Après Théatre

Cet été, j’ai emmené Chantal dans un théâtre de chansonniers à Pigalle.
En sortant je lui propose d’aller boire un verre dans un bar du quartier. Elle n’est pas très chaude vu le quartier. J’arrive à la convaincre en trouvant un bar sur le boulevard de Clichy.
Comme à chaque fois que nous allons au théâtre, Chantal ne se fait pas prier pour faire toilette. Elle porte son tailleur noir avec un chemisier bleu nuit dessous. La transparence du chemisier laisse voir qu’elle n’a pas mis de soutien gorge. Deux poches coquines cachent malgré tout la pointe de ses seins. Elle a passé des escarpins très ajourés, aux talons assez hauts qui affinent ses jambes et sa silhouette. Une paire de bas Dim’ up de couleur chair enjolivent ses longues jambes.
Depuis son aventure avec son collègue, elle qui avait une sexualité bridée par une éducation stricte et religieuse, elle hésite moins à se libérer et assouvir le moment venu ses pulsions sans trop se culpabiliser. Mais Chantal ne sait pas faire les choses à moitié et quand elle se donne, elle se donne. Elle a quand même un frein, celui d’être reconnue par un élève ou un collègue de son établissement dans lequel elle enseigne.
Nous prenons place au bar sur de hauts tabourets. Je ne dis rien mais quand elle pose ses pieds sur la barre repose pied à mi hauteur du tabouret, elle expose innocemment le haut de ses bas et une partie importante de la chair blanche de ses cuisses, juste à la lisière de sa petite culotte blanche. Tout de suite le barman, sensible à sa beauté se précipite pour prendre nos commandes. Il est très affable avec elle, négligeant voire méprisant avec moi. Chantal dans ces moments là joue le jeu car elle est sensible aux compliments quand ils émanent d’une personne agréable et polie. Comme toute bourgeoise accomplie, elle est très à cheval sur certains principes de bonne éducation.
Moi je m’abstiens bien sûr de lui faire remarquer que déjà des regards se portent sur ses cuisses en partie dénudées.

Elle s’exhibe à son insu, une situation de rêve pour moi !
Le barman lui mate dans l’échancrure de sa veste de tailleur maintenue seulement par un seul bouton au niveau de son nombril. Dire que l’échancrure est profonde est un petit mot. Mais le chemisier bleu nuit est bien sage. Sauf que l’on voit bien qu’il est transparent et que, hormis la pointe des seins, il laisse voir jusqu’à la ceinture la nudité de la peau blanche de ma petite femme. Alors, mater laisse un espoir d’en voir plus. Et le barman l’a bien compris. A un moment même, il m’adresse un sourire qui en dit long sur ses envies. Aussitôt, je suis pris d’une brutale érection. Savoir ma femme draguée ouvertement devant moi et en dépit de ma présence m’excite. Et surtout quand un type ose me narguer en me signifiant ses intentions !
Chantal ne se rend pas compte de la tension qui monte autour du comptoir. Le barman échange des regards complices avec des clients qui matent les cuisses. Il se moque carrément de ma présence.
Quand il vient nous apporter nos boissons, deux cocktails Mojitos, il se plante devant elle et la dévisage sans vergogne. Il lui adresse un large sourire et lui demande si elle veut des petites friandises. Comme elle acquiesce, il se précipite derrière son bar et revient avec des petits salés. Elle lui sourit car je reconnais qu’il est vraiment sympa. Il engage la conversation. Visiblement ma femme lui plait bien et il ne semble pas le seul. Il y a bien sûr d’autres femmes jolies dans le café, mais comme toujours Chantal dégage une impression de femme fatale qui plait aux hommes à l’affût de nouvelles conquêtes. Je reconnais que malgré elle, elle dégage une sensualité particulière, très sexy, bon chic bon genre. Ce qui ne doit pas être habituel dans ces quartiers chauds et ne laisse pas indiffèrent.
Pendant ce temps là, je remarque la ronde des clients voyeurs qui se déplacent pour venir mater, sur le bon angle, les cuisses de Chantal qui, tout à sourire au barman, ne se rend compte de rien.
J’ai du mal à cacher mon érection.
Ma femme elle est toute joyeuse de l’intérêt que lui porte le barman. Ils échangent sur le spectacle qu’on a vu et qu’il a également vu. Leurs échanges sont hachés par les aller venues du barman qui assure son service. Soudain je remarque que la veste du tailleur est ouverte. L’unique bouton est défait et là encore Chantal ne s’en est pas rendue compte ou bien alors c’est voulu ! Ma bite me fait mal dans mon pantalon.
Quand notre verre est vide, le barman nous propose de nous offrir un second Mojito. Je m’empresse d’accepter alors que Chantal refuse poliment prétextant qu’elle ne supporte pas trop l’alcool. Je vois les yeux du type s’éclairer et ses pensées lubriques sont claires « bourrer la femelle pour en r ». Il insiste, dit qu’il mettra moins d’alcool dedans, qu’il va lui préparer spécialement pour elle … que du baratin que Chantal gobe sans réagir. D’autorité il va les préparer. Il revient quelques minutes après avec ses deux verres. Je n’ai pas besoin de vérifier mais je suis sûr qu’il est bien plus « musclé » que le premier.
Chantal continue de répondre à cette drague effrontée. Je m’attends à ce qu’il lui demande son numéro de téléphone ! D’ailleurs cette éventualité me donne une idée. Je vais tester la fidélité de ma femme. Je descends de mon tabouret et lui dit que je vais aux WC.
Les toilettes sont au fond de la salle, au sous sol. Il est facile de se cacher et observer le bar. Alors je m’installe sur une banquette hors de vue de Chantal et du barman, mais pas des voyeurs comme je m’en rends rapidement compte. Ils me regardent interrogatifs.
Je suis assis depuis une minute que je vois Chantal, jeter un regard furtif et bref au fond de la salle puis de se pencher sur le bar pour parler au barman qui a pris un stylo et que je vois écrire rapidement. Sa fidélité pour moi est mal engagée !
Je ne peux pas rester absent bien longtemps. Je retourne au bar. J’ai une autre idée. Il est maintenant très tard.
Chantal ne dit rien son complice non plus.
Je lui dis qu’il faut rentrer mais comme la voiture est garée assez loin et que le quartier n’est pas sûr, je lui propose de rester ici à m’attendre pendant que je vais la chercher. Je suis surpris qu’elle accepte assez facilement en me recommandant de faire vite. Bien sûr, c’est un faux départ et discrètement je regagne ma place d’observation. Le café est toujours rempli de consommateurs … et de voyeurs.
Je suis à peine assis à mon poste que je vois le barman servir un troisième Mojito à Chantal que je trouve déjà bien gaie. Elle ne le refuse pas et trinque même avec lui. Nous sommes à Pigalle, univers du sexe et des perversions.
C’est à ce moment qu’un type, que j’ai déjà vu tourner autour de nous, vient carrément s’asseoir sur le tabouret laissé vacant par mon départ. Le type, un arabe d’une cinquantaine d’année est tout souriant et sans attendre pose sa main sur une cuisse dénudée de Chantal. Il est bien habillé, fort et semble bien élevé. Horreur, elle ne réagit pas et laisse la main la toucher. Je la vois de profil d’où je suis et je la vois rire aux deux hommes qui la draguent ostensiblement. L’arabe est très entreprenant car je vois sa main remonter le long de la cuisse et découvrir un peu plus de chair blanche. Autour, des mouvements de voyeurs se précisent. Je suis comme fou. Des inconnus sont en train d’exhiber ma femme à son insu. Et elle a l’air d’aimer cela car elle laisse faire sans réagir. Mais se rend-elle encore compte ? Je la vois boire son verre et rire un peu bêtement aux blagues de son voisin. Le barman a l’air de le connaître car il reste assez passif à ce moment là. Je laisse aller en me réservant le moment à intervenir si cela va trop loin. Trop loin ? Je dois avouer qu’à ce moment là je souhaite que cela continue tellement je suis excité.
Soudain tout va très vite, l’arabe a remonté haut la jupe découvrant la petite culotte de Chantal. Elle tente bien de la remettre en place mais la main est volontaire.
Elle finit par laisser faire. Je suis au bord de jouir sur moi de la savoir là, si vulnérable, dans les mains d’un voire deux obsédés sexuels. Le barman a passé ses bras au dessus du bar et défait deux voire trois boutons du chemisier et écarte les pans largement découvrant les seins nus qui apparaissent en pleine lumière dans cette salle bondée de monde. Et Chantal qui ne réagit toujours pas. Il ne se gêne pas pour lui caresser les seins devant son inertie à réagir. Je suis maintenant certain qu’elle est bien partie. Son voisin de tabouret a glissé sa main sous la jupe déjà bien relevée, au dessus de la culotte. Je ne le vois pas mais je devine qu’elle a glissé dedans et qu’elle caresse la chatte offerte. Je vois par contre Chantal se contorsionner sur son tabouret. Le type doit se souvenir des voyeurs alentours car il tire sur le tissu de la jupe pour dénuder les fesses qui n’ont plus que le mince rempart du slip. Alors le mec fait tourner le tabouret pour que Chantal soit face à lui. Il lui prend les cuisses, remonte sous la jupe et d’où je suis je peux même voir qu’il lui enlève sa culotte ! Et Chantal qui rit mais se laisse faire. Une fois ôtée, le gars la montre alentours, l’exhibant comme un trophée. J’entends des applaudissements. Les clients du bar doivent penser qu’il s’agit d’un spectacle de strip-tease. Tout le monde mate maintenant et assiste à l’effeuillage de ma douce. Nous sommes à Pigalle !
Le type a relevé la jupe et maintenant les fesses reposent à même le fauteuil. Et Chantal qui rit toujours. On lui apporte un autre verre offert en triomphe pas toute la salle.
On fait pivoter le tabouret et on écarte la veste puis le chemisier complètement défait de la jupe et ouvert pour exhiber ses seins. L’arabe glisse une main entre les cuisses pour les faire s’ouvrir et introduit un doigt dans la chatte exposée. La salle l’encourage. Il ressort son doigt et le montre recouvert de mouille. Chantal jouit. Le barman passe ses bras au dessus du bar attire Chantal vers lui et la fait basculer en arrière. Ses cuisses se lèvent naturellement exposant son intimité. L’arable lui soulève les jambes pour la découvrir jusqu’aux fesses qu’il écarte pour exhiber son petit trou. Pendant ce temps là, le barman ne se contente plus de mater, il pelote les seins de ma chérie qui ne rit plus mais d’où je suis, j’entends ses gémissements de plaisir. Il lui prends la bouche et lui roule un baiser de feu. Devant l’arabe a abandonné la vulve et il est en train de lui doigter le petit trou. Chantal remue son bassin en proie à une jouissance fulgurante. Elle a orgasme inouï, fort, violent comme je n’en ai jamais vu auparavant chez elle.
Épuisée elle retombe dans les bras de l’arabe qui a son tour lui vole un baiser. Je la vois se rhabiller sous les applaudissements des voyeurs, spectacle irréel, incroyable. Ma femme s’est laissée exhiber, peloter, branler devant une salle de bar remplie au beau milieu de Pigalle.
Je la rejoins et nous partons. Je sens les regards sur moi, regards humiliants sur un mari cocu mais heureux.
A

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