Séverine Chapitre 5

SEVERINE
Chapitre 5
La soumission se met en place
La veille au soir mon mari s’est bien aperçu de la présente de mon collier que j’avais caché par un col roulé, mais au moment de me coucher, impossible de le masquer, mais il n’a posé aucune question.
Le lendemain début de journée comme d’habitude le mari est déjà parti, j’aide les s pour les petits déjeuners, et leur départ pour le collège. Et enfin je me prépare, oh c’est vite fait, toilette et ensuite manteau et hop dans la voiture et direction l’appartement de tonton, pendant le parcours j’essaye de fixer mon attention sur la route, pour ne pas penser à ce qui m’attend, mais je suis comme une e, en manque, en l’occurrence en manque de sexe, mes tétons sont déjà tendus, mon clito est déjà sorti de sa cachette, et mon vagin joue déjà la fontaine. J’arrive péniblement à éviter l’accident avant d’arriver dans la résidence de mon oncle.

Au moment où je vais sonner un homme sort de l’immeuble et me tient aimablement la porte, je le remercie et j’entre dans le hall, je sens le regard de l’homme sur mes fesses ce qui ne fait qu’accen mon émoi.
Je prends l’ascenseur et j’ouvre mon manteau, enfin je sonne à la porte, et mon oncle m’ouvre.
« Garde ton manteau on y va on nous attend ».
Nous descendons et nous prenons sa voiture, au sortir de la ville, tonton passe sa main sur mes cuisses et relève mon manteau vers le haut.
« Ouvre ton manteau que je vérifie ta tenue !!! »
Tout en gardant ma ceinture j’entrouvre mon manteau afin de dénuder mon ventre et mes seins. Mon oncle a vérifié de suite mon sexe « C’est bien tu mouilles déjà, là où je t’emmène tu vas voir ce qu’il en coûte de désobéir à son maître, j’espère que tu retiendras la leçon !!!!! Allez suce-moi pour commencer».
J’ai défait sa ceinture et baisé sa braguette, il n’avait pas mis de slip, je n’ai pas eu de mal à sortir son sexe du pantalon, j’ai retiré la ceinture de sécurité, et j’ai plongé tête la première pour sucer son sexe à demi bandé.


J’ai alterné les gorges profondes et les aspirations sur son gros gland qui me remplissait bien la bouche, j’ai fait tourner ma langue et mes lèvres autour de ce tendre bonbon chaud et qui commençait à prendre de la vigueur.
Tonton m’a prise par les cheveux pour me relever en me disant : « C’est bon ma belle on arrive, tu m’as bien chauffé !!! On va se régaler !!! ».

Quand je me suis relevée nous arrivions dans une grande propriété, il y avait plusieurs voitures garées devant le perron d’une grande maison. Tonton a garé sa voiture et il a fait le tour pour m’ouvrir la portière, avant de refermer, il a accroché une laisse à mon collier et il m’a retiré le manteau.
« Première leçon tu porte la tenue que je veux et je ne tolérais aucune hésitation de ta part quelque soit le lieu ou les personnes présentes, compris ? »
« Oui tonton !! »
Je reçois un claque magistrale sur la fesse droite, j’en ai les larmes aux yeux !!! »
« Oui qui ? »
« Oui maître !!! »
« Que je n’ai pas l’occasion de te mettre une fessée !!! »
« Bien maître !!! »
Me tirant par la laisse nous montons le perron.
Quelques instants après notre coup de sonnette, la porte s’ouvre sur un homme du même âge que mon maître, chemise blanche ouverte et pantalon écru.
« Nous n’attendions plus que toi pour commencer, mais je vois que tu nous a amenée ta nouvelle !!! »
« Salut Gérard je te présente Séverine »
« Jolie soumise soyez la bien venue » et ce faisant mon oncle prend ma jambe droite et la soulève afin d’offrir mon sexe au dit Gérard qui passe sa main sur ma vulve et en profite pour me mettre deux doigts dans le vagin.
Puis il sort ses doigts je peux voir qu’il luissent de cyprine quand il les porte à son nez puis le suce, en disant : « C’est un pur miel ça doit être un régal de lui butiner la fleur ».
Mon maître « tu auras l’occasion d’y goûter ».
Gérard me prend par la taille et m’emmène vers une autre pièce, j’entends des voix.
Ma laisse pend devant moi.
On s’arrête un instant, Gérard prend la laisse et la fait passer entre mes jambes et la donne à mon maître, qui tire bien dessus afin qu’elle rentre dans ma fente. Et c’est ainsi que nous entrons dans un grand salon, je vois une jeune femme bâillonnée les mains attachées en l’air à une corde qui descend du plafond, et assis autour de la pièce une dizaine d’hommes nus.
Gérard « vous pouvez commencer !!! »
Tandis que mon maître s’assoit dans un canapé, Gérard lui prend un fauteuil et m’attire sur ses genoux.
Tout en écartant mes jambes il m’explique ce qui va se passer, tout en passant la main sur le sexe.

« Vous voyez cette belle petite salope, c’est ma dernière soumise, et elle m’a ouvertement trompé avec un jeune homme alors que je fais tout pour elle et qu’elle me doit tout, donc je luis ai donné le choix, ou bien je la jette, ou bien elle reçois une punition dont elle se souviendra. Et vous voyez elle a choisi la deuxième solution, donnez vous-même le signal que vous participiez vous aussi ».
Je ne sais quoi dire, mais Gérard me pince violement le clitoris, et je pousse un cri, c’est le signal pour que deux hommes se lèvent chacun avec un martinet en main et chaque se place de part et d’autre de la fille et sur un signe de Gérard la correction débute, les coups de martinet tombent sur les fesses de la soumise, et chaque coup se répercute dans mon ventre, et Gérard le sent bien et il me fait me lever et l’enjamber pour bien me pénétrer, je sens sa queue à l’orée de mon vagin, je regarde mon maître qui me donne son assentiment et je me laisse pénétrer par Gérard, chaque coup de martinet se répercute dans mon sexe comme si c’était moi qui les recevait.
Chaque coup de martinet faisait réagir mon vagin autour du sexe de Gérard. Mon vagin palpite autour de se queue plus fine que celle de mon oncle mais aussi longue au point que mon utérus est au contact de son gland.
Et à chaque coup sur les fesses les seins de la fille ou bien le sexe, je les ressens comme si c’était moi qui les recevais, et mon vagin se contracte à chaque fois autour de cette tige qui me comble et je fini par monter et descendre sur la queue de Gérard.

Gérard me murmure à l’oreille : « ça te fait de l’effet ma jolie tu me masses la queue !!! »
Avant la fin de la correction j’ai jouis sur la queue de Gérard.
Gérard : « elle est vraiment très bonne ta nouvelle, j’ai failli jouir avec elle !!! S’adressant aux fouetteurs allez les gars amenez ma soumise ici qu’elle vienne me nettoyer la queue»
Ils ont détaché la jeune femme qui s’est écroulée dans leurs bras, j’ai rejoins mon maître, qui se lève et m’entraîne au milieu de la pièce et m’attache à la place de la jeune femme.
« Parce que tu crois je ne t’ai pas vue avec mon ami Gérard, je le lui avais demandé afin de voir si tu obéirais, mais j’ai vu qu’il n’en avait pas été, et maintenant je vais te punir !!!!! »
« Allez les gars vous n’avez pas pu baiser la soumise de Gérard, moi je vous offre la mienne ».
J’ai hurlé de peur, un des hommes m’a bâillonnée, je suis pendue par les bras je touche à peine le sol ; deux hommes me prennent chacun par une jambe et il m’écartent en grand, ma chatte baille en grand et un premier homme me prend sans aucun préambule ni aucune douceur, il baise seulement et ne cherche que son plaisir, et son plaisir c’est de me défoncer. Mais soudain un autre sexe tente de me prendre par derrière, j’essaye de serrer mon anus comme je peux, mais un doigt récupère du jus autour de mon sexe, et puis s’enfonce en entier dans mon cul, et aussitôt rejoint par un deuxième doigt et puis un troisième, celui qui me lime la chatte, éjacule sur mon ventre la première giclée m’éclabousse entre les seins. Celui qui est derrière moi en profite pour remplacer ses doigts par son sexe, et tout comme l’autre il ne se préoccupe pas de moi et il ne cherche qu’a se vider les couilles, et c’est ce qu’il fait rapidement tandis que mon sexe va être rempli par une autre queue. Je ne suis plus que des trous à faire jouir.
Et ainsi de suite, épuisée j’ai cessé de compter, certains sont revenus plusieurs fois, devant, derrière.

Quand mon maître m’a détachée, je me suis écroulé.
Je me suis réveillé j’étais sur les genoux de mon maître, les cuisses écartées par lui afin de bien montrer mon sexe ouvert et dégoulinant de sperme.
« Va sur la table basse c’est l’heure de nettoyer ta fente !!!! »
Toute volonté annihilée je me mets en position et je vois Gérard arriver avec la bassine d’eau et la serviette.
Mon oncle entreprend de me laver toute la fente devant tous les hommes, l’un d’eux demande si il peut le faire, ce à quoi Gérard lui rétorque que c’est réservé au maître de la soumise.

Après cette toilette pendant laquelle, je suis redevenue la soumise de mon oncle, la faute était pardonnée, à moi de ne pas recommencer.

Mon oncle et maître m’a aidée à me relever, et Gérard nous a accompagné jusqu’à la porte, en me faisant la bise il en a profité pour passer sa main sur mon sexe ultra sensible,en me disant : « reviens quand tu veux il y aura toujours de la bite pour toi ma belle !!! ».
Avant de monter dans la voiture j’ai remis mon manteau et mon maître m’a ramené jusqu’à ma voiture et nous nous séparé sans un mot.










Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!