Leslie Se28

Leslie SE28 – Seule, Petite aventure avec Isabelle, une vendeuse

C’est samedi, et je n’ai rien à faire de bien précis, alors seule, j’ai été dans une galerie marchande des Champs Elysées où je vais souvent et où je suis connue, certaines vendeuses connaissent même mon secret, qu’elles tiennent bien-sûr de clientes avec qui j’ai partagé un instant d’intimité. Mais cela ne me gêne pas, d’ailleurs elles s'amusent avec moi de l'impudeur des femmes face à moi, qui ne connaissent pas elles mon secret…

Je rentre dans un de mes magasins de lingerie favoris.
Je fais un petit signe à ma vendeuse favorite, Isabelle, nous nous connaissons depuis longtemps et elle connait mon secret, je suis certaine nous pourrions passer de torrides moments et même des nuits, car elle doit être une vraie tigresse.
D’ailleurs à chaque fois que je viens dans ce magasin, elle n’hésite pas à me faire des allusions ou à me provoquer, il faudra que j’y pense un jour…
Je lui souris et regarde les nouveautés qu’elle me fait découvrir, mais elle me dit :
- Regardez ce joli petit corset, je suis certaine qu’il serait parfait sur vous.
- En effet, il est très beau, je me l'achèterais bien, mais je vais l’essayer.
Je le prends et me dirige vers les cabines d'essayage dans un coin isolé du magasin.
Souvent, les clientes sympathisent en se montrant dans leur nouvelle tenue devant leurs amies ou d’autres clientes, pour avoir leur avis, c’est pour cela que les cabines sont dans un petit coin isolé du magasin à l’abri des regards indiscrets.

J'ouvre une cabine, elle est occupée par une femme, qui au premier regard me parait très belle, elle est penchée et ma montre son petit cul, aussitôt cela me donne de ses envies, car en essayage elle n'a pas de culotte et sa fente exposée nue, est très agréable à regarder.
- Ohhh, excusez-moi, dis-je.
Elle se relève en rigolant et en disant :
- Ce n'est pas grave, on est entre filles !
Entre fille, entre fille, si elle savait…
Elle remarque le corset dans ma main et dit :
- Très joli, vous avez bon goût, mais vous voudriez bien l'essayer et me le montrer ?
Je rougis un peu devant l’audace de cette femme, mais me sens flattée de son intérêt pour moi, alors je réponds :
- Euh, pourquoi pas .

..
Je me dirige vers l'autre cabine. Nous papotons en nous changeant, puis quand j’ai terminé je sors en jupe et avec le corset.

Puis je l'appelle :
- Vous venez me donner votre avis ?
Elle sort la tête de la cabine pour s’assurer qu'il n'y a personne, puis sort, et là je vois un joli petit lot de femme en lingerie.
- Vous avez du gout pour la lingerie vous aussi ! Dis-je.
En effet, elle est devant moi en soutien-gorge noir demi-seins, laissant nues ses aréoles roses, à mes yeux, avec un string assorti ouvert sur sa vulve, mettant en valeur sa beauté qui est rehaussée par un joli brillant au nombril. Elle est craquante…
- Eh bien, je vois que vous savez vous mettre en valeur, rajoutais-je.
Elle rougit un peu, puis me dit :
Le corset est splendide, mais n’est pas mis en valeur, vous devriez enlever votre jupe et ne m’apparaitre qu’avec vos bas, ce serait plus joli.
- Euh, oui, certainement mais…
Elle rigole en rajoutant :
- Voyons entre filles il n’y a pas de gêne à avoir !

Alors devant elle je défais ma jupe, en faisant attention à ne pas trop me dévoiler et de lui montrer ma différence et qu’en fait nous ne sommes pas vraiment qu’entre filles.
C’est à cet instant qu’Isabelle, la vendeuse, arrive et dit :
- Alors, mademoiselle Leslie vous avez du mal à vous dévoiler à une de nos plus fidèles clientes !
- Euh, non, mais…
- Attendez que je vous aide, me dit Isabelle, ainsi, madame Christelle pourra mieux apprécier vos charmes.
Tout en m’aidant de ses petites mains, Isabelle explique à ma compagne de cabine, qu’en fait je ne suis pas une fille comme les autres et que je suis une cliente très particulière.
En effet peu de temps après et grâce à l’aide d’Isabelle, je me montre en corset, string, porte-jarretelles et bas. Je sais que mon string est déformé et montre une excroissance du fait de mon érection naissante.
Madame Christelle siffle d'admiration, puis déclare :
- En effet, ça vous va très bien, vous avez une belle poitrine .
.. et un pubis qui mérite une certaine attention, me voilà prévenue.
- Oui, dit Isabelle, sachant vos penchants je tenais à ce que vous soyez au courant.
- Je vous remercie, dit madame Christelle, mais même si je suis lesbienne, je n’ai jamais refusé une belle queue et là, comment résister !
Elle rentre à nouveau dans sa cabine en disant :
Je vais essayer l'ensemble bas, porte-jarretelles, bustier noir et vous me donnerez toutes les deux votre avis.
En attendant avec Isabelle, nous nous mettons à discuter de tout et de rien pendant que madame Christelle se change.
Troublée par la situation, Isabelle se rapproche de moi et me dit doucement à l’oreille :
- Leslie, tu sais que je te désire, je n’en peux plus d’attendre, cela fait trop longtemps…
- Oui, je sais dis-je.
- Je ferais tout ce que tu veux, mais laisse-moi un espoir…
Pour toute réponse je lui dépose un baiser sur ses lèvres.

Madame Christelle sort de sa cabine et Isabelle dit :
- Cet ensemble que vous va très bien, qu’en pensez-vous Leslie.
- Wow ! Ça vous va vraiment bien. Vous êtes très belle !
Avec Isabelle, nous voyons madame Christelle rougir sous l'effet de nos compliments et nous remercie en disant :
- Je pense que je vais l'acheter, je le trouve très beau et il se peut que je le porte dès aujourd’hui.
Elle repart dans sa cabine se changer et en ressortant elle me donne sa carte en me disant :
- Leslie, n’hésitez pas à m’appeler, je serais heureuse de vous revoir, mais régler vos petites choses avec notre jolie vendeuse et faites-moi signe…

Madame Christelle, une fois partie, avec Isabelle nous faisons un tour dans le magasin, nous parcourons les rayons et nous fouillons dans la lingerie en poussant des exclamations et en pouffant de rire. On dirait deux lycéennes.
Je me sens bien, j'en oublie ce que je suis et je me sens vraiment femme, comme avec Laure, puis après avoir pillé le magasin, je quitte le magasin après avoir payé mes achats, je donne ma carte à Isabelle en lui disant :
- Huit heures, je t’attends !
Bingo ! Isabelle sourit elle se jetterait presque à mon cou pour m’embrasser et dit !
- Je sens que je vais adorer ça !

Je sens en partant le regard des autres vendeuses qui me connaissent et celui qu’elle me jette est plein de jalousie.
Pourquoi envier le bonheur des autres, même si elles n'ont pas tort pour le commun des mortels, je sais qu’elles se trompent et ne seront pas heureuses en restant ainsi.
J'espère juste qu’elles changeront un jour, afin de ne plus être malheureuses du bonheur d’autrui…

Arrivée à l’appartement, je range mes achats pour occuper le temps, juste deux heures à attendre cela devrait vite passer, une fois toutes mes affaires rangées, je décide alors d'aller prendre une douche.
Cela me fait du bien de sentir l’eau chaude couler sur mon corps, je reste longtemps ainsi laissant l’eau parcourir mes formes, puis je me savonne pour sentir bon quand je retrouverais Isabelle, la petite vendeuse.
Puis en attendant je me sers un whisky et profite du temps qu’il me reste pour me maquiller et m’habiller.
Un string, comme d’habitude, un corsage et une mini, une paire d’escarpins aux talons hauts, et me voilà prête.
Cinq minutes plus tard, la sonnette retentie, Isabelle est là, je la fait enter et découvre ma compagne du soir.

Elle porte un ensemble très révélateur, elle n’as pas de soutien-gorge pour mieux laisser voir sa poitrine dissimilée par un petit top blanc transparent et une mini-jupe qui ne lui couvre qu’à peine le haut de cuisses, perchée sur de hauts talons, Isabelle fait très allumeuse.
Je la regarde et dis :
- Tu es très belle, un peu allumeuse, non ?
Elle rigole et dit :
- C'est le but, non ?
Elle me regarde en bombant son cul, et rajoute :
- J’espère que ça t'excites ?
Je m'approche par derrière, je fais exprès de frotter mon sexe bandé, mais serré dans mon string, contre ton fessier, soupèse ses seins à travers son top moulant, mes lèvres caresse son cou et je lui dis à l’oreille :
- Tu es très bandante ...
Elle est troublée et je sens son excitation, alors, je retire mes mains non sans passer sur tes tétons pour constater qu'ils ont durci et avant de me séparer d’elle je luis dis :
- Habillées ainsi, tu n’as pas peur de te faire violer !
Elle rigole, et me fait un clin d'œil avant de déclarer :
- Si c’est toi ce ne peut-être un viol, puisque je suis ta salope prête à tout ce soir pour notre plaisir !

A suivre…

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