Histoires De La Bienheureuse Agnès H1- 4 Bis

1ère Histoire - Soir d’octobre en Beaujolais – 4 bis –

Episode 4 bis / 6 : Où le lecteur a la confirmation qu’Agnès est tombée dans un traquenard (suite).

Votre attention SVP : suite à une petite erreur de découpage de la présente histoire, cet épisode 4 bis, s’intercale entre l’épisode 4, dont il reprend quelques moments de la fin et l’épisode 5, publié il y a 2 jours. Merci de votre attention

… Elle revint dans le présent au moment où Armand lui mettait un verre au bord des lèvres. Elle avala machinalement le vin âcre et fort, qui déjà lui tournait la tête. La Brigitte était en train de dire à son homme :
- '' Mais oui, mon Jacquot… Tu vas pouvoir la prendre bien à ton aise… Ton beau membre complètement au fond de sa grotte de cochonne… Ne te gêne pas, tu vas en profiter tant que tu voudras…''. Agnès eut un mouvement de révolte qu’elle réprima rapidement. Ainsi, la rouquine disposait de sa personne comme d’une chose ! La coquine tirait les ficelles… Mais pour qui Bon Dieu et pourquoi ?! Enfin si on lui disait de quoi il retourne, sans doute n’accepterait-elle pas davantage ce qu’on lui faisait subir, mais au moins elle pourrait comprendre… Le plus dur, c’était ça : de perdre son libre arbitre et de ne pas comprendre… La baise et la partouse, encore si ce n’était que ça, mais ce truc, ce coup monté, c’était au-dessus de son entendement…
Le Françou se manifestait à son tour :
- '' Eh… Moi aussi, j’aimerais bien en avoir un peu aussi…! Pas vrai la Bernadette, tu m’avais dit que je pourrais aussi la baiser, la jolie dame !... Hein que c’est vrai ! ''. La Bernadette haussa les épaules sans répondre. Et voilà, pensa Agnès, elle était bien dans le complot avec les deux autres et le Françou aussi… Déjà Armand en demandait aussi :
- '' Moi aussi, patronne, vous me l’aviez dit… Que si on vous aidait pour la soirée, à la faire boire et…''.
- '' Tais-toi donc, imbécile ! Tais-toi ! Bien sûr que tu en auras aussi !… Ne sois pas impatient !.

..'', coupa la Brigitte.
- '' Oui, il y en aura pour tout le monde, ne vous tracassez pas !... Et vous aussi les jeunots, y en aura pour vous aussi !…'', appuya Bernadette.
- '' Aller, aller !!... Assez discuté ! On y va !!...'', dit le Jacquot, dont le membre avait repris de la vigueur grâce aux attouchements et à la langue de la Bernadette.
- '' On y va, j’ai dit ! Armand, Françou, amenez-la au bout de la table, les fesses bien au bord que je la visite un peu. ! ''. Il était de plus en plus saoul et Agnès avait horreur de se faire prendre par un homme ivre. Elle n’entendait plus se laisser faire et elle commença à repousser de ses bras de ses jambes, les deux hommes qui s’emparaient d’elle. Elle cambrait son corps, envoyait ses pieds à travers l’espace et s’arcboutait. Les deux hommes avaient beaucoup de mal à la maîtriser. Voyant cela, Bernadette avait enjambé le banc et empoignait la petite infirmière. Elle lui saisit les poignets qu’elle emprisonna, dans ses mains aussi dures que le fer. Et pour mettre Agnès à la raison, elle monta complètement sur la table, bloqua de ses deux jambes les épaules d’Agnès, les genoux à hauteur des seins de la petite bourgeoise et le bas ventre juste au-dessus du visage de celle-ci.
D’un seul coup, Agnès fut vaincue et cessa de se débattre. Les deux hommes s’emparèrent chacun d’une jambe et lui écartèrent les fesses juste à la lisière du bout de la table. Elle était maintenant paralysée par la force titanesque de la Bernadette, certes, mais aussi parce que celle-ci lui donnait à voir, accroupie qu’elle était juste au-dessus de ses yeux, les cuisses largement écartées.
La grande paysanne était très poilue. Les poils lui descendaient jusque sur l’intérieur des cuisses. Mais c’était surtout la vulve qui était remarquable. Une moule gigantesque, à l’image de la femme qui en était dotée. La fente était énorme dans toutes ses dimensions, en longueur comme en largeur et en épaisseur… Agnès en avait vu pas mal des chattes, et même des grosses et des longues, mais des comme celle-là, jamais ! Les grandes lèvres étaient très renflées et volumineuses, occupant tout l’entrejambe et même au-delà, touchant nettement les cuisses.
Entre elles, les petites lèvres se présentaient en lames brunes, très longues et épaisses, aux bords très découpés et dentelés. Ces lèvres sexuelles étaient à peu près aussi larges et grosses que la menotte toute menue d’Agnès. Entre elles, un trou immense et bien ouvert du fait de l’écartement des cuisses de la géante. Un trou à y mettre le poing, tant il était béant. Il ne devait jamais pouvoir se refermer, pensa Agnès. Immédiatement, elle fit le lien avec la biroute énorme du Françou, son mari. Vu le calibre du vit, il n’y avait plus rien d’anormal à voir un trou à bites pareil !... Et puis au-dessus des petites lèvres, à leur commissure, siégeait là-haut comme un pacha dominateur, un clitoris énorme… Là encore, du jamais vu pour Agnès, jamais. Il était démesuré : de la taille du pouce de l’infirmière au moins. Et comme à cet instant il bandait, il n’en était que plus monstrueux. Il surplombait le con ouvert et même les petites lèvres d’au moins cinq centimètres… Une vraie bite en miniature pensa Agnès. Immédiatement son esprit focalisa sur cet organe, qui l’attirait autant que la bite d’un mâle… Elle dût faire un effort pour chasser cette envie de son esprit. Elle comprenait pourquoi, tout à l’heure, le petit Adrien avait autant sucé la Bernadette…Le jeune brun n’avait jamais dû voir un clito aussi extraordinaire dans sa jeune vie…
Le Jacquot s’était préparé debout au bout de la grande table, le vit à quelques centimètres de la fente d’Agnès, dont les fesses étaient quasiment dans le vide. C’était la petite Elise, qui accroupie aux pieds du Jacquot, lui préparait la bite. Elle la suçait, la branlait et l’humectait de salive. Elle-même se faisait lutiner la chatte et sans doute aussi sucer sa petite fente brune, par le portugais toujours allongé sous la table près de sa femme. D’ailleurs son visage à lui, le Pedro était juste à l’aplomb des fesses d’Agnès qui le surplombaient. Celle-ci était couchée, dos sur la table, les avant-bras maintenus sous les genoux de la Bernadette, elle-même à quatre pattes; le Françou et l’Armand lui tenant les jambes hautes et écartées.

Bientôt, Elise jugeant que le membre était bien à point, l’approcha du con d’Agnès et vint l’y frotter. Elle le passait de bas en haut, de la rosette au clitoris avec de doux allers et retours. A chaque passage le gland frottait son petit trou du cul, glissait sur le périnée et remontait doucement en écartant les petites lèvres fines et longues de l’infirmière, puis enfin, il tournait sur le clitoris, le sortant de son capuchon, avant de redescendre pour suivre le même parcours dans l’autre sens… A chacune de ces caresses qu’elle ne souhaitait pourtant pas, Agnès sentait que son bas ventre frémissait et réclamait plus malgré elle… C’était une envie qu’elle n’arrivait pas à dompter : il lui fallait une bite au fond du trou ! Certes, elle était momentanément capable de différer le moment, les caresses que lui prodiguait le gland du Jacquot, superbement manœuvré par Elise, lui permettait d’attendre en augmentant le désir, mais elle savait qu’il faudrait en arriver là et sans doute assez rapidement…
Au-dessus d’elle, la grande fente ouverte de Bernadette lui servait d’horizon. Armand, qui avait laissé sa place à Adrien pour tenir la jambe gauche d’Agnès, était venu s’allonger, dos sur la table juste derrière les fesses de Bernadette. Il lui avait mis un doigt dans le cul. La grande femme qui s’était maintenant accroupie au-dessus du visage d’Agnès, se branlait le clito de la main droite, tandis qu’elle s’était engagé deux de ses doigts dans le trou de baise. La Bernadette commençait à geindre, surveillant les allers et retours de la bite du Jacquot, en face d’elle, ne pouvant s’empêcher de commenter la scène :
- " Vas-y, ma belle Elise, frotte bien le bout la bite du patron dans la fente… Doucement, hein, pour bien la faire monter et bien la faire attendre !... Que la garce n’en puisse plus et se tortille de désir… ! C’est une salope, alors tu sais, tout lui est bon !" Puis elle ajouta à l’adresse d’Armand qui lui avait mis maintenant deux doigts dans l’œillet :
- " Et toi, l’Armand, vas-y…, frotte bien et tourne bien tes doigts dans mon cul… ! Ooohhh, ouiii, que ça fait du bien !!.
.. ". Et elle se branlait la moule ouverte de plus belle.
Derrière elle, à genoux sur le banc et le corps penché en avant au-dessus de la table, la jeune patronne se faisait de nouveau prendre en levrette mais par le Françou cette fois. Elle suçait en même temps Armand qui se trouvait allongé sous ses seins.
La Brigitte geignait doucement de plaisir sous la butée du gros calibre. D’une main elle s’écartait les fesses, tant le vit était gros à passer pour pénétrer sa chatte. Le Françou y allait pourtant doucement et poussait sans à-coups, car il savait qu’il lui dilatait le trou. Vu de dessus, on avait l’impression que le braquemart aux formes torturées n’allait pas droit et qu’il tirait dans les coins. Manifestement, le vit biscornu ne rentrait qu’aux deux tiers de sa longueur, voire seulement à la moitié :
- " Oui, vas-y doucement et bien à fond, Françou…", dit la jolie rousse que le Françou baisait. " On peut dire que tu fais du bien, toi… Et que tu es armé pour faire le bonheur d’une femme… Chaque fois que tu m’enfiles, cela me fait un bien fou !... Mais à condition que tu y ailles doucement… !"
- "Hein, qu’il a ce qu’il faut pour bien emboucher une femme !", dit avec fierté la Bernadette qui se branlait de plus en plus fort au-dessus du visage d’Agnès.
Celle-ci commençait à perdre la tête sous les caresses du gland du Jacquot, mais aussi par tout ce qui l’entourait : la Bernadette qui se branlait le clito et le trou de femelle à quelques centimètres de son nez et de sa bouche, les gémissements de la Brigitte enfilée par le vit difforme dont l’image s’imposait de nouveau à elle ; la petite Hélène couchée sur le banc à côté d’elle et qui se faisait branler par Hubert et Johann… Tout cela commençait à lui chauffer les sangs. La montée du besoin d’assouvir plus directement ses sens et le vin aidant, elle se dit qu’au point où elle en était, il devenait inutile de tenter de jouer les prudes et qu’il fallait qu’elle libère sa retenue. Elle s’entendit dire, comme sil s’agissait de quelqu’un d’autre qui parlait :
- " Oh, oui…. Ouiiii… Je veux la bite dedans !... Là, maintenant !... Elise, arrête-la dans la fente et enfonce-la moi dans le trou !... Ooohhh… Oui, oui dans le trou !... Dans le troooooou… !! "
- " Ah la bonne heure !..., s’emporta la Bernadette. Ca y est, elle est mûre la salope ! Elle en veut !... Je savais bien qu’elle ne tiendrait pas longtemps à ce régime !... Enfile-la le Jacquot !... Ma petite, mets-lui bien la bite dans le trou puisqu’elle le demande…!", dit-elle à l’adresse d’Elise.
Celle-ci qui était resté un instant interdite par la demande d’Agnès, s’empressa d’exécuter la commande de la Bernadette et enfila le gland épais du Jacquot dans le trou à baiser de l’infirmière. Agnès chavira. La tête de la bite plutôt grosse qui lui glissait dans le vagin la fit défaillir. Le Jacquot commença des va-et-vient dans l’antre de la jeune femme. Elise par-dessous, accompagnait les mouvements de l’homme et lui léchait les couilles. Puis, elle introduisit un doigt dans la petite rondelle d’Agnès, dont elle caressait les alentours de ses autres doigts… Cette caresse associée à la baise profonde de son vagin la combla d’aise…
La Bernadette, qui de sa position dominante surveillait tout, ne s’y trompa pas :
- " Ah la putain, elle va jouir encore la salope, c’est bien la preuve que c’est une baiseuse de première et qu’elle ne dise pas le contraire ! On voit ce qu’on voit !... Ah, oui Armand continue, vas-y branle-moi bien le trou du cul… C’est bon !! Et il y a longtemps que je ne suis pas branlée avec autant de plaisir… Ah putain, que c’est bon… !"
- " Surtout ne décharge pas ! Garde-en pour tout à l’heure !", dit Brigitte à son homme, dont elle voyait qu’il pistonnait l’infirmière de mouvements de plus en plus profonds. Fais jouir la garce, mais ne lâche rien encore… Ahhhh oui, Françou, par contre je sens que moi, là, je vais partir, lime-moi bien doucement !… Bien doucement, comme ça !.." ajouta-t-elle dans un râle.
Agnès bien baisée par devant et un joli doigt subtil dans le cul, sentait qu’elle aussi partait et qu’avec son foutre elle allait lâcher des mots vulgaires et orduriers qui n’ont habituellement rien à faire dans la bouche d’une jeune et jolie bourgeoise. Même lorsque celle-ci est saoule et bien baisée, ce qui pourrait lui valoir les excuses de l’assistance. Le corps d’Agnès se crispa se tendit, et tout se passa dans l’instant : l’éclatement de sa jouissance, ses débordements verbaux et les sensations venues de son cerveau reptilien. Elle échappa sa jambe droite des mains d’Adrien qui la maintenait écartée et de son pied, repoussa le Jacquot dont la bite désenconna son vagin avec un bruit de ventouse, tandis que le jet violent, très direct et chaud de cyprine l’atteignit une nouvelle fois en pleine poitrine et sur le ventre. Agnès se mis à délirer :
- " Ahhh, ouuuiii, je jouis… Je jouuuuiiiiis… ! Je veux pisser mon foutre, je veux des bites, des bites ! Des bites partout autour de moi !… Oui… des bites dans le con ! … J’en veux encore !... Encore !!… Vas-y, rentre-moi deux doigts dans le cul !! Ouiiii, vas-y enfile-moi le cul pendant que je décharge… Repasse-moi la bite dans la fente pendant que ça coule…. ! Ouuuiiii !... " Elle était folle de jouissance…
Elise, le visage inondé de cyprine chaude, remettait la bite dégoulinante du Jacquot entre les lèvres de la vulve de la bourgeoise. De ses trois doigts enfilés dans la rosette d’Agnès, Elise lui branlait en même temps le cul. La jeune brune n’en revenait pas d’un tel déluge, subjuguée qu’elle était par la personnalité qu’Agnès donnait à voir.
- " Ah, putain !, dit-elle, ça c’est une salope et une vraie baiseuse… Je n’ai encore jamais vu cela ! "
Brigitte avait suivi de très près la jouissance d’Agnès et avait pratiquement joui à l’unisson de l’infirmière, inondant aussi, quoiqu’à un degré moindre, le vit énorme du Françou, qui n’avait pas encore lui non plus rendu les armes sur ce coup là.
Et puis surtout, cette effervescence eut pour conséquence la jouissance de la Bernadette. Devant une scène aussi excitante que celle qui vient d’être décrite, Bernadette qui se branlait accroupie au-dessus d’Agnès n’avait pu retenir elle aussi sa jouissance. Les trois doigts d’Armand qui lui ramonaient le fion, l’astiquage de sa motte et son clitoris par sa main droite et les trois doigts de sa main qu’elle était introduite dans le con, en même temps que l’explosion d’Agnès avaient déterminé le point ultime de l’amorçage de son largage. Avec des propos de charretiers, voire blasphématoires, elle avait tout lâché :
- " Ah, salopes, vous allez me faire décharger aussi… J’aime décharger comme les putains ! Aaaaahhhhh, ouuuiiiii, je lâche mon foutre, moi aussi ! Le Bon Dieu n’a pas voulu me faire pute, alors je me branle toute seule… Ah, salauds !!... Moi aussi, je voudrais des bites dans le con …, dans le cul…… Partout !... Ahhhhh !!! Ca y est, je décharge… ! Je me vide…"
Elle déchargeait sur le visage d’Agnès, liquide muqueux assez épais qui s’épanchait de sa connasse large et ouverte, roulait sur les lèvres longues et découpées bordant le trou et coulait en nappes visqueuses, chaudes et blanchâtres jusque sur le front, le nez, les joues, la bouche et le cou d’Agnès. Ce n’était pas une cyprine liquide et presqu’incolore comme celle d’Agnès, de Brigitte ou de la plupart des femmes, non. Il s’agissait d’un exsudat épais, onctueux et presque visqueux qui s’écoulait du con lentement mais abondamment. Agnès, pourtant habituée à la cyprine de partenaires, et elle en avait eu pas mal, n’avait jamais connu ce genre de sécrétion. Elle avait d’abord passé sa langue sur ses lèvres qui en étaient pleines, juste pour savoir de quoi il retournait. Le goût en était fort, presque amer, âpre aussi, mais avec un subtil arrière goût d’amande qui le rendait en définitive plutôt agréable. La cyprine de la Bernadette avait aussi une forte odeur d’amande amère, sans doute une hormone particulière qui devait fortement contribuer à déclencher les orgasmes des hommes et des femmes qui la recevaient…
Tout dans cette situation était tellement différent pour Agnès : la moule excessivement longue et large au-dessus d’elle, ce clitoris surdimensionné, cette façon de lâcher ce foutre presque solide…Agnès ne broncha pas quand elle vit Bernadette baisser doucement sa croupe et venir lui appuyer sa large fente ouverte sur le visage déjà très entaché de ce mucus blanchâtre. La Bernadette, complètement accroupie sur le visage de la jeune femme qu’elle recouvrait en totalité, se mit à faire des mouvements de bassin d’avant en arrière, de sorte que le bout du nez d’Agnès se trouvait tantôt au niveau du clitoris toujours très bandé, et tantôt au niveau de la rosette large, encore distendue par les doigts d’Armand. Agnès prit en bouche les lèvres du con de La Bernadette, les aspira et les suça avec passion, presque violement. Elle lui tourna aussi sa langue dans le trou du con puis dans le trou du cul… Elle aspira aussi le clitoris dans sa bouche et le pinça entre ses lèvres pour le titiller. La Bernadette appréciait :
- " Ah, la salope… Elle suce bien !... Y a qu’une femme pour mettre sa langue là où il faut comme ça et avec autant d’adresse ! Et en plus quand c’est une pute ! Hein, la belle dame, t’en es pas à ton coup d’essai avec les femmes… En fait, tout est à ta main, hein ?!... Ah, oui petite pute tu me fais du bien… ! Oui, vas-y encore, mets-moi ta langue dans le con, bien au fond !... Là, comme ça !! Aaaahh, salope !… Je t’en lâche encore une bordée ! " Et la grande coquine lâche sa liqueur chaude et grumeleuse dans la bouche de la belle infirmière…
Entre les jambes d’Agnès, le Jacquot branlait doucement sa bite en maugréant contre le fait que la pute et la vieille l’avaient eu encore un coup sans qu’il ait pu tirer le sien… Elise léchait la fente d’Agnès et semblait se délecter de la cyprine qu’elle y trouvait… Le Françou, léchait en alternance avec Armand l’entrecuisse délicat de Brigitte, d’où la mouille dégoulinait encore… Hubert et Johann, quant à eux caressaient la blonde Hélène, qui toujours allongée sur le banc parallèlement à la table, commençait à émerger de sa soûlographie… Adrien qui s’était fait oublier durant toute la scène précédente était sous la table, allongée sur la portugaise. Celle-ci toujours dans l’ivresse avait la jupe remontée au-dessus de la poitrine. Adrien l’avait longuement baisée sous la table juste en dessous d’Agnès, qui elle se faisait prendre juste au-dessus par le Jacquot. La portugaise n’avait pas dû s’apercevoir qu’elle se faisait baiser, et apparemment avait vomi de nouveau car elle avait les cheveux qui trempaient dans une flaque de vinasse…
La Bernadette s’était relevée de sa position sur Agnès et était descendue de la table. Lorsqu’Agnès se releva et se retrouva ainsi assise sur le bout de la table, les seins, les cuisses et le ventre à l’air, elle remarqua que les hommes étaient tous plus ou moins saouls… D’ailleurs le Jacquot qui s’agrippait d’une main à la table pour ne pas tomber en arrière avait son compte. La petite Elise essayait en le branlant, de lui garder toute sa vigueur. Il hurla :
- " Armand, Françou !! On a soif quoi, bordel !... Je ne devrais pas avoir à le dire ! Servez à boire !…". Les deux autres coururent en titubant vers le fond de la cave. La Brigitte s’esquiva en douce dans une travée de tonneau pour y faire un petit besoin. Adrien qui l’avait vue passer, sortit de dessous la table et la suivit rapidement. Tous deux disparurent un temps aux regards dans la travée. La Bernadette qui s’était assise sur le banc près de la tête d’Hélène toujours allongée, avait pris les bites encore bien dressées d’Hubert et de Johann, à raison d’une dans chaque main et elle s’amusait à les branlocher doucement… Le portugais avait émergé de dessous la table, dès qu’il avait entendu que l’on buvait un coup ; et là le menton au niveau du dessus de la table, il attendait qu’on lui donne sa ration…


La suite au prochain épisode : le n° 5 / 6


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