Collection Lesbiennes. Les Vieilles Dames Indignes (1/1)

• Non, je refuse de quitter ma maison et d’aller dans cette maison de vieux, je suis encore très jeune et bien valide, vous cherchez à me faire vendre pour récupérer la part d’héritage de votre père.
Vous savez qu’en cas de vente, je dois vous donner votre part, vous êtes des monstres, Virginie, tu tues ta mère, moi qui ai toujours été aux petits soins pour toi.
• Maman, c’est pour ton bien, je te promets de faire le nécessaire auprès du notaire pour que tu gardes la jouissance de la part de papa jusqu’à ton décès.
• Bien joué ma fille, c’est ton pourri de cocu qui t’a soufflé cette solution, il sait que si je quitte mes racines, je mourrais dans les quinze jours.
• Arrêtez votre mélodrame Geneviève, mais vous venez de dire, « c’est ton pourri de cocu », pourri pourquoi pas, mais cocu, comment savez-vous que votre fille me trompe, elle vous a fait ses confidences !
• Maman, dit à Thierry que tu faisais de l’humour, la situation est déjà assez tendue avec le déménagement pour éviter d’en rajouter avec des allusions qui n’ont aucun fondement.

Cause toujours fifille, je t’ai vu l’autre jour alors que je faisais mes courses, vous vous êtes arrêté à un feu rouge dans la voiture de ton expert-comptable de patron et une fraction de seconde, j’ai vu qu’il avait la main sous ta jupe, avait-il perdu quelque chose.
Et veux-tu que je dise à ton cocu que la voiture est entrée dans le parking souterrain de l’hôtel de la poste, vous êtes allés enfiler des perles où t’es-tu fais défoncer ta petite chatte ?
Bien sûr, je suis pour la paix dans leur ménage surtout qu’ils partent à Bordeaux pour reprendre le cabinet d’un vieil expert-comptable qui leur vend son étude avec sa clientèle qui prend sa retraite, il me quitte avec leurs deux petits monstres Arielle et Alexandre leurs s jumeaux et qui ont 10 ans.

• Je le conçois mon gendre, vous êtes un bon mari, elle est une honorable épouse, ça n’empêche que vous vouliez m’abandonner.


• Mais, maman nous t’avons proposé d’aller dans la maison de retraite à deux pas de notre appartement à Bordeaux, tu as refusé de te rapprocher de nous.
• Bordeaux, je ne connais personne et il fait trop chaud l’été, en plus je tiens à pouvoir aller fleurir la tombe de Léon une fois par semaine.
Tiens, parlons-en de la tombe de Léon, c’est vous qui m’avez obligé à réduire le poste fleur pour soi-disant équilibrer mon budget.
• Geneviève, nous avons analysé votre situation ensemble, nous devons vous donner de l’argent pour garder votre pavillon qui risque de nous manquer dans les semaines prochaines pour financer notre investissement bordelais, pensez à vos petits-s.
• Ça va, j’ai compris, j’accepte d’aller dans votre mouroir.

C’est ainsi que je déménage pouvant emmener un meuble personnel, je voulais prendre mon lit où j’ai de nombreux souvenirs de parties de jambes en l’air avec Léon, c'était un gros travailleur dans son boulot, il en est mort me coupant des plaisirs sexuels qu’il m’apportait.
Dois-je admettre la grand-mère indigne que je suis quand le soir dans notre lit, je me gode avec le joli vibromasseur que je me suis acheté par Internent, car je sais me servir de mon ordinateur portable.
Je choisis la commode où je me souviens de ma nuit de noces. Léon m’a porté pour franchir la porte et m’a posé sur cette commode, il a soulevé ma robe blanche à écarté ma culotte et avec ses lèvres, il m’a fait minette, j’étais chaude bouillante, il s’est relevé m’a planté sa verge que je voulais sucer ce que j’ai fait presque chaque fois depuis.
C’est cette commode qui a vu mon premier orgasme de femme mariée, car à cette époque, les jeunes femmes qui baisaient avant la bague au doigt étaient rares, nous cela faisait trois mois que j’avais cédés, Virginie est née légèrement prématurée d’un grand mois, c’est du moins la thèse officielle de mes parents à leurs amis.

Je suis seule, ils sont partis et moi la femme de 70 ans en pleine forme, j’impose que pour ce premier soir, je dîne dans ma chambre peut presser de rencontrer des vieux et des vieilles.

La nuit, je me sers de mon gode pour me fatiguer espérant trouver le sommeil, je pourrais vous dire le nombre de voitures qui sont passées sous mes fenêtres pendant la nuit sauf au moment où j’ai déconnecté quand j’ai joui, mon clito a explosé sous le massage rotatif de mon gode.

À midi, je me suis habillé comme le règlement l’oblige et je me suis présente à l’accueil où la directrice m’a donné rendez-vous pour m’amener à la table qui m’est dévolue et où une place est libre.

• Messieurs, dames, je vous présente notre nouvelle pensionnaire Geneviève notre nouvelle amie.
Marie, Odette et Marc, je vous laisse apprendre à vous connaître, Geneviève, Odette et Marc sont un couple marié, dimanche nous allons fêter leurs 50 ans de mariage.

Je suis suspicieuse, j’écoute surtout le couple Odette et Marc qui semblent être opposés sur toutes choses, comment ont-ils fait pour rester ensemble aussi longtemps ?

Le repas terminé pendant lequel, je les entant parler de leurs rhumatismes, Marie parle de son hémorroïde qui lui fait mal, Marc qui semble être un bonhomme discret lui propose de lui repousser avec sa queue.
J’en ai assez entendu, je rejoins ma chambre.

J’allais sortir chou… le mot est lâché, je dois avouer que j’appelle mon gode « choupinet », je sais, c’est un peu cruche, mais c’est comme cela que j’appelais Léon dans nos moments d’intimité et quand il est arrivé par la poste, j’avais du mal à assumer me servir d’un gode pour me sentir encore femme alors en lui donnant son nom, j’ai déculpabilisé.
On frappe à la porte, je range choupinet dans ma commode placée à côté de mon lit et je rabats ma robe cachant ma chatte que je continue à raser le plus possible, l’épilation en institut ayant fait partie des choses que mon gendre m’a refusées.
Il va sans dire que ma situation financière va s’améliorer et je vais retourner me faire épiler intégralement à la cire même si c’est douloureux.


• Je peux entrer, c’est Odette.
• Oui, entrez, que me voulez-vous ?
• Je vois que j’ai beaucoup vieilli, c’est Odette !
• Odette, oui, la directrice l’a dite, tu es marié avec Marc avec qui tu ne sembles n’avoir aucun atome crochu.
• Tu l’as remarqué, mais je voudrais te dire autre chose.
• Je t’écoute.
• Te souviens-tu du lycée de bonne sœur Sainte-Croix ?
• Oui, j’y étais pour mon bac, il y a bien longtemps, non d’un chien, je suis bête ou ma vue a baissé, Odette mon amie.
• Ce sont mes traits ridés et mes cheveux blancs, nous étions jeunes et fraîches dans ces années-là.
• Et tes rondeurs, je dirais même tes bourrelets, les autres t’appelais boubouler ou le tonneau, excuse, je dois réveiller de mauvais souvenir.
• Non, de bons souvenirs, car tu as été la seule à t’inquiéter du mal que l’on me faisait.
• C’est ce qui a précipité mon mariage.
• Et les miens sans que tu le saches.
• Il est vrai que nous avons été imprudente, se faire prendre dans les toilettes à s’embrasser et être convoqués à un conseil de discipline avec nos parents.
• Entendre la principale dire qu’il était inadmissible que dans son lycée deux gouines restent ensemble a été rude surtout quand je me souviens que ce qui a provoqué notre rapprochement, c’est le jour où nous l’avons vu brouter la chatte de la surveillant générale.
Nous avons entendu du bruit derrière nous, nous nous sommes retrouvés dans les bras l’une de l’autre et ça a été notre premier baisé.
• On nous a séparés et j’ai dépéri perdant vingt kilos grâce à toi.
• Moi, on m’a envoyé chez ma grand-mère maternelle près de Lyon, ils m’ont fait rencontrer Léon, nous sommes devenues amants et nous avons eu Virginie qui m’a donné deux petits jumeaux Arielle et Alexandre.
• De mon côté, c’est dans un internat breton que je me suis retrouvée papa étant de là-bas.
C’est dans cet institut, que j’ai franchi une étape dans l’amour des femmes que tu avais déclenché, j’ai eu plusieurs filles comme maîtresses dont une surveillante de nuit que je rejoignais à la nuit tombée, elle m’a tout appris des amours féminins.

Une nuit branle-bas de combat, une salope à qui je m’étais refusée sachant que les relations qu’elle entretenait avec une élève qui était partie étaient du genre sadique.
J’aimais un peu de rudesse, acceptant même d’être fisté par Aurore, c’était le nom de la surveillante mon amante, j’adorais qu’elle me mette sa main entière au fond de ma chatte.
L’autre salope, elle brûlait les fesses de sa protégée avec les mégots des cigarettes qu’elle fumait en cachette.
J’aimais aussi quand elle me faisait couler de la cire de cierge qu’elle allait récupérer à la chapelle et où elle m’épilait à la cire chaude ma chatte avant que nous nous introduisions chaque bout dans nos vagins.
C’est avec un de ces cierges qu’elle m’a dépucelé dès le premier soir.
Nouveau scandale et là mon père m’a fait comprendre qu’il connaissait un bordel où je pourrais apprendre à aimer les bites des hommes ou me marier avec Marc le vieux con que tu as vu à notre table.
J’aurais dû choisir le bordel, même si j’ignore s’il existait, j’ai fait ce qu’il faut pour éviter d’avoir des s alors qu’il en voulait, et toi !

Je lui raconte ce qu’en gros, je vous ai dit et naturellement nous nous sommes retrouvés dans les bras, l’une, l’autre, en tout bien tout honneur au début.
Qui d’elle ou de moi ont tourné nos bouches, je l’ignore tout ce que je sais, c’est qu’à 70 ans après plus d’environ 50 ans nous avons retrouvé le goût inachevé de nos premiers baisers.
Nous étions assises côte à côte sur mon lit, elle s’est agenouillée et a soulevé ma jupe comme je le faisais tout à l’heure.

• Mais dit donc tu es une salope, tu te promènes sans culotte et tu es épilée.
• C’est pour choupinet.
• Choupinet ?
• Regarde, mon gode.

Je le sors et après qu’elle m’eut sucé la chatte, je lui rends la pareille et c’est choupinet qui termine le travail la faisant jouir.
Dans les jours suivants, nous sommes souvent nues dans ma chambre, Odette me fait connaître les 69 entre femmes alors que je le faisais fréquemment avec Léon.
Nous prenons rendez-vous avec l’institut de beauté où j’étais cliente et surtout avec un avocat pour déclencher le divorce de mon amie, Marc l’a appris le jour de leurs 50 ans de mariage.
En allant à l’institut, je vois un panneau « meublé à louer » sur une jolie petite maison, en vieilles dames indignes que nous sommes fières d’être redevenues, nous quittons la maison de retraite, faisant venir un déménageur pour nos valises et surtout ma commode.

À oui, une dernière chose avant de refermer la porte de notre chambre pour nous éclater malgré nos rides et nos bras commençant à se décharner, quelques semaines sont passées, nous venons d’acheter nos tailleurs blancs avec couronne d’oranger dans nos cheveux, ma fille et mes petits-s seront là, mon gendre en mâle dominant a refusé de venir.

La télé était présence quand deux vieilles femmes indignes se sont dit « Oui » pour la fin de leur vie.

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