Chère Séverine

J'avais eu une énorme émotion avec Séverine la mère de mon copain Richard, mais l'expérience avait été si agréable que cette belle femme restait pour moi une partenaire privilégiée...


Sur le parcours, j'ai une fois de plus apprécié le paysage environnant la petite ville où nous vivons.
Lorsque je suis arrivé, j'ai vu la voiture de Séverine devant le portail qui s'ouvrait lentement. Je l'ai suivie lorsqu'elle est entrée et la conductrice m'ayant vu, elle a refermé derrière moi. Séverine m'a fait signe de la suivre et nous avons contourné la maison pour nous trouver devant un petit bâtiment pourvu de deux entrées de garage et d'une petite porte. Une des larges portes s'est ouverte et la jeune femme a garé son véhicule en se serrant sur le côté droit pour me laisser la place de remiser la moto juste à côté. Pendant que je mettais la machine sur la béquille centrale, elle est sortie de la voiture et s'est approchée de moi. Se plaquant contre mon ventre, elle a dit en désignant mon casque :


- Enlève ça vite que je puisse t'embrasser.

J'ai posé le casque et les gants sur le siège de la moto et elle s'est pendue à mon cou en me tendant les lèvres.

- Embrasse-moi. J'ai l'impression qu'il y a des années que tu ne m'as pas prise dans tes bras…

Nous nous sommes embrassés avec passion en nous frottant le dos. Nos ventres ondulaient l'un contre l'autre et je me suis mis à bander. Elle a posé sa main sur la bosse de mon pantalon et a murmuré :


- Je crois que tu en as autant envie que moi…

J'ai posé mes mains sur ses fesses et je l'ai soulevée pour faire coïncider nos pubis en disant :
- Toi aussi, tu me manquais…

Elle m'a repoussé gentiment et m'a invité à la suivre dans la maison. Elle a emporté un panier qui était dans son coffre de voiture et nous sommes repassés devant la maison pour gravir le perron et utiliser l'entrée principale.

Elle a ouvert et je l'ai suivie comme la fois précédente, attendant qu'elle ait fini de neutraliser l'alarme. Elle m'a guidé vers la cuisine et après avoir posé son panier sur la table, elle a rebranché les appareils électriques en me disant :


- J'ai prévu une petite dînette qui pourra réchauffer pendant que nous établirons nos programmes. Veux-tu déboucher la bouteille de vin ? Le tire-bouchon est dans le tiroir sous le plan de travail près de l'évier.

J'ai suivi ses indications et j’ai débouché la bouteille de Pommard puis, j'ai ouvert les placards pour trouver deux verres. Pendant qu'elle mettait notre dîner à réchauffer doucement, j’ai servi du vin et lui ai tendu son verre en disant :


- À nos retrouvailles…

Elle m'a regardé avec un air mitigé et m'a répondu :


- À la vie, et à nos plaisirs…

Nous avons trinqué et la voyant un peu soucieuse, j'ai demandé :


- Tu fais une drôle de tête, quelque chose ne va pas ?

Elle a levé le visage vers moi des larmes dans les yeux et m'a dit :


- Quel dommage que nous soyons dans cette situation…
- Qu'est-ce que tu veux dire ?
- Que nous ne puissions pas nous afficher librement. Je ne sais pas pour toi, mais je n'aurais pas peur d'affronter les critiques, seulement il y a Richard et ça complique les choses…
- Pourquoi te poses-tu à nouveau ces questions ? Depuis le début, nous savons que c'est impossible.
- C'est vrai, mais un événement imprévu à fait apparaitre ces contraintes comme plus douloureuses.
- Ah bon ! Quel événement ?


Elle m'a regardé puis s'est serrée contre ma poitrine en disant :


- Je suis enceinte de toi !


J'ai eu l'impression de recevoir le plafond sur la tête. Même si d'un certain point de vue, on peut considérer ce genre de nouvelle comme réjouissante, je n'étais pas ravi du tout. Instantanément, j'ai vu se dresser devant moi tous les inconvénients du mariage et de la paternité pour le libertin que je devenais de plus en plus chaque jour.
La gorge serrée, je me suis décollé d'elle et j'ai demandé :


- Que veux-tu que je fasse ?
- Rien, j'ai pris rendez-vous avec mon gynéco pour une IVG. Ce n'est vraiment pas le moment de clamer ça. J'ai eu beaucoup de peines à convaincre Bernard de régler le divorce très rapidement, il n'est pas question que je lui donne l'occasion de suspendre la procédure…
- Je te demande pardon, j'aurais dû prendre des précautions…
- Ne dis pas de bêtises, c'est moi qui ai oublié de prendre ma pilule pendant presque une semaine…
J'ai tellement de plaisir avec toi que je suis comme sur un petit nuage et que parfois, je me comporte comme une adolescente irresponsable…
- Mais tu es aussi belle qu'une adolescente. En plus, tu sais me donner beaucoup de plaisir, ce qu'une adolescente ne saurait sans doute pas faire…


Elle s'est à nouveau blottie dans mes bras et en me tendant les lèvres, elle m'a dit :


- Tant mieux, ainsi j'aurais moins de concurrences chez les petites minettes…
- Mais tu es une super minette… Et on a toujours envie de te croquer…


Séverine a fait glisser le zip de mon pantalon et prenant en main ma verge qui se dressait, elle a dit :


- Moi, je crois plutôt que tu veux me piquer… D'ailleurs, je tiens là ton aiguillon…


Nous avons ri de bon cœur et me tenant toujours par la queue, elle m'a entraîné dans le hall, puis dans le bureau de son grand-père et enfin dans une toute petite pièce attenante uniquement meublée d'un guéridon et d'un lit pas très large. Nous nous sommes embrassés à bouche que veux-tu et pendant que Séverine me masturbait doucement, j'ai passé mes mains derrière son dos pour faire descendre la fermeture éclair de sa jolie robe. Prenant un peu de recul, elle m'a dit :


- Oui, déshabille-moi... J'adore sentir tes mains sur tout mon corps… J'aime beaucoup ta douceur et tes caresses…
-
- J'ai fait glisser sa robe multicolore tout doucement le long de ses bras découvrant ses épaules délicates et un joli soutien-gorge vermillon bordé de dentelle.
Je l'ai embrassée en caressant sa poitrine par-dessus le soutien-gorge et j'ai senti ses mamelons durcir sous mes doigts. Puis j'ai reposé mes mains sur la robe et je l'ai accompagnée jusqu'au sol en m'agenouillant devant la jolie blonde. Elle a soulevé un pied puis l'autre pour que je dégage le vêtement et j'ai caressé ses jambes en posant des baisers sur ses cuisses gainées de bas brillants. Lorsque ma bouche est arrivée en haut des bas et que j'ai doucement léché sa peau, elle a eu un frisson et prenant délicatement ma tête de ses deux mains, elle a appuyé mon visage sur son pubis en disant :


- C'est délicieux… Tu me fais frissonner de plaisir et mon ventre bouillonne déjà…

J'ai posé ma bouche sur son pubis et j'ai senti que sa culotte assortie au soutien-gorge était déjà mouillée à l'entrejambe. Son envie devait être impérieuse et j'ai décidé de faire durer le plaisir et de prendre mon temps avant de la satisfaire. J'ai un peu léché son sexe à travers le fin vêtement puis ma bouche est remontée vers sa poitrine en déposant une longue file de doux baisers sur sa peau douce. Je me suis redressé et j'ai mordillé ses pointes de seins dressées à travers le soutien-gorge.
Elle m'a embrassé avec fougue, et m'a dit :


- Fais moi l'amour… Je veux jouir comme la dernière fois que nous sommes venus ici…


Je l'ai fait tourner sur elle-même et elle s'est collée à moi en reprenant mon membre dressé dans sa main. J'ai caressé sa poitrine et son ventre, délicatement, faisant naitre des frissons sous mes doigts.
Ma main droite est descendue sur son pubis et elle a grogné un oui d'approbation. Je l'ai caressée délicatement à travers le fin tissu et j'ai fait glisser le bout de mon index sous la dentelle dans son aine. De sa main, elle a dirigé ma verge tendue entre ses fesses jusqu'à ce que mon gland soit à la hauteur de ses lèvres intimes et m'a demandé de la prendre. J'ai balancé mon bassin pour faire quelques va-et-vient entre ses jambes sans tenter de la pénétrer.
De sa main gauche, elle a tiré sa culotte sur le côté et a guidé mon gland du bout de ses doigts à l'entrée de son vagin ruisselant. J'ai fait encore quelques va-et-vient le long de sa fente, puis je l'ai repoussée doucement en posant mes mains sur ses hanches.


Elle s'est retournée et m'a embrassé en déboutonnant ma chemise et a détaché ma ceinture. Mon pantalon est tombé tout seul et mon sexe se dressait hors de mon slip ne laissant aucun doute sur mon envie. Elle s'est serrée contre moi et m'a redemandé de lui faire l'amour. Je l'ai embrassée et j'ai passé doucement mes mains sous ses bras pour dégrafer son joli soutien gorge. Ses seins se sont dressés avec arrogance et je lui ai dit :


- On dirait qu'ils ont grossi…
- Oui, c'est un des avantages des femmes enceintes… C'est pour faire patienter les messieurs…


Je l'ai retournée à nouveau et j'ai pris ses seins à pleines mains. Les pointes en étaient dures et en guettant ses réactions, je me suis rendu compte qu'elles étaient plus sensibles que d'habitude. Elle a mis ses mains sur mes fesses et faisant glisser mon slip, elle s'est avancée vers le lit. Elle est montée à genoux dessus pour s'allonger, mais je l'ai retenue par les hanches pour qu'elle reste à quatre pattes. Elle s'est retournée pour me regarder et m'a fait un grand sourire quand j'ai fini d'enlever mon slip. Je me suis agenouillé par terre derrière elle et j'ai léché son entrecuisse à travers le slip rouge. De temps en temps, je faisais passer mon doigt sous la dentelle tout le long de sa raie et elle se cambrait en gloussant. J'ai fait glisser sa fine culotte le long de ses cuisses et elle a soulevé ses genoux pour que je l'enlève complètement.


À chaque fois que ma main ou ma bouche touchaient son sexe ruisselant sa respiration semblait devenir plus difficile. J'ai écarté ses fesses de mes pouces et j'ai léché sa raie du clitoris à l'anus. Elle a un peu plus écarté les genoux et s'est cambré en faisant basculer son bassin pour mieux s'offrir à ma caresse buccale. Lorsque ma langue a pénétré son intimité brûlante, elle s'est cambré encore plus et a poussé une longue plainte en posant sa poitrine sur le lit. Je venais de la faire jouir. Je me suis relevé et la prenant par les hanches, je l'ai pénétrée très lentement. À peine avais-je fais quelques va-et-vient que j'ai senti son vagin se contracter sur ma verge, m'amenant au bord de l'orgasme.


- Oh oui encore… Continue…


Je sentais son intimité vibrer sous mes assauts. Et de temps en temps, je sentais une série de spasmes contractant son vagin. Séverine gémissait à chacune de mes pénétrations. Au bout d'un moment, je n'ai plus pu me retenir et j'ai éjaculé longuement en la tenant fortement empalée sur mon vit. Encore une fois, elle a laissé s'échapper une plainte flutée et a glissé doucement à plat ventre. Je me suis couché sur elle, toujours profondément enfoncé dans son intimité et toujours rigide.


Nous sommes restés silencieux un moment, reprenant notre souffle et le contrôle de nos sensations.
Nous avons basculé sur le côté, toujours l'un dans l'autre, puis elle m'a dit d'une voix douce :


- C'est absolument incroyable. Je ne veux pas flatter ton orgueil de mâle, mais personne ne m'a jamais fait jouir comme ça auparavant. Je ne comprends pas… Je croyais qu'on avait plus ou moins de plaisir, mais là, je suis à des années-lumière de ce que j'ai ressenti avec Bernard. Non seulement, tu me mets le feu au ventre en faisant durer les préliminaires, mais quand tu viens enfin en moi, j'ai l'impression d'être dans une autre dimension…
- C'est sans doute une réaction physico-chimique et peut être psychologique… Je pense être comme les autres. J'adore te faire l'amour, j'y prends beaucoup de plaisir, mais je ne fais rien de particulier.

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