Le Dépucelage De Cathy

Cathy et moi, nous sommes mariés depuis 20 ans le soir de notre mariage, sur le coût des 3h du matin, c’était au mois de juin, il faisait chaud, je la regardais danser, elle était si jolie, elle souriait. Je devinais son corps sous sa robe de mariée (non conventionnelle), moulante au niveau de la poitrine (95B libre sous le tissu) et évasée au niveau des cuisses. Qui se fermait avec une fermeture éclair dans le dos.

Tout à coup, j’eu envie d’elle de sentir sa peau sous mes doigts. J’allais vers elle, l’attirais vers moi pour un baiser fougueux, et je l’emmenais hors du restaurant sans lui parler.

La nuit était belle, douce, sans lune, je me dirigeais vers un coin tranquille du jardin, où étaient disposés des bancs, dissimulés derrière des haies.
Je la prenais dans mes bras, pour regarder les étoiles, j’étais collé à elle. Nous ne bougions pas. Mon envie de faire l’amour revenait.
Alors doucement, pendant que je l’embrassais dans le cou et sur les oreilles, ma main gauche lui caressait les seins, pendant que la droite, faisait glisser la fermeture éclair.
Cathy en se débattant : tu es fou, on pourrait nous voir
Moi : je m’en fou, j’ai trop envie de toi
Et je passais une main dans la robe pour prendre un sein à la peau soyeuse.
De l’autre main je la poussais fermement pour qu’elle se penche en avant appuyée sur le dossier du banc.
Cathy que la situation excitait, se laissa faire ; je lui retroussais sa robe sur les reins, admirait sa croupe, sortais mon sexe tendu, baissais sa culotte en dentelle à mi-cuisses, et la pénétrait sans difficulté tellement elle était mouillée. Je lui fis l’amour, rapidement, mais nous avons pris notre pied tous les 2.
Après en retournant au restaurant
je lui dit : ça fait quoi de baiser avec un homme marié
Cathy : ça ne t’a pas changé tu es toujours aussi bon
Moi : c’est la première fois que tu fais l’amour avec un homme marié ?
Cathy : non je l’ai déjà fait, mais je te raconterai plus tard, nous devons rejoindre nos invités.

Et je dois passer aux toilette j’ai ton sperme qui me coule le long des cuisses.

Quelques jour plus tard, nous étions couchés, je lui demandais, de me raconter sa première fois. Elle raconta l’histoire suivante :
Je n'étais pas majeure, pour l’état civil, mais majeure dans mon corps. J’étais une femme, et jolie. Je sentais le regard des hommes jeunes et surtout moins jeunes sur moi. enfin sur mes fesses et mes seins.
Moi-même j’avais des envies, j’avais découvert mon corps depuis quelque temps, mais je me caressais de plus en plus souvent en imaginant pleins de choses que je ne connaissais pas. Je me masturbais dans mon lit le soir, les cuisses ouvertes, je me caressais les seins, je me mettais un doigt, que je n’osais trop enfoncer, pour ne pas avoir mal. Dans mon bain, en cours, dans le bus, partout où je pouvais passer ma main dans ma culotte sans être vue.
Ma mère prévoyante et surtout me voyant grandir, m’emmena chez le gynéco, pour qu’il me prescrive la pilule et m’explique un peu la vie. Il fit sortir ma mère, me fit mettre entièrement nue (j’étais très gênée) m’installa sur la table et commença par m’examiner les seins. Il commença par les pétrir pour finir par les caresser doucement en me disant qu’ils étaient magnifiques . mes tétons se mirent à durcir. Il sourit.
Puis il passa à mon sexe, m’examina, me dit que j’étais toujours vierge, et m’expliqua le fonctionnement de la pilule et du clitoris le tout en me masturbant délicieusement. Au bout de quelques instants il s’arrêta. Je fus déçue. Il me dit tu es normal, tes tétons durcissent, et tu mouilles sous les caresses, tout va bien. Et je sortis de là la pilule en poche.

Un jour du mois de juillet, je partais faire une course pour ma mère. Je ne portais qu’une culotte et une robe sans manche, évasée qui m’arrivait à mi cuisses. dans l’ascenseur, je rencontrais Patrick, le voisin du 7eme (40 ans bel homme, marié, père d’une copine) , je savais que je ne le laissais pas indifférent.
J’avais surpris son regard sur ma croupe, et plusieurs fois dans l’ascenseur il m’avait effleuré.

Patrick : salut tu es drôlement jolie, tu vas ou comme ça ? tu vas voir ton amoureux ?
Cathy : je vais faire une course à la mairie pour ma mère qui travaille
Patrick : tu sais il va pleuvoir, si tu veux je t’emmène en voiture je vais dans cette direction
Cathy : oui pourquoi pas merci

Et je l’ai suivi au garage. En sortant du parking, il se mit à pleuvoir
Patrick : tu as bien fait d’accepter mon invitation, tu aurais été trempée
Cathy : oui merci
Je sentais son regard sur mes cuisses, découvertes, car ma robe courte était remontée quand je m’étais assise. j’étais gênée et troublée.
Il me déposa à la mairie, m’attendit car il pleuvait de plus en plus fort. Il fit son achat et nous primes le chemin du retour. Enfin presque.
Il fit un détour, sortit de la ville, pour aller se garer, dans un coin reculé sous les bois. L’orage faisait rage
Patrick (en se penchant vers moi) : par ce temps personne ne va venir nous déranger qu’en penses tu ?
Cathy (qui savait ce qui allait se passer) nous déranger
Il me posa un baiser sur la joue, j’ai essayé de reculer, mais je fus vite contre la portière
Sa main gauche me caressait, les cuisses, que je gardais le plus serrées possible.
Sa main droite était passée derrière ma tête, et me forçait, à la tourner pour qu’il puisse m’embrasser.
Sa main sur ma cuisse était douce, et mon esprit me disait non c’est pas bien, il est vieux, marié sa fille………………. Et mon corps disait oui j’ai envie.
Mon corps a gagné, j’ai ouvert mes cuisses et j’ai tourné la tête. Nos lèvres se sont soudées, nos langues se sont touchées. Dans le même temps sa main est venue se poser sur mon sexe, qu’il a caressé doucement, d’abord par-dessus la culotte, puis en dessous. A part ma langue qui s’enroulait autour de la sienne, rien de mon corps ne bougeait, je savourais le fait d’être caressée par des mains étrangères et expertes.

Après quelques minutes, il me proposa de passer à l’arrière de la voiture ou nous aurions plus de place. Il me déshabilla entièrement, tout en me couvrant de baiser. il s’arrêta longuement sur mes seins, et commença à descendre vers mon sexe, c’est à ce moment-là que je lui dis que j’étais vierge. Il me dit qu’il allait faire attention que je ne sentirais rien que du plaisir.
Quand sa bouche effleura ma chatte, l’embrassa, la lécha, que sa langue s’insinua dans mon vagin, qu’il aspira et mordilla mon clitoris, je cru devenir folle, jamais je n’avais ressenti ça. J’avais les cuisses ouvertes, impudique et je lui disais de continuer. C’est à ce moment-là que j’ai eu ma première vraie jouissance. Après mon plaisir, il continua quelques instants à me lécher et surtout à récolter ma mouille qui coulait de mon antre. il remonta sur moi, je reprenais mon souffle, il m’embrassa me donnant un peu de mon plaisir.
Puis il me dit : tu as déjà vu un sexe d’homme
Je répondis que non sauf une fois sur la plage mais de loin
Il sourit et se mit nu à son tour.

Pour son âge il était musclé et peu poilu, mais ce qui me surpris le plus ce fut son sexe en érection. Bien droit environ 15cm mais large 5 cm. Il va me rentrer ça dans le ventre mais je vais être complètement déchirée.
Il se caressait je n’osais bouger. Il prit ma main et là posa sur son sexe, me dit de le caresser, de toucher ses couilles, de le branler. Je fis tout ce qu’il me disait. Cette tige était douce et chaude, je prenais du plaisir à la masturber. Au bout de quelques minutes, sans qu’il me le demande je le pris en bouche et lui léchait le gland. Il soupirait et me tenait la tête à deux mains ne me disant : pour une novice tu es drôlement bonne ma cochonne. mais arrêtes je ne veux pas jouir dans ta bouche, mais dans ta chatte étroite.
Je lui dis : tu me promets de faire doucement.
Patrick : tu ne vas avoir que du plaisir.
Il m’allongea sur la banquette, les jambes bien écartées, me lécha et mouilla l’entrée de mon vagin, et s’approcha.
Je fermais les yeux.
Patrick : passes ta main, prends mon sexe et présentes le à l’entrée de ton sexe
Je fis comme il disait, je le guidais, je m’arrêtais quelques instants, pour me caresser le clito avec son gland, de nouveau je mouillais. Puis je le mis devant ma chatte, et j’avançais le bassin, en disant vas y.
Je sentis le gland forcer délicatement mes grandes lèvres, puis un léger picotement (c’était ma virginité qui sautait).
Patrick : ça va
Cathy : oui continue doucement
Il s’enfonça délicatement dans mon ventre qui s’ouvrait à lui. Une fois au fond, il ne bougea plus, me fit un bisou, j’ouvris les yeux et lui rendit son baiser avec un sourire.
Patrick avec un sourire : ça va toujours,
Cathy : j’ai une sensation bizarre, mais je n’ai pas eu mal

Il m’embrassa, et commença à bouger lentement, je me laissais aller, plus le baiser devenait fougueux, plus il allait vite te fort. Maintenant je sentais ses couilles taper sur mes fesses. Nos langues et nos salives se mélangeaient. Il haletait sur moi. Je sentais mon plaisir monter. Je refermais mes jambes sur ses reins pour le sentir aller au plus profond de mon trou ouvert.
Je gémissais en lui disant que c’était bon, je me laissais aller à mon plaisir.
Lui au bord de l’explosion, entre deux râle, me traitait de petite salope en chaleur
En entendant ses mots je fus encore plus excitée,
je lui disais :je vais jouiiiiiir, vas y fort fort fooooooooooooort
Patrick : moi aussi je jouiiiiiiiiiiiii dans ton sexe en chaleur, petite pute
Cathy : oui je suis ta pute tu peux faire ce que tu veux de moiiiiiiiiiiiiiiiiii
Dans un dernier coup de rein, mon amant se cambra et son sexe se raidit encore plus. Je sentis sa jouissance gicler sur les parois de mon antre. Il était sur moi, nous ne bougions plus, nous reprenions nos esprits. Nous avions jouit ensembles. Il se souleva, me regarda, et se retira, je sentis son sperme qui coulait le long de ma raie.
Il se mit à rire, et me dit : il ne pleut plus, sors vite pour ne pas tacher les sièges.
Sans réfléchir je suis sortie entièrement nue de la voiture, lui aussi. J’ai senti sa semence couler el long de mes jambes. Il a voulu que je m’essuie avec de mouchoirs, mais j’étais tellement heureuse d’être devenu une femme que j’ai refusé. j’ai voulu tout garder.

Voilà mon chéri tu sais tout
Moi : et il n’y a eu qu’une seule fois
Cathy : non mais je ne vais pas tout te raconter d’un coup...

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