Séverine 7

SEVERINE
Chapitre 7
Pauline


Nous sommes vendredi et nous terminons le travail à 15h00, Pauline me dit : « viens on va jusque chez moi mettre la tenue que m’a donnée notre maître ».
Sur le lit Pauline a préparé deux tenues, une rouge et l’autre noire, soutien-gorge à balconnets qui laisse libres nos tétons, culotte fendue pour laisser libre accès à nos sexes, porte-jarretelles, bas résille, et escarpins de la même couleur.
Une fois habillées nous remettons nos manteaux, et direction l’appartement de mon oncle et maître.
Arrivé à sa résidence il est déjà là à nous attendre près de sa voiture.
« Vous êtes en retard les filles ça se paye ! Allez en voiture on nous attend surtout toi Séverine »
Pauline est montée à coté du maître et moi j’ai été reléguée derrière. Vingt minutes plus tard nous étions devant le perron de Gérard. Nous sommes descendus, et le maître a pris nos manteaux il m’a remis le collier et crochète la laisse qu’il a donnée à Pauline en lui disant « amène ta chienne ! »
Et Gérard nous ouvre la porte il est nu le sexe déjà en bonne forme.
Mon oncle lui présente Pauline, en guise d’accueil Gérard passe la main entre les cuisses de Pauline, puis il me prend les mains et me les attache dans le dos avec une corde. Puis prend la laisse des mains de Pauline et m’emmène vers la même pièce que la première fois.
En entrant je vois plusieurs couples, j’ai pu apercevoir que certaines portait un collier c’étaient donc des soumises comme moi; mais je n’ai guère pu en voir plus, Gérard me retire le peu de vêtements et il me couche sur une sorte de coffre rembourré, et je me retrouve jambes écartées et attachées aux extrémités du coffre de façon à exposer tout mon sexe je fais pratiquement le grand écart
Nous sommes vendredi et nous terminons le travail à 15h00, Pauline me dit : « viens on va jusque chez moi mettre la tenue que m’a donné notre maître ».



sur le lit Pauline a préparé deux tenues, une rouge et l’autre noire, soutien gorge à balconnets qui laisse libre nos tétons, culotte fendue pour laisser libre accès à nos sexes, porte jarretelles , bas résille, et escarpins de la même couleur.

Une fois habillées nous remettons nos manteaux, et direction l’appartement de mon oncle et maître.
Arrivées à sa résidence il est déjà là a nous attendre près de sa voiture.
« Vous êtes en retard les filles ça se paye !!!! Allez en voiture on nous attend surtout toi Séverine »
Pauline est montée à coté du maître et moi j’ai été reléguée derrière. Vingt minutes plus tard nous étions devant le perron de Gérard. Nous sommes descendus, et le maître a pris nos manteaux il m’a remis le collier et crochète la laisse qu’il a donné à Pauline en lui disant « amène ta chienne !!! »
Et Gérard nous ouvre la porte il est nu le sexe déjà en bonne forme.
Mon oncle lui présente Pauline, en guise d’accueil Gérard passe la main entre les cuisses de Pauline, puis il me prend les mains et me les attache dans le dos avec une corde. Puis prend la laisse des mains de Pauline et m’emmène vers la même pièce que la première fois.

En entrant je vois plusieurs couples, j’ai pu apercevoir que certaines portaient un collier c’étaient donc des soumises comme moi; mais je n’ai guère pu en voir plus, Gérard me retire le peu de vêtements et il me couche sur une sorte de coffre rembourré, et je me retrouve jambes écartées et attachées aux extrémités du coffre de façon à exposer tout mon sexe je fais pratiquement le grand écart et mes articulations me font mal mais pas de temps de me plaindre qu’un sexe touche ma bouche et se frotte sur mon visage, jusqu’à ce que j’ouvre la bouche pour le sucer mais l’homme en veut plus et il m’enfonce son pénis jusque dans la gorge, tandis que derrière moi des doigts fouillent ma fente, chaque homme qui me pénétré ne jouis pas mais échange sa place avec un autre, et les bites se succèdent autant dans mon vagin que dans ma bouche, je ne compte plus les orgasmes, je crois que j’ai jouis en permanence.

Puis à nouveau des doigts remplacent les sexes, un puis deux puis trois, quand j’entends une voix féminine : « punaise vous l’avez tellement ouverte que je crois que je vais tout lui mettre !!!!! ».
Et alors un quatrième doigt rejoint les autres, et force lentement mon sphincter élargissant lentement mais sûrement ma vulve et mon vagin, le dernier homme sort de ma bouche et me tient le menton pour garder ma bouche ouverte, et il me jouis jusqu’au fond de la gorge, et il me referme la bouche et je n’ai plus qu’a avaler toute cette semence.
Au même moment toute la main me pénètre je me sens élargie comme jamais. Et la main commence à me pilonner ; le bout des doigts caresse ma matrice comme si cette femme voulait en éprouver la forme et une autre main vient s’occuper de mon bouton, et je pars de nouveau pour un moment de pure folie sexuelle.
Devant moi je vois Pauline tournant le dos à mon oncle que je reconnais à sa grosse queue, et Pauline écartée au dessus du mandrin un pied posé sur la chaise afin de s’ouvrir au grand large, elle commence a absorber cette grosse queue dans sa fente. Lentement elle s’empale à fond sur le mandrin du maître et tout aussi lentement et se soulève jusqu’à presque faire sortir la queue de son sexe, et je me dis (ma vieille j’ai quelque chose de bien plus gros que toi dans ma fente !!)
Pauline et moi gémissons de concert et je tente de calquer ma vitesse de pénétration sur celle de l’empalement de Pauline je vois dans son regard qu’elle me met au défi, c’est à celle qui jouira la dernière. Mais la main qui me possède et l’autre qui me masturbe commencent à m’échauffer les sens.
« Allez coule bien petite salope mouille bien ma main, je barbotte dans son jus, qui viens l’enculer en même temps ? »
J’entends la voix de Gérard qui se propose de m’enculer. Je ne vais quand même pas me faire prendre dans mes deux orifices mais avant que je proteste une queue vient me prendre la bouche
Et en fait Gérard au lieu de m’enculer il ajoute son sexe à la main qui me fait tant de bien.

Et Gérard se laisse branler dans mon vagin.
Je ne peux plus voir où en est Pauline un pénis vient prendre possession de ma bouche, je suis dans un tel état d'excitation que je suce cette queue comme si c'était la dernière que j'aurais à sucer. Je laisse cette queue s’enfoncer jusque dans ma gorge sans même un haut le cœur tellement c’est bon et cette main qui branle une grosse queue dans mon trou à bite mais sous l'effet d'une telle perversité les deux hommes me déversent rapidement leur jus dans le corps.
Sous l’orgasme je pense que j’ai perdu connaissance, et quand je reprend mes esprits, on m’a détachée et je suis allongée sur le dos sur la table, deux hommes me tiennent jambes écartées Gérard et en train de préparer de quoi me laver je pense que mon maître va le faire, et que je suis pardonnée. Mais non c’est Gérard qui me lave, et là je comprend que j’ai changé de maître, le sexe enfin rassasié l’eau tiède me fit du bien et enfin calmée, au bras de Gérard j’ai accompagné mon oncle et Pauline jusqu’à la porte.
Gérard demanda à mon oncle de prévenir mon mari que je rentrerai que dimanche. Et que si il voulait participer ou juste voir sa petite salope se faire baiser, il est le bienvenu !!!!.

Ce qu’il fit car Marc est venu parfois assister à mes exploits mais sans participer.
La nuit de vendredi à samedi je n’ai pas dormi, passant d’un lit à un autre, où m’attendaient un ou plusieurs hommes, ou même femmes, me roulant avec délice dans stupre et le sexe, sous toutes les formes.
Le samedi fut réservé à Gérard et ses deux frères qui ont joué toute la journée avec mon corps parfois en couple parfois avec deux hommes mais le plus souvent à trois, leurs mandrins jouant de tous mes trous. Quel plaisir de se donner ainsi, pas de sentiment seulement du sexe.

Quand le dimanche matin je suis rentrée épuisée mais ravie d’avoir trouvé un nouveau maître qui allait m’offrir autant de sexes que j’en avais envie et peut être devant Marc.

Marc est venu parfois assister à mes exploits mais sans participer me conduisant même chez Gérard.

EPILOGUE

Pendant trois mois j’ai continué de voir Gérard, ses frères et ses amis, chaque week-end jusqu’à ce que je me trouve une remplaçante je commençais à me lasser, c’était le prix à payer pour redevenir libre, retrouver mon mari et mes s, j’ai parfois une aventure quand ça se présente mais toujours avec l’assentiment de Marc, qui assiste parfois à ma partie de baise et pour mieux me prendre en rentrant, je ne perd pas de vue mon oncle, réunion de famille oblige, j’évite quand même de me rendre chez Mamie afin de ne pas le rencontrer seul à seul et de succomber.
Mais on ne peut pas oublier une pareille expérience.




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