Leslie Se25

Leslie SE25 – Seule, Bertrand, travestie d’un soir

Bien que je ne recherche pas la rencontre par internet, j’avoue que parfois je vais regarder des sites pour lire les recherches des internautes. J’avoue que ce soir-là, n’ayant rien à faire et étant seule à l’appartement, j’ai surfé et je suis tombée sur une annonce qui m’a séduite.
Elle était rédigée ainsi :
« Jeune homme, bien sous tous rapports, cherche un ange pour le travestir et le sortir en femme le temps d’une soirée et réaliser un fantasme commun. Annonce sérieuse, Bertrand. »
L’annonce comportait un numéro de téléphone en région parisienne afin de permettre le contact et faire les premières approches.
Ayant le fantasme de travestir un homme, vous comprendrez que cette annonce m’a aussitôt intéressée, alors j’ai aussitôt pris le téléphone pour appeler Bertrand.

J’appelais, mais comme je m’en doutais je suis tombée sur une messagerie vocale :
« Bonjour, vous êtes sur la messagerie de Bertrand, pour l’annonce laissé un message et vos coordonnées, je vous rappellerais si votre message me branche. »
Un téléphone dédié, Bertrand avait tout prévu, afin de ne pas être importuné par de petits plaisantins qui voudrait piraté son téléphone et l’embêté continuellement, bien joué pensais-je, cela me plait !
J’ai laissé le message suivant :
« Bonjour, Bertrand, je m’appelle Leslie, je suis une transexuelle, et j’adorerais réaliser mon fantasme, celle de travestir, puis sortir avec toi pour que tu vives en femme l’espace d’une soirée à mes côtés, je suis sérieuse et tu peux me rappeler sur le numéro affiché, bises. »

J’ai continué à surfer en attendant qu’il me rappelle, vingt minutes plus-tard mon téléphone sonne, je décroche :
- Bonsoir, c’est Bertrand.
- Je suis Leslie, tu as écouté mon message ?
- Oui c’est pour cela que je t’appelle, ta vois et le contenu m’ont touché et je voudrais en savoir plus sur toi.


Je lui dis que je désirais depuis longtemps travestir un homme, qu’il était l’occasion de réaliser un fantasme, je lui ai parlé de moi brièvement de mon allure physique, il a paru intéressé car il me dit :
- Je suis un jeune homme de vingt-cinq ans et je suis à la fac. Plutôt grand et mince, mignon d’après mes copines, enfin, rien de bien extraordinaire, sinon que je voudrais sortir en femme un soir, pour voir et qui sait…
Je n’ai pas terminé la fin de sa phrase qu’il avait laissée en suspens, après un moment de silence, il me demanda :
- On peut se rencontrer ?
Donc, il paraissait intéressé, je devais lui plaire et d’après sa description, je pouvais réaliser avec lui mon fantasme, alors je lui ai répondu :
- Si tu veux !
- Très bien, pour demain soir, c’est d’accord ?
- Pas de souci, en plus c’est vendredi nous aurons tout le temps, viens chez moi pour dix-huit heures.
Après lui avoir donné l’adresse, qu’il nota, il raccrocha en ajoutant :
- A demain, Leslie.
Je raccrochais à mon tour. Mon cœur battait fort et mon sexe était tendu. Je me levais du fauteuil, toute engourdie et le front brûlant et presque aussitôt, j’empoignais mon sexe à travers mon jean, il fallait que je me soulage au plus très vite, et en un clin d’œil, j’étais assise sur mon lit, face à la glace de ma chambre, le jean et le string sur les chevilles, en train de me masturber violemment, comme une automate. Je jouis en quelques secondes, mon sperme gicla. Je me regardais dans la glace soulagée, puis je me couchais et m’endormis en pensant à demain…

Le lendemain, rentrée tôt à l’appartement, je pris un bain parfumée, me mettais du vernis rouge vif aux ongles de mes pieds et de mes mains, me parfumais et après avoir préparée les habits pour Bertrand, je m’habillais.
Un collant en dentelle noire, ouvert fesses nues, avec une ceinture et le string assorti par-dessus, un corset intégral à laçage par devant en brocart tissé qui souligne ma taille et masque ma poitrine, le pantalon moulant en lycra qui moule mes formes et qui a l’avantage d’avoir un zip intégral qui s'ouvre depuis le pubis jusqu'en haut de la raie des fesses, des escarpins noirs à hauts talons, je suis parée pour accueillir Bertrand.

Au moment de sortir, je passerais une veste tailleur noire en stretch à manches longues et la soirée sera à nous.

Quelques dizaines de minutes plus tard, celui-ci sonne à l’interphone et j’allais lui ouvrir, il était dix-huit heures.
- Bonsoir Bertrand ! Entre !
Bertrand était comme dans sa description et aux yeux qu’il venait de porter sur moi, je sus que je lui faisais un certain effet et que le courant entre nous allait passer
Voyant que je l’observais sans avoir prononcé un seul mot, il prit la parole :
- Tu es très belle Leslie et je ne regrette pas d’être venu.
- Je suis très heureuse de te rencontrer. Tu me fais confiance ?
- Bien sûr, sinon je ne serais pas là, et puis tu vas être mon ange, qui d’autre que toi pourrait mieux me travestir, ta transformation est très réussie.
Je m’approchais alors de lui, et l’embrassais tendrement sur la joue, simplement pour ne pas le brusquer, et l’entraînais dans l’appartement, puis après avoir bu un verre en faisant plus ample connaissance, je lui dis :
- C’est le moment !
Et je l’entrainais dans la salle de bain.

- Tu te déshabilles et je vais te préparer.
Un peu mal à l’aise, il se déshabilla en évitant de me regarder, son sexe mou était de belle facture et me dit que plus d’une femme aurait aimé en profiter, mais aussitôt il cacha son sexe entre mes mains.
Je ris gentiment en le prenant par le bras tout doucement, en lui disant :
- Ne sois pas si timide, nous allons apprendre à nous connaitre très intimement.
Et je lui demandais d’aller dans le bain que j’avais préparé dans la grande baignoire blanche à son intention.
L’eau était chaude et débordait de mousse parfumée, au jasmin, dans le bain il se sentit mieux et se détendit, alors je lui dis :
- Détends-toi tranquillement, je vais me changer et je reviens de suite.
Dans ma chambre je me suis changer, ne gardant que mon corset, mon collant et mon string et revint vers lui en ayant passé peignoir de soie blanche.

Je m’assis sur le rebord de la baignoire, puis avoir plongé ma main dans la mousse, je lui mouillais tout le visage du bout de mes doigts. Puis après lui avoir enduit le visage de mousse à raser, je pris un rasoir et entrepris de le raser. Il me laissa faire sans rien dire, je l’ai rasé consciencieusement et ensuite je lui ai passé de l’huile afin de rendre son visage le plus doux possible.
- Relèves-toi un peu, dis-je.
Et je lui ai rasé le torse, puis ce fut le tour de ses aisselles d’être débarrassées de tous les poils, puis je lui ai épilé les jambes l’une après l’autre et lorsque je l’ai relevé pour le rincer, Bertrand bandait comme un forcené.
Je lui ai taillé courte sa toison avec mes petits ciseaux nacrés et ensuite je l’ai épilé le pubis en forme de petit triangle, pointe en bas, puis ce fut le tour de son sexe et de ses testicules. Une fois l’ouvrage terminé, je lui dis :
- Retournes-toi ! Et penches-toi en avant.
Et je lui ai épilé entièrement les fesses et l’anus.

Quand ce fut terminé, je l’ai enveloppé dans une serviette épaisse et chaude et le prit à nouveau la main pour le conduire dans ma chambre ?
Elle était éclairée par les deux veilleuses des chevets, ce qui donnait une ambiance intime et feutrée, le moment crucial arrivait.
Je l’ai allongé sur le dos et patiemment, je lui ai elle enlevé les poils qui avaient échappé au rasoir puis j’ai enduit tout son corps d’huile parfumée, il bandait fort le cochon sous l’effet de mes mains sur son corps, mais ne bougeait pas, même quand mes doigts frôlaient son sexe.
Je m’attardais un peu sur ses bourses, puis osais un léger va-et-vient avec deux doigts sur sa verge gonflée de désir, mais m’arrêtais rapidement, puis le retournais sur le ventre pour faire le recto, il gémit un peu et j’ai pensé qu’il devait être au paradis, j’aurais bien osé, mais je me suis bien gardé de lui fourrer un doigt dans le cul.
Puis je l’ai maquillé, complètement, rouge à ongle, fond de teint, mascara, rimmel et rouge à lèvres, il devenait méconnaissable et la perruque brune aux cheveux mi-longs posée, ce n’était plus qu’un visage de femme que je voyais.
Un peu de parfum et je lui ai dit :
- Allez debout maintenant, on va s’habiller !
Quand il fut debout je remarquais qu’il avait des jambes très féminines, et que son épilation intime était très réussie et je lui ai tendu la magnifique guêpière noire que je lui avais réservé.
Il l’enfila, je luis ai agrafé et ajusté au plus près du corps.
- Superbe ! Dis-je, enfiles ces bas.
Les bas enfilés, je lui ai attaché les jarretelles, puis j’ai positionné dans les bonnets de la guêpière des espèces de prothèses externes en silicone, très agréables au toucher, et je le sentis de plus en plus troublé.
Puis pour compléter son habillement, un tanga, un petit haut très léger, une mini-jupe, pour montrer ses jolies jambes et des escarpins qui finirent complètement sa tenue de parfaite petite… pute.
- Je crois que tu vas beaucoup plaire ce soir et tu auras du succès ! Dis-je.
Je lui ai passé quelques bijoux, des boucles d’oreilles, deux bracelets et quelques bagues.
En se regardant dans le miroir de la chambre, il ouvrit de grands yeux et s’apprécia en disant :
- Que je suis belle !
Nous sommes sorties de la chambre bras-dessus bras-dessous comme deux copines et je lui demandais :
- Alors, que penses-tu de ta transformation ?
- Incroyable, au-delà des mes espérances.

Nous sommes sortis dans une petite boîte de ma connaissance et effectivement, Bertrand eu beaucoup de succès, C’est vrai qu’il était beau mon petit travesti, nombreux sont les hommes qui le firent dansé et il joua le jeu comme je lui avais demandé, moi je le regardais prendre son plaisir de se faire passer pour une femme et de danser dans les bras de mâles virils, il faut dire que l’illusion était saisissante et que même moi, si je n’avais pas été au courant je serais certainement tombé dans le piège.
Ce qui fit, qu’a une heure du matin, Bertrand était dans tous ses états, son cul avait été ploté pendant les slows langoureux, certains hommes l’avaient même embrassés à pleine bouche, le prenant pour une petite salope d’allumeuse, mais il fallait mettre un terme à cela avant qu’il ne se fasse violer sur place, alors nous sommes rentrés à l’appartement.

A suivre…

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