Leslie Ar48

Leslie AR48 - Les confessions d’un ami, suite

« Un autre matin, excité par Carole, qui m’avait montré ses charmes, avant que je
parte avec son fils, discrètement, elle me murmura tout bas :
- Demain, c’est vendredi Guillaume et son père vont partir pour le week-end
faire du ski, ils vont partir à cinq heure du matin, si tu veux, tu peux venir prendre
ton café avec moi et puis après on verra.
Enfin, j’en tremblais et m’empressais de répondre :
- Bien sûr que je suis d’accord.
Je ne pouvais laisser échapper une telle occasion de me trouver enfin vraiment seul
avec cette femme si désirable et pour qui j’avais tant de désirs.
- Tu sais, si tu as autre chose à faire ce n’est pas un problème, insista
Carole.
Le ton de sa voix sonnait faux et ses yeux disaient le contraire, car une leur
brillait.
- Non, non, demain je viendrais prendre le café avec vous.
Guillaume était prêt, il nous fallait partir, je me levais, avec regret de ma chaise,
pour me diriger vers la sortie. Carole nous suivit jusqu’à la porte et en regardant
une Carole avant de partir, je la dénouer la ceinture de son peignoir et l’écarter
légèrement, m’offrant fugitivement, une vue intégrale sur son corps magnifique.
Je me sentis rougir ce qui fit rire Carole qui me fixait du regard avec insistance…

Le lendemain matin vers huit heures je me présentais chez mon ami Guillaume, Carole
m’accueillit toute souriante.
Refermant la porte derrière moi, elle s’approcha pour me faire une bise sur la joue,
je pensais déjà à la suite de la matinée.
Surpris je constatais qu’elle portait ce matin une courte nuisette un peu
transparente, laissant entrcevoir sa nudité au travers du fin tissu.
- Je t’attendais, le café est prêt.
- Merci, bafouillais-je.
Je découvris, au travers du tissu de sa nuisette, son intégrale nudité.


Ses seins, aux bouts bruns, légèrement hérissés, son torse étroit auquel j’aurai aimé
m’accrocher. Son ventre légèrement bombé et son pubis complètement lisse, qu’elle
m’avait déjà fait entrcevoir.
Il me sembla que mes yeux me sortaient de la tête en la regardant, tandis que tout mon
visage s’irradiait et devait devenir rouge, Carole s’aperçut de mon émoi, me fixant
avec un large sourire, elle me lança comme si de rien était :
- Bon, on va prendre un bon café au salon, nous serons plus à l’aise.

Elle m’installa sur une chaise et s’assis tout près de moi, une fois assise je
m’aperçus que sa nuisette était remontée sur ses cuisses et ne cachait pratiquement
plus rien de son intimité, si bien que je voyais ses grandes lèvres brunes de son
sexe.
Tu sais, me dit-elle, tu me plais beaucoup.
Après un moment de silence, j’osais lancer, la bouche sèche :
Je vous trouve très jolie et vous me plaisez aussi.
C’est vrai, tu me trouves jolie ? M’interrogea Carole.
Dans le même temps je vis ses cuisses un peu s’ouvrir pour me montrer un peu plus de
son intimité, je bandais comme un fou.
Carole continua de parler, alors que j’avais les yeux collés sur ses seins et sur sa
vulve, en me demandant :
- Tu as une petite amie ?
- Non, je ne connais aucune fille et je suis trop timide pour…
- Peut-être que tu devrais être initié par une vraie femme, qui pourrait te
montrer comment faire, me dit-elle.
- Vous avez certainement raison, m’empressais-je de répondre, avec une vraie
femme, mais qui ?
Alors, elle déplaça sa chaise pour s’asseoir face à moi, mais avant de se rasseoir,
les cuisses largement écartées, elle ouvrir son peignoir, en disant :
- Moi, mon chéri !
J’ai baissé mon regard pour découvrir la vision que m’offrait cette femme, m’offrant
avec une certaine impudeur son sexe glabre légèrement entrouvert.
Elle rajouta :
Tu me plais et je te plais, alors il n’y a pas de soucis, en plus nous sommes que tous
les deux.
Extrêmement troublé, le sexe bandé dans mes fringues, j’avais du mal à parler, la
gorge serrée par l’émotion qui m’envahissait, avec ma bouche étonnamment sèche. Je me
rendis compte, aussi, que Carole semblait prendre du plaisir à me voir dans tous mes
états.
Alors, elle se leva et approchant sa tête de la mienne, et en la saisissant à deux
mains, elle posa ses lèvres sur les miennes.
J’avais le cœur dans la gorge, sa langue douce et chaude s’infiltra habilement entre
mes lèvres pour finalement s’enfoncer dans ma bouche et commencer une ronde infernale
avec ma mienne.
D’abord surpris par ce baiser, je me laissais faire, passif.
Dans ce premier baiser, elle était debout au-dessus de moi, elle m’embrassait avec
passion en soupirant doucement, je lançais ma main vers son pubis et, étonné, je
sentis un liquide chaud mouiller mes doigts. Elle gémit en disant :
- Ohhh, oui, oui !
Mes doigts la fouillaient de façon malhabile, mais je ne demandais qu’à apprendre,
qu’elle me montre, elle se releva et se recula légèrement en me demandant :
- Tu n’as jamais embrassé de filles ?
- Non, jamais, avouais-je timidement.
- Je suis la première ? Continua Carole en me fixant d’un air extasié.
- Oui, oui vous…
Sans me laisser le temps de finir ma phrase, comme si cet aveu avait déclenché une
passion nouvelle, Carole se jeta sur moi pour de nouveau me fouiller la bouche de sa
langue agile, elle paraissait tellement ravie que, je me suis laissé à nouveau
embrasser.

Je tentais cette fois de m’appliquer dans ce baiser et osais lui caresser une nouvelle
fois la chatte, Carole se mit aussitôt à pousser des petits gémissements, puis elle me
dit :
- Tu es trop craquant !
Elle se redressa me tirant à elle pour me faire lever de ma chaise et, haletante,
Carole me dit :
- Je vais t’apprendre, je vais t’initier aux plaisirs de l’amour, mon chéri !
Jamais je n’avais bandé aussi fort.
J’avais l’impression que mon sexe allait jaillir
de mon short, debout face à face, ma sensuelle Carole me dit :
- Attends, je veux juste voir l’effet que je te fais !
En me regardant dans les yeux, elle posa sa main sur mon short et s’exclama :
- Mais c’est que tu as un sacré paquet mon ange !

A suivre…

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