Leslie Se26

Leslie SE26 – Seule, Bertrand, travestie d’un soir, suite et fin

Sur le chemin du retour je lui demandais comment il avait trouvé le moment dans le club, alors sans hésitation il me répondit :
- J’ai adoré, j’ai passé un moment merveilleux et j’ai fait vraiment illusion, que c’est bon de se sentir désiré, je dois t’avouer que j’ai même faillit me laisser emporter par le bel éphèbe au tee-shirt noir qui a dansé plusieurs fois avec moi.
- Mais c’est que tu serais une sacrée coquine !
Arrivées à l’appartement aussitôt la porte fermée, je l’ai pris dans mes bras et je l’ai embrassé, il ne s’est pas dérobé et nos langues se sont mêlées, j’étais heureuse qu’i me rende le baiser car il ne s’était pas gêné pour offris sa bouche dans le club.
J’ai défait le zip de mon pantalon rapidement et les deux pans libérés me sont tombés aux chevilles, libérant mon membre dressé, raide, prêt pour lui, si toutefois il en avait envie.

- Suces-moi, dis-je d’un ton autoritaire.
Et comme hypnotisé, sans un mot, il s’agenouilla devant moi, les yeux écarquillés, il regardait mon sexe, déjà gros et beau, qui pointait vers sa bouche et releva ses yeux vers moi, plein de crainte et de peur, attendant certainement que lui impose ma volonté.
- Suces-moi, répétais-je d’un ton encore plus ferme, suce petite salope !
Et posant une main ferme sur sa tête, je l’obligeais à se rapprocher.
Alors, il ouvrit la bouche et embouchais son membre, ce devait être pour lui la première fois qu’il avait un sexe d’un homme sur la langue, il ressortit aussitôt ma verge de sa bouche en haletant.
Il se vit dans la glace du couloir, à genoux devant la belle queue d’une transexuelle en lingerie, maquillée comme une putain, en bas, hauts talons et mini-jupe.
Je me mis à bander encore plus sous l’air chaud de sa bouche, il hésitait, alors mon ordre à cinglé à ses oreilles comme une fin de non-recevoir :
- Suce petite putain !
Il hésitait devant mon membre droit, épais et de belle longueur, mais forçant sur sa tête plus fermement je l’obligeais à approcher à nouveau ses lèvres fardées et m’engloutir entièrement au fond de sa bouche.


Je n’ai pu me retenir de pousser un gémissement rauque quand mon sexe buta au fond de sa gorge. Je ressortis et l’obligeais à s’attarder sur mon gland, en posant de petits coups de langue appliqués sur toute sa surface. Je lui apprenais comment sucer et il se laissait guider, prenant certainement du plaisir, car il ne se détournait plus de la fellation que je lui imposais.

Au bout d’un moment, il prit l’initiative de poser sa main à la base de ma verge et d’entreprendre de me masturber, tandis que son autre main caressait mes bourses, ses lèvres toujours au contact de mon gland et les jambes.
Comme pour l’encourager, je lui dis :
- C’est bien petite salope, tu apprends vite !
Il reprit sa fellation, en alternant mouvements brusques et plus doux, parfois, comme il avait dû voir dans des films de cul, il me léchait le sexe sur toute sa longueur, mais revenait sans cesse vers mon gland qui était devenu son seul repère.
- Ça suffit ! A quatre pattes maintenant.
Il s’exécuta en allant à quatre pattes sur le tapis du salon et m’attendis sagement offert et soumis, je retroussais sa jupe et lui ôtais le tanga et vis son sexe palpité et raide, ma petite salope bandait, il se vit dans le miroir du salon, à quatre pattes, dans cette position de chienne et avec son cul tendu et offert, alors je lui dis pour confirmer sa vision :
- T’es qu’une petite cochonne, une chienne qui va se faire enculée !
Je sentis son anus se frémir et se dilater lorsque je lui ai enduit de vaseline, il avait envie d’être prit, en rut, il voulait un membre qui allait le prendre et le ferait jouir comme une petite salope.
Contrairement à son attente, je me positionnais à genoux devant lui et appuyant fermement sur sa nuque, le poussais à nouveau vers ma queue, toujours bien bandée et luisante de sa salive pour me reprendre en bouche encore un moment et lui montrer que je dirigeais les opérations.
Il se donnait, maintenant, beaucoup de plaisir à me rendre dur dans ma bouche, il gémissait de temps en temps et je le guidais par de petits coups de bassin dans sa direction.
Il suffoquait presque mais continuais à avaler mon membre raide, docile et appliqué, ses bracelets tintaient sur ses poignets en cadence, son collier allait et venait entre ses faux seins et son menton, maintenant il savait bien sucer.

Je posais une main conquérante sur sa raie des fesses, le pouce dans le sillon et ma main plongea maintenant vers son anus, alors que je lui disais :
- Cambres-toi, tends moi bien ton cul, petite salope.
Il obéit à mes paroles et tendis son cul comme je le désirais, alors j’introduisis mon pouce très facilement dans son petit trou.
Aussitôt l’anus de ma petite vicieuse s’écarta pour mieux accueillir mon pouce et il branla son cul sur mon pouce.
- T’aime ça, cochonne, dis-je
C’est lui qui allait et venait, qui réclamait cette pénétration, alors je remplaçais mon pouce par mon index et mon majeur collés l’un à l’autre.
J’ignorais à présent s’il avait mal ou du plaisir avec mes deux doigts qui coulissaient dans sa rondelle, alors l’annulaire rejoignit rapidement les deux autres.
Il avait le corps en sueur alors l’empalant de mes trois doigts je le fis pousser un cri de surprise, puis j’entrepris un lent mouvement de va-et-vient de mes trois doigts serrés dans son intimité.
- Ohhh, dit-il, j’ai une sensation diffuse au fond de moi, plaisir et souffrance mêlés, comme une vague irréelle qui m’inonde tout le bas du corps.
Et il s’abandonne complètement à cette pénétration e, son cul s’ouvrait sur mes doigts, les aspirait librement.
- Tu aimes ça, te faire doigter, petite salope !
- Ohhh, oui.
- T’es une belle salope, hein, vas-y, dis-le.
- Oui, je suis une salope.
- Tu vas te faire enculée, petite pute !
- Je suis une petite pute et je veux que tu m’encule
- Encore !
- C’est bon Leslie, je me sens prête, encule moi comme une trainée que je suis !

Je me suis positionné derrière lui et il m’a tendu son arrière-train, je lui ai écarté les fesses pour introduire mon membre en lui, une fois mon gland bien positionné au cœur de sa rosette, je l’ai pris par les hanches, poussait un peu doucement pour écarter ses chairs, et recommençais plusieurs fois, lorsque mon gland est passé, il a gueulé :
- Ohhh putain, qu’il est gros, je suis une trainée qui va se faire défoncer le fion par un gros membre de transexuelle et j’avoue que je vais adorer.

- Attends de l’avoir complètement en toi, trainée et tu verras si tu chanteras la même chanson.
Je fis entrer mon sexe encore un peu, pratiquement de moitié et sortir en douceur, plusieurs fois de suite, il hurlait en disant :
- Arrêtes, tu vas m’éclater mon petit fion de cochonne.
- Tu vas voir et sentir, je vais t’enculer comme une salope que tu es et tu vas pleurer ta mère, ce n’est pas ce que tu voulais ?
- Si, mais, aggrr, je vais plus pouvoir m’en servir pendant des semaines, arrêtes…
- T’inquiètes, ça se remet naturellement et tu en redemanderas bientôt, cochonne que tu es, une belle cochonne.
Il avait désormais la tête dans le tapis, les bras en avant et le cul qui se dressait vers moi, comme une chienne en chaleur, qui malgré ses gémissements ne se dérobait pas à mes pénétrations.

Je lui ai donné une petite claque sur les fesses, ce qui lui arracha un cri de surprise, et lui ouvrit le trou du cul que je pénétrais d’un seul coup en lui enfonçant toute la longueur de mon membre. Il pleurait certainement de douleur, mais bientôt ma petite enculée allait jouir et en redemander.
Je bougeais un peu pour lui faire sentir toute la dureté de mon sexe au fond de ses entrailles. Puis je suis ressortis tout doucement, pour rentrer aussitôt et commençais à le pilonner, son corps tout entier tressautait au rythme des assauts que je lui infligeais.

Je l’enculais de plus en plus fort, les hurlements avaient fait place aux gémissements, sont cul était maintenant ouvert et bien distendu, un petit cul d’enculée.
Son cul était maintenant prêt à accueillir tous les membres de la terre !
- Ohhh, ta petite enculée jouit, oui je jouis.
- Espèce de sale petite trainée tu jouis en te faisant enculer.
- Alors salope, tiens-toi prête, je vais jouir au fond de ton cul et remplir tes entrailles de salope !
- Ohhh, oui remplit moi !
- Tu es vraiment une belle petite pute, hein Bertrand ou devrais dire salope ?
- Comme tu veux mais ne t’arrêtes pas, bourres ta salope !
- Ça te plait de sucer des belles queues et te faire enculer par une femme membrée, tu aimes ça, hein ma pute ?
- Oui j’aime ça être une salope.

J’ai jouit au fond de ses entrailles, et lorsque je me suis retirer j’ai vu son trou grand ouvert, alors je lui ai dit :
- Et bien puisque t’aime ça, tu vas te rhabiller en pute sans ton tanga et nous allons allez dans un club, où tu vas pouvoir sucer des grosses queues et te faire enculer autant de fois que tu voudras, mais copines vont être heureuse de bourrer ton beau petit cul de femelle en chaleur !

A suivre…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!