Leslie Ar52

Leslie AR52 - Black week-end, suite

François me ramena doucement à la table, son ami dansait avec une blonde, sa main s’inséra sous ma jupe pour caresser mon sexe à travers mon string.
Je tentais de fermer mes jambes mais sans conviction, sa main large et chaude sur mon intimité encore protégée me faisait frémir et bander.
- Tu réagis vite, me dit-il.
Il se pencha vers moi, et me chuchota à l’oreille des paroles douces auxquelles je répondis par des hochements de tête entendus, les yeux larmoyants.
- Leslie, ma belle Leslie. Ne t’inquiètes pas, je vais bien t’aimer et tu vas adorer.
François continua, son bras enlaçant tendrement mon épaule :
- Ça te dit de venir prendre un verre chez moi ?
- Je…
C’était si rapide, tellement fou que je ne savais quoi répondre tiraillée entre l’envie et la peur.
- Alors, suis-moi !
Il me prit par la main et je le suivis pour nous frayer un chemin à travers la foule vers la sortie, laissant son ami dans les bras de la belle blonde.

Assis dans le siège de la Mercedes de François et lui tranquillement en train de conduire, je me laissais aller, tandis qu’il caressait ma cuisse d’une main.
Après avoir traversé Paris, nous arrivâmes dans ce qui semblait être la villa de François vers minuit et demi. Après avoir garé la voiture dans l’allée de la villa, François m’ouvrit galamment la portière et m’entraîna par la main à l’intérieur de sa villa, j’avais l’impression d’être une naine aux côtés de François.
Il m’installa dans le salon et me débarrassa de mon spencer.
- Tu veux boire quoi, ma belle Leslie ?
- Une vodka.
Il me servit une vodka et lui se servit un whisky, et il mit de la musique douce et s’installa à côté de moi dans le sofa et me caressa les épaules.
- Tu es tendue Leslie ?
- Un peu, je ne sais pas pourquoi.
- La peur peut-être ?
Il me retira lentement mon corsage et c’est les seins nus qu’il me regarda en disant :
- La peur de moi !
- Je ne sais pas.


- Aller va te changer, je te prépare un bain.

Je me levais et allais me déshabiller dans la chambre pendant qu’il faisait couler le bain dans la salle d’eau. Je me débarrassais de ma jupe que je pliais soigneusement, puis de mes escarpins. Vêtue uniquement de mes dessous, je regardais autour de moi, des serviettes éponges étaient pliées sur le guéridon près de l’entrée.
J’hésitais à peine avant de retirer mon string et nue, je m’admirais furtivement dans la glace, puis je me drapais dans une large serviette blanche et allais pieds-nus dans la salle de bains.
Aussitôt entrée, François me dit :
- Je te laisse, prend ton temps je t’attends sur le lit dans la chambre.
Je pris mon temps, savourant ce moment, puis je suis sortie, séchée et c’est drapée dans une serviette sèche que j’ai rejoint François dans la chambre.
François était allongé complètement nu sur le lit, les yeux clos, j’étais fasciné par l’énorme silhouette de François, tout en muscles, sa peau était noire ébène et semblait être soyeuse. Sur sa cuisse reposait son pénis qui était aux dimensions que j’ai rarement vues. Je m’en étais déjà rendu compte lorsque nous dansions. Je l’évaluais à au moins vingt centimètres et d’une belle largeur, alors qu’il était au repos.
Il ouvrit les yeux et je laissais tomber la serviette au sol, il se leva et s’approcha de moi, je voyais que la vision de mon corps androgyne avait fait son petit effet sur le sexe de mon bel éphèbe. Sans être au maximum, il semblait déjà être plus consistant que lorsque je suis entrée.

Il s’approcha et me saisit le sein dans sa large paume, le faisant presque disparaitre, et caressa mon téton, maintenant dressé.
Cette fois, François était en érection maximale et ce que je vis était monstrueux et merveilleux, un sexe noir d’ébène et circoncis, épais et strié de veines, qui battait au rythme de son cœur, certainement plus de vingt-trois centimètres.
François se mit à me caresser furtivement les fesses avant de retourner s’allonger sur le lit, m’invitant à le suivre.


Je jetais un coup d’œil au grand miroir du mur d’en face et celui du plafond, et je me vis, frêle et fragile, par rapport à l’immense corps noir et brillant de François à côté de moi.
Puis allongée sur le lit, les mains ramenées sous ma nuque, les yeux clos, je me suis abandonnée entres les mains de François.
Cet inconnu noir rencontré quelques heures auparavant me voyait nue et de ses mains larges, il me caressait en douceur, de façon voluptueuse. Chaque partie de mon corps étaient caressée, mes jambes, mon ventre, mes seins, et chaque fois que j’ouvrais les yeux, je voyais son pubis faiblement poilu orné de son appendice, revenu au repos, mais de la taille de celle d’un taureau.

Puis il me retourna sur le ventre avant de s’installer sur moi, à califourchon, sur le bas de mon dos. Un frisson de plaisir parcourut mon échine lorsque je sentis le bout de son pénis et ses testicules se poser sur le bas de mon dos. Ses mains avaient repris leurs caresses et il faillit m’arracher un orgasme lorsqu’il s’attaqua à la base de mon cou.
De plus, je sentis son gland sur mon dos se durcir, lentement mais sûrement.
Je gémis, terrassée par la pensée de son sexe me pénétrant et écartant mes chairs intimes, envahie par des songes de plus en plus lubriques.
Je bandais comme une folle, et je me rendis compte que François ne voulait plus laisser retomber la tension, son sexe maintenant en érection il accompagnait les mouvements de ses mains sur mes épaules de furtifs coups de reins afin de masturber son pénis sur mon dos afin d’entretenir son érection.
Je sentis les gouttes d’un liquide chaud couler sur mon dos, je frémis à nouveau en attendant lascivement que François se déchaîne pour me posséder.

Puis François bougea un peu, son bassin glissa doucement pour descendre vers mes pieds et en passant sur mes fesses je sentis son pénis glisser à l’intérieur de la raie de mes fesses, un soupir s’échappa de mes lèvres.

A genoux à mes pieds au bout du grand lit, ses mains saisirent mes fesses pour les écarter, et découvrir mon petit œillet plissé et frémissant d’impatience, puis ses doigts passèrent à l’intérieur de ma raie, caressant au passage les bords plissés de mon anus. Je gigotais mal à l’aise prise de désirs incontrôlables.
Je gémis de bonheur.
Puis il écarta carrément mes fesses pour me titiller l’anus de ses doigts et découvrir mon orifice intime, qui je suppose commençait à s’entrouvrir.

A suivre…

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