Leslie Ar42

Leslie AR42 - Les confessions d’une adolescente, Audrey, suite et fin

Le lendemain, je me réveillais seule, abandonnée dans le lit d’Audrey, mon sexe encore
humide, ressentant au plus profond de mon corps les caresses des filles qui s’étaient
occupées de moi.
Je décidais alors d’aller prendre une douche, avant de descendre pour le petit
déjeuner et d’aller rejoindre Audrey et ses amies, qui devaient être déjà en bas.
Je pris mon temps dans la douche, repensant à cette nuit et aux plaisirs reçus, mon
anus qui me lançait quelque peu suite aux assauts de Diane et des autres filles.
Et je me suis caresser en repensant à cette nuit et a aux orgasmes qui avaient eu
raison de moi. Je me suis activée avec mes doigts sur et en moi pour décrocher un
nouvel orgasme qui vint rapidement. Je coupais la douche et me séchais, puis je
descendis pour déjeuner.

Je rejoignis mes amies qui me souriaient largement, avant de me questionner sur mes
sentiments vécus pendant la nuit dernière :
- Alors Charlie, comment te sens-tu ce matin ? Me demanda Diane.
- Ça va bien, et vous, les filles ?
- Très bien ! me répondirent-elles en chœur.
Nous passâmes le reste du petit déjeuner normalement, avant que j’aille me changer
dans ma chambre. Je fus rejointe par Diane au moment où j’étais nue.
- Ne te rhabille pas tout de suite, me demanda-t-elle.
Je m’exécutais sans répondre, me demandant jusqu’où allait me mener l’acceptation de
ce week-end entre filles.
- J’ai envie de profiter de la vue de ton corps pour moi toute seule, sans
partager comme hier soir, avec les autres filles, juste nous deux.
- Oh Diane, fais-moi découvrir ton expérience, répondis-je sans me contrôler.
Je voulais qu’elle me possède là maintenant dans l’intimité de cette chambre.

- Je vais te faire hurler, mais pas tout de suite, avant tu vas découvrir
comment donner du plaisir à une femme.

Je veux d’abord que tu me goûtes et que tu me
fasses jouir de plaisir. Allonges-toi sur le dos.
Je m’exécutais, à nouveau enivrée de cette voix ferme mais érotique qui émanait de sa
bouche. Allongée sur le lit, docile, elle me dit :
- Maintenant, laisses-toi guider au son de ma voix !
Puis elle se mit à califourchon au-dessus de ma tête et me présenta son sexe, qu’elle
frotta sur mes lèvres.
- Embrasses mon sexe, dévores-le, goûtes-le, pénètres le de ta langue.
Je répondais au moindre de ses désirs, dévorant son sexe qui coulait dans ma bouche,
et j’avalais son jus intime avant d’enfoncer ma langue en elle, au rythme de ses va-
et-vient.
- Oui, dévores moi, je veux te sentir en moi, lèches-moi partout.
Je ne me contrôlais plus et ma langue la fouillait de plus en plus profondément,
s’aventurant par moment sur son anus que je pénétrais maintenant, découvrant la
sensation de l’étroitesse de cet orifice qui me forçait à durcir la langue pour entrer
en elle.
Son rythme s’accéléra et ses gémissements se firent plus réguliers. Je me suis caressé
en même temps, m’aidant même de sa main pour me guider dans mon intimité.
Je forçais un peu plus mes succions et mes coups de langue, j’étais trempée et j’avais
envie de la faire jouir et je finis par atteindre mon but, elle hurla sa jouissance.
Elle se releva, me sourit, déposa un tendre baiser sur mes lèvres couvertes de sa
moiteur, toutes les deux nues, nous roulâmes sur le lit et à son tour elle me fit
jouir de ses doigts enfoncés en moi.

Quand nous sommes descendues, nues, pour retrouver les autres, nous les avons trouvés
au salon en train de se gouiner en couple, Audrey était avec Mandy, Maude avec Cécile.
Je regardais le spectacle, figée sur place.
Elles étaient enlacées, deux à deux, en train de se donner du plaisir, les mains
caressaient les seins et les sexes, en échangeant de longs baisers.

Audrey et Mandy semblaient surexcitées, s’embrassant fougueusement et se massant les
seins l’une l’autre avec beaucoup de fermeté, avant d’adopter une position en
soixante-neuf et de se dévorer réciproquement leur sexe.
Diane, ayant retrouvée Maude et Cécile, ne se privait pas, allongée sur le canapé,
elle se faisait dévorer l’entrejambe par Maude et Cécile commença à s’occuper de son
anus. Elle finit même par avoir deux doigts dans chacun de ses orifices.
Alors que je repensais à notre ébat quelques instant auparavant, je sentis mon
clitoris durcir au point qu’il en devenait douloureux.
Diane tourna sa tête vers moi et me lança un regard chargé de désir, qui me transperça
de toute part. Je m’imaginais enfoncer mes doigts en elle et lui parcourir le corps de
ma langue, goûtant chacune des parcelles de son corps avant de m’attarder sur son
sexe, et buvant chaque goutte de cyprine qui s’en échapperait.

Je m’approchais et me mis en face d’elle, un peu accroupie, lui offrant ainsi mon sexe
que j’écartais pour qu’elle s’y plonge. Elle fit alors passer un de ses mains entre
mes jambes puis la posa sur mes fesses, me tira vers elle et se mit à aspirer mon
clitoris avant de le lécher avec fureur, pendant que je me tortillais dans tous les
sens comme une chienne en chaleur.
Je devenais plus chaude que jamais, j’avais l’impression d’être envahie par un démon à
la recherche de jouissance, à tel point que je ne voyais rien de ce qui se passait
autour de moi, concentrée sur cette langue qui explorait mon sexe. Cécile en avait
profité pour faire le tour et elle m’enfonça un doigt directement dans l’anus, en
forçant le passage sans préliminaires, mais cela m’était égal, je voulais être
possédée. Puis elle en mit un second, alors que Diane, elle, enfonça deux doigts dans
mon sexe si humide qu’ils glissèrent en moi sans problème.


Puis après un instant, elles se séparèrent et me placèrent à la place de Diane, je ne
contrôlais plus rien et c’est ce qui était agréable. Je criais mes envies, leur
sommant de me pénétrer plus fort, ce qui les autorisa me pénétrer mes orifices de
trois doigts, je me sentais remplie. Maude vint m’embrasser et je reconnus
instantanément le goût du sexe de Diane sur ses lèvres.
Je fus enfin délivrée par un orgasme puissant, où mes gémissements se mêlaient à ceux
des autres filles. Il me fallut un long moment pour retrouver mes esprits, mais quand
je revins sur terre je vis ces cinq femmes nues qui étaient autour de moi, et je les
désirais toutes, au point que je passais l’après-midi à faire l’amour avec chacune
d’elle.
C’est la faim qui mit un terme à nos ébats.

Le lendemain, après avoir diné et passé une soirée de folie saphiques et une courte
nuit de sommeil, je me réveillais seule dans la chambre.
Je descendis et trouvais Maude qui m’expliqua que nous n’étions que toutes les deux,
les autres étaient parties au marché et qu’elles ne seraient de retour que pour midi.
Je déjeunais en l’écoutant me parler et en la dévorant des yeux car elle était belle,
blonde avec des cheveux lisses et longs, une bouche fine avec un sourire parfait. Elle
portait une jupe courte laissant entrevoir ses cuisses, ainsi qu’un haut semi-
transparent, laissant voir sa petite poitrine petite ferme, les tétons dressés par la
fraîcheur matinale.
A un moment elle écarta les cuisses pour me faire admirer son sexe entièrement épilé,
dépourvu de sous-vêtement, ce geste me parut une invite et les désirs montèrent
aussitôt en moi.

Je m’approchais alors doucement d’elle et je glissais ma main entre ses cuisses sans
les toucher, jusqu’à atteindre son sexe et je commençais à le caresser, excitée comme
une puce, avec une furieuse envie de lui faire l’amour.

Elle releva sa jupe, m’offrant une vue imprenable sur son sexe et son fessier fin et
très ferme. Elle se leva et sans un mot s’allongea sur la table, écartant les jambes n
me disant :
- Suces-moi !
Je plongeais mon visage vers son sexe que je léchais frénétiquement, sans tendresse,
prise par l’excitation. Je n’avais plus envie de lui faire l’amour mais je voulais la
baiser sans réfléchir. Elle saisit alors mon visage et me fit remonter vers elle pour
m’embrasser.
Elle fit ensuite glisser sa main sous ma jupe et l’élastique de ma culotte, puis
positionna son doigt entre mes fesses, me titillant l’anus en faisant parfois glisser
plus bas sa main pour faire remonter un peu de mon liquide sur mon anus, comme pour le
préparer.
Excitée, nous nous arrêtâmes un instant pour monter dans la chambre, où elle prit
l’initiative de me déshabiller avant d’en faire autant pour elle, et elle me mit en
levrette avant de m’enfoncer ses doigts dans mon sexe détrempé et de me lécher l’anus,
enfonçant sa langue comme j’avais pu le faire avec Diane.
Elle me retourna, posa son sexe sur ma bouche et plongea à nouveau sur mon sexe,
qu’elle dévora alors qu’elle écartait soigneusement mes fesses pour y insérer ses
doigts. Je lui rendis son traitement et nous poursuivîmes ainsi jusqu’à l’orgasme.
Après plusieurs instants, elle me fit un sourire et me murmura à l’oreille :
- Je suis restée pour être seule avec toi et te faire l’amour.

La fin du week-end fut une orgie, et le dimanche soir nous nous sommes quittées, et
moi je suis restée avec Audrey, qui toute le nuit m’a défoncé les orifices avec son
gode ceinture.

A suivre…

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