La Piscine 1

C’était une journée qui avait commencé normalement, 6h30, j’avais éteint mon réveil et je m’étais glissée sous la douche, réveillée par l’eau chaude, un petit thé bu en maquillant, une petite robe d’été enfilée, j’avais filé au travail. J’aime mon travail, j’aime enseigner aux s, ça a toujours été mon rêve, je suis une jeune femme célibataire, ayant connu une grande passion avec un homme maintenant papa et en couple avec une autre femme. Je ne l’ai pas revu depuis plus de 4 mois, peu me direz-vous… Mais si vous saviez a quel point j’ai pu l’aimer, il a été le grand amour de ma vie malgré mon jeune âge. J’ai été sa maîtresse durant plus d’un an et j’ai vécu avec lui mes plus belles découvertes sexuelles, j’ai pu essayer tous mes fantasmes et il a toujours été excellent, il a été mon homme, mon amant, mon maître, ma plus belle histoire. Cet homme c’est Emilien, 32 ans, prof de physique, intelligent avec un sourire ravageur et surtout un sexe comme vous aimeriez avoir. Mais certaines histoires n’ont pas le droit d’être vécues, nous avons dû nous séparer pour nous préserver l’un de l’autre et pouvoir essayer de vivre sans danger pour son histoire.
Pour en revenir à ma journée, une journée classique, des élèves bavards mais intéressés, une journée chaude et ensoleillée, un créneau de sport avec les loulous pour finir la journée, sous la chaleur ma peau est chaude, une légère transpiration, ce sont les premiers jours de beau, la dernière fois que j’ai eu le rouge aux joues, c’était après une soirée avec Emilien. Qu’est ce qu’il peut me manquer ce con. Je reverrai de le voir et je me demande en permanence ce qu’il fait quand sa compagne n’est pas là, voit-il d’autres femmes, a-t-il encore envie de moi ? Ce soleil m’a donné une furieuse envie de me toucher mais sans motivation j’ai toujours eu un peu de mal. Je suis toujours au travail, seule dans ma classe je ne sais pas ce qu’il me prend, j’ouvre mécaniquement mon tiroir, j’att mon téléphone et mes doigts tapent sans réfléchir son numéro.

Sa photo et son prénom s’affichent sur mon écran, 3 sonneries plus tard, j’entend sa voix me répondre. Je panique légèrement me demandant ce que je vais vraiment lui dire, je ne l’ai pas revu depuis plusieurs mois et je viens de l’appeler pour me masturber en imaginant qu’il me stimulerait.
Il est étonné de mon appel, un petit « Amandine, tout va bien ? » me sort dans mes pensées, je m’excuse de l’avoir appelé. Une petite voix au fond de moi sait qu’il est seul, il n’aurait jamais répondu si elle avait été là. Et là je prononce une petite phrase qui a changé le cours de ma journée qui se devait tranquille : « J’avais envie de me toucher, je pensais que tu pourrais m’aider… », sa réponse a été toute aussi inattendue que mon appel, un simple « Je n’ai pas envie de t’aider à te masturber, c’est de toi que j’ai envie, je suis seul ce soir rejoins moi. Tu pourras te détendre dans la piscine ». Je repense à cette promesse qu’il m’avait fait en achetant cette maison, il m’avait promis que je serai la première avec qui il coucherait dans cette piscine.
Je raccroche le téléphone aussi mécaniquement que j’avais lancé cet appel, je pars machinalement de l’école en oubliant toutes les salutations d’usage à mes collègues en partant. 2 heures de route me séparent de lui, je ne pense à rien, seulement à lui, à ses baisers, à sa douceur et à son rire. 4 mois sans le voir, et j’y vais sur un coup de tête. Et je sais très bien comment tournera cette soirée.
Je suis devant la porte, au moment où ma main s’apprête à frapper à la porte, celle-ci s’ouvre avant même que j’ai eu le temps de la toucher, il est là face à moi. Il m’attire à l’intérieur, un de ces baisers qu’on ne peut pas arrêter, ses lèvres écrasent les miennes, que c’est bon de le retrouver. J’ai eu des amants depuis notre rupture mais je n’ai jamais ressenti quelque chose comme cela, avec aucun. Ses baisers m’enflamment, il embrasse mes lèvres, mon cou, mes joues, mes mains s’agrippent dans ses cheveux, se serrent dans son dos, je pourrai rester ainsi des heures, des heures à juste l’aimer.
Mon bas ventre est une véritable tempête, je sens l’excitation humidifier mon string. Aucun mot n’est sorti de nos bouches, juste des baisers et des caresses.
Il caresse mon dos, je caresse ses cheveux, sur nos visages les larmes d’émotion se mêlent aux sourires. Chacun dans son regard affiche les mots qu’il ne dit pas, des « tu m’as manqué » à n’en plus finir. Nos caresses deviennent plus pressantes, nos corps aussi se sont manqués, sans s’en rendre compte nous nous sommes retrouvés collés à l’îlot central, une petite impulsion, il comprend très bien ce qu’il doit faire, il me dépose dessus. Tout en continuant de m’embrasser, il descend mon string et l’enlève, il descend ensuite, un grand sourire aux lèvres jusque mon abricot qu’il entreprend de gouter. Il dépose sa langue sur mes grandes lèvres, pose son pouce sur mon clitoris, il joue du bout de sa langue à décrire le contour de mon intimité, son pouce glisse délicatement sur mon petit bouton d’amour, je bascule ma tête en arrière et je savoure, ses lèvres m’avaient décidément beaucoup manqué. Son pouce se retire au profit de sa langue, il aspire mon clito, le mordille, le lèche sans retenue. Il me doigte en même temps, je sens l’excitation monter d’un coup, je profite, je gémis comme une dingue, je vais partir, je suis totalement perdue dans mes pensées, je ne pense plus qu’au plaisir. J’att sa tête et le remonte vers moi, l’embrasse à pleine bouche, je sens le gout de ma mouille sur ses lèvres, je souris, je sais qu’il aime me lécher et j’aime qu’il le fasse. Je descends de mon perchoir et m’empresse de lui enlever son pantalon, s’il aime me lécher, j’ai toujours aussi adoré de le faire, je l’assois sur une chaise et le lèche sur toute la longueur, je lui titille le gland du bout de la langue, je l’aspire et je la mets jusqu’au fond de ma gorge. Il att mes cheveux et imprime le rythme qu’il aime, j’aime ce petit avilissement et j’ai envie de lui faire du bien. Je m’applique à grands coups de langue et de gorge profonde.
Il gémit, j’adore ça, mais j’en veux plus. Je me relève et profitant de sa position assise, je viens m’asseoir sur sa bite face à lui.
Ma chatte est tellement mouillée qu’il rentre en moi comme dans du beurre, il me remplit entièrement, ça me rend dingue. Je coulisse sur lui de haut en bas, je ne parviens même plus à gémir tellement c’est puissant. Nous nous embrassons comme des ados, sa langue dans ma bouche, mes mains sont ancrées dans sa peau et nous jouissons ainsi trempés, sans un mot, sans s’être parlés, je le sens en moi et je suis bien ainsi.

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