Dépucelage De Catherine

Catherine cherche un véritable guide pour devenir une vraie femme. Ses copains ? Il vaut mieux ne pas en parler. Le maximum avec eux est une fellation, suivi des fois d’un cunnilingus plus ou moins bien fait. Elle cherche à devenir une femme sensuelle, bien à même de faire l’amour comme elle l’entend, pas comme dans les films pornos, surtout pas. Elle cherche l’initiateur. Pas le voisin, il est marié, pas ses cousins ; ils sont trop cons.
Elle patiente de moins en moins bien en se masturbant souvent. Un soir elle entend des bruits dans la maison en face : une fille fait part de son plaisir à tout le quartier. Cat, profite du samedi matin où sa mère est aux courses, son père parti soutenir une équipe de foot. Seule, elle peut aller voir à la maison d’en face.
Elle réveille l’occupant voisin. Qui ouvre la porte vêtu d’un simple pantalon de pyjama. Etonné de la visite, il la fait entrer sans trop savoir de qui il s’agit.
- Bonjour, je veux devenir femme !
- Pardon ?
- Oui, baisez-moi, je veux devenir une vraie femme.
Elle insiste tellement que pour avoir la paix, le voisin la fait entrer chez lui. Elle s’explique mieux : les bruits de femme amoureuse l’ont excité. Elle aussi voudrait connaitre les plaisirs d’amour.
Il met les choses au point : il n’est pas l’étalon de service.
Mais si, il sait baiser, alors elle le veut. Elle fait des pieds et des mains, montre ses fesses, enlève son haut. Pour emporter la mise, elle prend la queue dans la main, facile quand la bite est dans un pyjama ouvert sur le devant.
- Bon, entre, petite, je vais te la mettre où tu veux.
- Je ne demande qu’à être dépucelée.
- Parce qu’en plus tu es vierge ?
- Ca te dérange ?
- Tu serais ma première entière.
- Tant mieux, j’aime être la première. Baises moi !
Toujours estomaqué, il la laisse entrer. Cat se précipite à l’intérieur. Elle est nue, s’offre les bras ouverts, en l’air, faisant ressortir ses seins.

Jo, le voisin la regarde toujours étonné. Mais si elle veut, pourquoi il refuserait de la baiser puisqu’elle y tient tant.
Elle pensait aller sur un lit ou à la rigueur un divan. Il la fait s’assoir sur une table. Cat se demande ce qui va lui arriver quand Jo lui écarte les jambes sans se soucier du reste. Sa bouche embrasse en remontant les mollets, les genoux, les cuisses pour s’attarder sur la fourche. La langue entre en action : elle lèche la chatte, toute la fente pour venir camper sur le clitoris. Elle caresse du bout, elle passe en entier sur le petit rocher, elle cherche un nid. Cat ressent les premières contractions de son plaisir. Elle pose ses mains sur la tête de l’amant sans pouvoir le contrôler. Lui suce sans cesse le lieu du départ des orgasmes.
Si elle jouit, il semble s’en désintéresser. Il continue le cunnilingus. Sans doute lassé de sa position, il se relève pour embrasser Cat. Son visage, sa bouche son tapissés de cyprine. Elle accepte le baiser « humide ». Elle voudrait elle aussi participer. Pour l’instant pas question : elle est venue se faire dépuceler, lui fait ce qu’il veut avec elle.
Il revient poser ses lèvres sur le sexe. Il reprend la même caresse, elle en jouit toujours, cette fois en geignant sans cesse. Faire entendre son plaisir ne la dérange pas au contraire, c’est même encourageant pour Jo.
Pour lui lécher est agréable il aime le gout et l’odeur. Mais sa queue commence à lui faire mal. Il prend Cat dans ses bras pour la mener sur le divan. Il la fait s’assoir les jambes ouvertes. Elle espère enfin qu’il va la dépuceler. Pas tout de suite. Il lui faut encore passer la langue entre les jambes, entre les fesses plutôt. Il monte les cuisses sur ses épaules, pour bien ouvrir la raie des fesses. Alors il commence à lécher entre les fesses. La position de la raie est favorable. Il descend doucement, très lentement vers l’anus. Cat frémit quand le bout de la langue est sur son cul. Elle n’était pas venue pour ça.
Mais le besoin de sentir la langue caresser son trou noir fait qu’elle accepte la caresse, d’autant plus que la langue, coquine fore son passage doucement vers l’intérieur.
Après le clitoris c’est son cul qui la fait jouir. Elle attend encore la queue dans le ventre. Jo la tourne, la fait coucher sur le dos. Enfin il est sur elle. Elle écarte les cuisses. Cat sent la queue sur son vagin. Il va la lui mettre. Jo relève son engin. Il le remplace par deux doigts. Elle est déçue quand elle sent les doigts dans le vagin. Ils fouillent à lui faire mal.
Jo préfère la dépuceler ainsi, même si elle pense qu’elle pouvait se le faire avec un objet quelconque. La pine vient remplacer les doigts. C’est sans douleur qu’elle sent la bite ans son étui naturel. Jo la lime consciencieusement. Elle ne sent pas grand-chose au début. Puis arrive l’instant où elle se tend, elle se transforme en arc : elle jouit pour la première fois ainsi. C’est bon pour elle.
Jo la destine à un avenir sexuel prometteur.
Jo la tourne sur le ventre. Elle craint la suite. C’est vrai que Jo cherche son petit trou Pourtant il la faite jouir par là. Il écarte encore les deux globes. Il pose sa queue contre le cul bien visible. Comme il faut bien en passer un jour ou l’autre, par là, elle écarte les fesses, donne son cul. Malgré une première douleur, Cat jouit en même temps que Jo.
Cat est satisfaite. Pas Jo : il en veut encore. Il lui demande de se caresser devant lui. Etonnée Cat demande pourquoi. Il lui explique qu’en la regardant se donner du plaisir, il bandera encore, qu’ils pourront recommencer. Malgré sa honte Cat écarte ses jambes, pose une cuisse sur Jo, commence une masturbation comme elle en fait rarement. Elle regarde la pine de Jo grossir petit à petit jusqu’à devenir imposante. Cat se demande comment elle a pu avoir du plaisir avec un tel morceau qui devrait la défoncer.
Elle continue sa masturbation pendant que Jo la l’encule encore une fois.
En revenant chez elle la mère de Cat lui dit qu’elle va se plaindre en face : il y a toujours des bruits bizarres.

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