Leslie Ar41

Leslie AR41 - Les confessions d’une adolescente, Audrey, suite

Nous déjeunâmes en vitesse et nous allâmes au jacuzzi, où il y avait déjà Diane.
- Bonjour à toutes les deux, je vais vous laisser la place car je dois aller
rejoindre Mandy et Maude, elles qui m’ont invitées pour un trio.
Elle se leva, entièrement nue, avec un corps de rêve qui aurait fait bander tous les
hommes. Des petits seins fermes, des hanches à la juste proportion par rapport à son
corps, des fesses bien rebondies et fermes, et un sexe entièrement épilé.
- Charlie ?
- Oui, Audrey.
- Tu es toujours avec moi ?
- Oui, mais en fait je pensais à Diane et à son corps, elle est magnifique.
- C’est vrai, tu as raison.
Quelques instants plus tard, je décidais de demander à Audrey :
- Tu as déjà fait l’amour avec Diane ?
- Elle me sourit et me répondit :
- Pourquoi, elle t’intéresse ?
- Que tu es bête, c’est pour savoir.
- Alors je dois te répondre que oui, et c’est avec elle que j’ai eu le plus de
plaisir, car elle est très douée. C’est celle qui a le plus d’expérience entre nous
toutes, car elle s’est rapidement assumée.
- Ah oui ?
- D’ailleurs si tu veux essayer, c’est avec elle que tu dois commencer, car elle
sait prendre les initiatives et elle a un juste dosage entre l’ardeur et la douceur.
- Arrête un peu, je suis juste curieuse, pas intéressée.
- C’est toujours ce qu’on dit au début.
Cécile est venue nous rejoindre dans le jacuzzi et s’est jetée sur Audrey en caressant
la chatte et en l’embrassant à pleine bouche, puis elle lui dit :
- Tu sais que ton amie, c’est une drôle de salope.
- Oui, je sais, elle a du potentiel et nous allons nous en occuper.
Audrey et Cécile se sont gouiner devant moi sans aucune pudeur, ni retenue…

Le soir venu, après avoir dinées toutes ensemble, certaines filles montèrent se
coucher ; Mandy, Cécile et Maude et c’est une fois les filles parties qu’Audrey dit à
Diane :
- Tu sais Diane, Charlie semble très attiré par nos petites soirées.


- Ah bon, répondit Diane, tu aimes les filles, ma chérie ?
- Je commence mais pourquoi ne pas me joindre à votre groupe a l’avenir.
- Pourquoi pas, mais j’aimerais bien faire un faire un petit tour, dans un lit,
avec toi avant.
Je devins toute rouge et Diane me sourit, avant de m’embrasser simplement mais avec
douceur, et d’aller dans sa chambre où, retrouver les autres filles.
Nous avons refait l’amour avec Audrey, avant que je ne m’endorme heureuse.
Plus tard dans la nuit, j’entendis du bruit dans la maison et Audrey n’était pas là
près de moi dans le lit, je me levais et sorti nue de la chambre pour aller voir ce
qu’il se passait.

C’est de la chambre des filles et celle de Diane que venait les bruits, les portes
étaient entrebâillées et je décidais de regarder ce qui se déroulait dans chacune des
chambres.
Dans celle des filles, Cécile harnachée d’un gode ceinture était en train de sodomiser
Maude, qui elle-même allonger en travers du lit suçait la chatte de Mandy qui était
positionnée au-dessus de sa tête.
Elles râlaient comme des bêtes féroces, complètement dans leur délire saphique, en ne
s’occupant que de leur plaisir.
Devant ce spectacle j’ai commencé à me doigter, puis le plaisir montant, je me suis
déplacée pour aller voir ce qui se passait dans la chambre de Diane.

Il y avait Audrey en levrette, sur le lit, et Diane, derrière elle, était en train de
la pénétrer avec un gode qui semblait impressionnant, elle faisait glisser dans le
sexe d’Audrey son sexe factice, arrimé à son corps par une ceinture de cuir, avec
douceur et avec des gestes amples. Tout en lui caressant les seins d’une main.
Audrey gémissait fortement juste avant d’exploser de plaisir en hurlant, lorsque Diane
lui enfonça un doigt dans l’anus.
Ce spectacle me ravissait et je me caressais l’entrejambe avec fougue, m’enfonçant par
moments un ou deux doigts pour cueillir mon jus, que j’étalais sur mon clitoris durci
par l’envie de me faire prendre à mon tour par une de ces filles.

Mais voilà que c’était au tour de Diane de profiter des talents d’Audrey, qui lui
caressait le clitoris tout en lui dévorant l’anus. Les deux corps changeaient
régulièrement de position, et mon regard ne pouvait se détacher de ce spectacle
envoûtant.
Je fermais parfois les yeux pour me projeter dans cet ébat, tout en ne cessant de me
masturber, allant jusqu’à caresser mon anus pour l’humidifier de ma liqueur intime.

Soudain, alors que j’étais absorbée par le spectacle que m’offrait mon amie et son
amante, je sentis un effleurement dans mon dos et des lèvres se poser sur mon cou,
puis une voix me dit :
- Viens avec moi, et laisse-moi faire.
J’obéis sans discuter, guidée, dans le noir, lentement mais fermement par la main de
cette douce inconnue. Nous entrâmes dans la chambre d’Audrey et la fille me banda les
yeux avec un foulard qui avait la douceur de la soie.
Sur le lit, elle m’allongea sur le ventre avant de se poser sur moi, puis me dit dans
l’oreille :
- Tu es une petite voyeuse, et une petite salope, tu vas vivre un moment
inoubliable, tu te souviens d’avoir accepté le programme ?
- Oui, dis-je.
Dans un souffle, un peu inquiète de ce qui allait suivre.
Après quelques minutes, il y eut du mouvement dans la pièce et la voix d’Audrey, que
je reconnu, déclara :
- Les filles, Charlie est une voyeuse et nous allons lui donner le goût du
plaisir et la combler pour qu’elle ose et ne sois plus voyeuse.
- Oui ! Dirent des voix.
Toutes les filles devaient être dans la chambre, s’étaient-elles données le mot pour
me tendre ce piège.

Toujours est-il, que des mains se mirent à parcourir mon corps offert ainsi.
Au début, les parties les moins intimes étaient stimulées et caressées, mais au fur et
à mesure on me retourna sur le dos, et des mains caressèrent mes seins pendant que
d’autres envahissaient mon entrejambe humide.

Puis les mains furent remplacées par des bouches et des langues qui léchaient et
aspiraient mes seins, mordillant parfois mes tétons, pendant que des doigts glissaient
dans mon sexe.
Je jouis rapidement sous ces caresses mais elles ne cessèrent pas, bien au contraire
elles s’amplifièrent, devenant plus nerveuses, plus appuyées et plus profondes.
Puis on me positionna en levrette, et l’une d’entre elles se faufila sous moi puis se
mit à me dévorer l’entrejambe, buvant mon jus qui se répandait comme jamais. Puis deux
mains appuyèrent sur ma tête jusqu’à ce que j’atteigne l’entrejambe d’une des filles,
que je goûtais avec délectation, surprise par le goût et enfonçant ma langue pour le
plaisir e celle que je suçais.
Puis un autre sexe me fit face et deux autres mains me guidèrent vers lui, avec un
nouveau goût plus amer et plus parfumé, me faisant penser à Cécile qui était rousse.
Pendant ce temps une langue se mit à me lécher l’anus, m’humidifiant avec une chaude
salive, avant qu’un doigt ne s’y enfonce.
Puis on m’enleva le bandeau, et je me trouvais au milieu des cinq filles qui
m’entouraient et s’occupaient de moi et aussi se gouinant les unes et les autres.

Toujours en levrette, je vis Diane, qui s’approchais de moi, équipée d’une ceinture
avec un gode de taille moyenne, pendant que Maude, sous moi, activait sa langue sur
mon sexe et mon cul, s’occupant particulièrement de ma rondelle, alors que de mon côté
je dévorais le sexe de Cécile placée devant moi.
Audrey et Mandy, elles, faisaient l’amour près de nous.
Puis enfin, Maude ne s’occupa plus que de mon sexe et de mon clitoris érigé, laissant
place libre à Diane, qui se positionna derrière moi, elle posa le gland du phallus sur
maa rondelle et s’enfonça en moi en douceur, forçant le passage de mon sphincter qui
après avoir résisté une seconde, céda laissant libre champ aux va-et-vient de Diane
qui s’ajoutèrent aux coups de langue de Maude, associant maintenant ses doigts dans
mon sexe.

Quant à moi j’alternais entre le sexe de Maude et celui de Cécile.
Je me mis à jouir avec une telle violence que l’orgasme semblait m’assaillir de toutes
parts, et de chaque recoin de mon entrejambe. Je perdis pied, dévorant et masturbant
Maude et Cécile avec fougue, ne contrôlant plus mes mouvements, jusqu’à ce que je me
retrouve au bord de l’évanouissement.
Après quelques instants, toujours dans la même position, les filles reprirent leurs
douces caresses sur moi, tandis que Diane sortait de mes entrailles, laissant la place
à Mandy équipée maintenant elle aussi d’un gode ceinture.
Elle me prit par mes deux orifices offerts, longuement, puis ce fut le tour de Maude,
toutes les filles passèrent, l’une après l’autre, sur mon corps.
J’ai enchainée les orgasmes pendant tout ce temps, au bout de plusieurs heures je
gisait allonger sur le lit, l’anus explosé et entrouvert de toutes les sodomies subies
et je m’endormie bercée par les caresses de Diane et d’Audrey.

A suivre…

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