Leslie Ar47

Leslie AR47 - Les confessions d’un ami

Nombreux sont les hommes qui ont des souvenirs de leur adolescence.
Tous ces petits instants où ils découvrent la femme, au travers d’une cousine ou de la
copine de leur sœur, et parfois la mère de leur meilleur copain, et ressentent à ces
instants leurs premiers émois et font, parfois, leurs premières expériences sexuelles.
D’autres, par contre, vivront des expériences homosexuelles avec un ami ou un cousin
qui les marqueront à tout jamais.
J’ai eue dans mes relations un homme qui a découvert la femme au-travers de la mère de
son meilleur ami, en voici le récit :

« Je me prénomme Michel et j’avais un ami, Guillaume, nous avons été ensembles depuis
l’école primaire jusqu’au lycée, en passant bien sûr par le collège.
Nous étions les meilleurs amis du monde et nous nous rendions ensemble dans l’école
primaire voisine avec la maman de Guillaume, puis ensembles mais sans être accompagnés
depuis la sixième jusqu’à la terminale au lycée, et ce tous les jours.
En plus, je passais tous mes jours de congés chez lui et même souvent le week-end,
dormant parfois chez lui, nous étions vraiment inséparables.

Depuis toujours, tous les matins, j’avais l’habitude d’aller chercher mon ami à son
domicile, il habitait tout près de chez moi et nous faisions ensemble le trajet nous
séparant de son domicile à notre lieu d’études.
Cependant Guillaume avait une fâcheuse habitude, celle d’être souvent en retard le
matin et quand je frappais à la porte de la maison de ses parents, c’était toujours sa
mère, Carole, qui venait m’ouvrir et me faisait patienter dans la cuisine ou le salon
de la maison.
Son père, ingénieur dans le pétrole, était absent la plupart du temps, ne rentrant
chez lui qu’à la fin des missions, soit une semaine tous les deux ou trois mois.



C’est à partir de la troisième, juste avant d’aller au lycée, que je me suis aperçue
de la beauté de la maman de Guillaume, en plus c’est à cette époque qu’elle a
commencée à me complimenter. J’étais troublé mais je ne comprenais pas vraiment
pourquoi…

C’est après les grandes vacances que tout devint plus clair, alors que nous étions au
lycée en classe de seconde, tout à changer dans mes relations avec la mère de mon ami.
En effet lors de mes visites matinales, la mère de Guillaume, se montrait de plus en
plus gentille avec moi, me complimentant sur mon physique et mon habillement, me
disant qu’elle me trouvait mignon avec mes cheveux blonds bouclés et mes yeux bleus.
Chaque matin elle me recevait vêtue d’un peignoir qui lui arrivait à mi-cuisses, et
j’ai commencé à la regarder comme une belle femme, à quarante ans elle avait l’âge de
ma mère.
Carole était une très belle femme, possédant de soyeux cheveux noirs qui lui
descendaient jusqu’aux épaules, de grands yeux vert irisés, une jolie bouche aux
lèvres charnues, et surtout le plus important aux yeux de l’adolescent que j’étais,
une poitrine qui déformait le devant de son peignoir. Ses hanches pas trop larges
mettaient en valeur sa jolie cambrure de reins et surtout sa croupe, qui devait être
ferme et accueillante.

Depuis le début de la seconde, tous les jours je m’arrangeais pour me présenter chez
Guillaume largement en avance, afin de demeurer quelques instants, seul avec sa mère
pour laquelle je commençais à éprouver une véritable attirance.
Dans ces moments privilégiés, Carole me parlait comme si j’étais un ami intime, se
confiant aisément comme si je pouvais comprendre ses problèmes personnels. Tout en
l’écoutant d’une oreille attentive, je profitais des moindres mouvements qu’elle
faisait pour essayer de distinguer par l’ouverture de son peignoir, un coin de chair
nue et pourquoi pas un de ses seins.

Car parfois, son peignoir s’ouvrait pour me laisser entrevoir un de ses seins nus
portés sans soutien-gorge et lorsque la chance souriait c’était ses cuisses que je
pouvais entrcevoir pour mon plus grand bonheur.
Un jour, juste avant les vacances d’hiver, son peignoir s’est ouvert de façon à ce que
je découvre que Carole, la mère de mon ami, ne portait pas de culotte, c’est quand
j’ai rougit qu’elle s’est aperçu que j’avais vu son pubis complètement lisse, dénué de
poils.

A partir de ce jour je me sentais rougir comme une tomate chaque fois que le bas du
peignoir s’écartait plus qu’il n’aurait dû, mais Carole ne faisait rien pour
l’empêcher de s’ouvrir et je la soupçonne même de parfois l’avoir fait exprès.
Et si je prenais, de plus en plus souvent, un réel plaisir à découvrir fugacement les
merveilleux appas de la séduisante mère de Guillaume, il m’arriva bientôt que mon bas
ventre s’orne d’une fâcheuse érection, qui déformait de façon vraiment indiscrète le
devant de mon pantalon, me procurant une effroyable gêne.

Carole, d’ailleurs, ne tarda pas à s’apercevoir de mon trouble et de ce qui le créait.
Ses discrets, mais appuyés coups d’œil en direction de cette protubérance qui
m’embarrassait ne fit qu’accen mon trouble et mon embarras.
Même si le regard qu’elle me lançait ensuite était plein de compréhension, me laissant
parfois la douce pensée que ce pourrait être du désir.
Pourtant, malgré mon innocence, je constatais avec un émoi certain, que plus les jours
passaient, plus les incidents avec son peignoir se multipliaient, celui-ci s’ouvrant
de plus en plus largement et de plus en plus fréquemment, à ma grande satisfaction.

Devenu follement amoureux de la mère de mon ami, je m’empressais chaque matin d’aller
chez Carole, le cœur battant la chamade espérant un geste ou un regard qui donnerait
le départ d’une folie insensée.


C’est un matin, alors que selon mon habitude j’étais arrivé assez tôt et que nous nous
trouvions tous les deux à la cuisine, que Carole se penchant en avant me laissa voir
sa poitrine par l’ouverture de son peignoir.
Je pouvais voir ses seins blancs qu’aucun soutien-gorge ne comprimait, et même une
partie de ses mamelons brun foncés.
La gorge sèche, j’éprouvais aussitôt un terrible embarras au niveau du bas-ventre, mon
sexe s’était raidi et avait largement doublé de volume, formant une protubérance fort
disgracieuse sur le devant de mon pantalon. Je tentais de masquer mon embarras en me
tortillant sur ma chaise, Carole surprit mon manège et me lança :

- Eh bien, que t’arrive-t-il on dirait que tu as quelques ennuis…Ce n’est quand
même pas moi qui te met dans un tel état ?
Ne répondant pas, elle rajouta :
- Bon, à partir de maintenant je vais faire attention !
Elle dit cela en me regardant dans les yeux et en me faisant un clin d’œil, comme si
notre complicité était maintenant scellée.
Les jours suivants furent insoutenables, mon égérie, ne s’inquiétait plus de savoir si
son peignoir par moment s’ouvrait d’une manière des plus indiscrète, me laissant la
vision de ses seins parfois dénudés où même, parfois accroupie face à moi, les cuisses
largement écartées, elle m’offrait la vue de son sexe glabre, mais replaçant toujours
son peignoir sur son corps sensuel en me regardant dans les yeux pour constater que
j’avais apprécié. »

A suivre…

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