Leslie Se21

Leslie SE21 – Seule, Delphine, suite

Le lendemain matin lorsque je me suis réveillée, Benoît avait déjà quitté la chambre et par la porte entrouverte entrait l’effluve d’un bon café.
Delphine dormait toujours et s’est en lui déposant de petits baisers sur sa frêle poitrine que je lui ai fait ouvrir les yeux, il était huit heures du matin.
Elle répondit à mon invite par un long baiser langoureux et se blottit un instant dans mes bras pour le petit câlin du matin. Il n’y avait rien de sexuel, rien que de la tendresse entre deux filles qui s’éveille dans le même lit.
- Humm, dit Delphine, ça sent bon le café !
- Benoît a certainement préparer le petit-déjeuner pour nous, peut-être aura-t-il la bonne idée de nous l’apporter au lit, dis-je.
- Ce serait bien de son style, il est si prévenant…

C’est à cet instant que choisit Benoît pour entrer dans la chambre avec un plateau chargé de victuailles pour un petit déjeuner au lit.
Il pose le plateau sur le lit, où une cafetière de café repend une douce odeur, le plateau est complété des habituels croissants, de tartine avec beurre et confiture, et des verres de jus d’orange.
Heureuses d’être considérées comme des princesses, accompagnées de Benoît, alors habillé après avoir été cherché les croissants, nous déjeunons, nues toutes les deux, donnant à ce petit-déjeuner un petit côté incongru.
Le petit-déjeuner se passe à merveille, non sans que Benoît nous fasse des réflexions sur notre nudité, mais à ses yeux nous sentons bien qu’il apprécie de déjeuner avec nous dans notre tenue d’Eve.

C’est Delphine qui prend l’initiative de couper court à cet instant, pour me dire :
- Bon ce n’est pas tout ça mais nous devrions nous préparer car c’est notre journée.
Benoît évidemment rechigne de nous voir partir, mais Delphine reste intraitable et réplique :
- T’inquiètes pas nous reviendrons demain !
Là-dessus, avec Delphine, nous allons prendre une douche et nous préparer pour partir sous le triste regard de notre amant, qui espérait certainement nous retenir ; mais il se consolera certainement devant un film en attendant notre retour le lendemain.


Une petite demi-heure plus tard, après avoir fait la bise à notre chéri, nous voilà installées dans la voiture de Delphine en route pour notre journée entre fille…

Dans la voiture, tout en conduisant, Delphine n’arrêtes pas de poser son regard sur ma poitrine, ses yeux ne quittent pas mes seins nus aux tétons rigides qui pourraient transpercer le tissu de mon corsage, car mes tétons pointent vulgairement au travers de mon haut et je bande comme une malade.
Delphine se gare en centre-ville et me propose de faire un petit tour avant manger un morceau, puis d’aller boire un café dans un petit bar sympa qu’elle connait. Pendant un peu plus d’une heure nous arpentons les rues en s’arrêtant de temps en temps devant une vitrine, bras dessous et bras dessus nous allons comme deux vieilles copines, il fait doux et la ballade est sympathique.
Puis nous allons manger dans une brasserie du centre-ville, puis nous partons pour aller boire le café dans le bar dont Delphine m’a parlé.

Arrivées devant le bar, nous entrons pour aller boire un petit café.
Beaucoup de personnes, Delphine apparemment, est bien connu, on va s’asseoir, côte à côte sur la banquette, au fond de la salle pour être tranquilles, mais les mecs présents nous regardent avec insistance et je me sens un peu gênée.
Puis Delphine commande deux cafés, qu’une fois servis, nous buvons rapidement, ils sont trop bon.
Je commence à plaisanter avec Delphine, assise près de moi, passe souvent sa main sur mes cuisses, les parcourant avec délicatesse et douceur.
Les caresses de Delphine font montées en moi des désirs et un quart d’heure plus tard, je suis excitée comme une puce.
Voyant mon état, elle redouble d’ardeur, ouvertement sans se cacher et sans pudeur passe sa main entre mes cuisses et frotte mon sexe de la paume de sa main. Ça me fait un effet de dingue et j’ai failli jouir sur place, devant tous les mecs qui ne perdent rien au spectacle offert.

Au bout d’un court instant de ce traitement, je n’en peux plus, je vais devenir folle, mes seins me font un mal de chien tellement ils sont gonflés de désir, je ne peux pas rester comme ça, je vais mourir.
- Leslie ?
- Oui ?
- Tu veux que nous partions ?
- Ohhh, oui, dis-je, complètement ailleurs.

Nous sortons de ce bar, j’ai la tête qui tourne et les jambes en coton, ce qui fait que Delphine est obligée de me tenir par le bras, elle me conduit devant une maison avec des rideaux sur les fenêtres et une simple porte blanche, nous somme devant « Le Lapin Blanc ».
Delphine me dit :
- C’est le sex-shop de la ville.
En fait il faut le savoir car on devine à peine la présence de cet établissement dans une des villes du champagne.
- Tu y viens souvent, demandai-je.
- J’y viens de temps en temps pour acheter du gel ou de petits accessoires, et aussi de la lingerie, c’est sympa d’avoir un tel établissement, ça évite d’aller à la capitale.
Tu veux aller jeter un œil, me demande Delphine.
Pourquoi pas, dis-je.
Alors nous entrons dans l’établissement,
Les étagères sont bien fournies en sex-toys de toutes tailles, des aphrodisiaques, de la lecture ou des DVD de sexe et un vaste rayon de lingerie coquine, les murs sont roses, ce qui donne à l’endroit un petit air de maison de poupées, enfin poupées pas toujours sages.
Un vite tour du magasin, pour se rendre compte que tout ici est fait pour le plaisir

En ressortant elle me prend par la taille et m’entraîne rapidement à la voiture, visiblement elle est pressée que nous soyons enfin seules nous nous asseyons.
Pendant tout le trajet, elle me caresse les cuisses de sa main libre, parfois même jusqu’en haut, frôlant mon string que protège à peine mon sexe bandé de désir, je ne tiens plus, vivement que nous arrivions chez elle, le soleil commence à décliné, c’est la fin de l’après-midi.

Quelques minutes plus tard, nous arrivons à sa maison, j’ai des désirs pour Delphine, à peine entrés dans le salon, elle me prend dans ses bras pour m’embrasser à pleine bouche et sans un mot elle me jette sur le canapé et commence à m’embrasser à pleine bouche, impossible de résister, j’attends de faire l’amour avec elle depuis trop longtemps pour pouvoir lutter contre cette envie qui me vrille le bas-ventre.

Puis elle pose sa main sur mon string et le descend afin de libérer mon sexe de l’enveloppe de tissu, puis Delphine se fourre mon sexe au fond de sa gorge, tandis qu’un de ses doigts est venu lui prêter main forte sur ma rondelle et commence à la caresser, soudain je sens une chaleur m’envahie et ma vue se trouble.
- Tu vas bien m’occuper de moi, ma belle, me dis Delphine, puis après ce sera mon tour de m’occuper de toi.

Joignant le geste à la parole, elle me relève et redépose un baiser sur mes lèvres, puis sa langue force mes lèvres et s’infiltre à nouveau dans ma bouche et je sens le propre goût de mon sexe, lorsqu’elle m’embrasse fougueusement et que nos langues se mêlent,
Nous sommes debout face à face, elle me tient par la taille et je sens son sexe contre mon sexe en érection, puis doucement elle se retourne pour se mettre dos à moi.
Cette fois, elle a mon membre entre mes fesses
- Nous allons nous donner du plaisir, Leslie et je sais que tu n’attends que ça.
Et elle pousse ses fesses contre moi.
Tu vas bien t’occuper de moi, je sens que tu es dur pour moi, me dit Delphine.

Alors, je aussitôt je lui doigte la chatte et j’entends les clapotis de mes doigts dans sa grotte d’amour, elle hurle son plaisir peu de temps après et je sens qu’elle est à point.
Doucement, je l’aide à se bouger lentement pour finir en levrette sur le lit, Delphine adore cette position, où elle prend le plus de plaisir, surtout lors d’une sodomie où elle se sent complètement offerte soumise à la volonté de son amante.
J’adore la prendre dans cette position et voir ses petits seins libres et balloter dans le vide au gré de mes coups de reins.
Je caresse lentement son dos, prenant le temps et la faisant frémir d’impatience, puis passe ma tête entre ses fesses que je maintiens largement écartées de mes mains.

À l’instant même où je pose ma langue contre sa chatte, elle soupire de bonheur, alors j’extirpe son clitoris de sa cachette et le prends entre mes doigts et le presse fortement, la faisant jouir et hurler comme une furie en poussant un cri.

Ses mains tiennent un oreiller et sa tête se pose maintenant contre pour mieux se cambrer, la caresse qu’elle subit la fait jouir et elle est prise de convulsions, tandis que son ventre est secoué de spasmes, et dans un souffle elle hurle :
- Ç'est trop bon !

Je continue de la lécher, et je sens que son plaisir revient au galop, alors j’introduis deux doigts dans sa chatte tellement dilatée par le plaisir qui la submerge, elle ne rêve que d’une chose, celle que je la prenne maintenant, alors je remonte une main vers ses seins tout en continuant de la doigter de l’autre, je les malaxe, Delphine jouit une fois de plus.
- Ahhh ! Oui, putain Leslie, je jouis.
- Vas-y ma belle, jouis, jouis fort, je vais te bientôt te prendre et tu vas voir tu vas hurler.
- Oui, je jouis !
Une fois de plus, son corps est parcouru de spasmes. Incroyable, les orgasmes de Delphine, je vais la à cette allure-là. Elle perd complètement la notion du temps et de l’endroit.

A suivre…

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