La Vieille Dame Indigne

LA VIEILLE DAME INDIGNE

En 1963, alors que je suis représentant en produits chimiques à Paris, je couvre la rive gauche de la Seine et une partie de la banlieue Nord et Est et j’ai beaucoup de temps libre. Les occasions de forniquer ne manquent pas et je ne m’en prive nullement. Je fais surtout la chasse aux jeunes mamans qui promènent leur progéniture dans les bois de Boulogne et de Vincennes au début de l’après-midi. J’y vais régulièrement et j’ai quelquefois l’occasion de faire tomber dans mes filets une maman qui s’ennuie. Mais il ne faut pas trop rêver, il y a beaucoup d’échec pour peu d’élues. Par contre, des femmes d’un certain âge cherchent l’aventure dans ces bois assez bien fréquentés dans la journée à cette époque. Je repère quelques « vieilles », entre cinquante et soixante ans, qui pour beaucoup sont presque repoussantes pour mes vingt-neuf ans. Pourtant je suis attiré par certaines qui ont beaucoup d’allure et qui portent des vêtements chics avec bas et escarpins.

Un jour que je suis assis sur un banc et que je lis un bouquin, une femme accusant une bonne soixantaine vient s’asseoir à côté de moi ; je n’ai pas trop envie d’entamer la conversation, vu son âge, mais c’est elle qui m’aborde en me parlant des voyeurs qu’il y a dans le bois lorsqu’une dame comme elle veut soulager une envie trop pressante. Elle me demande s’il ne me paraît pas inconvenant de l’accompagner afin qu’elle se sente en sécurité. Demandé comme cela, je peux difficilement lui refuser et je commence à m’intéresser à sa personne. Elle n’est pas très grande, un peu enveloppée avec une grosse poitrine qui éclate sous son tailleur bleu marine de bonne coupe. Elle porte des trotteurs à talons moyen surmontés d’une paire de bas à coutures (nous sommes en 1963) ; elle a de l’allure malgré son âge avancé. Son visage, un peu maquillé avec des lèvres d’un rouge agressif est surmonté d’une coiffure ondulée poivre et sel d’un joli effet ; C’est une femme distinguée qui veut se payer un petit jeune, mais je ne suis pas contre car soudain, il me vient une furieuse envie de la baiser.

Elle m’entraîne par un petit sentier où des fourrés épais bordent le chemin et elle s’abrite derrière un bosquet pour soulager sa vessie ; tendant l’oreille, j’entends le ruissèlement de son urine qui se déverse sur le sol meuble et je sens ma bite triquer dans mon pantalon. Lorsqu’elle revient, elle s’approche de moi en examinant mon entrejambe et arrivant presque à me toucher, tout en empoignant ma verge d’une main au travers du tissu de mon pantalon, elle m’embrasse carrément en me disant presque aussitôt :

- C’est moi qui vous fais de l’effet jeune homme ?

Je ne réponds pas, interloqué par son audace ; habituellement c’est l’homme qui se comporte ainsi à cette époque, jamais cela ne m’est arrivé de me faire draguer par une femme, de son âge de surcroit. L’enlaçant, je lui roule un patin, tout en la pelotant sur ses seins et sur ses fesses. Elle se laisse faire, même lorsque je lui sort une grosse mamelle de son corsage et que je tête le bourgeon turgescent qui sort de son mamelon. Puis elle s’inquiète de savoir si j’ai un véhicule garé à proximité et me demande si je veux bien que nous nous y enfermions. Ma voiture est dans une allée à quelques pas et sitôt installée dans l’habitacle, elle me dégrafe les boutons de ma braguette, sort mon pénis de sa cachette et l’embouche aussitôt, entamant ainsi une turlute inoubliable. Lorsqu’elle a recraché le trop plein de sperme dans son mouchoir, elle me laisse la masturber, ayant relevé sa jupe pour être plus à l’aise.

Puis elle me demande si je veux bien venir chez elle pour que nous fassions l’amour dans un cadre plus confortable. J’acquiesce, sans savoir où cette dame respectable va m’emmener. En fait elle demeure dans un appartement cossu d’un immeuble haussmannien du XVe arrondissement ; son mari est dans sa famille pour une dizaine de jours en province et elle m’assure que nous serons tranquille. Je bande à nouveau en arrivant à l’appartement et j’ai une furieuse envie de tringler cette douairière, aussi je ne perds pas de temps et je me déshabille en un tour de main une fois que nous sommes dans la chambre maritale.
Marthe, puisque c’est son prénom, retire son corsage et sa jupe, mais n’enlève pas son soutien-gorge ni sa gaine porte-jarretelles ; tout juste retire-t-elle sa culotte qui est d’une bonne taille. Je ne me suis pas trompé, elle a des mamelles impressionnantes et un très gros cul avec apparemment un bon petit ventre sous la gaine qu’elle n’a pas voulu retirée. Je m’en fous, je l’entraîne sur le lit en la bécotant, mais avant de lui fourrer mon dard dans son con, je veux tout de même honorer cette dame d’un certain âge comme je le fais avec mes conquêtes plus jeunes. Aussi, retroussant sa gaine je fourre ma tête entre ses cuisses grosses comme des jambons et je sors ma langue pour astiquer son minou. D’abord je découvre une vulve entièrement fermée avec un très léger duvet gris qui la surmonte, puis j’ai beaucoup de mal à introduire ma langue dans la fente très serrée du vagin comme celui d’une jeune vierge. Je glisse laborieusement un doigt dans la gaine vaginale tout en suçotant son minuscule clitoris.

Marthe pousse des soupirs et distille un murmure de gémissements continus à ma stimulation linguale et au doigté que je lui administre. Peu après, elle me confie que son mari ne l’a jamais caressé de la sorte et qu’elle n’a jamais connu aucun amant qui le lui a proposé ; cela ne m’étonne qu’à moitié, tous les hommes de ma génération et encore plus ceux des précédentes, rêvent que leur partenaire leur fasse une fellation, mais rechignent et refusent souvent à faire minette à leur épouse ou à leurs maîtresse. Ce n’est pas rare d’ailleurs dans les générations actuelles. Marthe éprouve plusieurs orgasmes avant que je vienne la prendre dans mes bras pour l’embrasser. Elle me remercie de lui avoir fait connaître « la petite mort », masturbant mon sexe avec vigueur en me demandant de l’enfiler derechef. Enfin, elle me le demande avec des mots plus choisis. En entrant mon vit dans le minuscule sexe de ma vieille dame indigne, je me rends compte qu’il ne doit pas être plus large que celui d’une petite fille à peine pubère ; je glisse difficilement dans une gaine qui enserre étroitement mon membre, plongé dans un magma brûlant qui doit être de la cyprine chauffée à blanc.
Jamais, même avec mes partenaires les plus jeunes, ma verge n’est entrée dans un sexe aussi étroit et cette femme a plus de soixante ans !

Après nous être expliqué plus tard, Marthe suppose que n’ayant jamais eu d’s et ayant fait très peu l’amour avec son mari durant plus de trente-cinq ans de mariage, son sexe ne s’est pas développé, même avec les quelques amants de passage qu’elle a depuis environ cinq ans. Je retiens cette théorie en n’y croyant pas trop, supposant qu’il y a une autre raison à ce que cette chatte soit aussi réduite. En tout cas je prends un pied terrible à pilonner ce con jusqu’au col de l’utérus, martyrisant les muqueuses ultrasensibles de son puits d’amour et arrachant de gémissements de douleur à la dame du XVe. Lorsqu’épuisé, je lâche mon sperme dans le con brûlant, je m’écroule entre les gros lolos de ma partenaire qui n’en peut plus non plus. Elle me glisse à l’oreille que personne ne l’a baisé ainsi, que je l’ai complètement anéanti et que si je veux bien, elle va appeler une de ses amies à la rescousse pour continuer cette cavale.

Ce n’est plus une vieille dame indigne mais une sexagénaire partouzeuse – je m’empresse de répondre que je n’y vois pas d’inconvénient, que plus on est de fous, plus on rigole et pendant que Marthe téléphone à son amie, je vais dans la salle de bains pour me refaire une beauté (je plaisante bien sûr). Il ne se passe pas un quart d’heure que l’on sonne à la porte. Marthe a passé un déshabillé pour aller ouvrir et moi, installé au salon dans un profond canapé, je reste nu ; inutile de se revêtir puisque la femme qui sonne à la porte d’entrée vient pour se faire baiser.

Lorsque la porte s’ouvre, je découvre une femme juchée sur de hauts talons, magnifique blonde à la chevelure permanentée, paraissant avoir une quarantaine d’années (plus tard, j’apprendrai qu’elle en a plus de soixante-dix). Elle enlève son manteau de fourrure, apparaissant dans un fourreau noir en satin, mettant ses formes en valeur.
De petits seins pointent sous en joli décolleté en carré et son derrière est très affriolant ; ce qui ne gâte rien ce sont ses jambes galbées à souhait. C’est vraiment un morceau de choix. Les deux femmes m’observent pendant que je détaille celle qui vient se faire baiser par un jeune (je n’ai pas encore trente ans). Marthe prend alors la parole.

- Je te présente Laure. Je vous laisse faire connaissance pendant que je vais chercher quelques rafraichissements.

Laure s’approche de moi à me toucher et m’entourant de ses bras elle m’embrasse sur la bouche, se collant à moi. Je sens son parfum, le N°5 de Chanel, qui envahit mes papilles et mon odorat, alors que ma queue vient de se mettre au garde à vous et cogne contre son ventre presque emboîté dans le mien. Je retrousse sa robe au tissu très fin pour que mon vit se loge entre ses cuisses. Elle les disjoints me laissant écarter sa culotte et fourrager dans une fourrure abondante. Elle n’a pas lâché mes lèvres et m’embrasse de plus en plus goulûment. Aussi, ne la laissant pas se reprendre, je l’adosse à un panneau vierge de tout meuble et, je pousse mon pénis à l’assaut de son pertuis. Sans coup férir je l’embroche et m’enfonce dans une caverne onctueuse et brûlante, lui arrachant un gémissement de contentement. Je relève se jambes pour qu’elles m’enserrent la taille et je la besogne ainsi, encore habillée. Je prends un pied terrible à besogner cette douairière qui a une classe étonnante. Lorsque Marthe revient avec les boissons, elle nous trouve en train de coïter furieusement.
- Eh ! Bien, vous ne perdez pas de temps tous les deux. Ma chère Laure, ton cavalier t’as piqué debout sans te déshabiller et tu te laisses baiser ainsi par ce soudard.

La belle Laure ne répond pas, toujours accroché à mes lèvres pour le haut et à mon pieu pour le bas. Elle répond coup pour coup à mes coups de boutoir jusqu’à ce que je l’inonde de mon foutre. Un peu fatigué tout de même, je m’allonge presque dans un fauteuil et Laure en fait de même, restant pour la circonstance retroussées jusqu’au nombril. J’admire le galbe parfait de ses jambes et de ses cuisses, jusqu’à son ventre à peine bombé. Mon regard se fixe sur les chairs du vagin bien ouvert, d’une couleur vive orangé presque sanguine qui, entouré d’une toison brune et fournie, atteste que c’est une fausse blonde. Marthe nous sert du porto, certainement pour que nous puissions prolonger notre joute à trois. Laure va se laver et je la suis dans la salle de bains. Je lui susurre dans l’oreille que je suis désolé de l’avoir prise ainsi à la hussarde, mais que son apparition à déclenché en moi une furieuse envie de la baiser tellement elle me fait de l’effet. Je lui demande comme une faveur de pouvoir embrasser ses seins. Elle sort de son décolleté les deux mignons petits seins correspondant à du 85 C pour ses soutiens gorge et me les offrent à goûter. Ce dont je ne prive aucunement, suçant les tétons et les mordillant, la faisant défaillir de jouissance.

Enfin nous faisons quelques ablutions, car après avoir pris ma douche je l’aide à se déshabiller et c’est toute nue que je la savonne sur tout son corps qui n’a pas un poil de graisse mais qui est très bien proportionné. C’est vraiment une très belle femme et je n’en reviens pas, ayant appris son âge qu’elle paraisse aussi jeune, entre quarante et quarante-cinq ans au plus. Alors qu’elle en a plus de soixante-dix et je n’ose imaginer combien correspondent les plus. C’est ainsi que nous rejoignons Marthe dans la chambre et sur son lit conjugal pour poursuivre nos ébats à trois. J’ai grande envie de goûter à la chatte de la belle Laure, mais je ne veux pas vexer notre hôtesse, aussi je leur demande ce qu’elles attendent de moi. Marthe me dit alors que puisque je suis le mâle, c’est à moi de décider ; elles sont prêtes à faire tout ce que j’aie envie.

Elles ne savent pas ce en quoi elles s’engagent. Je leur demande si elles se connaissent depuis longtemps. Elles me répondent que cela fait plus de vingt-cinq ans qu’elles sont amies. Et depuis quand elles partagent leurs amants ? Un peu gênées, elles avouent que c’est la première fois. Je leur demande si elles sont amantes. Elles rougissent, comme des adolescentes et me disent qu’elles l’ont fait seulement deux fois. Je rebondis là-dessus et leur demandent de s’aimer devant moi ; que ce spectacle va m’exciter et me donner encore plus envie de les baiser. Je les sens hésitantes, pas très à l’aise de se montrer en spectacle devant ce nouvel jeune amant. Pourtant elles se décident à s’enlacer et à s’embrasser, emmêlant leurs jambes et se frottant l’une contre l’autre. Je les caresse sur tous leurs membres, tâtant et pelotant les fesses rebondies de mes deux hétaïres. J’écarte les cuisses de Laure et celles de Marthe et je caresse leurs minous, puis je leur demande de se mettre tête-bêche pour se lécher chacune la chatte.

Elles sont très indécises, protestant qu’elles ne l’ont jamais fait, mais devant mon insistance, elles se décident et approchent leurs visages de l’entrejambe de leur partenaire. Bien que maladroites au début par la confusion qu’elles ressentent, elles lèchent les parties intimes de chacune d’elles et bientôt ce ne sont que des gloussements de contentement qui sortent de leurs gorges. J’en profite pour examiner le cul de Laure qui se tient au-dessus du corps de Marthe. J’écarte les deux globes et pointe ma langue vers la délicate rosace de l’œillet plissé du cul de ma belle. Celle-ci, inquiète, a un brusque retrait lorsque ma langue lèche le tour de son anus, mais la sensation ne doit pas être désagréable car elle se détend et me laisse parcourir avec ma langue la raie culière recouverte d’une toison presque discontinue. Je suis certain que mes deux donzelles n’ont jamais été sodomisées et je compte bien les déflorer, au moins une, n’importe laquelle. Un cul est un cul. Pour l’instant je les entends glousser et je m’aperçois qu’en sus de leurs langues elles ont introduits leurs doigts dans le vagin de leur partenaire et qu’elles « se font du bien ». J’en profite pour mettre un doigt enduit de salive contre l’œillet de ma belle Laure et tout en tournant autour je l’enfonce progressivement à travers le sphincter qui m’enserre le doigt fermement. Je laisse de la bave couler de ma bouche sur mon doigt pour faciliter l’introduction dans le trou du cul que je convoite.

Laure ne proteste pas, très occupée à jouir de la langue de sa compagne et à la faire reluire. J’en profite pour enfoncer mon doigt de quelques centimètres en perforant le sphincter, arrachant à ma belle un petit cri étouffé. Je caresse son cul de ma main libre tout en ne bougeant plus de l’autre. Puis progressivement, très lentement je m’enfonce dans le conduit rectal, qui à ma grande surprise n’est pas sec mais onctueux. Je retire presque complètement mon doigt puis je l’enfonce à nouveau, répétant l’opération de nombreuses fois. Laure ne rétracte plus ses fesses à la poussée de mon doigt mais au contraire les projettent à chaque fois que j’enfonce mon doigt dans son cul. C’est certain, j’enculerai cette femme aujourd’hui ; elle a des dispositions à la sodomie. Je vois le visage de Marthe qui gougnotte la vulve de son amie Laure ; mais j’ai aussi mon vit qui se balance entre mes jambes et je l’approche de la bouche de mon amante qui l’avale sans rechigner. Elle me pompe pendant que je coulisse mon doigt dans les entrailles de Laure qui a l’air d’apprécier. Puis à ma grande surprise, Marthe de ses deux mains, guide mon pénis vers la chatte de sa compagne et l’introduit à l’intérieur, me léchant les couilles pour m’exciter encore plus. Je ne me fais pas prier, et abandonnant ma préparation à la sodomisation, je prends Laure en levrette, m’enfonçant jusqu’à la garde dans son vagin en attendant son cul. Elle feule lorsque j’atteints son utérus, la défonçant de toutes mes forces et la pilonnant sans relâche, alors qu’elle gémit et crie sou mes coups de boutoir. Au moment de jouir, je me retire brutalement et asperge le visage de Marthe, qui aspire aussitôt ma bite pour ne rien perdre. Un peu épuisées tout de même mes sexagénaires ; elles me demandent de souffler un peu et je m’installe entre les deux femmes, leurs mains entourant ma bite bien molle et les miennes passant dans leur dos pour tenir un sein de chaque dans mes mains. Nous sommeillons ainsi une bonne heure jusqu’à ce que ma pine se redresse sous les doigts agiles de Marthe et de Laure qui me masturbent avec délicatesse. Je tourne alternativement ma tête pour les embrasser chacune leur tour et bientôt elles prennent mon vit en bouche se partageant la tâche. Mais sentant mon éjaculation venir, je me redresse et serre très fort mon membre entre mes doigts pour éviter de rester sans munitions. J’écarte les cuisses admirables de Laure et je contemple avec avidité la toison abondante et la corolle en losange presque parfaite qui se trouve en son centre. Avec deux doigts, j’entrouvre la chair brune des lèvres et j’appuie ma bouche et sort ma langue pour explorer l’antre divin. Je goûte avec ravissement le suc qui s’échappe de l’antre vaginal, lapant avec délice la cyprine qui, par l’excitation produite, gonfle exagérément les lèvres et donc la vulve de ma septuagénaire - qui donc a dit que les femmes après quarante-cinq ans ne mouillent plus ? – en tous cas Laure mouille abondamment et j’accentue encore sa volupté en titillant avec ma langue son méat urinaire, recueillant de petits jets de pisse qu’elle ne peut contrôler. Enfin, décalottant avec mes lèvres le capuchon de son clitoris, j’aspire ce dernier et le suce délicatement. Laure se tend soudain, arcboutant son corps et poussant un cri rauque discontinu devant l’orgasme qui la submerge. Me dégageant de ses cuisses, je viens l’enlacer et l’embrasser, heureux de l’avoir fait jouir de la sorte. Entre deux baisers elle m’avoue qu’aucun homme n’a daigné l’honorer ainsi alors qu’elle en a toujours eu envie. Elle m’est très reconnaissante de lui avoir fait connaître ce plaisir ultime où les orgasmes dit-elle se sont succédés sans interruption, allant crescendo jusqu’à la « petite mort » finale.

- Disposes de moi comme tu le veux, je suis tout à toi me dit-elle en me baisant la bouche.
- Si je te prends au mot ma chère Laure, il va falloir que tu m’offres le pucelage de ton cul, je lui réponds
-
Laure est prise d’un léger tremblement et ses yeux se perdent dans un monde imaginaire. Pourtant elle ne se démonte pas et me souffle.

- Va doucement mon Chéri, j’ai très peur mais mon derrière est à toi. Ne me fais pas trop souffrir s’il te plaît. Beaucoup d’hommes me l’ont demandé – je n’ai jamais accepté. Mais toi, tu le mérites amplement.

Depuis le début de nos ébats j’ai une furieuse envie d’enculer cette femme admirable dont la classe m’émeut. La beauté, la distinction, l’âge, tout cela s’ajoute à mon désir de sodomie et de domination. Je demande à Marthe si elle a de la vaseline ; à cette époque, en 1963, il n’y a pas encore de lubrifiant sexuel comme à présent. Bien entendu, la vaseline fait partie de la vie courante des ménages et Marthe m’apporte un gros tube de la pommade désirée. Je demande à Marthe une toile cirée que je dispose sur le lit et je demande à Laure de prendre position au milieu du tissu protecteur à quatre pattes. Je glisse trois gros coussins sous son ventre et écarte ses cuisses. Laure est dans une posture certainement très humiliante, le derrière en l’air, mais ce n’est pas pour me déplaire. Elle a ainsi une position plus confortable et j’ai une vue compète sur son entrecuisse, depuis l’anus, la raie culière et la vulve très ouverte qui laisse s’écouler une mouille abondante. J’en profite pour en étaler sur la rosace de son anus et pousse ainsi la mouille avec mon petit doigt dans le conduit rectal. Je prends alors le tube de vaseline sur lequel Marthe a vissé la canule qui va avec et je l’introduis délicatement dans le trou du cul de ma belle. J’envoie une bonne giclée dans les entrailles de Laure, puis je le retire très doucement en appuyant sur le tube pour que la vaseline garnisse le conduit anal jusqu’à la sortie du rectum en passant par les sphincters. Certain que la lubrification fera son effet, j’enduis trois de mes doigts et, enfonçant d’abord l’index profondément, je badigeonne le fondement de la vaseline accumulée.

Laure a eu un brusque sursaut lorsque mon doigt l’a pénétré ainsi, mais elle me laisse opérer sans protester. Je retire mon doigt et l’entre à nouveau à maintes reprises, puis, je tente d’entrer le second. Un gémissement sort des lèvres de ma future enculée, mais elle tend son croupion vers mes doigts en signe d’assentiment à ce que je lui fais subir. Il m’est plus difficile de pousser mon troisième doigt dans le cul très serré de la douairière, mais j’y arrive enfin et tourne et retourne mes doigts durant plus de vingt minutes pour élargir l’entrée du rectum que je me propose de violer bientôt. Enfin, je pense que ma patiente est prête, mais pour profiter pleinement de son dépucelage, je veux voir son visage. Aussi je retourne comme un pantin ma septuagénaire tout en laissant ses reins sur les coussins pour que sa vulve et son cul puissent être facilement accessibles. Laure perd pied à l’intromission imminente de son derrière :

- Mon Chéri, tu es certain que je suis prête – j’ai peur tu sais – cela va me faire effroyablement mal – ta verge est tellement grosse…
-
Je la rassures en l’embrassant profondément et en astiquant son bouton d’amour d’une main pour qu’elle pense à autre chose, ; puis je dispose ses jambes sur mes épaules pour que son postérieur soit relevé le plus possible et je plonge ma pine dans son vagin qui est trempé de son excitation. Ensuite, écartant de deux doigts l’anus encore trop fermé, je présente mon gland humide devant l’œillet plissé. Je glisse à ma belle dans son oreille :

- Décontractes-toi ma Chérie, et surtout, lorsque ma verge entreras en toi, pousses, comme si tu voulais aller à la selle, cela passera mieux et tu auras moins mal. Mais surtout pousses sans discontinuer, tu vas voir ma Chérie, tu vas aimer que je t’encules et tu en redemanderas !

À ce moment, sans hésiter, j’enfonce sans m’arrêter mon pieu dans le fondement de Laure, le plus loin possible, mes couilles venant cogner sur ses fesses. Elle lance un cri de douleur, la brûlure qu'elle ressent dans ses entrailles est atroce. Mais j’attends patiemment que la douleur s'estompe, restant immobile, et je savoure béatement l'emprisonnement de mon phallus dans l'étroit goulet dont les chairs brûlantes palpitent et me procurent une excitation inouïe. Laure laisse couler des larmes sur son visage, à son âge se faire sodomiser pour la première fois. Elle se sent écartelée par ma verge qui a pris possession de son postérieur. Bien qu'un large et profond cratère se soit ouvert, mon mandrin terrifiant ayant bien du mal à se frayer un passage dans le rectum qui s'élargit avec peine. La pauvre femme transpire à grosses gouttes devant l'ampleur de mon pénis qui distend les parois de son anus. Elle gémit et pleure, mais ne proteste pas, sachant que ce monstre ira jusqu'au bout inéluctablement. Son anus est bouleversé par le va-et-vient que je lui imprime doucement, le glissement de ma verge sur les parois de son rectum est étrange, elle ressent des fourmillements dans les extrémités nerveuses de son fondement, et trouve cela presque agréable m’a t’elle dit plus tard.

Puis je la bourre maintenant sans ménagement, lui arrachant des cris de douleur et de plaisir mélangé, remuant impétueusement ses chairs enflammées, fouillant sans répit son fondement et écartelant ses belles fesses avec mes mains, prenant plaisir à regarder mon vit s'enfourner dans cette brèche. Ma verge entre et sort en cadence de l'anus qui se dilate progressivement. La pauvre femme se lamente et se délecte du mélange de la douleur qu'elle ressent et des sensations inouïes du plaisir que son cul, à son corps défendant lui procure. Elle s'agite en tous sens et délire, criant des mots sans suite, jusqu'au spasme final qui la laisse complètement brisée. C’est à ce moment que j’expulse trop vite à mon gré mon foutre épais, badigeonnant les parois du cul d'une crème visqueuse, facilitant ainsi le glissement de ma verge. Je laisse ma queue enfouie dans le popotin de cette belle septuagénaire pour ne pas que les sphincters se referment. Lorsque je me retire, ayant vidé mes couilles dans le postérieur convoité, je m'aperçois que l'anus est complètement dilaté et que la croupe de ma belle enculée laisse un cratère énorme qui se referme lentement, agité de convulsions spasmodiques, laissant couler son trop plein de foutre qui dégouline entre ses cuisses. J’embrasse sur la bouche ma belle suppliciée Qui me souffle :
- Tu m’as fais très mal mon Chéri, mais curieusement j’ai aimé ça et j’ai joui de la douleur dans mon derrière. Restes en moi, je voudrais que tu me sodomises encore mon Amour.
-
- Dis-moi que tu veux que je t’encule, que tu veux ma bite dans ton trou de bal.
-
- Oui mon Chéri, encules-moi, entres ta bite dans mon trou du cul et après tu iras enculer Marthe. Je veux te voir la déflorer aussi.
-
Des heures à baiser et en à enculer et me faire pomper par ces deux femmes insatiables m’ont laissé sur le flanc. Je suis rentré chez-moi à 23 heures complètement flagada, prétextant une double crevaison de ma voiture et les réparations chez un garagiste.

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