Séverine Chapitre 6

SEVERINE
Chapitre 6
Nouvelle soumise

Week-end calme pas de coup de fil de mon maître, en quelque sorte tant mieux, j’ai besoin de me reposer de la correction reçue, mais quand j’y pense ma vulve palpite à tout va, plusieurs fois j’ai dû aller aux toilettes pour me calmer, mais c’était de la queue dont j’avais besoin.

Le lundi matin, retour au bureau, bonjour aux collègues et puis je me mets au travail dans le même bureau que Pauline mon amie.
Au cours de la matinée le foulard qui cache mon collier tombe et Pauline aperçoit le dit collier, et elle me demande où je l’ai eu, difficile de lui répondre, mais avant que j’ai pu dire un mot, Pauline a déjà la médaille en main et regarde les initiales gravées dessus. A partir de là, difficile d’échapper à une explication.
Alors je lui raconte tout, mon maître ma soumission, les parties de sexe, et au combien je ne peux plus m’en passer, mon corps appartient à mon maître et il en dispose comme il veut, quand il veut et où il veut.
Pendant le temps que je lui conte mon histoire, Pauline joue avec mon collier, à un moment elle me dit : « Attends-je veux voir un truc !!! ».
Elle s’empare d’un trombone sur le bureau et trifouille au collier, qui en un instant s’ouvre. Panique, toutes les deux nous essayons de le refermer mais impossible, Pauline me dit : « Ne t’inquiète pas ce soir j’irai avec toi chez ton maître et je lui expliquerai ».

La journée fut difficile, au fur et à mesure de l’avancement de la journée, la peur me nouait le ventre. Sorties des bureaux Pauline me prend par le bras et me dit « Viens on y va je prend sur moi »
« Mon maître ne m’a pas téléphoné alors je ne sais pas si je peux ».
« Appelle le !!! »
Je tremble tellement que je ne sais même pas composer le numéro ; Pauline me prend le téléphone des mains, et je lui donne le numéro.
-« Bonjour je suis Pauline, la collègue et amie de Séverine, et j’ai voulu jouer avec son collier et il s’est défait, nous pourrions passer vous voir maintenant pour savoir quoi faire ? ».



Après quelques instants
« Bien nous arrivons toutes les deux, et merci ».
« Allez on y va, il nous attend !!! »
5 min à pied et nous sommes arrivées au bas de l’immeuble, c’est Pauline qui sonne
« C’est Pauline et Séverine !!! »
Pas un mot mais la porte s’ouvre et nous montons.
Arrivées au palier je me déshabille avant de sonner, Pauline me regarde faire, puis la porte s’ouvre.
J’entre avant Pauline, pas un mot pour moi, juste un signe que je m’installe sur la table de la salle à manger ; où je m’assoie jambes écartées.
Je vois Pauline qui me regarde avec des yeux ronds comme des soucoupes, mais mon oncle se décide à parler.
« Alors c’est toi qui a retiré le collier de Séverine, tu as trouvé comment le retirer mais pas le remettre, c’est justement pour ça qu’il y a une astuce pour mettre le collier, mais ni l’une ni l’autre vous ne connaîtrait le comment ça reste réservé à votre maître !!!! ».
« Séverine t’a raconté le pourquoi du collier et tu as voulu voir par toi-même ? »
« Oui je voulais savoir si elle ne me racontait pas une blague, mais en la voyant maintenant…….. »
« Tu es mariée Pauline ? »
« Non célibataire !! »
« Alors un petit copain ? »
« Non plus !!! »
Alors toi tu vas devoir réparer votre bêtise, quant à ma soumise on verra la punition plus tard »
Et s’adressant à moi : « Tu descends de la table, je vois bien que tu as peur et tu as toutes les raisons d’avoir peur, tu te rhabilles on verra demain, Pauline te dira quoi faire demain ».
J’ai remis mes vêtements et je suis parti pendant que Pauline me suppliait de ne pas la laisser, et c’est en pleurs que j’ai regagné ma voiture et la maison.

J’ai très très mal dormi, le lendemain j’ai attendu avec impatience mais aussi anxiété, l’arrivée de Pauline au travail. Je suis arrivée plus tôt pour l’attendre sur le parking, mais pas de Pauline, j’ai donc gagné le bureau.
Pauline est arrivée 10 min plus tard, heureusement, aujourd’hui pas de chef de bureau, donc son retard ne s’est pas vu.

Bien sûr j’avais un paquet de questions à lui poser.
Comment ça c’était passé.
Elle avait quitté mon maître rapidement après moi ?
Etc…….

Réponses de Pauline « Je te raconterai ça à midi nous irons manger un truc ensemble, la seule chose que je peux te faire voir c’est son premier cadeau !!!! »
Sur ce elle se positionne sur le bord de sa chaise roulante et elle relève sa jupe ; et je vois que Pauline ne porte pas de culotte, et quand elle écarte ses jambes, pendent deux chaînes fixées à ses lèvres vaginales et avec au bout ce qui semble des poids .
Et elle me dit que mon oncle à trouvé que ses lèvres n’étaient pas assez longues.

Su ce elle se met au travail moi aussi mais je suis sur les charbons ardents, je veux savoir ce qui c’est passé chez mon oncle hier soir.

Midi, Pauline et moi nous nous retrouvons dans un petit resto derrière notre boulot, et en mangeant elle me raconte sa soirée.
PAULINE

quand tu es parti j’étais paralysée par la peur, j’en ai fait pipi dans ma culotte, ton oncle m’a prise par le bras et il m’a emmenée dans la salle de bain et là sans aucune réaction de ma part il m’a mise nue, et puis il m’a mise sous la douche et il m’a lavé sans que je réagisse, j’étais tétanisée, mais l’eau tiède me faisait du bien et j’ai commencé à me détendre, il m’a lavé le sexe juste avec ses mains, et j’ai commencé a être troublée, une bouffée de chaleur a envahie mon ventre, c’est à ce moment qui a pris une serviette et il m’a essuyé.
Il m’a donné un déshabillé plutôt transparent, j’ai cherché une culotte et un soutien gorge, il l’a remarqué et il m’a dit  « maintenant tu n’as plus besoin de l’un ou de l’autre sauf si c’est moi qui te dis d’en porter, à partir d’aujourd’hui rien entre moi et ta chatte !!! ».
alors il m’a pris le menton et m’a regardé dans les yeux et je me suis entendue lui dire « oui !!!!! ».
il m’a prise par la taille et il m’a entraînée vers le salon, et quand il m’a mise sur le canapé et après m’avoir écarté les jambes, sa tête a plongé entre mes cuisses et sa langue est entrée en contact avec ma chatte, j’ai su de suite que je ne pourrai plus m’en passer, sa langue râpeuse et large a fouillé ma fente, et tout mon corps le réclamait mon ventre n’avait envie que de sa queue ; et quand devant moi il a retiré son pantalon et que sa tige énorme a jaillit devant moi j’ai su immédiatement que j’en avais envie et que je ne pourrai jamais plus m’en passer, je devais la posséder la sentir au fond de mon ventre me sentir enfin défoncée, ma chatte éclatée par un pareil engin, ce que toute femme rêve, être remplie, pleine d’une bite, comblée par un sexe, élargie comme jamais, à ne plus jamais se refermer, laisser cette tige te fouiller te défoncer, faire de toi ce qu’il veux.
Et il a fait ce qu’il voulait, fouillant chaque recoin de ma vulve, pas une infime partie de mes chairs n’a échappée à sa langue. Je l’ai supplié de me prendre après mon premier orgasme, jamais un mec ne m’a fait jouir aussi vite, mon vagin devait lui dégouliner dans la bouche, mais lui s’en pourléchait, tel un petit chat buvant son lait, sa langue cherchait mon jus le plus loin possible, passant et repassant sur mon point sensible que si peu d’hommes savent trouver, trop pressés de fourrer leur queue au fond de ton ventre.
Lui prend son temps, le temps de faire reluire ta fente, de te faire sentir que tu lui appartiens.
Il aspirait tellement mon clito que j’avais l’impression d’avoir une bite comme lui et que je lui baisai la bouche, toute ma vulve était devenue ultra sensible après ce premier orgasme, et je n’ai pas vu venir le deuxième quand il a mordillé mon bouton, j’ai perdu la notion du temps comme si une vague monstrueuse déferlait en moi, tout mon corps vibrait ça partait de ma tête pour couler jusqu’à mon sexe, électrisant au passage mes seins, mes tétons tendus à mort,et puis la vague remontait en sens inverse, si c’est ça jouir, alors c’est la première que ça m’arrivait.
« tu as vu l’heure, il faut que l’on rentre au travail » .
« et après raconte!! ».
« plus tard, on y va et rien que de te raconter ça je commence à mouiller ».

Retour au bureau, comme aujourd’hui pas de chef on peut reprendre notre conversation tout en faisant semblant de travailler.
« Alors ? »
« attends je suis assise sur mes poids et ça tire sur mes lèvres »

PAULINE (suite)
pendant mon deuxième orgasme, il m’a transporté et je me suis retrouvée dos à lui face à une grande glace et je me voyais cuisses écartées son gros gland juste à l’orée de ma grotte, mes petites lèvres couvrant à demi ce gros champignon de chair. Il me tenait une jambe pour bien m’écarter il me dit « tu es à moi maintenant tu fais ce que je veux, quand je veux et où je veux, chez moi tu reste nue je te promet que du plaisir en permanence, maintenant empale toi à ton rythme ».

le gland à peine passé mon sphincter j’ai cru que je me déchirais j’avais du mal à respirer, mais petit à petit mon vagin c’est adapté, et lentement dans la glace j’ai vu ce gros mandrin entrer dans mon ventre, j’avais l’impression que mon vagin épousait chaque centimètre de son sexe, je sentais pulser chaque veine de son pénis et j’y répondais par une giclée de miel, mais j’étais tellement pleine de lui que rien ne sortait de ma chatte, son gland devait baigner dans le jus.

Quand son gland est venu en butée contre mon utérus, et que dans la glace j’ai pu voir qu’il restait encore quelques dix centimètres de queue, j’ai été comme foudroyée par un troisième orgasme et celui la n’en finissait pas, il s’est même réactivé quand il m’a soulevée pour sortir sa queue, j’ai vu mon vagin ouvert comme jamais, et je me vidais sur lui, nappant sa bite et ses couilles d’un jus gras et translucide, et sa queue trempée a replongé dans ma fente, et là je me suis déchaînée, m’empalant comme une folle sur son mandrin, en gémissant comme une salope, j’étais enchattée, craquettée, invaginée, chaque fois que son gland butait sur mon utérus c’est comme si je recevais une décharge électrique, et je suis restée foudroyée sur sa queue j’étais devenu une simple femelle en chaleur, ne cherchant qu’un mâle en rut pour bien me remplir.

Quand je suis revenue à moi, j’étais dans un lit, nue sous les draps, et complètement épuisée, moulue, comme si j’étais passée dans une machine à laver.

Je ne sais pas quelle heure il pouvait être, mais il faisait déjà sombre dans cette chambre, la porte s’est ouverte, en ombre chinoise, j’ai vu mon maître la queue entre les jambes et quelle queue, elle lui arrivait à mi cuisse.
« tu as faim ? Il est 21h00 !!!!! »
« je vais rentrer chez moi !!! »
« tu es à moi, tu es me soumise et je suis ton maître, si tu franchis la porte, tu ne pourras plus revenir, tu as saisi ?? »

« oui »
« oui qui ? Je n’ai pas bien entendu !!! »
« oui maître !!! »
« debout on va manger un morceau ensuite un petit film pour te remettre en train et au lit tous les deux !!! »
« bien Maître » lui ai-je répondu,
nus tous les deux nous avons fait un petit repas, au demeurant très bon, avec un bon verre de vin.
Et puis il m’a entraîné jusqu’au salon, il a mis un route un film de sexe, et m’a faite asseoir sur ses genoux, et bien sûr jambes écartées et il a commencé à caresser mon sexe, sentir les doigts d’un homme tripoter ma fente ça me rend dingue je m’entends gémir sur son épaule, je ne regarde même plus le film, seul compte ce qu’il me fait, n’en pouvant plus je lui demande de me prendre, et il me répond : « jouis bien sur mes doigts et tu auras ma queue tout le temps que tu voudras !!! ».
et les vannes se sont ouvertes je me suis déversé sur sa main, pendant que le film continuait, notre maître m’a emmenée vers la chambre.
Je te racontes pas le reste c’est pourquoi j’étais en retard ce matin je n’ai pratiquement pas dormi et ce matin juste avant de partir il m’a prise debout contre la porte de l’appartement jusqu’à ce que je jouisse de plaisir, puis il m’a posé les bijoux de sexe, pour allonger mes lèvres parce qu’il ne les trouve pas assez longues,
et nous avons rendez-vous ce soir chez lui en tenue,








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