Leslie Ar53

Leslie AR53 - Black week-end, suite

Je me tortillais pour tourner la tête et jeter un coup d’œil sur le miroir au plafond, voir l’indécence de la situation, le corps noir de François près du mien, mes fesses ouvertes à son regard, des gouttes de transpiration m’inondaient le dos, et nos corps luisants se reflétaient dans les miroirs.
François satisfait me retourna à nouveau et se saisit de mon sexe bandé pour me masturber, je gémis, alors que tout mon corps soumis attendait que ce mâle me prenne.
Je me sentais ouverte, indécente, prête à me faire posséder par cet inconnu. Je relevais mon bassin, pour m’offrir encore plus, présentant mon sexe à François pour qu’il me prenne un instant entres ses lèvres.
Il comprit et descendit sa tête vers mon sexe raide pour le prendre en bouche et m’administrer une fabuleuse fellation. Je n’en pouvais plus, ses lèvres entourant mon sexe et un de ses doigts dans mon anneau plissé me triaient des gémissements.
Alors dans un souffle, je lâchais :
- Viens …
François ne répondit pas, continuant à me sucer et à me doigter l’anus, comme un conquérant vainqueur devant sa proie le suppliant de l’achever.
Il continua sans relâche, je bandais comme une folle et j’allais bientôt jouir en me rependant sur sa bouche, il le sentit et se releva quittant mon sexe, je gémis de frustration à nouveau en disant à nouveau :
- Ohhh, prends-moi !
Je n’en pouvais plus et mon corps esclave trahit mon désarroi, mes jambes s’écartèrent au maximum et je relevais les jambes en guise d’acceptation et e soumission, je m’offrais indécente à mon félin.

Il me saisit fermement les chevilles, puis m’installa un coussin sous les reins pour relever mon bassin, je sentis son membre palpiter sur mon intimité, je poussais alors un soupir de bonheur prête à me faire embrocher.
Regardant à nouveau au plafond, la vision que le miroir me renvoya, dans la semi-obscurité, me fit un choc, tel un prédateur au-dessus de sa proie, François soulevait légèrement mon bassin pour présenter sa lame au fourreau que je lui offrais et la faire glisser au plus profond.


Le gland se posa sur ma rosette, qui résista un instant à la poussée du membre en moi, refusant inconsciemment cette pénétration hors norme par la peur qu’elle suscitait, puis mon sphincter céda et lentement je sentis ce membre glisser lentement dans l’intimité de mes fesses.
François, le prédateur, possédait Leslie, sa proie.
Lorsqu’il plongea son membre dans l’étroit fourreau de mon cul, je me mordis la main pour ne pas crier, de douleur ou de plaisir, peut-être les deux à la fois, et de honte aussi d’avoir céder aussi vite. L’intromission sembla durer des heures et ma crainte de ne jamais pouvoir engloutir un tel engin s’estompèrent au fur et à mesure que les millimètres noirs disparaissent dans mon antre.
La panique me prit soudainement, il allait me transpercer, me déchirer, c’est sûr, jamais je ne pourrais accepter tout son membre en moi.
François calma ma panique avec fermeté, il appuya fermement sur mes jambes tout en poursuivant sa conquête de mon intimité en me regardant dans les yeux comme pour me rassurer et me dire silencieusement que je n’avais pas de crainte à avoir.
Je sentis mon sphincter se distendre excessivement pour gober le large pénis de mon amant noir. Je sentais mon corps se couvrir de sueur, et entendis son souffle rauque de fauve en rut consommant sa proie.
Un rictus barrait son visage, et au terme de plusieurs secondes de lutte, François prit possession de moi, d’un magistral coup de rein, il acheva de se projeter au fond de mon ventre, me faisant pousser un ;
- Ohhh !
Conquise et possédée, je saisis la main de François qui me maintenait les jambes en signe de soumission. Mon corps disparaissait sous sa masse noire.

Déjà, mon mâle amant commençait à me pistonner le cul pour m’élargir encore plus. Je tendis mon bassin en offrande. Je voudrais me retenir mais mes lèvres ne purent empêcher de lâcher des suppliques gémissantes …
François toujours drapé dans son silence continuait imperturbable à me gratifier de ses coups de hanches réguliers et puissants.
Ses mains accrochées comme des serres sur mes chevilles, m’empêchant de me dérober à ses assauts.
Je haletais sans discontinuer tandis que François, toujours à son allure de métronome, me labourait les reins, fermement avec juste ce qu’il fallait de tendresse pour ne pas apparaitre comme une brute sauvage.
Je poussais des petits cris en sentant mon orgasme arriver. Mon ventre devint incontrôlable, crispé par les saccades qui me secouèrent tandis que je jouissais.
François, toujours imperturbable s’immobilisa pour me laisser consommer mon plaisir.

Nous étions nus et détrempés par la sueur animale qui nous faisait briller nos corps, les yeux mi-clos je savourais mon plaisir, lorsque je sentis la bouche de François m’embrasser, ses lèvres sur ma bouche pour un langoureux et passionné baiser.
Tout en continuant à m’embrasser, il me prodigua des coups de reins lents, faisant glisser son pénis dans mon fourreau anal. C’en était trop pour moi, je sentis instantanément un orgasme remonter en moi et me secouer, François me saisit la poitrine et de ses doigts, il pinça doucement mes mamelons roses et durcis comme du granit.
Je gémis sans pouvoir m’arrêter.
La notion du temps devint quelque chose de particulièrement difficile à évaluer, il me semblait que François me pistonnait depuis des heures, peut-être une demi-heure en réalité, mais c’était déjà une performance, et je sentais que ce n’étais pas terminé
Je me laissais aller en subissant le rythme lent et régulier de François, chaque pénétration du son membre e, moi était une douceur fabuleuse. Je haletais, puis me calmais mais reprenant aussitôt mes soupirs, pendant longtemps.
Ralentissant le rythme encore plus dès qu’il me sentait monter et prête à exploser, puis il finit par se retirer sans avoir jouit en moi.

Puis, François sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, me présenta son membre pour me le faire sucer, docile et soumise j’ouvris la bouche.

Après l’avoir sucer tant bien que mal, compte tenu de la taille de son sexe, il le présenta au-dessus de ma poitrine et le prenant dans sa main droite, il commença à le masturber posément avec un rythme aussi lent que lorsqu’il me pilonnait les reins quelques secondes plus tôt.
Il se masturba ainsi longuement, me faisant admirer ses mouvements fermes, allongée près de lui, puis il commença à accélérer ses mouvements et sa jouissance vint brusquement, des jets puissants jaillissaient par vagues pour atterrir sur mes seins, les couvrant d’un liquide visqueux, épais et blanchâtre.
Captivée par la jouissance de cet énorme membre qui se déversait sur ma poitrine, je le pris en main pour constater sa puissance et sa grosseur, tirant un léger râle au fond du fond de la gorge de mon amant, les muscles tendus et saillants par la jouissance qui l’emportait.
Puis il s’allongea délicatement à côté de moi, pour reprendre son souffle, et nous restâmes longuement ainsi, sans parler, en s’échangeant juste quelques baisers furtifs.

D’une main, François me prit la main et l’emmena se poser sur mon sexe, comme une invite à me caresser longuement, et à me masturber. Ma main, emprisonnée par celle de François, s’affaira longuement sur ma verge, puis le sexe de François reprit bientôt de la vigueur devant le spectacle.
Moi de mon côté je sentais un plaisir sourd remonter du fond de mes entrailles, torturant mes hanches graciles. Je haletais à nouveau crescendo. François ne perdait pas une miette, je me sentais venir, ce n’était plus qu’une question de secondes.
Mais il se leva et m’arracha les doigts de mon sexe bandé.
Il me saisit les hanches et me retourna sur le ventre comme un fétu de paille et me cala un coussin sous le ventre pour surélever mon bassin, puis écarta mes jambes et se cala entre mes cuisses pour un nouvel assaut.

Je pouvais assister à notre coït sur l’immense miroir mural. J’y voyais François se saisir de son membre et le présenter à nouveau à l’entrée de mon cul, certainement encore entrouvert de sa précédente pénétration.

François insista bien, avec son membre dressé à l’orée de la raie de mes fesses, parcourant de son gland mon sillon intime, diffusant une onde de plaisir au creux de mes reins. Je le vis positionner le gland de son membre dressé sur mon œillet, tout contre l’ouverture de mon conduit intime, et écartant moi-même de mes mains mes fesses
Et me détendis au fur et à mesure que son membre conquit mes entrailles. Durant de longues minutes il reprit peu à peu possession de moi tel un prédateur. Au fur et à mesure que son membre conquit ce territoire maintenant familier écartant mon sphincter presque à m’en faire mal.
Je gémis autant de douleur que de plaisir. François commença alors à opérer un va-et-vient lent dans mes intestins, achevant de m’ouvrir complètement.
Il glissait, maintenant, aussi sûrement que si mes entrailles avaient été moulées autour de ce corps étranger, il s’enfonçait facilement au fond de mes entrailles.
Puis il me tint par les hanches comme s’il domptait un cheval et il me sodomisa à une profondeur jamais atteinte, sentant tout simplement, que jamais, je n’avais été explorée aussi profondément.
Je jouis d’une manière aussi brutale que soudaine. Ma tête s’affala sur le lit et je râlais comme jamais pour accompagner les soubresauts qui me secouaient le cul remplit du membre noir de mon amant.

François s’arrêta un instant pour me laisser apprécier mon plaisir et, une fois mon corps apaisé, il recommença à faire ses aller-retour incessants dans mes entrailles délicieusement martyrisés.
Le miroir me renvoya l’image de ce noir donnant des coups de reins dans mon corps albâtre, indécente image qui me fit me répandre sur les draps du lit, alors que continuant à me gratifier de ses coups de reins violents et dévastateurs, je lâchais des suppliques larmoyantes :
- Ohhh, je vais jouir, ne t’arrête pas, ohhh !
La vague déferla à nouveau dans mon cul, François se crispa et se projeta le plus loin possible dans mon intestin et éjacula longuement, noyant mon tube de sa semence abondante. Il me mordit le cou, comme un félin maintenant sa femelle sous sa domination, m’emportant dans mon orgasme qui se prolongeait indéfiniment.
Nous nous écroulâmes de concert sur le lit, mais François ne s’est pas retiré de mon cul. Il me serrait dans ses bras, nous gardant collés pendant que son pénis perdait peu à peu vie dans mes entrailles. J’avais les larmes aux yeux, couverte de sueur, je n’avais jamais jouis aussi fort.

A suivre…

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