Le Marin

Voyage en train

Dans l’année 67 j’étais rentré dans la marine et régulièrement je prends le train de nuit à 21 heures à Toulon pour l’arrivée à Paris vers 8 heures du matin.
Quand je cherche un compartiment, mon regard est attiré par une jeune fille fort jolie seule dans un compartiment.
Dans ces années-là, nous étions obligé de rester en tenue.
J’étais très satisfait de cette obligation car rapidement je me suis aperçu du regard que les jeunes filles et même les dames avaient lorsqu’elle voyait mon pompon.
J’étais avec un copain qui devait descendre à Avignon. Alors qu’il y avait sept places libres, je me suis assis à côté d’elle.
J’avais horreur d’être assis dans le sens opposé à la marche du train. Pour une fois, je déroge et je ne l’ai pas regretté. Mon copain était assis face à moi et tous trois, nous avons engagé la conversation.
Elle arrivait d’Hyères où elle avait passé trois mois en maison de repos.
Les légères traces brunes sur ces poignets qu’elle tentait de cacher m’orientaient vers la bêtise qu’elle avait dû commettre.
À Marseille le compartiment s’est rempli avec quatre personnes qui semblent être ensemble.
La nuit est tombé rapidement et tous se sont mis à dormir.
J’ai l’habitude de ces voyages en train car je regagne Paris trois semaines sur quatre. Le tarif de nos voyages est facilité par le quart de place qui nous est appliquée.
J’ai pris ma position habituelle la tête appuyée sur le côté du compartiment.
Je somnole lorsque je m’aperçois que Marie ne sait pas comment s’appuyer car le repose-tête est trop haut pour elle.
Je propose qu’elle s’appuie sur mon épaule, ce qu’elle accepte.
Je tiens comme cela plus d’une demi-heure mais le poids de sa tête finit par me couper la circulation .
Je mesure 1,83 mètre et elle semble nettement plus petite car lorsque je lui parle, elle remonte ses yeux d’un bleu profond vers moi.
Elle a pris mon bachi sur la tête nom du bonnet des marins, ce qui relève sa beauté.


Je lui demande si je peux passer mon bras autour de ses épaules, ce qu’elle accepte.
Rapidement un nouveau problème se pose, où mettre mon bras ?
Un temps, j’att le repose-tête mais un bras en l’air n’est pas meilleur pour la circulation et rapidement l’acide dans mes muscles m’oblige à le faire redescendre.
La seule place disponible est de la rabatte vers le corps de Marie.
Chaque fois que je baisse la tête, elle me regarde ne dormant pas.
Je lui murmure si je peux le poser ce qu’elle accepte.
Je suis juste sur son sein qu’elle ne me refuse pas. Elle porte un petit débardeur sur un pantalon. La position assise qu’elle n’a pas quittée depuis notre entré m’a caché la grosseur de sa poitrine. Son sein que je tiens dans la paume de ma main est libre de toute entrave.
Sans bouger au départ, ma main m’a semblé devenir autonome et se mettre à la caresser sans que mon cerveau commande.
Un dernier regard et je cueille ses lèvres qui s’ouvrent sur ma sollicitation.
Elles sont douces, elles sont chaudes et sa langue qu’elle darde rapidement fait de l’effet du côté de mon bas-ventre.
Je bande.
La semaine qui précédait, je m’étais mis à dos un gradé de mon bateau et je n’avais pas pu rejoindre ma copine parisienne.
Quinze jours sans baiser à mon âge, c’était un exploit et le sein de Marie qui bat au bout de mes doigts n’ait pas fait pour me calmer.
La lumière du couloir qui passe le long des rideaux me permet de voir le regard de mon copain qui semble regretté de ne pas avoir pris la bonne place. Il est fasciné sur l’évolution qu’il voit entre la petite et moi.
Dans la marine, je ne sais pas, qui a dessiné nos tenues mais j’ai l’impression qu’ils ont prévu ma rencontre avec Marie. Nous avons des pantalons dits à pont. Deux boutons, un panneau qui se rabat vers le bas. Ce qui, sur chaque côté, laisse un passage pour la main.
Marie rapidement a glissé sa main mais mon slip peu pratique dans ces années-là, lui barre le passage.

Je m’excuse, je la relève et part cinq minutes aux toilettes ou je l’enlève.
J’ouvre la porte, elle sort à son tour et dans le couloir m’embrasse tendrement avant elle aussi de se diriger vers les petits coins.
Nous entrons ensemble et reprenons nos places et notre position.
De nouveau je l’embrasse et ma main descend le long de son corps pour arriver sur son pantalon.
Le mouvement que nous avons provoqué en sortant à réveiller une des dames qui semble assise près de son mari et qui envie mon amie à la manière dont elle se passe sa langue sur ses lèvres.
Est-ce qu’elle voit lui rappellent de bons moments de sa jeunesse avec l’homme qui dort à son côté et oublie de s’occuper d’elle ?
Le Jeans qu’elle porte est assez serré mais elle rentre le ventre pour que ma main se glisse à l’intérieur. Comme moi, elle a enlevé sa petite culotte et sa chatte bien poilue se retrouve sous mes doigts.
J’ai du mal à glisser mes doigts dans sa fente mais le peu qui pénètre me montre qu’elle mouille énormément.
De mon côté, la visite aux toilettes m’a permis de faire descendre ma tension mais la main que glisse Marie directement sue mon sexe me fait remonter la tige.
Mon cerveau bouillonne, je cherche ou aller pour prendre cette jolie fleur qui n’a pas l’air de se refuser.
Je pense aux toilettes lorsque je vois les personnes autour de moi bouger.
Mon copain est dans le mouvement et la lumière d’une entrée en gare avec l’appel sonore pour ne pas s’approcher du quai se fait entendre.
Nous arrivons à Avignon. Les quatre personnes montées à Marseille semblent elle aussi se préparer à descendre.
Nous allons nous retrouver seules avec Marie.
Je me lève et dans mon sac à dos, je prends l’objet obligatoire pour un marin qui veut dormir tranquille dans un train.
Mon copain a vu mon geste et sort le dernier du compartiment en me glissant à l’oreille « Allé Christian, fait briller l’honneur de la marine ».

Je le remercie et j’ai quelques secondes pour passer le « boute » que j’ai sorti de mon sac autour du système d’ouverture de la porte.
« Boute », car dans la marine l’autre mot connu est proscrit.
Marie m’aide à le placer donnant implicitement son accord à ce qui va se passer par la suite.
Les personnes sont descendues et d’autres montent.
Plusieurs fois la porte est tirée mais j’ai appris à faire des nœuds et c’est la seule fois où je m’en sers dans mes cinq ans d’engagement surtout après avoir fait l’école des mécaniciens de la flotte de Saint-Mandrier-sur-mer près de Toulon et que je m’en sors mieux avec des moteurs diesel Pielstick 12 000 chevaux, des chaudières avec leurs turbines à vapeur ou les systèmes de désalinisation de l’eau.
Le seul nœud que je me souvienne, c’est autour d’une bitte d’amarrage, faites un tour mort et deux demi-clefs, le bateau n’a jamais largué.
Dès que le train repart, le compartiment est à nous et à part Lyon, ou peu de monde monte vu l’heure de la nuit où nous passons, nous sommes tranquilles jusqu’au terminus.
Nous sommes tellement contents de nous retrouver seul que je prends mon temps ne voulant pas laisser Marie sur une mauvaise impression que sont les gars de la marine.
Elle s’attaque tout de même directement au pont de mon pantalon.
Pressé la petite, je ne sais pas depuis quand sa petite minette n’a pas été honoré, si même, elle l’a déjà été.
J’enlève son débardeur et sans lâcher sa bouche, je défais le bouton de son Jeans que je n’ai aucun mal à descendre.
J’aime la manière dont elle se tortille pour l’enlever de ses pieds sans y mettre les mains.
Elle tend son ventre en avant afin que je plonge mes doigts comme je l’ai fait avant le départ des autres voyageurs dans son vagin. Tel n’est pas mon but, je la fais asseoir sur la banquette et m’agenouille. Je n’ai pas le temps de lui écarter les cuisses car elle devance mon envie et je peux avancer ma bouche sur sa petite excroissance en haut de ses lèvres vaginales.

Marie est très sensuelle et mes lèvres qui vont et qui viennent toutes au long de sa fente qu’elle écarte avec ses deux mains, lui amènent rapidement, quelques notes aux lèvres.
J’arrive à lui saisir un sein que je caresse au début et que je sers à lui en faire mal lorsque je lui aspire son clitoris que je mordille et qu’elle chante encore plus fort. Elle semble aimer les jeux hards pourquoi je l’en priverai.
Le traitement que je lui inflige démarre en elle un orgasme que je sens venir dû tréfond de son bas-ventre.
J’avais entendu par une amie de ma mère que ce qu’il m’arrive existait car en même temps que son orgasme, elle m’envoie au visage trois beaux jets de cyprine fabriquée par ses glandes intimes.
Je loupe le premier qui part sur mon visage. Les deux suivants entrent dans ma bouche nullement écœuré par ce qui vient de son corps. Mon amie est une femme fontaine.
La position lui casse le dos et elle souhaite se remettre debout. Dès qu’elle y arrive, mon pantalon déjà ouvert lui permet d’avoir ma queue à la hauteur de ses yeux lorsqu’elle s’agenouille me permettant de voir par sa position écartée sa chatte comme une moule que l’on vient d’ouvrir.
Rapidement sa bouche va et viens le long de ma tige aussi bien que l’amie de ma mère avec des années d’expérience en plus. Ne mélangeons pas les histoires, un jour prochain, j’écrirai cette aventure avec cette cougar.
À droite à gauche sur mon gland ses lèvres sont partout et mon vit est tendu au maximum.
Je lui prends la tête à deux mains et lorsqu’elle rentre mon sexe au fond de sa gorge, je la coince mais je sens qu’elle n’a pas encore la dextérité de me faire une gorge profonde. Je relâche la pression au moment où elle manque de s’.
Elle a dû comprendre ce que j’attendais car elle écarte ses mâchoires au maximum pour réussir le coup suivant à tout faire entrer jusqu’à la hauteur de mes couilles.
Je sens que c’est le moment et qu’il ne faut plus que j’attende pour la prendre.
Comment faire, la largeur des banquettes ne permet pas de la coucher les jambes écartées pour me placer dans sa fourche ?
C’est moi qui m’assoie sur la pointe de la banquette et la fait mettre de chaque côté de mes jambes face à moi, je dirige ma verge qui pénètre sans problème au fond de sa grotte.
La facilité où je la pénètre me montre qu’elle a déjà connu la bite d’un autre homme voire d’autres hommes mais je me fiche royalement du nombre de pénétration qu’elle a reçu le principal, c’est que moi, je sois dans sa mémoire tout au long de sa vie.
Je pense après de nombreuses années qu’une femme que j’ai honorée et qui a eu de nombreux orgasmes ne peut pas vous oublier.
Pour ma part, lorsque je regarde derrière moi, je peux vous raconter toutes les fois ou j’ai honoré une femme et toutes les fois où nous avons été en symbiose.
Chaque fois que ses fesses touchent mes jambes, je sens qu’elles sont arrosées par une belle giclée. Chaque fois que ses fesses touchent mes jambes, elle jouit.
Une grande partie part au sol. Demain si le train repart sans nettoyage les voyageurs en regardant parterre, pourront se poser des questions sur les petites coulures qu’ils verront.
Elle prend un bon rythme à monter et descendre sur ma hampe.
Je sens chaque fois qu’elle descend mon gland toucher le fond de son vagin et venir caresser son utérus. Je sens rapidement le plaisir monter en moi. Je ne veux pas arroser son intérieur trop tôt n’ayant pas exploré toutes les facettes du corps de la jeune femme. Elle n’a pas les mêmes scrupules et plusieurs fois de suite, elle jouit et viens s’accrocher à mon cou ayant de plus en plus de mal à se propulser sur le haut de ma tige.
Je la prends dans mes bras et je la sors de mon axe pour qu’elle se positionne sur la banquette en levrette.
Elle doit apprécier la position qui soulage la fatigue de ses jambes.
Lorsque je me présente pour continuer à la satisfaire, elle écarte ses jambes posées sur la banquette et creuse ses reins pour souligner les formes de sa croupe.
Je sens que si je plonge directement dans son sexe, je ne tiendrais pas deux minutes aux chauds dans l’antre de cette femme. J’approche ma bouche une nouvelle fois de son intimité et surtout de ce clitoris chéri car preste à s’enflammer. Je promène ma langue qui, lorsqu’elle trouve un petit cratère, le remplit car tout ce qui est creux est fait pour être comblé. Mieux, je force un peu et ma langue entre comme si elle était une petite bite.
Marie semble apprécier cette belle feuille de rose. Sa rosette sait aussi se resserrer et emprisonner ma langue une fraction de seconde.
Le peu de lueur ne me permet pas de voir ses petits muscles travailler mais de bien les sentir.
Mes doigts ne restent pas inactifs et c’est avec trois doigts dans la chatte qu’elle a un nouveau spasme de plaisir.
Elle me traite de fou de lui faire autant de bien mais redemande que ma verge vienne en elle.
Je ne l’en prive pas et mon sexe glisse une nouvelle fois en elle.
Nous prenons une dernière fois notre plaisir au même moment avant de nous effondrer dans une position que je ne saurai décrire.

Les freins qui crissent nous réveil. Nous sommes persuadé d’être arrivé à Lyon et le bruit dans le couloir attire mon attention. Je lève le rideau de la fenêtre et je reconnais les bâtiments de la gare de Lyon.
Nos corps se sont tellement donné que, lorsque nous nous sommes endormi, nous n’avons pas vu le temps passer.
Nos nuques et nos dos nous rappellent que dormir, replier l’un sur l’autre, entraîne obligatoirement des réveils douloureux.
Rapidement nous nous habillons. Marie ressort sa petite culotte que je lui demande de m’offrir en souvenir de cette nuit de rêve.
En compensation, elle souhaite garder mon bachi.
Je ne peux lui refuser après qu’elle met faite passé la meilleure nuit de ma jeune vie.
Je sais ce que je risque de me promener sans ma coiffe surtout lundi matin en rentrant à l’arsenal de Toulon. Je suis prêt à assumer.
Un dernier baisé et je l’aide à descendre sa valise. Elle marche devant moi sans que l’on se regarde car nous savons tous les deux que nous ne nous reverrons pas.
Dans nos ébats, elle m’a avoué qu’elle était fiancé et qu’il serait sur le quai à l’attendre.
Je la vois arrivée près d’un garçon de mon âge. Je fais 1m83 pour 70 kilos et lui doit faire 1m70 pour 83 kilos.
Elle l’embrasse rapidement et je les voie s’éloigner.
J’ai l’habitude de prendre un café au café face à la gare. Je suis assis au bar lorsque je voie le couple entré.
Quasimodo et Esméralda. J’ai envie de m’approcher pour lui demander de mettre sa main dans la culotte de la petite et sentir la quantité de spermes que j’y ai déposée toute la nuit.
Chaque fois qu’elle le peut, elle me regarde et son regard se trouble. Afin de voir sa réaction, je paye et je sors lentement lui donnant une chance de me rejoindre.
Elle ne le fera pas et c’est ainsi que nous nous quittons.
Dans le métro qui m’emmène vers chez mes parents, je sors sa culotte que je respire retrouvant l’odeur captivante de celle qui m’a comblé.
Mesdames, si, en 1967, vous étiez dans ce train. Que dans un coin de votre maison, vous gardez le bachi que je vous ai offert sachez qu’à l’aube de ma vie, je pense encore à vous et j’espère que vous avez eu la même chance dans votre parcours que celle que j’ai eu dans ce train de vous rencontrer.























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