La Piscine

À la suite du départ de ma belle-sœur et de mon neveu, je restais encore 2 jours à la villa seule, le temps de tout remettre en ordre, et de fermer la maison jusqu’à la saison prochaine. Je reçu un texto d’Hubert pour m’inviter à un barbecue chez des amis à lui, me proposant de venir me chercher vers 12H le lendemain, ses amis résidants du côté du Lavandou à Pramousquier, qui était à environ 30 minutes de chez moi.

«Message : @Patricia :fais toi belle, demain. Mets ton plus beau string et pas de soutien-gorge. Je veux te savoir disponible »

«Message : @Hubert : petit cochon, je pense que mon string va beaucoup te plaire »

«Message : @Patricia : envoie-moi une photo, pour me faire patienter, ma belle »

Je lui envoyé la photo de mon string Léopard, ce qui je me doute avait dû le mettre dans tous ses états.

Le lendemain, vêtue d’une jupe légère blanche plissée en-dessus du genou, un chemisier bleu, maintenu par une ceinture marron permettant d’allonger ma silhouette tout en soulignant ma taille et en accentuant mes formes pulpeuses, des scandales à semelles compensées et juste un string Lise-Charmel Léopard, j’étais estivale mais toujours attirante et sexy. Hubert passa me prendre vers 12H, il portait un bermuda et polo. Nous avancions vers sa voiture, il me tenait par les hanches pour m’installer à l’arrière du véhicule et me donna un léger baiser sur les lèvres avant de vérifier si j’avais respecté ses directives. Soulevant ma jupe et ouvrant deux boutons de mon chemisier, il semblait satisfait du choix. Il démarra la voiture et nous partions.

- Je dois prendre mon amie Karine qui nous accompagne, tu verras, elle va te plaire. Bien évidemment, elle n’est pas au courant pour notre soirée… …. Je vous emmène chez un ami qui a une jolie villa à Pramousquier, avec piscine à débordement que je lui ai faite aussi…Tu verras, nous sommes en petit comité, une dizaine de personnes, mais que des couples illégitimes… Ils vont t’adorer…

Nous récupérions l’amie d’Hubert.

Karine était sa maîtresse actuelle, une petite blonde de 45 ans, carré blond, 1m66, 90 C , elle était parée d’une robe droite de couleur rose avec un beau décolleté laissant apparaître le début de sa poitrine, ce qui ne me laissa pas indifférent fixant mon regard soutenu sur ses formes, ce qu’elle ne manqua pas de constater. Hubert fit les présentations, et je sentais une certaine distance de la part de Karine, qui n’avait pas l’air d’apprécier ma présence. Arrivé sur place, Hubert gara la voiture, et Karine sorti de la voiture en premier pour rejoindre ses amis. Alors que j’allais sortir, Hubert, passa sur la banquette arrière à mes côtés… Il se pencha vers moi afin de profiter de mon corps. Il me retourna pour lui tourner le dos et sa main plongea en dessous de ma jupe pour parcourir mes fesses et jouer avec la ficelle de mon string léopard. Son autre main avait plongé dans mon décolleté et malaxait mes gros seins libres. J’avais mis sa main sur son sexe que je sentais grossir au travers de son bermuda. Il m’embrassait dans le cou, en continuant à me palper, comme une jeune génisse. Moi la femme mure la bourgeoise de 53 ans, à nouveau à la merci d’un homme plus jeune qui allait me soumettre à ses fantasmes les plus fous. Il sortit de sa poche, un plug anal qu’il me demanda de mettre pour l’apéro… Le jouet était légèrement humide, comme s’il avait déjà été utilisé. Il m’aida pour positionner le plug, écartant mon string, pour me l’enfoncer doucement.

- T’inquiète ça va rentrer comme dans du beurre, je l’ai lubrifié dans le sexe de Karine avant de venir te chercher ….

- Ohhhh, Hubert, tu es vraiment un gros vicieux… Lui dis-je en me lovant dans ses bras alors qu’il reprit ses caresses mamellaires…

- Je vais te soumettre à moi et à mes désirs aujourd’hui, tu vas être mon jouet et tu seras bien obéissante. Je veux aussi que tu m’aides à désinhiber Karine…

- Elle n’a pas l’air de m’apprécier beaucoup ta copine…

- T’inquiète, elle va s’habi à toi, et apprécier tous tes talents…



Le plug en place, nous sortions de la voiture et rejoignons les autres.
Il me présente aux invités, avec une population masculine d’une dizaine de personne, avec seulement trois femmes, qui ressemblaient plus à des escortes qu'à des épouses légitimes. Les hommes nous regardaient Karine et moi avec gourmandises, et tout particulièrement un petit groupe de 3 hommes qui m’avaient trouvé très à leur goût. Ils avaient une trentaine d’années, et tout le look du playboy tout droit sorti d’une plage de Pampelonne ou du Kon Tiki Club. Un peu collant, les hommes me tenaient par le bras, m’entrainant vers le buffet ou la consommation de Champagne avait No Limit. J’apercevais Karine et Hubert à quelques mètres de moi parler avec un autre groupe. Nous échangions tous ensemble et j’essayais de m’intégrer parfaitement bien que gêné par mon cadeau envahissant en dessous de ma jupe... J’échangeais régulièrement des regards avec Hubert, comme des appels à l’aide pour qu’ils me libèrent de ces playboys bronzés sans cervelle, dont les blagues et gestes déplacés étaient particulièrement lourds. Il n’en fit rien et je restais toujours coincé entre mes trois courtisans qui ne se gênaient plus pour me mettre la main sur les fesses, ou parfois en riant me glissant un baiser dans le cou.

Au milieu de l'apéro, Hubert se rapprocha de notre groupe, me prenant par la main, pour m’entraîner avec lui à dans la maison. Une fois à l’intérieur il me pousse dans la salle de bain et m’embrassa fougueusement laissant nos langues libres jouer ensembles. Il me roula une pelle, tel un adolescent affamé. Les bruits de sucions de nos lèvres raisonnait dans la salle de bain, alors que ses mains passaient sous mon chemisier pour pétrir mes nichons. Mes mains s’activaient à détacher les boutons de son bermuda qui tomba me laissant le champ libre pour attr, caresser, et branler son sexe déjà bien tendu. Il appuya sur mes épaules afin de m’agenouiller devant son sexe fièrement dressé.

- Je veux être entre tes lèvres, prends-moi dans ta bouche ma belle bourgeoise… Ohhhhh oui j'adore voir ma, queue sortir et rentrer entièrement dans ta bouche.
.. Continue… Oui comme une vraie butineuse….

J’étais agenouillée devant lui avec son sexe dans ma bouche et m’appliquais à sucer mon amant. Ma langue remontait lentement de long de son sexe ; mes dents mordillaient son gland gonflé prêt à exploser… Après quelques minutes de ce traitement buccal, il me releva me retourna, et leva ma jupe. Le spectacle dû lui plaire que d’une main, il écarta mon string et de l’autre m’appliqua quelques claques sur les fesses afin d’accen encore plus mon sentiment de soumission.

- Ecarte ton string que je te retire le plug



J’obéis, il retira le plug anal, doucement, et me le fourra dans la bouche. Son sexe remplaça le plug dans mon petit trou entièrement dilaté lui permettant de m’enfoncer d’un seul coup. Une fois au fond de mes entrailles, il se fixa ne bougeant plus en me serrant le corps et les bras dans ses bras afin de me restreindre pour que je ne puisse plus bouger également... Nous restions dans cette position pendant un court instant, alors que j’avais toujours le plug anal en bouche, et sa queue dans mon anus.

- T’aime ça ma salope d’avoir ma grosse bite dans ton petit trou… Je voulais juste te libérer de ton plug puisqu'il va y avoir piscine dans peu de temps...

Je le suppliais de me pistonner, bredouillant et gémissant sous mon bâillon anal. Mais il n'en faisait rien. Il ne bougeait pas, rester immobile, maintenant mon corps possédé par son gros membre, debout en plein milieu de la salle de bain.

- Je vais te prendre ma salope mais il y a une condition. Tu devras réussir à entraîner Karine dans une chambre pour lui retirer le plug que je vais lui remettre. Je veux que tu le fasses, avec ta bouche et ta langue dans sa chatte. Je suis sûr que vous allez adorer toutes les deux, et qui sait vous pourriez même devenir amies… Dit-il avec un ricanement vicieux….

Nous rejoignîmes les invités au bord de la piscine, quand Karine s’approcha de nous, pour embrasser Hubert lui demandant ce que nous faisions tous les deux dans la maison.


- Je lui faisais visiter la villa …

- Ben voyons et moi tu ne me fais pas visiter …



Sans répondre, il poussa Karine vers l’intérieur de la villa, me laissant seule avec les autres invités… Immédiatement après son départ, je fus harassée par mes trois playboys, qui voulurent m’entraîner au bord de l piscine, sur un transat. Prétextant une envie soudaine, je m’extirper, promettant de revenir au plus vite… Je rentrais dans la maison pour me cacher dans les toilettes le temps que Hubert revienne. En passant, je surpris Karine et Hubert par l’entre bâillement de la porte de la salle de bain, et les espionner quelques instants :

- Qu’est-ce que faisiez ensemble ? Ne me dis pas que tu t’es tapé cette grosse pute ?

- T’es jalouse ? Je te montre si tu veux ?

- -Hummm Si c'est bon, je veux bien !



Il l’a relevé la plaqua contre le lavabo, lui remonta sa robe à la taille et baissa son string, qu’il lui colla dans la bouche. Je pouvais le deviner en train de caresser la chatte et le petit trou de Karine, que j’entendais gémir. Il l’a retourné, pour sortir mon plug de sa poche. Un bruit retenti derrière moi, me forçant à quitter ma position de voyeuse, et rejoignis les autres dehors.

Alors que je sortais de la villa, je fus happé par mes trois compères qui m’entraînèrent avec eux…

- Allez maintenant on va se baigner

- Non les garçons je n’ai pas de maillot… en essayant de résister…

- Pas besoin, tu as tout ce qu’il faut ou il faut pour faire du topless…

Sans pouvoir résister, les 6 mains de mes play-boys, s’attaquèrent à mon chemiser qu’ils m’enlevèrent le jetant dans la pelouse, ma jupe tomba presque aussitôt et mes chaussures de mêmes. J’étais en string Léopard, mes gros seins libérés ballotant laissant mon 95C à l'air devant les yeux des invités et de Karine qui venait de sortir de la villa. Ils sautèrent dans l’eau m’entrainant avec, sous les rires des convives. Une fois dans l’eau, mes trois prédateurs ne me laissèrent aucun répit, je fus entraîné de force vers le coin de la piscine. Hubert me regardait souriant, me voyant en grande en difficulté avec ses 3 hommes autour de moi qui m'avaient coincé dans un coin du bassin. Il rentrait dans l’eau avec Karine alors que les autres jouaient avec mon corps, abusant de mes formes, et sans prêter attention, à la résistance sans conviction que j’essayais d’afficher. L'un me caressait mes gros seins libres, l'autre essayait de m'embrasser alors que je lui refusais tout échange buccale, et le dernier, les mains entre mes jambes se glissait sous ma culotte. Hubert nageait avec Karine vers l'angle opposé laissant ces hommes jouer un peu avec mon corps.

Ils n’avaient aucune retenue et aucune pudeur, j’étais juste pour eux un jouet, une poupée désarticulée, qu’ils allaient utiliser de toutes les façons possibles afin de d’épancher leur désir. Leurs caresses de plus en plus soutenues et extrêmement intime, accentuait ma dépense me laissant perdre dans leur bras. Je n’avais pas d’option, et perdais la mesure du temps me laissant faire, ne profitant que du plaisir qu’ils commençaient à me donner… J’allais perdre la notion du temps, quand Hubert m’appela vers lui, me libérant automatiquement de mes harceleurs.

Ils me laissèrent partir pour rejoindre Hubert et Karine, de l’autre côté de la piscine en titubant, étant toujours sous l’effet de cette joute sexuelle e.

- Embrasse Karine et toi pelotes lui ces grosses miches…



On s’exécuta réciproquement dans l’eau. Les invités ne prêtaient plus attention à nous, les couples s’étant formés, on pouvait assister à une orgie géante autour de la piscine. Seul mes trois tourmenteurs restés seuls, attendant vraisemblablement mon retour. Alors que Karine me pelotait les seins, Hubert me prit la main et me la plongea entre les cuisses de Karine. J’y trouvais un objet bien connu.

- Tu sens ce qu'elle a dans son petit cul ? Tu vas lui enlever, et toi Karine tu va le remettre dans l’anus de Patricia et ensuite vous reviendrez ici, c’est compris…

Karine prit la direction des opérations et me prenant par la main pour nous sortirent de la piscine et nous diriger vers la villa. Elle m’entraîna vers la salle de bain, ou essayant de reprendre un peu le contrôle, je baissais son maillot. Elle avait un cul magnifique. De 10 ans ma cadette, c'était une vraie bombe. Alors que j’allais lui enlever son plug, elle me poussa par les cheveux vers son anus, me demandant de lui enlever avec la bouche.

- C’est un ordre d’Hubert, obéis sinon tu vas déguster ma belle… Tu me diras t’as l’air d’aimer cela, de te faire dominer…



Sans répondre, à ses provocations, j'obéissais et attrapais avec ma bouche le plug bien enfoncé au fond d'elle pour l'extraire de son anus. Telle une ventouse après extraction, son petit trou élargi se referma tout de suite enfin libérer de ce jouet envahissant. Tenant le plug dans ma bouche, je me redressais et lui poussais dans sa bouche afin qu'elle le nettoie. J’étais contre elle, et pouvais sentir ses seins énormes pour son petit corps. Elle m'excitait terriblement. Elle nettoya le plug avec sa langue et une fois propre me le sorti de la bouche pour le mettre dans la sienne, pour me forcer à le sucer à mon tour. Une fois propre, elle me retourna se baissa pour m'enlever ma culotte et écarta mon gros cul de ses deux mains.

- T’as des grosses fesses la mature, c’est pour ça que mon mec te baise, il aime les gros culs. Bien ronds comme le tien. C’est vrai qu’elles sont bien plus grosses que les miennes.

Elle continuait à écarter mes fesses pour faciliter l'ouverture de mon anus qu'elle s'amusa à doigter afin de le dilater.

- Tu baises mon mec ma salope, je te promets que tu vas déguster sévère. !!!



Une grande claque sur mon cul résonna dans la salle de bain. Une autre et encore une autre alors que son doigt continuait à remuer dans mon anus permettant de le dilater encore plus. J’avais mis ma main sur la bouche pour mes gémissements générés par la fessée qu’elle continuait à m’appliquer. Elle poussa alors le plug toujours dans sa bouche vers mon anus pour remplacer son doigt qui avait terminé son travail de préparation. Elle le rentra à fond et le tourna sur lui-même. Dans un sens, puis dans l’autre, et encore une fois. Elle le ressorti et me le colla dans la bouche

- Goutte ton cul grosse pute ça t'apprendra de piquer le mec des autres

Elle se rebaissa à nouveau et recommença la manœuvre. Au bout de quelques minutes de ce traitement, elle me remonta mon string Léopard trempé, et m’appliqua 4 grandes claques de toutes ses forces afin de me faire rougir le cul.

- Maintenant tout le monde va voir que tu aimes te faire claquer ton gros cul de bourgeoise.

Nous retournions à la piscine, ou elle me poussa dans l’eau vers mes 3 play-boys qui m’attendaient avec impatience, en sirotant une coupe de champagne.

- Voilà messieurs, la bourgeoise est prête, elle est tout à vous…

Ils me ramenèrent exactement au même endroit, pour reprendre exactement les mêmes positions, alors que je j’observais Karine rejoindre Hubert.

- Dis donc qu'est ce qui est arrivé à ton cul de belle bourgeoise pour qu'il soit aussi rouge...

- Y a fallu, que je lui apprenne les bonnes manières à cette pute, notamment la notion de propriété

- Tu as dit et fait ce que je t'ai demandé Karine ?

- Oui mon Chéri, tu vas voir elle va prendre sévère ta grosse bourgeoise... .

Karine embrassa fougueusement Hubert, et je pouvais deviner sous l’eau qu’elle lui empoignait sa queue pour le masturber. Pour ma part, j’étais à nouveau coincé entre mes 3 tourmenteurs qui recommençaient à me pétrir les seins. L'un des trois baissa mon string et découvrit le plug dans mon petit trou, s'amusant à le retirer, le remettre, le faisant coulisser, ou le faisant tourner sur lui-même. J'essayais de me soustraire et de me rapprochais d’Hubert, mais ils me maintenaient fermement. L'un avait plongé sa main dans ma culotte malaxant mon sexe a pleine main alors que sa seconde main faisait coulisser le plug le tournant de manière circulaires dans mon anus. L'autre, positionnait en face de moi s’occupait de mes seins et me malaxait mes grosses mamelles, les secouant les suçant les pétrissant comme un boulanger ou un paysan en train de traire sa vache laitière et mamelleuse. Le dernier sur ma droite s'occupait de ma bouche et me roulait une pelle goulûment, jouant avec ma langue. Je n’étais rien d’autre que leur objet, une poupée désarticulée au milieu de ses 3 violeurs. Ils prenaient mes mains et me forcèrent à saisir leur membre. J’avais un sexe dans chaque main, quand le dernier, s’asseyant sur la margelle de la piscine me tendit son membre qu’il enfonça dans ma bouche.... Je les caressais doucement, pendant qu’eux me posséder et branler frénétiquement.... Le sexe dans ma bouche était régulièrement remplacé et fouillé par 2 langues simultanément, tel deux serpents traquant leur proie et partenaires de reproduction.

Pendant ce temps-là Karine avait poussé Hubert vers l'escalier de la piscine pour le sucer, en me regardant du coin de l’œil afin de me montrer que Hubert lui appartenait. Il avait d’ailleurs l’air d’apprécier, tenant Karine par les cheveux pour lui donner le rythme.

Au bout d’une vingtaine de ce traitement, mes trois tortionnaires remontèrent mon string, et me portèrent pour sortir de la piscine, m’entrainant vers un transat à l’ombre. Ils m’installèrent confortablement allonger sur le transat, et m’entourèrent me présentant leurs 3 membres. Je l’ai pris en bouche, ou plutôt, ils me poussèrent leur sexe en bouche pour les sucer, et branler les autres. Je m’appliquais telle la chienne en chaleur que j’étais. Je voyais aussi Hubert qui se retenait de ne pas jouir, mais Karine ne voulant pas le partager avait accélérer. Il ne résista pas très longtemps et joui dans la bouche de sa femme qui avala tout son sperme... Elle se dirigea vers nous, et pencha vers moi et pendant que j’avais toujours un sexe en bouche, dégluti le sperme de Hubert sur mon visage et sur mes yeux, m’aveuglant du sperme de son mari. Elle s’assit ensuite à mes côtés laissant mes trois harceleurs continuaient à jouer de mon corps et me passa sa main sous mon string pour me doigter. Un, deux, trois doigts. Elle me masturba, tout en se penchant se souvenant que j’avais toujours le plug anal au fond de moi. Elle joua des deux côtés, me faisant jouir, et atteindre plusieurs orgasmes. J’étais perdue au milieu de ses 4 personnages vicieux, et affamé de mon corps et de mes formes dont ils abusaient allégrement. Je ne pouvais plus réagir, que part des soubresauts d’orgasmes ou de jouissances. Mon corps ne m’appartenait plus. Karine me redressa enfin, me positionnant debout autour de tous, et recommença une fessée en règle. Elle me claqua le cul pour le faire rougir encore plus puis dit aux garçons…

- Allez Messieurs suffit avec les préliminaires, passons aux choses sérieuses....



À nouveau sur le transat, l’un se plaça sur le dos, m’attirant vers lui pour que le chevauche. Sans enlever mon string, je m’empalais sur son sexe alors que le second se plaça devant nous afin de pousser son sexe dans ma bouche. Je ne voyais pas le troisième, mais je me doutais bien de ces attentions. Il écarta mon string, retira le plug et se glissa à sa place... En douceur puis de plus en plus fort. J’étais prise par ses 3 hommes devant tous les invités qui s’étaient rassemblés autour de nous pour regarder cette mature bourgeoise se faire défoncer par ces taureaux en rut. Ils me baisaient, m'enculaient, me soumettaient, me fessaient. Une avalanche de perversion déferlait sur mon corps, dont je n'avais pu la maîtrise. Je voyais Hubert et Karine souriante en train de me regarder se faire défoncer. Elle s’approcha et retira la queue qui coulissait dans ma bouche pour la remplacer par le plug.

- Tu aimes être soumise et bien tu vas l'être mais pas à mon mec à moi Salope !!! Aujourd’hui c’est moi qui pilote. Alors tu vas lécher le petit trou de mon homme pendant qu'il me fera de même…Et mes amis vont éclater le tien



Hubert se positionna devant moi. Un élan de résistance de ma part poussa l'homme en train de me sodomiser à me prendre par les cheveux et me poussait le visage vers l'anus de Hubert. Je pouvais voir Hubert faire de même avec Karine. Une vraie orgie, une partouze à laquelle je n'étais pas préparé et dont j’étais l'attraction principale. Le troisième homme se soulageait avec la bouche de Karine qui le suçait, alors que j’étais être prise en sandwich par les 2 autres. Ils soulagèrent sur mon corps les uns après les autres me remplissant de sperme…. Hubert à nouveau surexcité finit par me coller son sexe dans la bouche dans un baroud d’honneur pour le faire jouir une dernière fois. J’étais épuisé, couché sur le transat, recouverte de sperme, à la limite de l’évanouissement. Alors que j’essayais de me reprendre, deux autres hommes s’étaient approchés de moi, et leurs mains s’attardaient sur mon corps, défait, et recouvert de sperme. Je n’en pouvais plus et refuser un 3eme round. Apercevant ma détresse, Karine s’approcha de moi repoussant les deux hommes.

- C’en est fini pour aujourd’hui les garçons, mon amie Patricia a besoin d’un peu de repos…

Elle s’était rhabillée et je pouvais voir qu’elle avait aussi rassemblait mes affaires. Elle se pencha vers moi et m’embrassa tendrement, puis me releva.

- Viens avec nous on va te ramener chez toi, si on te laisse ici, c’est tous les invités qui vont te passer dessus …

Une fois dans la voiture, je me rhabille, et me blottis à l’arrière du véhicule. Ne sachant pas comment j’allais réagir à la suite de cette orgie, Hubert conduisait sans rien en direction de la villa… Se fut Karine qui rompit le silence…

- - Mon chéri, ton amie Patricia est fantastique, je suis ravie d’avoir fat sa connaissance… Patricia, Demain, nous allons faire du bateau près de Porquerolles juste tous les 3 et une amie à moi, ça vous tente…

- Et après sur le retour, on pourra regarder le feu d’artifice du 15 Aout, dans le golf de Saint Tropez, ajouta Hubert.

J'acceptais étant de toute façon seule à la villa et ne devant repartir que le jour d'après.

- Ok mais je ne dois pas rentrer trop tard demain car je reprends l’avion le lendemain pour rentrer.

Une fois de retour à la villa je prenais une douche, me nettoyant dans les moindres recoins pour me débarrasser de tout ce sperme, et profitais de la soirée à me remémorer cet après-midi, ou j’avais été l’instrument de plaisir de beaux inconnus. Je me doutais que ma dernière journée serait aussi palpitante…

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