Leslie Ar58

LESLIE AR58 – Vacances chez Caroline, ça continue, suite

« Carole, indécente, m’offre son intimité, alors je plonge ma main entre ses cuisses, sans qu’elle ne fasse un mouvement de recul ou de refus, sa peau est douce et chaude, légèrement moite même de sa transpiration. Plus ma main remonte vers le haut de sa cuisse, plus elle écarte ses jambes pour me faciliter la caresse. Quand ma main arrive enfin à proximité de son bas-ventre, ses deux jambes sont impudiquement écartées.
J’arrête ma progression là. Carole n’a plus ce regard terrorisé, mais des yeux brûlants d’envie. Sa bouche est ouverte et elle respire fort, halète même. L’arrêt du mouvement de ma main lui fait écarquiller les yeux, son bassin tente un mouvement qui cherche désespérément à pousser mes doigts vers son sexe. De ma main libre, je dégrafe complètement mon vêtement. Les pans de mon kimono s’accrochent un moment à mes mamelons tellement ils sont proéminents, puis glissent finalement et libèrent mes seins gonflés de désir. Son regard s’embrase encore plus !
- C’est ça que tu aimes on dirait ?
Une de ses mains s’empare d’un de mes bouts. Une décharge électrique se répand en moi, du bout de mon sein jusqu’à mon bas-ventre. Carole craque et s’empare de ma main toujours sur sa cuisse pour la coller sur son sexe.
Aussitôt elle pousse un faible gémissement que je sens encore retenu. Mes doigts glissent le long de sa fente que je sens à travers sa culotte. La place est humide et moite de son jus, elle est comme moi, elle mouille beaucoup.
- Vous me rendez folle, dit Carole dans un souffle.
Ma main s’active maintenant, elle passe et repasse le long de son sexe. Mon doigt appuyant de plus en plus fortement comme s’il voulait perforer le tissu. Carole lâche enfin :
- Oui ! N’arrêtez pas, s’il vous plaît…

Elle a basculé sur le côté et s’est écroulée sur le canapé, toujours les jambes largement écartées bien sûr. Je ne résiste pas plus longtemps à l’attrait de sa bouche, et mes lèvres rejoignent bientôt les siennes.


Elle m’embrasse avec fougue, sa langue fouille ma bouche à la recherche de la mienne. J’arrive à m’arracher à son baiser pour lui dire :
- Et si on enlevait ce bout de tissu ?
Sans un mot Carole resserre ses jambes pour me faciliter la tâche. À peine la culotte a-t-elle passé le seuil de ses chevilles qu’elle écarte de nouveau ses cuisses, avide de recevoir de nouveau mes caresses.

L’assise de mon canapé étant particulièrement large, je l’enjambe et de me place au-dessus d’elle dans la position d’un parfait soixante-neuf. Elle lève alors aussitôt une de ses jambes qu’elle repose sur le haut du dossier, alors que l’autre pend de côté en dehors du coussin.
Elle m’offre ainsi une vue parfaite de son sexe complètent nu, parfaitement épilé et ouvert comme une fleur au petit matin, humide de rosée.
Mes doigts ont vite fait de le retrouver pour son plus grand plaisir et lorsque mes doigts trouvent son clitoris érigé, son bassin fait alors des mouvements cherchant désespérément à trouver un contact plus appuyé. Sa chatte est en feu et elle mouille abondamment inondant mes doigts inquisiteurs.

J’ai droit à des râles de jouissance qui se transforment rapidement en un long gémissement lorsque je m’attarde un peu plus sur son clitoris gonflé.
Mes doigts la pénètrent et c’en est trop pour elle, son bassin tremble et son ventre se contracte sous la jouissance et elle pousse un cri profond lorsque son orgasme la terrasse.
Mais cette coquine est insatiable, loin de la calmer cette première jouissance a l’air de décupler ses envies. Son bassin s’agite en tous sens pour mieux sentir mes doigts la pénétrer.

Je meurs d’envie de prendre d’elle du plaisir, alors je place mon sexe au-dessus de son visage et je me redresse sur mes bras pour plaquer ma vulve sur ses lèvres. Carole qui a compris mon désir écarte, d’une main, mon string qui est toujours profondément planté en moi et d’une langue experte entame un léchage en profondeur.

Ce contact tant attendu me met en transe, et c’est à mon tour de gémir de plaisir.
Je caresse mes seins tandis que Carole enfonce de plus en plus profondément sa langue en moi. Je sens ses doigts écarter ma chatte pour permettre à sa langue de me pénétrer encore plus loin, ressortir pour s’attarder à l’orée de ma chatte et mordiller mon clitoris.

Dans un état de demi-conscience, je me rends compte que je suis en train de crier mon plaisir en même temps que mon cul s’agite frénétiquement, je perds totalement le contrôle de mon corps envahit par les spasmes du plaisir.
Carole n’en a pas terminer avec moi, elle veut aller encore plus loin, ses mains prennent mes fesses qu’elle se met à pétrir tout en poursuivant son travail avec sa bouche et sa langue sur mon intimité.
J’explose une nouvelle fois, terrassée par un orgasme, la bouche ouverte d’où jaillit un cri lorsqu’un doigt de Carole prend possession de mon fondement.
La vicieuse m’encule de son doigt et je hurle mon plaisir.

Carole se redresse et s’approche de mon visage pour m’embrasser tendrement et me dit :
- Waouh, j’ai pris un énorme plaisir.
Elle m’embrasse de nouveau goulûment, il n’est plus question de contrat, mais bien plus de plaisir.
Avant de nous séparer elle me dit :
- Ma chérie, je reviendrais ce soir pour t’enculer !
Je l’ai laissé partir en gardant sa culotte qu’elle est venue récupérer le soir même, je te dis pas ma chérie la nuit que j’ai passé dans ses bras…»

Caroline est tout excitée à la fin du récit de Patty, nous restons encore un moment avec elle pour parler de chose et d’autres, puis nous prenons congé.
Sur le chemin du retour Caroline me dit :
- Il faudra que je l’invite avant ton départ !
Je la regarde en lui répondant :
- Ça promet d’être chaud…

A suivre…

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