Dépucelage

En rentrant chez moi le soir, je longeais un parc assez grand et arboré, et j’avais remarqué une certaine activité, qui m’avait fortement intrigué. Je voyais essentiellement des hommes.
Certes, je n’étais pas totalement novice en matière de sexualité, en particulier masculine. Quelques années avant, lors d’un séjour en Auvergne, j’avais dormi dans un dortoir. En voulant me soulager, mon voisin de lit s’était levé pour « m’aider ». Il s’était limité à des caresses, mais celles-ci avaient décuplé ma jouissance…
Je restai très attiré tout autant par les hommes que par les femmes, mais malgré quelques sollicitations, je n’avais pas osé céder.
Un soir, assez tard, je décidai d’aller voir ce parc. Je m’avançai donc dans les allées, bordées de fourrés, dans une semi-obscurité mal atténuée par quelques lampadaires. Assez vite, je croisai quelques hommes, de tous âge, qui me dévisageaient sans s’arrêter. Malgré la peur j’étais assez excité. Enfin, le croisai un garçon de mon âge, brun, assez grand, en jean blouson. Après que nous regardâmes un peu, il me fit un petit signe et s’éloigna d’un pas rapide, non sans jeter un regard vers moi qui disait « suis-moi ».. C’est ce je fis, et nous nous retrouvâmes rapidement dans un fourré, assez protégé de l’extérieur. Alors que je m’approchai, il posa sa main sur mon épaule, m’attira à lui et m’embrassa. Simultanément, il posa sa main sur mon paquet. Je me rendis alors compte que je bandai !! Après quelques minutes, j’eu la présence d’esprit de tâter sa queue, qui était fort raide et qui me paru énorme. Il ouvrit alors ma braguette pour sortir mon petit engin et se mit à le sucer délicatement, mais fermement. J’étais aux anges.
Alors, il se releva et me demanda à l’oreille : « on peut pas aller ailleurs ? »
« Chez moi, c’est à 5 mn à pieds » m’entendis-je lui répondre.
« OK, ca me va ! », et nous voila partis pour mon studio.
Cinq minutes plus tard, donc, nous montions l’escalier qui conduisait à mon petit studio.

Juste après avoir ouvert la porte et que nous soyons entrés, je me retrouvai plaqué contre le mur, sa bouche plaquée contre la mienne, sa langue m’envahissant… cette sensation d’être à sa merci me plaisait. Je senti sa main sur mon entrejambe, palpant ma queue, puis déboutonnant mon jean, qui tomba au sol. Mon caleçon était déformé par la bandaison… il le fit également descendre, et je me débrouillai pour m’en débarrasser prestement. Il s’intéressa ensuite à mes fesses, puis alla titiller ma rondelle, dont le frétillement sembla le satisfaire. J’appréhendai, car j’étais encore vierge du cul, mais je senti une terrible envie de me faire prendre. Finalement, il cessa le baiser pour guider ma bouche vers son membre bien tendu. Je le pris en bouche et m’appliquai pour bien le sucer. Ça avait l’air de lui plaire mais de temps en temps il me prenait la nuque pour enfoncer encore plus son membre, qui était bien dimensionné, ce qui me donnait des haut le cœur, et m’obligeait à lutter pour pouvoir respirer. En même temps, je me sentais si bien d’être à sa disposition et de me laisser faire… comme j’étais debout penché en avant pour le sucer, il me délivra quelques claques sonores sur les fesses, ce qui me mit dans un état second. Je pensais avec joie, envie mais appréhension que j’allais enfin passer à la casserole, et me faire prendre.
Effectivement, un peu plus tard, il me releva et me poussa vers le lit. Il me releva les jambes, vint se placer devant moi. J’étais plié en deux, impossible de bouger, la rondelle bien accessible. Je sentis tout d’abord du froid, et un puis deux doigts me pénétrèrent rapidement. C’était bon, meilleur que les quelques objets que j’avais déjà essayé, mais ça ne dura pas longtemps. Il présenta son gland devant ma rondelle, et poussa brutalement, me rentrant son engin d’un seul coup jusqu’au couilles. L’espace d’un instant, mon esprit si content d’être pénétré, baisé, tringlé, se sépara de mon corps qui ressentit surtout une douleur… toutefois, celle-ci s’apaisa rapidement.
Il commença alors de mouvements de va et viens, lents et profonds, et je me mis à couiner, sans pouvoir contrôler… il accéléra progressivement son limage, parvenant après quelques minutes à la jouissance, dont je sentis les spasmes dans mon cul.
Alors, il se retira, alla se laver dans la salle de bains attenante, puis se rhabilla et quitta l’appartement avec juste un « merci et bonne soirée »
J’étais à la fois heureux d’avoir enfin été baisé, un peu frustré de n’avoir pas joui, et endolori du fondement. Me branler aussitôt me procura un orgasme d’une intensité inhabituelle.
Cette expérience de perte de pucelage anal a évidemment été fondatrice dans ma sexualité.

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