16-La Piscine ...

Cet été, Guy un ami gay que j’ai rencontré chez un ami en commun, me recontacte pour un après-midi bronzage intégral au bord de sa piscine. Guy n’est pas ce qu’on appelle un apollon. Brun, les cheveux assez courts, un mètre quatre-vingt-deux pour quatre-vingt-cinq kilos. Ce n’est le type d’homme sur lequel on se retourne dans la rue, mais avec un certain charme quand on le connait. Très vite il m’a avoué son homosexualité qu’il assume pleinement et moi de mon côté je lui avoue ma bisexualité. Il m’a donc invité un soir et nous nous sommes très vite plu sexuellement. Ce n’est pas qu’il soit monté hors-norme, une queue de quinze centimètres pour quatre de diamètre, légèrement courbée sur la gauche, mais avec un gland assez gros aux bords larges et charnus. Il est recto/verso comme moi et surtout d’une douceur incomparable, c’est ce qui me plait le plus chez lui…

Son message fut le suivant :
« Samedi après-midi bronzette coquine pour une partie à quatre ! »

L’aubaine était trop tentante pour se dérober. Samedi matin préparation en règle. Epilation intégrale (Depuis peu je m’épile complètement, fini le rasage avec le poil qui repousse à vitesse grand V), toilette intime. Ma tenue sera le strict minimum, débardeur, pantacourt, et tongs. Pas besoin de maillot puisque c’est bronzette intégrale. Quatorze heures, je suis à sa porte.

Guy me reçoit nu. Lui aussi comme à son habitude est épilé intégral, sa queue en semi-érection laisse apparaître le bout de son gland. La porte à peine refermée, on se roule une pelle volcanique. Sans lâcher nos lèvres, Guy me déshabille comme il peut et moi de mon côté je branle sa queue qui prend de plus en plus d’envergure. Pour finir de me débarrasser de mes vêtements, il s’agenouille devant moi, fait glisser mon pantacourt et gobbe aussitôt ma pine déjà bien dressée. Le dos appuyé contre la porte d’entrée, les cuisses écartées, j’admire Guy me sucer comme il sait si bien le faire.

Les mains sur sa tête, je l’admire me sucer. Ce délice a duré trois à quatre minutes.

Il se relève et m’invite à le suivre jusqu’à la piscine où, allongés sur une serviette de bain, deux mecs en plein 69 se pompent goulument. Ils stoppent ce qu’ils avaient commencé et les présentations sont faites. Franck et Denis, deux amis qu’il a connu à Montpellier et qui étaient passés lui rendre une petite visite, le temps d’un week-end.

Franck, beaucoup plus grand que moi, le corps entretenu, musclé mais pas trop, les tempes grisonnantes et au regard d’un bleu intense est le premier à venir me saluer. Sa queue quasi à l’équerre est assez large de la hampe avec un petit gland pointu d’un rose pâle, les couilles sont d’une bonne taille. Il est lui aussi épilé intégral.

Denis, est le plus beau de nous quatre. Un tout petit peu plus grand que moi, il a vraiment un corps d’athlète, le crâne rasé lui donne un atout charme supplémentaire. Taillé en V, des pectoraux aux tétons saillants, des cuisses musclées et dessinées, un petit cul bien pommé creusé de chaque côté et le clou du spectacle sa queue. Pas énorme, normale dirons-nous mais bien droite aux veines saillantes, le gland légèrement plus large d’un rose profond, touche presque son ventre et tout comme nous, lui aussi est épilé. Il plante ses yeux verts dans les miens et me roule une pelle divine. Sa queue frotte contre la mienne, j’avais envie de lui là tout de suite.

A peine ai-je relâché cette bouche douce et suave que Guy me retourne et leur montrant mon cul :
« Alors, je vous l’avais pas dit qu’il avait un cul de salope !!! » Tout en me caressant délicatement le postérieur comme il sait si bien le faire.
Vu les sifflets et les mots d’approbation, je sens que mon p’tit cul va être à la fête. Pour accen mon côté salope, je me penche en avant et cambre bien les reins pour faire ressortir encore plus mes fesses.

C’est Franck le premier qui s’approche et me caresse les lobes avec douceur.
Je me cambre un peu plus m’appuyant sur mes genoux pour lui donner complètement mon cul. Ses caresses sont électrisantes. Il s’agenouille et fait glisser sa langue le long de mon sillon. J’écarte un peu plus les jambes pour laisser libre accès à cette langue chaude et humide. Je ferme les yeux pour mieux apprécier cette caresse. Son doigt prend le relais et me titille la pâquerette. Cela m’excite au plus haut point, je bande comme un âne. Enhardi par mon état d’excitation, il se relève et dépose une noisette de salive sur ma rosette puis reprend encore de la salive au creux de la main et il me masse les couilles tout remontant jusqu’au méat. Je râle de bonheur en l’invitant à plus avec des « Oui ! Oui !... ». Je le sens à présent frotter son gland à l’entrée de ma grotte intime avec une grande dextérité. Mon cul s’ouvre de plaisir. Je pense que mes soupirs et mes gémissements l’on encouragés. Son gland posé à l’entrée, les deux mains sur ma taille, il pousse avec douceur et constance son pieu en moi. Je gémis de plaisir. Pour mieux apprécier et me cambrer encore plus je prends appui sur Guy qui profite de l’occasion pour me branler. A peine arrivé je suis déjà à la fête…

Denis qui c’est rallongé sur sa serviette, se branle en dégustant le spectacle que nous lui offrons. Cette queue au gland pourpre qui disparait et réapparait entre ses doigts m’attire indubitablement. Je me redresse et je demande à mon enculeur expert de me suivre. A quatre pattes je prends place entre les cuisses musclées de Denis. Le cul bien tendu, j’invite Franck à continuer ce qu’il avait si bien commencé. Ses assauts sont encore plus forts dans cette position, j’entends mon cul claquer contre son ventre. D’une main j’empoigne ce vit dressé devant moi. Le contact de son gland sur ma langue décuple mon plaisir. J’aime cette bite, son format, son odeur (quelques effluves de sueur et de foutre envahissent mes narines), son goût doux amer. Je tente de la prendre le plus loin possible en bouche.
Franck me lime sans ménagement à présent, il ahane à chaque coup de boutoir. De mon côté, je bouffe, j’avale, j’englouti cette queue aux goûts et aux parfums de baise. Mon enculeur hors-pair, m’administre de temps à autres quelques claques judicieusement dosées pour ne pas être douloureuse, mais que l’on sent bien tout de même. C’est la première fois qu’on me claque le cul et je me rends compte que j’aime ça. Excité par mon cul et le spectacle que nous offrons Denis et moi, il ressort prestement sa queue et m’inonde le dos et le cul de foutre chaud. Ses râles sont puissants, à la hauteur de son plaisir. Il frotte son gland sur ma rosette aux anges et me reprend à nouveau, c’est divin, j’aime ce qu’il me fait. De mon côté je pompe et j’astique de plus en plus vite Denis. Son corps se raidit, se tend, il va jouir. Son premier jet est puissant et me surprend. J’avale le précieux nectar. D’abord surpris, il tente de se retirer, mais je le retiens attendant le reste. Il se lâche et mon bel esthète jouit sans retenu. Une fois les dernières gouttes avalées, je suis encore très excité et j’invite Guy à prendre le relais. « Tu l’as dit toi-même que j’ai un cul de salope… ! Alors il est à ta disposition !!! ».

La tête posée sur la serviette je tends encore plus mon cul, attendant à nouveau de me faire pourfendre. La queue tendue, Guy m’enfile d’un trait. Quasi allongé sur moi, sa queue me remplit complètement et je sens ses couilles battre contre mes fesses. Denis tente de me branler, mais je le repousse gentiment, j’ai juste envie de sentir cette pine me remplir et d’amener Guy à la jouissance. Je sais quand il va jouir, c’est comme un rituel. Il ralenti doucement, ne faisant rentrer que le gland puis quand il est au point de non-retour, il s’enfonce d’un coup bien au fond en agrippant mes hanches et se lâche dans un râle rauque et continue. Ô ce que j’aime quand il me remplit de sa crème. Essoufflé, il se retire sans oublier de déposer un baisé sur chacune de mes fesses.


Repu, le cul radieux d’un tel traitement, je reste là allongé un moment, pour reprendre mon souffle et profiter de l’instant magique qu’on m’avait offert.

Allongé tous les quatre sur nos serviettes, le soleil baigne nos corps nus. Je sens bientôt le liquide chaud suinté de mon œillet, je me relève et je file à la douche. Franck et, Guy ont piqué une tête dans la piscine histoire de se rafraîchir. Je reviens et je m’allonge près de Denis. Tous les deux sur le ventre, nous profitons du soleil un long moment pendant que les deux autres batifolent dans l’eau. Nous nous caressons les fesses, puis une caresse en entrainant une autre, on se retrouve face à face, les jambes entremêlées, s’embrassant avec douceur. Ses baisés sont doux et sensuels. Le plaisir monte petit à petit. Bientôt nos deux sexes se touchent. Denis les prend en main et il nous branle doucement au début, puis de plus en plus énergiquement. De leur côté, nos amis n’ont pas perdu de temps non plus. Guy, assis sur le rebord de la piscine, se fait pomper dans des bruits de succions très érotiques. Pris dans nos caresses, nous dévions en 69. Denis au-dessus de moi j’en profite pour lui malaxer les fesses et le doigter. J’écarte au maximum ses globes et j’enfourne ma langue dans son cul. A présent je l’encule de ma langue.

Je me relève et je place Denis en position de levrette, je fais glisser ma queue le long de son sillon, instant bien sur son bijou d’un brun profond qui s’abandonne peu à peu. Par précaution je me badigeonne de gel ainsi que son cul déjà bien ouvert. Chose que je ne fais jamais, j’enfile Denis d’un trait sans ménagement jusqu’à la garde.

«Oui encules-moi à fond !... Baises-moi !... Défonces-moi le cul !... Vas-y continues !... » Sont les mots qui accompagnent chaque coup de boutoir que je lui assène avec violence. Je ne me reconnais pas, moi d’habitude si doux et tendre, me voilà déchainé à bourrer ce mec qui en demande de plus en plus. Sur le rebord de la piscine, les deux autres s’en donne à cœur joie. Franck se fait limer sans ménagement. L’instant est bestial. Fini les caresses et les doux baisés. C’est de la baise hard, sans retenue. Je veux que ça dur le plus longtemps possible. Des moments comme ça on les déguste avec gourmandise.

Guy, dans des gémissements qui en disent long, fini par jouir. Moi je ralenti mes va et vient car j’ai envie de plus. Je fais signe à Franck de nous rejoindre. Debout devant moi, je pompe sa queue. Guy qui a vu la chose venir, me dévore la rondelle pour me préparer à accueillir cette bite que je tète avec avidité. Il a du mal à bander et y parvient difficilement tout de même.

Pendant ce temps, Guy enduit ma rosette de gel lubrifiant, tout en limant Denis, je relève un peu plus mon cul impatient du plaisir imminent. Guy me doigte pour mieux me préparer et ouvre au maximum mon cul pour laisse libre accès à cette pine qui va me comble une deuxième fois. Guy, d’une main experte frotte ce vit sur ma rondelle et le guide jusqu’à l’entrée. Je suis tellement dilaté par l’excitation que même dans une semi érection Franck m’a pénétrer sans peiner. Je suis ivre de bonheur, comblé des deux côtés. Vu que la première séance de fessés m’avait plu, Franck me gratifie de quelques claques sur le cul. Je deviens une vraie salope avide de sexe, je veux de la baise hard jusqu’à plus soif. Ses mains deviennent plus lourdes, j’ai le cul en feu. Ses va et vient savamment dosés, combinées à ce qui est à présent des gifles, me comble de joie. Je sens sa queue durcir de plus en plus, Il se déchaine entre mes reins, planté dans le cul de Denis, je subis sa divine besogne. J’en veux encore et encore. Franck qui n’a plus de retenue me laboure le cul, je sens que son éjaculation est proche. Tel un animal en rut il m’inonde les entrailles de foutre chaud. Il reste planté un moment avant de me libérer ainsi que sa sève qui me coule le long des cuisses et sur les couilles. Il m’en faut encore plus, je me retire du cul de Denis et je happe la bite qui vient de me défoncer. Le gland encore empoissé de sperme, je déguste ce sucre d’orge. J’aspire cette pompe à foutre pour en extraire les dernières gouttes. Guy étale le liquide chaud sur mon cul. Je ronronne de plaisir. Comme moi il aime le sperme. Ses doigts couverts de semence on les suce comme si c’était de la chantilly.

Denis qui veut sa part de gâteau, lape mon cul. «Cette salope ne néglige aucun recoin ! » Guy qui l’a rejoint se délecte autant que lui. A coup de langue ces deux salopes m’ont nettoyé le cul de toute trace de foutre.

Essoufflé et ravi de la prestation de mes amants, je m’allonge sur la serviette de bain pour récupérer un peu. L’après-midi s’est déroulée entre les baignades, les jeux dans l’eau et les bains de soleil. Il me manque encore quelques chose, j’en ai pas fini avec Denis, il me le faut. C’est durant nos jeux aquatiques que je me suis approché de lui pour le branler sous l’eau. J’ai bien tenté de le piper en apnée, mais Je n’arrive pas à rester assez longtemps sous l’eau pour profiter pleinement de sa queue. Denis s’assoie sur le rebord de la piscine et je peux ainsi le pomper à loisir. Franck en fait de même avec Guy à côté de nous. Un jeu s’installe, nous échangeons nos places à tour de rôle. Tout le monde à piper tout le monde.

Laissant Franck et Guy à leur bonheur, nous décidons Denis et moi nous isoler à l’intérieur. Nous nous installons au salon. Je m’assoie sur le rebord du canapé et j’attire ce bellâtre à portée de lèvres. Sa queue me fait vibrer. J’englouti sa pomme d’amour avec gourmandise et délectation, telle une friandise je le déguste par tous les bouts, ne négligeant aucunes parties. Je raffole de sa bite, elle est une drogue pour moi, je ne peux m’en passer. A genou devant lui, je prépare mon cul en me doigtant et inondant ma rondelle de salive. Agenouillé en appui sur le canapé, je lui offre ma « chatte » béante prête à l’accueillir. Le dard gonflé de plaisir, Denis le présente à l’entrée de mon trou, faisant coulisser son vit le long de ma raie décuplant encore plus mon envie. Sans plus attendre, dans un mouvement de recul je m’empale sur cet obus dur et doux à la fois. Je me plaque fort contre lui pour mieux le ressentir encore. Je n’ai plus de retenu, je le désir, je veux qu’il me possède entièrement. Ce mec me rend dingue alternant entre des pénétrations longues et douces à des assauts plus rapides. Faisant sortir sa queue pour mieux me la foutre bien au fond m’arrachant des cris de bonheur. Nous changeons de position, il s’assoie sur le canapé et face à lui je m’empale sans plus attendre avec la même soif de plaisir. Emprisonné ainsi dans mon antre je sens la pression monté. Je l’encourage de la voix :

« Vas-y mon bébé inonde moi le cul ! Donne-moi ta purée !!! ». C’est dans cette position lié dans une pelle d’enfer, qu’il déverse son foutre chaud dans mon cul.

Un passage à la salle de bain s’impose et nous retournons rejoindre nos acolytes sur la terrasse. Les deux allongés sur leur serviette. Etendu sur le ventre, j’enjambe Franck et je viens m’assoir sur ses fesses. Je commence doucement à le masser. Ces massages ne sont pas innocents, j’ai dans l’idée de prendre possession de son cul à mon tour. A présent je suis allongé sur lui et je frotte dans bite le long de sa raie.

« Tu veux me prendre ? » me demande t’il !
Pour toute réponse, j’enduis ma queue de gel et je la glisse dans son sillon. Il écarte les cuisses et écarte ses fesses pour une pénétration plus aisée. J’y plante mon dard d’un coup de rein. Bien dedans à présent, je me redresse pour admirer ma queue aller et venir entre ses deux collines que je pétri fermement. Je l’encule ainsi un long moment quand je sens ma purée prête à sortir. Quelques coups de reins plus énergiques, j’explose dans son cul. Repu je m’affale sur lui.

Guy et Denis qui n’ont rien perdu du spectacle nous regarde se branlant mutuellement…

Voilà comment ce fini cette journée qui n’est qu'un pur fantasme de ma part. Guy existe réellement, mais nous n’avons qu’une relation ensemble et que j’avais beaucoup apprécié. Je voulais juste qu’il fasse parti de mon rêve sexuel.

Qui peut-être un jour se réalisera-t-il, car il est vraiment ami avec un couple gay de Montpellier, mais que je n’ai jamais rencontré. J’espère que vous avez voyagé avec moi et que le voyage fut des plus agréables…

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