait les fesses, tant le vit était gros à passer pour pénétrer sa chatte. Le Françou y allait pourtant doucement et poussait sans à-coups, car il savait qu’il lui dilatait le trou. Vu de dessus, on avait l’impression que le braquemart aux formes torturées n’allait pas droit et qu’il tirait dans les coins. Manifestement, le vit biscornu ne rentrait qu’aux deux tiers de sa longueur, voire seulement à la moitié :
- " Oui, vas-y doucement et bien à fond, Françou…", dit la jolie rousse que le Françou baisait. " On peut dire que tu fais du bien, toi… Et que tu es armé pour faire le bonheur d’une femme… Chaque fois que tu m’enfiles, cela me fait un bien fou !... Mais à condition que tu y ailles doucement… !"
- "Hein, qu’il a ce qu’il faut pour bien emboucher une femme !", dit avec fierté la Bernadette qui se branlait de plus en plus fort au-dessus du visage d’Agnès.
Celle-ci commençait à perdre la tête sous les caresses du gland du Jacquot, mais aussi par tout ce qui l’entourait : la Bernadette qui se branlait le clito et le trou de femelle à quelques centimètres de son nez et de sa bouche, les gémissements de la Brigitte enfilée par le vit difforme dont l’image s’imposait de nouveau à elle ; la petite Hélène couchée sur le banc à côté d’elle et qui se faisait branler par Hubert et Johann… Tout cela commençait à lui chauffer les sangs. La montée du besoin d’assouvir plus directement ses sens et le vin aidant, elle se dit qu’au point où elle en était, il devenait inutile de tenter de jouer les prudes et qu’il fallait qu’elle libère sa retenue.

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