Le Mariage

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Cette histoire m’est arrivée il y a quelques années. Je m’appelle Nathalie, j’avais 28 ans à l’époque. Je suis brune, et pas trop mal foutue. Pas dans le genre top model de 1,80m, mais plutôt du style brindille . Je mesure 1,55m et je pèse 46 kg, avec des formes féminines, des seins ronds et fermes pas énormes (85c) mais en rapport avec le reste, une postérieur et des abdos qui sont corrects grâce à un travail intense à la salle de sport. Je vis en couple, depuis six ans avec Pierre, mon ainé de deux ans, 1m75 de tendresse, et de muscles, des cheveux chatain coupés court et des yeux verts irrésistibles.
Pierre avait reçu une invitation pour le mariage d’un de ses clients avec lequel il avait sympathisé. Ce n’était pas une obligation, bien sûr, mais Pierre me fit comprendre qu’être présent serait un plus pour lui. Comme le mariage se déroulait sur la côte d’Azur, nous avions décidé de rester quelques jours pour profiter de la Riviera.
Nous venons de débarquer, et Après avoir récupéré une voiture de location. Nous nous rendons, plan en main chez les parents du marié, chez qui est prévu l’apéritif. Pierre est en costume clair, chemise bleu ciel et cravatte beige. De mon côté, j’ai mis une petite robe de cocktail moulante, très courte, ornée de broderies et de perles, dissimulée sous mon manteau Desigual mi-long, bien utile car le temps en ce début de printemps est encore frais à Paris. A Nice, par contre, c’est grand beau, et j’ai pu ranger le manteau dans le coffre avec notre valise. J’ai prévu, une robe longue pour la soirée, un long fourreau blanc, fendu d’un côté, qui fait ressortir mon hâle obtenu à grands renforts d’UV.
Nous arrivons à la maison indiquée, à flanc de colline, dans un quartier, plutôt sympa où les batisses sont disséminées dans une pinède, qui les masque à la vue. La rue et les trottoirs sont encombrés par des véhicules. Nous sonnons, La porte s’ouvre.

C’est la mère du marié qui vient nous ouvrir ; une femme assez ronde, très maquillée, qui nous reçoit avec un grand sourire. Pierre sort son invitation, et se présente.
« Oui, oui, oui, oui ! » s’exclame la dame « Pierre, Gérard m’a beaucoup parlé de vous. Il dit que vous êtes un homme précieux. Et vous devez être Nathalie » dit elle en se tournant vers moi. Elle a l’air de connaître par cœur ses invités. Pour ma part j’ai rencontré ledit Gérard à quatre ou cinq reprises. Je vois mon homme se rengorger sous le compliment, pendant que je confirme mon identité, s’il en était besoin.
« Allez, allez vous amuser ! ça se passe autour de la piscine. Suivez le couloir à droite, en haut des marches. Moi, je reste ici pour l’accueil. »
Au bout du couloir, nous franchissons une baie ouverte. L’espace autour du bassin qui doit faire une douzaine de mêtres de long est assez vaste, avec des tables et des chaises, tout autour. Il y a plus d’une cinquantaine de personnes, et l’ambiance est assez bruyantes. Pierre m’entraine à sa suite, saluant quelques connaissances, au passage, jusqu’à ce qu’il repère les mariés. Gérard, nous fait la bise et nous présente Sylvia, sa femme épousée le matin même à la mairie. Il nous souhaite la bienvenue. Je lui demande, où se trouve notre hôtel. Il me donne une carte avec l’adresse. J’explique à Sylvia que nous souhaitons passer à l’hôtel avant la soirée pour nous rafraichir, et , pour moi, me changer, car il m’était difficile de prendre l’avion, en robe de soirée. Elle me répond que ce ne sera pas très pratique, car l’hôtel réservé pour nous est à Nice, à près de 45mn de route, et le restaurant pour la soirée, à 30mn, mais dans le sens opposé. Il faudrait donc partir immédiatement, ce qui est impossible. Mais elle ajoute que je peux me changer dans une des chambres d’amis de la maison, et même y prendre une douche. Rassurée, je déguste mon premier verre de champagne. Les invités continuent à arriver. Le champagne et les alcools coulent à flot.
Quelques uns, sont mêmes allés se mettre en maillot pour piquer un tête. La musique est agréable et les invités se dandinent en rythme au bord et dans la piscine. Je remarque que quelques jeunes femmes, sans complexe se sont passées du haut de maillot, et leurs poitrines se balancent au rythme de la musique. Pierre, très à l’aise, passe d’un groupe à l’autre, me présentant à ses relations d’affaires. Les hommes sont tous en costumes deux ou trois pièces, et les femmes en robes de couturiers ont sorti leurs plus beaux bijoux, enfin, sauf celles qui s’ébattent dans la piscine. La mère du marié nous a rejoint, preuve que nous sommes au complet. Je me rapproche d’elle alors qu’elle est en conversation avec la mariée.
Comme ça fait plus de deux heures que nous sommes là, à presque vingt heures, je me dis qu’il va falloir me préparer car nous pouvons lever le camp pour le restaurant, dans les prochaines minutes.
Sylvia me remet aux mains de sa belle-mère qui m’attend à la porte pendant que je récupère l’étui contenant ma robe de soirée dans la voiture. Puis la brave dame, me précède dans la partie nuit, à l’opposé de la piscine, et ouvre un première chambre. Le lit est encombré de vêtements.
« Ah, j’oubliais, ils se sont changés ici, pour se baigner. » explique t’elle. Elle repart dans le couloir et, au fond à droite ouvre la porte d’une autre chambre.
« Dans celle-ci, il n’y a personne. » me dit elle en me précédant à l’intérieur. « Vous pourrez même vous rafraichir » ajoute t’elle en ouvrant la porte d’une salle d’eau équipée d’une grande douche à l’italienne. Elle s’assure qu’il y ait bien des serviettes de toilette, et me laisse
« Faites comme chez vous » me dit elle avant de refermer la porte.
Aussitôt seule, je sors ma robe de sa housse et l’étale sur le lit. Heureusement, j’ai mis un string blanc sous ma robe de cocktail, car toute autre couleur se serait vue sous le fourreau blanc. Je me dis que j’ai un peu de temps pour passer sous la douche.
Je retire ma robe de cocktail, que j’accroche au cintre de ma housse.
La porte s’ouvre à la volée, et un homme entre brusquement, bousculé par un deuxième, tous deux rigolant. Ils s’arrêtent en me voyant. J’ai aussitôt croisé mes mains sur ma poitrine nue. Le premier est un grand brun costaud qui sourit en me voyant. Le deuxième , je le connais de vue. C’est le frère du marié, un gars de 25 ans environ, très brun, un peu moins grand que son pote.
« Excuse nous » dit ce dernier « on s’est trompé de chambre. »
Mais il ne fait pas mine de s’en aller.Je me dis que j’aurais du m’en douter. Quelle gourde ! avec tous ces gens dans la piscine, c’était sur qu’il y aurait des allées et venues. Car les deux hommes sont en maillot de bain.
Le frère du marié se rapproche.
« Je te connais. Tu es la femme de Pierre ? » demande t’il
Je réponds que Oui
« Ne t’inquiètes pas » dit il « on cherchait des copines qui étaient avec nous à la piscine. Tu ne les a pas vues ? »
« Non, je suis seule »
Il vient s’asseoir au bord du lit.
« Tu es vraiment très jolie. Tu n’as pas à te cacher. D’ailleurs nous ne sommes pas plus habillés que toi. »
Effectivement, je baisse les yeux sur son maillot qui est déjà bien distendu par son érection.
« Maintenant qu’on est là, laisse nous voir tes seins » demande t »il
Je fais non de la tête
« Tu vois bien l’effet que tu me fais. » ajoute t’il
Il att mes mains et les décolle de mes épaules, les écartant pour avoir une vue de ma poitrine. Je suis tétanisée. Je ne m’attendais pas à une telle situation. Certes les arrivants sont plutôt bien faits, mais je ne suis pas prête à me faire sauter à la va-vite juste pour éponger ces deux lourdauds.
« Je veux bien vous laisser voir mes seins, mais nous devons partir pour le restaurant, et nous n’avons que peu de temps. »
« Ne t’inquiete pas pour ça, il y a encore plein de monde à la piscine. On a du temps. »
Je laisse retomber mes bras, dévoilant mes seins en poire.

« Ils sont très beaux » commente t’il et je sens sa main s’emparer d’un de mes seins, puis de l’autre. De son autre main, il dégage son sexe tendu du slip et se masturbe en me palpant les seins, et en pinçant leur bout.
J’aurais dû me douter, que cela ne suffirait pas. Décidée à en finir rapidement, j’empoigne sa queue et commence à la masturber rapidement. Il faut dire qu’elle prend des proportions assez inhabituelles, et j’arrive, à peine à en faire le tour avec ma main.
Le frère du marié, car c’est de lui qu’il s’agit, penche la tête et vient embrasser mes seins. Il les malaxe tout en suçant mes tétons qui ne sont pas insensibles à la caresse et se dressent fièrement . Son copain s’est agenouillé au bord du lit, et palpa mes jambes, suit mes cuisses pour arriver à mon string. Il masse mon minou au travers du tissu, qui s’humidifie rapidement tandis que je sens une douce chaleur s’imposer entre mes jambes. Je sens des doigts longer mes hanches et crocher l’élastique du string, qui descend inexorablement vers mes pieds. Après m’avoir délestée de ce dernier rempart, le gars écarte mes jambes, et vient coller sa bouche sur ma vulve qu’il entreprend de lécher, en écartant mes grandes lèvres.
La queue dans ma main est devenue énorme, et je n’en ai jamais connue de si grosse elle est longue, de plus de 20cm, et large comme un poignet.Le frère du marié me pousse en arrière, m’allongeant sur le dos, et vient s’étendre , à mes côtés, son braquemart tourné vers moi. J’ai maintenant trop accepté pour pouvoir reculer. Je prends donc l’objet en bouche, ouvrant les machoires au maximum, mais il n’est pas question de l’engloutir en entier. Je suce son gland turgescent, en agaçant le frein de ma langue. Il balance le bassin en avant, investissant ma bouche mais sa bite monstrueuse vien se bloquer au fond de ma gorge avant que j’en aie absorbé la moitié., manquant de m’.Je dois me contenter de lécher cette hampe sur sa longueur avant d’aller gober les testicules, elles aussi volumineuses.
Pendant que je m’applique à satisfaire le frère du marié, l’autre a investi mon intimité, pointant sa langue partout, de ma cavité à mon anus, aspirant puissamment mon clito qui est maintenant largement sorti de son antre, ses doigts inquisiteurs envahissant ma chatte et mon petit trou du cul
« Elle aime ça, la salope ! » dit le frère du marié.
L’autre se coule contre moi et m’enfonce sa bite d’un trait, puis il commence à s’agiter en moi à grands coups de reins, ses deux mains malaxant mes seins. Je sens le plaisir monter en moi, mais il se retire d’un coup et lache plusieurs salves de sperme sur mon ventre.
« Tu as l’air d’aimer la bite. Je vais t’en donner, moi ! » dit le frère du marié qui a balancé son slip, libérant un pénis énorme, plus long et surtout, bien plus épais que celui de Pierre.
Il présente son gland violacé devant ma chatte et l’y enfonce d’une poussée. Mon conduit, lubrifié par le sperme de son copain et mes sécrétions, ne lui oppose aucune résistance. Je sens ma matrice interne distendue, au fur et à mesure qu’il m’envahit. Son mandrin énorme, vient taper au fond de mon vagin, et je ressens une douleur sourde, mais il n’en a cure, et revient plusieurs fois à la charge, par à-coup rapide, jusqu’à ce que ses couilles tapent sur mon cul, à toute vitesse, en une percussion obscène. Je couine sous lui sans pouvoir m’arrêter. C’est la première fois que je me fais défoncer à ce point. Tous mes recepteurs érogènes sont au rouge, et je relève bien mes genoux écartés pour laisser cette chignolle me forer. Après la douleur des premiers instants, je prends un pied phénoménal
Mon cavalier, commence à emettre des son rauques, et sa verge grossit encore en moi, signe de sa prochaine jouissance. Moi, j’ai déjà, joui, plusieurs fois. Il se retire d’un coup, et envoie plusieurs giclées de semence sur mon ventre et mes seins, en se relevant. L’autre me libère. Ils remettent leurs maillot de bain et s’apprètent à quitter la chambre. Le frère du marié me dit en ricanant
« Tu nous as bien vidé les couilles. Tu devrais te laver, Salope. »
Je me retrouve seule sur le lit, , à poil dans un endroit inconnu, , souillée et le pire de tout, j’avais été trahie par mon corps et j’y avais pris du plaisir. La vérité m’apparut, moi qui pensais ne pas pouvoir prendre mon pied avec quelqu’un d’autre que Pierre, je me rendais compte que c’était des histoires que je me racontais. En vérité, si je voulais être honnête, j’avais profité de ce moment comme une salope que j’étais. A ce moment, je me rends compte qu’ils n’avaient pas de préservatifs.
Je me précipite dans la douche. Sous le jet apaisant, je me calme peu à peu. J’essaie de me débarrasser au maximum de leur semence, en ouvrant ma vulve, et en y orientant le jet d’eau poussé au maximum. Le gel douche parfumé me fait un bien fou. Je prends garde à ne pas détruire ma coiffure, préparée spécialement pour ce jour. C’est juste un balayage savant de mes mêches blondes, mais je ne suis pas sure de pouvoir le refaire seule.
Je sors de la douche et m’enroule dans un drap de bain. J’ouvre la porte, et je pousse un cri de surprise. Ils sont revenus. En tout cas, le frère du marié, avec un gars que je ne connais pas
« Tu as eu l’air d’aimer ça, et mon copain Fred, est célibataire en ce moment. »
Il s’approche et m’arrache la serviette de bain, me laissant nue devant eux
Après tout, je n’ai pas vraiment le choix et le type n’est pas si mal foutu.
Il commence à dégrafer son pantalon
« Tu vas lui faire une jolie pipe, ma belle. Ça lui fera un bon souvenir de ce mariage. »
Zut, moi qui n’aime pas sucer, tous les mecs semblent n’apprécier que ça !
« Pendant ce temps, je vais vous filmer pour qu’il aie un joli souvenir à mater. »
Là je ne suis pas d’accord. Je n’ai pas envie de me retrouver en vedette sur internet.
« Euh, les gars, je n’ai rien contre une petite gaterie, mais pas si je suis filmée. Je ne tiens pas à ce que tout le monde me mate sur internet. »
« Oh, mais rassure toi, c’est juste une garantie, au cas où tu sois tenté de nous faire des ennuis ensuite. » dit le frère du marié qui s’appelle Franck.
« Ecoute, lui dis-je, je n’ai pas l’intention de parler de ce qui se passe ici à qui que ce soit.Je n’ai pas envie que mon fiancé ou quelqu’un que je connais apprenne ce que j’ai fait ici avec vous. »
« Je te crois » me dit Franck « mais je ne te connais pas et j’ignore si je peux te faire confiance. Ce n’est qu’une garantie, et je te promets que personne ne verra cette vidéo si tu ne le souhaites pas. »
Evidemment, ce n’est pas comme si nous discutions dans un café. Je suis nue, devant deux hommes, dont l’un a déjà sorti sa queue, et, bien sur, il est un peu tard pour me mettre à crier au secours.

Je m’agenouille. Le gland vient buter contre mes lèvres, et je n’ai d’autre choix que de m’exécuter .Je le prends en bouche, et commence à le pomper. J’ai envie que ça aille vite. Je le suce en calant ma langue sous la verge, pour bien exciter le frein, à chaque passage, et je m’active à parcourir de plus en plus vite, sa tige dressée, serrant bien les lèvres autour, en faisant attention à ne pas l’égratigner avec mes dents. Je sens son sexe gonfler sous ma langue. J’essaie de me dégager mais il plaque ma tête contre lui et m’envoie plusieurs giclées d’un sperme épais et amer . Je déglutis et avale pour ne pas m’etouffer. Son engin ramollit, et il le sort de ma bouche. Des main, me forcent à relever mes fesses et je me retrouve à quatre pattes sur la moquette. Des doigts s’insinuent dans mon sexe, et mon anus. Je sens un sexe qui pointe contre ma chatte et la perfore sans ménagement. A la taille, j’ai reconnu Franck. Il me lime la chatte, et je commence rapidement à prendre du plaisir. mes gémissements, s’amplifient sans que je puisse les contrôler. Franck se démène toujours en moi. En plus de son vit énorme, il a englouti son pouce dans mon cul, ce qui provoque un cri de douleur. Je suis balottée d’avant en arrière, mes seins pendant sous moi comme les pis d’une vache, la bouche ouverte sur des gémissements dont je ne sais plus s’ils sont de douleur ou de plaisir, le sperme dégoulinant aux commissures de ma bouche sur mon menton.
Franck se détache de moi, il s’assied sur le lit, et me dit
« tu as l’air d’une bonne suceuse, viens par ici ! » Il croche mon bras et me fait tourner face à lui. Vaincue, je prends son gland entre mes lèvres, mais la taille de sa bite est vraiment impressionnante,. J’écarte les machoires au maximum pour recevoir cet énorme boudin de chair. Sans états d’âme, il me tire par les cheveux et me force à le gober de plus en plus. Il se lève et s’incline vers moi pour faire coulisser sa matraque le plus loin possible dans ma gorge, provoquant des hauts-le-cœur, vite réprimés par des pincements très douloureux de mes seins.
Toujours à quatre pattes devant lui, je sens une queue s’insérer dans ma cavité . C’est Fred, qui apparemment a récupéré et qui vient à son tour me pilonner. Je le sens prendre de la vigueur en moi, et malgré tout, en conçois un certain plaisir. Franck me relève et m’attire sur lui, me délivrant de la queue de Fred. Il me positionne au dessus de lui, me tenant par la taille, ajuste son gland à l’entrée de ma cavité encore béante, et m’embroche d’un coup jusqu’à la garde, en me tirant violemment vers le bas. Je pousse un râle rauque, mais j’ai moins mal que la première fois. Mon vagin a pris la mesure de son mandrin. Il me fait rebondir sur sa queue comme un pantin désarticulé, les jambes ouvertes, mon sexe venant claquer sur son ventre à chaque fois qu’il vient au devant de moi.
Le mouvement s’adoucit un peu, et il m’attire à lui, m’inclinant sur sa poitrine. Je ne sais pas trop ce qu’il veut, mais je surprends un mouvement de tête quand il regarde derrière moi. Je sens alors, le sexe de Fred s’appuyer sur mon anus. J’ai beau protester, il me perfore le cul. Une brûlure intense accompagne son mouvement, et je me remets à couiner. Plus il s’enfonce, et plus ça fait mal. Il avance jusqu’à ce que ses couilles viennent le stopper, contre mes fesses. Il commence alors à me limer, m’arrachant des cris de douleur. Je ne sais plus où j’en suis. Entre la grosse queue de Franck qui me bourre comme jamais, en me faisant du bien, et celle de Fred qui me défonce le cul et me laboure les tripes, j’ai l’impression qu’ils vont m’ouvrir en deux, et que je vais mourir sur place.
. Fred finit par décharger dans mes intestins et se retire,. Franck, me fait alors redresser et me pistonne durement, Jusqu’à exploser en râlant. Je sens les geysers de foutre frapper contre ma chair. Il se dégage enfin, et me laisse désarticulée, comme une poupée de chiffon. L’autre est déjà dans la douche.
L’un après l’autre ils sortent et se rhabillent. Franck est le dernier. Pendant qu’il se lave, Fred s’approche de moi et me montre son I-Phone.
« Regardes. Si tu dis le moindre mot, je mettrais ces petits souvenirs sur internet, après les avoir envoyés à ton mari. »
Sur les vidéo, on ne voit que moi : à genoux sur la moquette, une queue dans la bouche, à quatre pattes avec une queue dans chaque orifice, ou encore à cheval sur la queue monumentale de Frank. Le pire est encore le son qui malgré ce que je pensais, montre bien que ces actes n’ont pas été que des s. Bien entendu, à aucun moment on ne voit la tête des deux autres protagonistes. Je suis effondrée.
Après le départ des deux types sur des commentaires égrillards, je passe un bon moment sous la douche, pour me laver de toutes ces turpitudes.
Malheureusement, je n’ai plus de culotte. J’enfile donc ma robe de soirée sans rien. Un rapide coup d’œil au miroir en pied sur le mur, et je me rends compte qu’on voit parfaitement mon ticket de métro sous le tissu. Je me deshabille et passe dans la salle d’eau ou je trouve un rasoir et de la mousse. Tant pis, ça repoussera. Je fais disparaître toute trace de ma pilosité, et vais essayer la robe. C’est beaucoup mieux. Certes, en y regardant de près, on peut deviner le début de ma fente, mais personne ne viendra m’inspecter.
Je retape ma coiffure et refait mon maquillage qui avait bavé copieusement en longues trainées noires sur mon visage. Je remets mes stilettos, et prends mon petit sac à main après y avoir glissé ce qui reste de mon string. Ce qu’il y a de bien avec la baise c’est que ça ne laisse pas de trace
Quelques minutes plus tard, je rejoins les invités au bord de la piscine. Je croise dans le couloir une bimbo, complètement à poil poursuivie par un mec qui lui pelote les fesses.
J’ai bien peur d’avoir été la victime d’une confusion avec ces filles faciles. Autour du bassin déserté , les gens discutent et sirotent leurs verres Je retrouve Pierre qui me dit.
« Tu en as mis un temps. Heureusement pour toi, nous attendons que les baigneurs soient prêts pour partir. »
Je ne lui racontes pas ce que lesdits baigneurs, viennent de me faire subir, ni à quel point j’ai mal au cul, sans parler de mes machoires endolories.
« Cela valait le coup d’attendre, vous êtes ravissante ; » me complimente son interlocuteur,
un vieux monsieur qui vend des instruments de musique.
« c’est vrai que tu es à croquer » renchérit Pierre. Il n’imagine pas à quel point.
Nous nous éloignons un peu, et il me questionne.
« Qu’est ce qui t’a pris si longtemps ? Je me demandais où tu étais. »
« J’ai voulu prendre une douche, et j’ai eu un petit problème technique. Je t’expliquerais. »
La maitresse de maison bat le rappel des troupes. Nous partons pour le restaurant où a lieu la soirée.
« Pierre, j’ai oublié ma robe de cocktail dans la chambre où je me suis changée. Tu veux être chou et aller me la chercher ? »
« Pourquoi n’y vas tu pas, je ne sais même pas où c’est. »
« C’est la dernière chambre, au bout du couloir, sois chic »
J’ai surtout peur de retomber sur un de mes amants d’un soir
Nous sommes interrompus par la maitresse de maison qui arrive avec ma housse à vêtements.
« Vous avez oublié ceci, ma chère, et mes garçons n’en auront pas l’utilité. » plaisant t’elle
« Je m’en doute » reponds-je sans sourire

Une fois dans la voiture, je dois subir les questions de Jean-Pierre.
« Tu as été absente près d’une heure. Il ne faut pas exagérer. On te prête une chambre pour te changer, mais tu n’es pas toute seule. Tu s un peu. »
Euh, si quelqu’un , ce n’est pas moi.
« Je me suis douchée, comme me l’a offert la mère du marié, mais en voulant me rhabiller, j’ai tiré mon string que j’avais accroché à la poignée de la porte de la salle de bain, et il s’est déchiré. Comme, à travers ma robe on voyait tout, j’ai dû retourner à la douche pour me raser la foufoune, ce qui m’a pris du temps. »
« C’est ridicule comme excuse ; » ricana Pierre
Je sors le string déchiré et lui mis sous le nez.
« Et ça ? » Il regarda l’objet étonné.
« Bon, bon, excuse moi, mais tu avoueras que ton histoire n’est pas banale. »
Je me dis que la vraie l’était encore moins.
Je l’avais émoustillé et il glisse sa main jusqu’à mon sexe rasé me faisant sursauter.
« C’est le rasage. Ça irrite » expliquai-je. « Je ne le sens pas ce mariage. En plus je ne connais personne. »
Pierre me regarda en hochant la tête.
« Tu étais d’accord pour venir » me rappela t’il
« Je sais, mais je m’ennuie. On pourrait rentrer à l’hôtel. Ils ne se rendront même pas compte qu’on est pas là. »
« Tu sais bien que ce n’est pas possible. D’abord Gérard est un client important, et je ne peux pas m’éclipser comme ça. En plus il va me présenter d’autres clients potentiels qui sont invités. Fais un effort ; essaie de t’amuser. Parles avec les gens. Tu verras, tu vas pouvoir danser, tu adores ça. »
Le silence retomba dans l’habitacle. Au fond de moi, j’en voulais à Pierre. C’est à cause de lui si on est venus. En fait j’ai un peu honte. Je n’ose pas dire la vérité à Pierre. D’ailleurs, me croirait il ? Si encore je n’avais pas pris de plaisir à cette étreinte, ce serait différent. Quand même , le frère de son copain mériterait une correction. Ce n’est pas du côté de Pierre que je trouverais du réconfort.
Il me dirait qu’il faut faire profil bas, que j’exagère , ou encore que je risque de ternir ses relations avec Gérard. Je suis vraiment énervée, et dans ces cas là, il vaut mieux que je ne dise rien.
Nous arrivons finalement au restaurant, pratiquement dans les derniers, et je peux constater que le groupe d’invités s’est agrandi. On doit être, au bas mot deux cent cinquante. Nous sommes reçus sur la terrasse, un immense espace couvert par des toiles tendues, avec du mobilier en rotin, du plus pur style colonial, La plupart des convives sont debout, et discutent. Des serveurs se faufilent entre les groupes avec des plateaux chargés d’amuses-gueules ou de champagne. Pierre salue diverses connaissances ou amis, et me présente. Les compliments sur ma tenue, me rendent le sourire. Il faut dire que cette robe en soie écrue, très pâle, met en valeur mon bronzage. Ce fourreau, très près du corps, tenu par deux bretelles fines dévoile une partie de mon dos et devant les bretelles s’élargissent en deux triangles qui viennent couvrir mes seins, en laissant libre le sillon qui les sépare, presque jusqu’à mon nombril. Le bas est étroit, mais fendu d’un côté jusqu’à l’aine, qui se découvre à chaque pas, empèchant le port d’une culotte., d’où l’utilité du string (que je n’ai plus) dont la ficelle remonte haut sur les hanches.
Le diner est servi dans une grande salle, sur des tables rondes d’une douzaine de couverts, disposées en U autour d’une piste de danse derrière laquelle un DJ a installé ses platines. Notre table est un peu à l’écart, dans un coin, ce qui est normal vu que nous ne sommes pas de la famille. Seule la table des mariés, avec leurs parents et leurs témoins est recyangulaire, placée devant la piste de danse. Les convives de notre table sont des relations de travail du marié, venus en couple, comme nous. La plupart sont plus agés que moi, je dirais entre 40 et 55 ans. Les conversations s’engagent rapidement. Je suis placée entre un homme d’une cinquantaine d’années et Pierre. Le monsieur est venu avec sa moitié, qui est de vingt ans sa cadette, une jolie blonde piquante et drôle avec laquelle je m’entends tout de suite. Je dois, m’absenter , et je sors de la salle pour trouver un serveur qui m’indique les toilettes. Au dehors, deux vigiles, interdisent l’accès à ceux qui n’auraient pas montré patte blanche. Je sors dehors pour fumer une cigarette, et causer un peu avec eux. Ce sont deux costauds, pas très engageants au départ, mais je me montre enjouée, et j’arrive à les dérider. J’aurais bien aimé compter sur eux pour me protéger, mais leur service s’arrête à 23 heures , plus personne ne venant après. Je les félicite pour leur travail bien utile, et les questionne sur l’endroit où nous sommes. J’entends tout à coup, une voix dans les hauts parleurs de la salle. C’est le père de la mariée, qui fait son discours avant le repas. Je m’excuse auprès des deux cerbères, et je rejoins ma place, le plus discrètement possible. Le repas est plutôt standard, sans grande originalité, Pierre semble avoir noué des contacts pour sa boite,, et moi, je ris aux plaisanteries de mes voisins, et je bois, sans trop me détendre, car je ne veux pas perdre la maitrise, et j’ai une idée en tête.
Bien plus tard, alors qu’on a découpé la pièce montée, et servi le café, le DJ lance le bal.
La piste se remplit au son des derniers titres à la mode. Ma voisine de table blonde se lève et m’invite à me joindre à elle sur le dance-floor, pendant que nos compagnons respectifs discutent en sirotant leur café . Peu à peu, je me libère. Il faut dire qu’il y a un groupe de jeunes de mon âge qui chahutent sur la piste, et nous ont rapidement intégrées, toutes les deux. Nous nous agitons en mesure, mîmant les pas de danse de films musicaux célèbres, reprenant en chœur les refrains. De temps en temps, un des garçons présents me prend par les hanches, une main sur ma peau nue. Après avoir sursauté, une première fois, je me suis reprise et supporte le contact sans sursauter, d’autant qu’il est innocent. Inévitablement, une série de slows arrive. Un homme d’une trentaine d’année, juste à côté de moi m’invite. Il est plutôt bel homme, et je me laisse embarquer dans ses bras. Il me complimente et me dit que je suis assurément une des plus jolies femme de la soirée. Il danse très près de moi, et ses mains caressent mon dos. Sa façon de danser, façon tango amène régulièrement une de ses jambes entre les miennes, repoussant ma robe et dévoilant ma cuisse jusqu’à la hanche, et le bas de ma fesse. Le tissu vient frotter contre mon sexe fraichement épilé, et je sens ma fleur réceptive à cette caresse involontaire. Ses mains glissent sur mes fesses. Il ne peut ignorer que je ne porte rien sous ma robe, mais il ne manifeste aucune réaction particulière. La fin du slow est là.Nous nous séparons et il me murmure
« Votre beauté n’a d’égale que votre audace. Je suis accompagné, malheureusement, car sinon, j’aurais aimé caresser cette poitrine qui tend le tissu de votre robe, et bien plus encore. »
En effet, les pointes de mes seins sont bandées, et pointent à travers le fin tissu leur tétons, dont la couleur plus sombre se devine sans peine.
« Je suis flattée de votre offre, mais je suis, moi aussi accompagnée . » répond-je
« Dans ce cas, Mademoiselle, j’espère que l’heureux élu est conscient de sa chance et s’occupe de vous passionnément. » me dit il avant de s’éloigner.
Allons, il n’y a pas que des salauds dans cette assemblée. Justement, j’aperçois Pierre qui me cherche des yeux. Je lève la main et il se faufile jusqu’à moi. Je me blottis dans ses bras, et pose ma tête sur son large torse, mes bras accrochés autour de son cou, et il passe ses bras autour de ma taille. «
« tu as les seins qui pointent, Nath « chucote t’il à mon oreille
« C’est que tu me fais de l’effet »
Sa main vient se poser sur un sein, à travers le tissu.
« Ce n’est pas très discret »emet il.
« Tu as choisi cette robe avec moi, mon amour, parce qu’elle était très « sexe ». Elle n’a pas changé depuis. »
C’est vrai que cette robe me dévoile autant qu’elle me cache.
« Il ne manque qu’un panneau « baise moi » qui clignote » murmure t’il avec un sourire
Je sens ses mains qui descendent petit à petit, au creux de mon dos. Décidément, les hommes sont tous les mêmes ! Quand il passe de mon dos à mon postérieur, je le sens chercher , du bout des doigts, quelque chose qu’il ne peut pas trouver.
« tu n’as pas de culotte ? » s’étonne t’il
« Je t’ai expliqué ce qui s’est passé ; je ne me balade pas avec des culottes en pagaille sur moi. »je murmure énervée
Il passe la main sur ma cuisse découverte et remonte jusqu’à la hanche, pour vérifier
« Oui mais là, il ne faut pas t ‘étonner d’avoir des problèmes, si tu provoques. C’est du pousse au crime ta tenue. »
Pas m’étonner ? Du pousse au crime ? Non mais je vais le planter là.
Je me détache de lui, et fends la foule pour m’éloigner. J’ai, à peine fait quelques pas que je suis attrapée par un bras. Je me retourne pour rembarrer Pierre, mais c’est Franck qui me sourit d’un air narquois
« Vous dansez Mademoiselle ? » demande t’il en m’enlaçant d’autorité.
Je cherche Pierre des yeux mais il a disparu.
Franck me plaque contre lui, et, profiant de l’espace réduit entre les danseurs, me malaxe les fesses.
« Oh, oh ! » dit il tout bas « Je vois que tu es encore cul nu. »
Sa main longe ma cuisse et s’insinue sous ma robe jusqu’à mon sexe, qu’il flatte .
« Tu t’es rasée ! j’adore ! « murmure t’il en introduisant un doigt dans ma chatte.
J’ai l’impression que tout le monde nous regarde. Je suis morte de honte.
« Qu’est ce que tu veux ? Tu as eu ce que tu voulais, non » je le regarde maintenant.
« Oui mais tu es encore plus bandante dans cette robe. On va faire un tour ?. »
« ça ne va pas non ? pas question ! » J’ai haussé un peu la voix et des danseurs se sont retournés, nous dévisageant, mais ils se détournent croyant à une dispute d’amoureux
« Tu n’as pas vraiment le choix, » me dit Franck d’un ton doucereux. « A moins que tu ne veuille voir tes exploits, en ligne sur FB. »
A ce moment, il me tient, je le sais. Je continue à danser en tâchant de faire abstraction de ses mains sur mes fesses. Et tout d’un coup, la lumière m’apparaît. Pourquoi résister ? Pierre trouve que j’exagère, que je provoque ? Soit, je vais le prendre au mot.
Je me rapproche de Franck et lui murmure à l’oreille
« C’est d’accord, mais ça sera, où je veux. Laisse moi un quart d’heure pour trouver une excuse auprès de mon fiancé et j’arrive. Amènes ton copain aussi, en espérant que vous serez plus performants que cet après-midi. Parce que question de me faire jouir, vous avez été plutôt nuls. Tu veux me baiser ? Ok, mais c’est moi qui commande. »
J’ai débité tout ça d’un trait. Je le sens destabilisé, mais il ne veut pas perdre la face
« OK , dans quinze minutes sur la terrasse ; tu ne seras pas déçue. »
Il me plante là. Je n’ai pas de temps à perdre. Je pars vers les toilettes. Pas une minute à perdre.

Quinze minutes plus tard, je sors de la salle de restaurant, et me retrouve à l’extérieur. Sur un grand patio, dallé qui donne sur un parc, à l’opposé de l’entrée.
Plusieurs personnes fument en discutant. Quelques couples flirtent gentiment. Je m’avance vers le parc, et je les vois. Mes deux gaillards sont là, dans un coin d’ombre. Ils sont en costumes sombres, et chemises blanches, mais leurs cravates sont absentes.. Franck qui est le meneur, me fait un signe. Je m’approche mais reste dans la lumière. Il vient vers moi.
« J’ai failli attendre » dit il
« Ne t’inquiète pas, tu veux du sexe, tu ne vas pas être déçu » répond-je « mais on ne va pas faire ça ici, devant tout le monde. C’est moi qui choisis l’endroit. »
Je fais demi tour, et, pour ne pas lui laisser le temps de réfléchir, je m’éloigne, le plus rapidement possible, et traversant tout l’espace éclairé, en courant presque. Franck me suit immédiatement, et Fred réagit avec un temps de retard. J’ai déjà tourné le coin du batiment quand il m’att par un bras
« Eh ! où tu vas ? »
« Suis moi, on va dans un coin plus tranquille » lui dis-je
Je repars dans l’obscurité et trébuche plusieurs fois sur le sol inégal je passe encore un coin pour me retrouver sur la terrasse ou nous avons pris l’apéro un peu plus tôt. Les tables ont été nettoyées, tout est rangé et remis en place. Le portillon d’accès, à l’opposé est fermé, mais les gros projecteurs du parking tout proche éclairent assez largement l’espace.
« Me saisissant par le poignet, Franck me fait retourner, et m’expédie une baffe
« Tu voulais nous emmener vers les vigiles, c’est çà, ? »me lance t’il « C’est raté, ils sont partis »
« Je croyais que je vous faisais envie », dis-je en m’allongeant sur une banquette, et je replie ma jambe. Le tissu de la robe glisse à l’intérieur, et dévoile ma cuisse jusqu’à la hanche, et ma fesse. Il se penche et fait glisser sa paume sur la chair découverte.
« J’ai besoin d’un minimum de confort »
« Je vais t’en donner du confort . » repond il
Il me fait lever et vient se positionner derrière moi
« Viens Fred, on va lui montrer à cette salope. » en même temps, il fait tomber les bretelles de ma robe, et je me retrouve topless avec ses mains qui maltraitent mes seins. Fred vient devant moi et remonte sa main sur ma cuisse découverte. Trouvant le passage peu pratique il tire sur le pan avant de ma robe, et la déchire, augmentant le fente latérale jusqu’à ma taille. Il écarte le tissu et vient enfoncer deux doigts dans ma chatte
« Bordel, elle est déjà trempée ! » s’exclame t’il.
Il déboucle son pantalon, et le fait descendre en même temps que son slip. Son membre bandé sort comme un diable de sa boite.
« Avance là vers moi, Franck »
L’intéressé me pousse en avant vers son copain jusqu’à le toucher. Celui-ci, me soulève en passant ses mains sous mes fesses, et m’empale sur son mandrin, tandis que Franck me soutien sous les aisselles. Je sens son dard me remplir, et commencer à me ramoner l’intérieur.. Après quelques minutes, la position étant inconfortable, ils me laissent reposer pied à terre. Lucide, je leur dis qu’il serait mieux de m’enlever la robe, épargnant ainsi ce qui reste de mon vêtement. Ils la font passer par dessus ma tête et la jettent au loin. Franck me met alors, à quatre pattes sur une table basse, et vient présenter son sexe pour que je le suce. Pendant ce temps, Fred s’est approché de moi, par derrière et il entre dans mon sexe, effectuant deux ou trois allers retours, avant d’aller directement s’enfoncer dans mon cul. Après la douleur du début son sexe long et fin qui explore mes intestins, me procure une jouissance que je ne peux manifester, ayant la bouche pleine. Des deux, la queue de Franck est celle que j’ai le plus de mal à sucer. J’ai les machoires distendues qui me font mal et je manque plusieurs fois de m’. Je le sens enfler encore sous ma langue, et il jaillit soudain dans ma bouche, il sort et m’envoie plusieurs giclées sur le visage. Pas le temps de respirer.
La bite de Fred vient prendre la place laissée libre, et, comme un métronome bien rêglé, je le pompe avidement, l’expulsant de temps en temps pour lécher son gland et redescendre jusqu’à ses couilles que j’aspire, gobant ses boule de mes lèvres et les serrant avant de les relacher. A ce rythme, je sens bientôt palpiter les veines de sa queue, sous ma langue, et la sève monter en lui pour inonder mon palais. Franck est passé derrière moi et me lèche la vulve. Enfin une vraie caresse, sa langue se glisse sur mes lèvres et les écarte. Il tête mon clitoris, qui durcit, et le mordille.Je ne peux réprimer quelques gémissements de plaisir. Continuant son travail sur mon bouton, il me branle avec deux puis trois doigts.. Fred me saisit aux épaules, il me redresse. Je suis maintenant à genoux sur la table, la tête de Franck entre mes jambes, et l’autre vient, se positionner face à moi, pour poser son long sexe entre mes seins qu’il serre autour de sa queue, entamant une branlette espagnole. Son chibre coulisse entre mes deux globes les maculant de sperme mais je n’en ai cure. Sous la langue de Franck, ma chatte est en feu, et j’attends le moment où il va me pénétrer avec son gourdin.
Je profite d’être en position quasi verticale pour me servir de mes mains. Je masse les couilles de Fred qui continue à s’astiquer entre mes seins, puis je passe mes mains sur ses fesses, et vient enfoncer un doigt dans son anus, provoquant une éjaculation, presque immédiate. Une fois débarrassée de l’importun, je me remets à quatre pattes,
« ahh, ouiii, viens, prends moi ! » c’est moi qui ai crié. Il se dégage, mais continue à me branler, pinçant mon clito avec ses doigts le tirant , pendant que Fred vient me prendre par le fin, ajoutant à mon plaisir.
C’est marrant, la libido des hommes. Ils sont souvent incapables de rebander après un coup, mais tu leur présente un cul, et la machine repart !
Il me pistonne avec force jusqu’à se vider en moi avec un cri long et rauque. Du coin de l’œil, je devine Fred en train de se rhabiller.
Ils me relever. Franck s’est allongé sur le dos, et, ils me soulève, me faisant écarter les jambes, et me guidant pour que je m’empale sur lui. J’ai beau être préparée, ma cavité n’est pas habituée à des engins de ce calibre. Il me pourfend, petit à petit, en ma chair se tend pour l’accueillir. Il faut plusieurs minutes pour que j’arrive à l’emmancher jusqu’au fond de mon vagin. Les parois s’assouplissent et je peux commencer un rodéo digne des meilleurs western, empalée sur ce pieu, qui tape au fond de mon antre, et donne des décharges électriques. Maintenant, Franck me tient sous les fesses et me fait monter et descendre à toute vitesse sur sa grosse queue. Je ne suis plus qu’un sexe, un vagin géant qui dégouline de plaisir et gémit des mots obscènes. J’ai du jouir déjà trois fois quand je sombre dans l’inconscience.
Je refais surface sous les caresses de Franck qui pince mes tétons. Je fais très vite le point et me resitue.
« Tu t’es évanouie » me dit il « ça va ? »
Je reprends mes esprits, pendant qu’il me met à genoux sur la table basse. Il pique quelques coussins sur les fauteuil et les glisse sous mon ventre. J’ai maintenant, la tête contre la table, les fesses en l’air, au dessus de mes genoux écartés, et je dois ressembler à une pauvre grenouille ridicule. Franck a planté un doigt dans mon cul et en assouplit les muscles. Un second vient compléter sa sodomie digitale. Il vient maintenant entrer sa queue dans ma chatte, et va et vient doucement avant de ressortir. Il présente son sexe à l’entrée de mon cul.
« Non, c’est trop gros ! tu vas me déchirer ! »
« Désolé chérie, mais ton cul est beaucoup trop tentant !»
Là, j’ai vraiment peur. Il appuie son gland sur mon anus, et pousse, Mes sphincter s’étirent et brûlent. Je crie de douleur, mais il s’en fout. Il recule un peu et m’envoie un grand coup de rein qui le fait avancer un peu, et m’arrache un sourd gémissement. Son gland passe la barrière, mais contrairement aux deux autres je n’éprouve aucun soulagement. En procédant par a-coups, il me pénêtre jusqu’à ce que ses couilles viennent taper sur mon cul.
J’ai le souffle coupé. Il commence à me limer, avec de longs mouvements amples, et je me sens dévorée de l’intérieur par ce serpent fouisseur. J’ai parfois l’impression qu’il va ressortir par la bouche. Il accélère le mouvement et se lance dans une cavalcade sauvage, les doigt crochés dans mes hanches, son métro fou déchirant mon tunnel à chaque passage,,jusqu’à ce qu’il explose et lâche un torrent de lave dans mes boyaux, dans un râle rauque et profond.
Je me retourne ; il est en train de se rajuster
« C’est quand tu veux pour recommencer, ma belle salope » lance t’il en rebouclant sa ceinture
Je reste un moment étendue sur la banquette, pour récupérer après son départ
Je me relève, titubante. J’ai mal au cul, et j’ai du sperme qui dégouline de mes orifices, j’en ai aussi sur le visage, les seins, et le dos. Je récupère un de mes stilettos que j’avais perdu, et me mets à la recherche de ma robe. Je finis par la retrouver entre deux fauteuils., et l’enfile. Le haut, ça va encore, mais la fente latérale est déchirée, et, à chaque pas, j’ai carrément le sexe à l’air. Je ne peux pas repasser par le restaurant, dont j’entends la musique. Je me dirige du côté du parking. Le portillon d’accès est fermé, mais je dois pouvoir l’escalader.
Evidemment, je ne suis pas équipée pour ce genre de sport. J’enlève de nouveau ma robe et mes chaussures et les balance au dessus du portail métallique. Puis je grimpe sur un fauteuil que j’ai approché, et me hisse sur le haut du portail, avant de me laisser glisser de l’autre côté. Je suis assise nue comme un ver, en train de remettre mes chaussures quand j’aperçois un bonhomme, immobile au milieu du parking, qui regarde vers moi. Je remets ma robe , et en essayant de tenir les pans pour dissimuler mon anatomie, je prends le chemin de l’entrée, qui malheureusement passe devant le type. En avançant vers lui, je me rends compte que c’est un vieux bonhomme. Il est en smoking, avec un nœud papillon, et fume un cigare. Quand je passe à sa portée, il me questionne d’une voix avinée.
« C’est quoi, ce sport là, que vous faites ? »
« C’est la course d’obstacle pour les jeux olympiques naturistes » lui dis-je sans réfléchir
« Ah ! c’est nouveau alors ? »
« très nouveau. J’y vais, c’est chronomêtré ! »
Je passe mon chemin sans demander mon reste. Je suis maintenant à l’entrée de l’établissement. Je me faufile dans le couloir qui mêne au toilettes et croise une femme en robe longue brillante, qui me détaille d’un air choqué. Je passe les toilettes des hommes, celles des femmes, et je pousse une porte, qui commande l’accès au vestiaire. Il n’y a personne derrière le comptoir. Je cherche parmi les manteaux et vestes, et trouve facilement la housse qui contient mon autre robe. Je ressors, et vais vers une porte marquée privé qui est celle des vestiaires du personnel. C’est là qu’un peu plus tôt, je suis venue discuter avec un serveur, à qui j’ai confié les clés de notre voiture de loc, pour qu’il ramène ma robe au vestiaire, au cas où. Il me semble que j’ai vu tout à l’heure que cet endroit avait une douche. Au fond du local, il y a une cabine de douche ; un rève pour moi. Je me défais de ma robe et de mes chaussures , et je me jette sous l’eau tiède. J’utilise un morceau de savon trouvé sur place pour me récurer. L’eau détend mes muscles, et apaise un peu les brulures. Je n’ai pas de dentifrice, et je me contente de rincer ma bouche à grande eau. Un whisky bien tassé désinfectera tout ça. Tout à coup le rideau de la douche s’écarte
« C’est toi viviane ? » le serveur stoppe net en me reconnaissant
« Non, ce n’est pas Viviane » lui repond-je avec un sourire
« Mais qu’est-ce que vous faîtes là ? Vous deviez juste récupérer votre robe au vestiaire. Ici c’est interdit. »
« Je sais, malheureusement, j’ai eu un petit accident, et j’avais besoin d’une douche. Il y en d’autres ici ? »
« Euh, non, enfin.Un accident ? »
« Oui ce serait trop long à vous expliquer. Vous tombez bien d’ailleurs, j’ai un service à vous demander. Il faudrait… »
Je me rends compte qu’il ne m’écoute pas. Il a les yeux qui courent de mes seins à mon sexe et n’est réceptif à rien d’autre.
Je capte son attention en mettant un bras sur mes seins, et une main sur ma chatte
« Vous auriez une serviette ? »
Il disparaît, et j’entends des bruits de placard. Il revient et me tend une serviette de toilette propre. Je commence à m’essuyer. Il reste là à me regarder.
« Vous pouvez vous en aller ? »
Il se recule, le rideau se rabat, puis il se reouvre
« Vous avez un corps splendide » glisse t’il avant de disparaître de nouveau
Il est encore là quand je sors de la douche, et se rince l’œil quand j’enfile ma robe. Je m’asseois sur une chaise pour remettre mes stilettos, quand je croise son regard exhorbité.
« Vous êtes un type sympa, mais je ne suis pas libre. Evitez donc de mater mon cul »
Il rougit et détourne le regard. Je vais me regarder dans la glace. Mon maquillage a encore morflé. Heureusement, la copine de mon serveur a une trousse qu’il s’empresse de m’apporter. Un peu de ricil, une touche d’eye liner, un peu de fond de teint pour atténuer la marque de la beigne que j’ai prise, et je finis avec un peu de gloss sur les lèvres.
Je suis prête. Je demande au gars de bien vouloir remettre la housse dans la voiture et de me ramener les clés à ma table. Il commence à protester mais je plante mes lèvres sur ses siennes. Je le laisse me tripoter les seins pendant qu’il m’embrasse. Il est remotivé !
Je rejoins ma table où Pierre est en grande discussion avec deux autres couples
«Te voilà ma chérie, viens que je te présente.. »

Un peu plus tard, dans la voiture qui nous ramenait à l’hôtel
« tu as bien fait de changer de robe. L’autre était un peu trop provocante. Pour moi seul, ça va, mais en public elle est un peu osée. »
Il n’imagine pas à quel point.
« Tu as raison. D’ailleurs je ne vais pas la garder. De toute façon, à partir de demain, c’est maillot de bain, et robes de plage ! ».

Quinze jours plus tard, nous sommes revenus sur Paris après des vacances reposantes, et sensuelles. Pierre a découvert avec moi des plaisirs insoupçonnés jusqu’alors. Nous prenons notre petit déjeuner quand il m’annonce
« Ma chérie, je viens de passer un accord avec Gérard, qui me confie, un budget presque le triple de ce que nous faisions ensemble avant. »
J’applaudis, et le félicite
« Tu vois que ça valait le coup de passer une soirée, un peu rasoir. » complète t’il
Ce qui s’est passé réellement, il ne le saura jamais, bien sûr, et mes vacancees n’ont pas été si détendues que ça.
Le lendemain du mariage, je me suis levée de bonne heure, et je suis retournée au restaurant, où j’ai demandé à rencontrer le propriétaire. Il a été très surpris quand je lui ai demandé les enregistrements de ses caméras de sécurité. En effet, j’avais repéré qu’il y en avait une qui filmait la terrasse. Quand il a refusé, je lui ai expliqué que je m’étais faite violer dans son établissement, et que je pouvais revenir avec les flics, quand j’aurais porté plainte. Il ne me fallut pas longtemps pour le convaincre de me remettre les cassettes de la caméra en question.
Le lundi, je suis allée en ville, à Nice, pour un peu de shopping, et j’en ai profité pour trouver un photographe, qui accepta, moyennant finance de monter la partie de la bande qui m’intéressait, et de m’en faire ensuite quatre copies, que je camouflais au fond du coffre dans un sac où je range les chaussures. Les après-midi se passaient à la plage avec Pierre, et les soirées à diverses manifestations estivales sur le littoral. Après quelques jours de récupération, j’avais de nouveau fait l’amour avec Pierre, à la première fellation apprécia que je le garde dans ma bouche pour avaler sa semence, ce que je lui avais toujours refusé auparavant. Je n’avais toujours pas un goût particulier pour le sperme, mais, je pouvais bien lui faire ce plaisir.
Le jeudi, je me présentai chez les parents du marié et fus reçue par la mère de celui-ci, toujours avenante, mais un peu surprise. Je lui demandais où joindre Gérard, pour une affaire importante, et elle me dit qu’il était là avec sa nouvelle femme, et qu’il partait pour la Corse, le samedi. Elle m’accompagna au bord de la piscine, où je le trouvais, effectivement, en train de se prélasser au soleil, sa femme étant allongée nue sur l’autre transat. Ils me saluent tous les deux, se demandant ce que je fais là et Sylvia me demande où est Pierre ? Je lui dis que Pierre est occupé ailleurs et que je suis venue voir Gérard, pour une affaire importante. Il me questionne, mais j’insiste pour le voir en privé. Il se lève donc, et m’invite à le suivre à l’intérieur. Ayant déjà eu des soucis avec son frère, je demande à Sylvia de nous accompagner. Elle enfile un short et un débardeur, et nous suivons Gérard, qui nous guide jusqu’à un bureau ? Une fois dedans, il referme la porte et me dit
« Tu es bien mystérieuse. Qu’est ce qui t’amène exactement ? »
Pour toute réponse je sors le DVD de ma poche,
« Vous êtes proche de votre frère, Gérard ? »
« Ce n’est pas mon frère, mais mon demi-frère, en fait. »
« Votre demi-frère et un de ses copains, ont abusé de moi lors de votre mariage. Je n’ai pas osé résister , quand il est venu dans la chambre où je me changeais, dans cette maison. »
« ici ? »
« Ici même. J’ai dû me prêter à ses désirs ainsi que ceux d’un de ses amis »
« Vous exagérez, sans doute » essaie t’il, mais il sent bien que je ne plaisante pas
« Je vous invite à voir la vidéo de la suite, qui s’est passée au restaurant, où il m’a poursuivie de ses assiduités. »
Il enclenche le DVD pris par une camera de nuit, et sans le son, mais ce qu’on voit est édifiant, et cette partie de baise peut-être interprètée différemment.
« c’est ignoble ! » crie Sylvia « Tu vois ce qu’ils ont fait ? Je te l’avais dit . Il a déjà essayé de me tourner autour. »
« Je ne sais comment m’excuser, où vous dédommager. »
« Moi, je sais. Il n’y a que deux solutions. La première, c’est que je porte plainte. Avec la vidéo et les témoignages, votre frère va en taule, et ses amis aussi. Quand à vous, puisque ça s’est passé chez vous et à votre mariage, vous pouvez être accusé de complicité. Entre nous, ça m’étonnerait que vos relations d’affaire ne vous tournent pas le dos. D’un autre côté, vous avez vu la vidéo. En plus Fred, le copain de Franck en a une prise dans cette maison sur son portable»
« Mais je n’étais pas au courant ! »
« ça, je veux bien le croire. De mon côté, je n’ai pas très envie de porter plainte et de voir ces films étalés sur la place publique. Je veux, les noms et adresses de votre frère et de ses copains, pour commencer.
Pour ce qui est de Pierre, il a répondu à votre invitation, surtout par rapport à vos relations de travail,. Vous imaginez si il apprenait ce qui s’est passé.
« Je comprends, et je vous garantis que Pierre n’aura pas de soucis d’affaires avec nous. Je ferais en sorte que notre collaboration lui soit bénéfique, ce qui ne sera pas un effort considérable, car nos relations vont au delà de simples relations d’affaires. »
Gérard résigné, sortit une feuille de papier à lettre qu’il remplit avant de me la tendre. J’avais les noms et les adresses. Heureusement que les vidéos de surveillance, n’avaient pas le son. Je les quittai avec un conseil
« Faites attention à Sylvia. Elle n’est pas en sécurité avec un type comme ça. »
« Merci » murmura cette dernière. Elle me ratttrapa dans l’entrée, et me précisa que les trois hommes étaient mariés, ce que je savais déjà.et m’indiqua comment les joindre.
La femme de Franck reçut quelques jours plus tard un courrier contenant un DVD accompagné d’une lettre expliquant ce qui s’était passé. Idem pour celle de Fred, Celle de Loic le reçut sur son lieu de travail. Pour achever le travail, elles retrouvèrent sur les téléphones de leurs maris, les vidéos prises à la villa, ce qui acheva de les convaincre . Je n’eus plus jamais de nouvelles de ces messieurs.

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