Le Marin Gay

Je m'appelle Cornélius Scott. En l'an de grâce 1530, je suis matelot sur le Rankin, navire nègrier de Sa Très Glorieuse Majesté le roi Henry VIII. Tout le monde m'appelle Cory.
Je suis le "chauffeur" du capitaine Wallace. Les femmes ne sont pas admises sur la flotte royale. Pour les remplacer, on enrôle des hommes inaptes aux travaux mariniers ou pour les cas d'urgence, des sodomites. Je suis l'un d'eux.
Le métier de "chauffeur", consiste à dormir dans le lit du capitaine pour lui tenir chaud la nuit, et, éventuellement pour apaiser ses appetits des choses de l'amour. En clair, pour lui pomper le dard et lui donner son cul.
Nous étions dans le Golfe des Esclaves, à charger le navire. La cargaison n'était pas de premier choix. Pas de nègresse pleine et que des jeunes. Le voyage allait être difficile. Les jeunes étaient plus rebelles que les hommes mûrs. Et l'absence de femmes, signifiait que j'allais devoir officier. En général, le capitaine partageait sa cabine avec la plus jolie des nègresses, sauf si celle-ci avait été réservée pour un riche acheteur. En cas de pénurie, le
"chauffeur" servait d'éxutoire au capitaine et de temps en temps au reste de la marine. Les sodomites étaient honnis dans la marine mais, après plusieurs mois en mer, les matelots étaient bien contents d'avoir leur cul pour se soulager. Ceux qui avaient peur des maladies espagnoles, se déchargeaient de leur semence excédentaire dans la bouche du "chauffeur". Il n'était pas rare que la récompense soit un coup de pied au ventre en plus des insultes et autres promesses de damnation. Le capitaine Wallace était porté sur la chose.
Il préfèrait, et de loin, remplacer la nègresse de service, par un jeune bois d'ébène aux fesses musclées et cambrées comme celles des filles. Je n'ai pas une fois été appelé dans sa cabine, mais j'ai vu tous les garçons de la cale, traînés là, enchaînés et nus. Leurs sexes étaient impressionnants. La stupeur passée, la bave de l'envie coulait de mes lèvres.

A ce moment, je ne savais pas que mes envies allaient être comblées, bien au-delà de mes espèrances.

L'Eglise a toujours considéré l'homosexualité comme un crime. De fait, l'Amirauté n'a jamais reconnu les "chauffeurs". Il était interdit d'exercer en public sur les navires de Sa Majesté. Nous devions livrer notre marchandise en Australie. Dix-sept mois de mer. Au troisième mois de notre voyage, je fus atteint d'une maladie alimentaire. Les marins, privés de sexe depuis plus d'un an, n'en eurent pas cure. Ils me traînèrent sur le pont où quatre d'entre eux me violèrent.
Je fus condamné aux fers, jusqu'à la fin du voyage. Le capitaine Wallace s'adressa aux marins :
- Le matelot Scott sera mis aux fers dans la cale aux esclaves. Il sera attaché, nu, les bras en l'air. Chacun de vous, à tour de rôle, détachera un esclave par jour et l'amènera au matelot Scott, comme on amène une vache au taureau. Désormais, je ne veux plus rien entendre sur le sujet.
S'approchant de moi, le capitaine Wallace glissa à mon oreille :
- Le voyage s'annonçait ennuyeux, Cory. Tu viens de m'offrir le plus beau des divertissement. Ces bites noires enfoncées dans ton joli cul blanc. Tu as vu comme elles sont grosses ? J'ai entendu une fois le capitaine Cook, dire que le soulagement sexuel apaise l'agressivité des esclaves. Tu vas faire d'une pierre, deux coups. Tu vas m'offrir un spectacle et la possibilité de prouver que le capitaine Cook avait raison. Plus tard, quand ils seront tous passés dans ton cul, je les ferai détacher par deux, pour qu'ils te baisent aussi par la bouche.
On me descendit dans la cale, nu comme un ver. Chaque jour, un marin descendait, m'enculait devant les nègres(pour ne pas passer après eux), en détachait un, qui me défonçait le cul avec sa grosse bite. De temps en temps, le capitaine Wallace en personne venait voir de plus près, et, fouettait l'esclave pour qu'il s'enfonce plus profond en moi.

Les africains savaient qu'on allait les vendre. Aussi, un jour ils se sont rebellés. Ils se sont rendus maîtres du bateau et ont capturés tous les marins qui m'avaient enculé, le capitaine Wallace compris. Ils enfoncèrent les fusils dans leurs culs et tirèrent. Plus personne pour diriger le bateau.

Perdus au milieu de l'Océan Indien, à bord du Rankin, nous étions tous nus. Attaqués par la vermine, nous nous étions débarrassés de nos vêtements.
Il ne nous restait plus rien à manger ni à boire. Quelques uns étaient déjà morts quand nous avons croisé une frégate anglaise. Au lieu de nous sauver, elle nous coula.
Nous nous sommes retrouvés sur une île déserte et sommes restés isolés du monde pendant six mois. Les quelques survivants, habitués sur le bateau à me prendre pour leur femme, continuèrent de m'enculer régulièrement. Ils avaient décidé que moi seul n'avait pas le droit de m'habiller. Il portaient tous un pagne, et moi rien. Mon corps juvénile et ma peau blanche les rendait fous. Quand ils me croisaient sur leur passage, je ne pouvais me dérober. Ils me penchaient contre un arbre, écartaient mes fesses et m'enfonçaient leurs gourdins dans le cul. Une fois même, ils ont fait ça à deux. Un, s'est assis sur une grosse pierre plate, m'a amené face à lui et m'a assis sur sa grosse bite. Il s'est allongé, en me plaquant contre lui. Il a relevé ses genoux, présentant mes fesses saillantes à son camarade de jeu. Celui-ci posa son pieu sur mon petit trou et l'enfonça derechef.
Après six années à leur servir de femme, un bateau Hollandais accosta. Ses soldats tuèrent tous les nègres et me ramenèrent en Europe.
Les marins Hollandais avaient eu vent de mon rôle sur l'île.
Eux aussi, déversèrent leur semence dans mon cul. Amsterdam est connue de puis très longtemps pour le commerce d'amour. Les putains, femmes ou hommes, se vendaient au marché, comme les esclaves. On me fit monter sur une sorte de ring.
Je portais comme unique vêtement, un pagne en coton. Rien dessous ! Un écriteau autour du cou indiquait :
SODOMITE A VENDRE : venez essayer !
Les enchères commenceront Dimanche aux vêpres.
Les chalands me voyaient de profil. J'étais debout, les mains liées à la corde du ring. De temps en temps, le vendeur soulevait mon pagne pour montrer mon cul à la populace. A chaque fois, des rumeurs de stupéfaction se faisaient entendre. De temps en temps, un quidam intéressé montait sur le ring ouvrait son pantalon, relevait mon pagne, et devant le foule ébahie, m'enfonçait son vit dans le cul. Puis, un cardinal, tout de rouge vêtu, m'acheta et me fit transporter dans sa voiture. A genoux sur le sol, le torse penché sur le siège, mes fesses étaient levées en l'air, sous les yeux de son Eminence.
- Tu conviendras très bien pour mes plans, me dit-il. Tu verras tu seras bien traité.
J'avais à peine dix-neuf ans quand le Cardinal n'introduit à la Cour de Paris. Habillé en jeune page, je faisais l'admiration des femmes, et des hommes. Les femmes adoraient mon air juvénile et les hommes lorgnaient volontiers sur mes fesses. Le Cardinal avait fait confectionner des chausses dont l'arrière portait des boutons. Je ne devais porter ce vêtement que sur son ordre, rien dessous. Les invités étaient autorisés à défaire ces boutons pour caresser ma croupe, et, c'est évident, pour transpercer ces si jolies fesses. De temps en temps on entendait :
- Jolies damoiselles, nous vous baisons pour assurer notre descendance, mais quelle est celle qui peut rivaliser avec un si joli cul ? Je n'ai point honte de dire que le plaisir est supérieur au devoir. Foutre mon vit dans le cul de cet éphèbe me transporte au pinacle.
Quelques mois plus tard, naissait le futur Henri, troisième du nom. Dès sa naissance, je fus affecté à son service. Je ne sortais jamais de sa chambre. En sa présence, je devais rester nu.
Mes attributions étaient de prendre le bain avec le petit Prince et de l'initier à l'homosexualité.
Je devais le laver, en insistant sur son cul et son vit. Jamais une femme ne l'approcha en dehors de sa mère et des courtisanes lors de représentations publiques.
A mesure qu'il grandissait, mes fonctions évoluaient. Le prince Henri, reçut sa première "sucette" à sa première bandaison. Je l'initiai aussi à la branlette, mais, ordre du Cardinal, jamais par lui-même. Le futur Roi, était persuadé que cette pratique était le devoir de son page, et qu'elle pouvait être éxigée à tout moment. Un jour, dans le parc du château, le jour de ses dix-huit ans, il vit un cerf couvrir sa biche. De retour dans ses appartements, il me dit :
- Cory, aujourd'hui je vous déclare biche.
- Bien Votre Majesté, répondis-je.
- Moi, je suis le grand cerf du parc, ajouta-t-il. Le gardien m'a dit que c'était le devoir du cerf de couvrir sa biche ! Qu'en penses-tu Cory ?
- Je ne sais pas, Majesté. Le gardien du parc sait certainement mieux que moi.
- Bien sûr qu'il sait mieux que toi ! Il est donc de mon devoir de te couvrir. J'ai vu faire le cerf et le gardien m'a expliqué. Présente-moi ton cul à présent !
C'est ainsi que le futur monarque m'infligea sa première sodomie.

Henri avait une soeur qui s'appelait Elisabeth.
Il avait été projeté de la marier avec Philippe d'Espagne.
Quand il fut avéré que le dauphin de France était devenu homosexuel, on m'expédia en Hispanie, dans les bagages d'Elisabeth. Philippe avait deux fois son âge. Elisabeth m'aimait bien. De temps à autre, elle me faisait l'honneur de partager sa couche. Tant et si bien que je suis le véritable père de Catherine, la supposée fille de Philippe(affabulation, bien sûr !). Craignant pour ma vie, Elisabeth me fit enrôler sur le Diablo, vaisseau composant l'invincible Armada. Je fus le seul marin survivant de la bataille. A mon retour, je fus enfermé dans une prison en attendant d'être conduit au bûcher, convaincu de sodomie.
Catherine, supposée être la fille du roi d'Espagne, venait d'épouser Charles-Emmanuel de Savoie. Me sachant en danger, elle m'enleva en secret et me cacha à la cour de Savoie. Mes connaisances en matière de navigation me permirent d'initier pas mal de jeunes mousses aux jeux de l'amour entre hommes. Nombre de ces jeunes gens choisissaient la marine, pourchassés qu'ils étaient pour leur penchant et leur charme sulfureux d'éphèbes coquins.

Prenant de l'âge, j'étais de plus en plus ému par leurs petites fesses dures et rebondies. Je crois, que je les ai tous vu nus. Mes mains tremblantes continuaient à palper ces galbes érotiques et, la seule compensation à laquelle je pouvais prétendre, était de boire à leurs jeunes sources, ce liquide capable de donner la vie. Je ne sais pas si l'homosexualité est héreditaire, mais deux des petits-s de Catherine eurent des destins bizarres. François est mort à 6 ans de la maladie espagnole et sa soeur Henriette, mariée à Fredinand, fut la grand-mère de Louis de Bavière, homosexuel notoire. Avant de rendre mon âme à Dieu, J'ai vu le fils cadet de Catherine s'enrôler dans la marine italienne. Il avait hérité de mon cul. Tous les regards se posaient sur lui à son passage. Contrairement à moi, il sut trés vite comment s'en servir. Il s'habillait de manière à laisser tout voir. Il fallait qu'il éxcite les puissants. On peut dire qu'il se croyait plus haut que son cul.
Certains, voulaient en faire un castrat, mais les amateurs de chair fraîche et qui plus est noble, les en empêchèrent. En pleine pèriode de la Renaissance, l'anatomie de mon petit-fils servit à nombre de peintres pour représenter des corps de Dieux grecs ou romains, avec consommation à la clé.
La statue de David, par exemple, c'est mon petit-fils.
Michel-Angelo était trés attiré par les culs juvéniles. Quand il vit celui d'Alexandre, il fut subjugué. Il peignit cinq toiles de lui, la culotte descendue un peu plus bas à chaque tableau. Quand on promenait son regard un peu vite sur les cinq oeuvres, on pouvait imaginer le mouvement des mains d'Alexandre baissant son slip. Le cul cambré d'Alexandre reçut de nombreuses fois le sexe de Michel-Angelo. Son oeuvre picturale, donna l'idée à un édile de Venise, de reproduire au réel le geste entrevu dans la peinture. On apprit à Alexandre à baisser son slip lentement en faisant languir de vieux barbons se masturbant devant le spectacle. N'y tenant plus, certains venaient toucher, voire embrasser ses fesses.
D'autres, plus hardis, venaient y éjaculer. Quelques années ont passé, et, le corps d'Alexandre changeant, il retourna à ses chers bateaux.

Alexandre s'était engagé sur les navires vénitiens. Au moment de ma mort, l'Eglise pourchassant les sodomites, il se réfugia à Candie, en passant par la Morée. Ces contrées étaient réputées pour ses navigateurs et sa tolérance envers les sodomites. Arrivé à Athènes, Alexandre fut subjugué par les innombrables statues d'hommes nus. Les histoires d'amour entre hommes fleurissaient sur les bateaux. Beaucoup de poteries glorifiaient le corps masculin. l'exceptionnelle beauté du cul d'Alexandre lui valut de nombreux hommages. Les capitaines de navires se le disputaient.
Le roi de Mycènes, le fit capturer, rien que pour admirer sa croupe. Quand il le vit, il emmena Alexandre dans son palais. Là, il lui ôta sa tunique, palpa son torse pour vérifier la douceur de sa peau. Il le traîna et l'agenouilla contre le bord du lit. Il courba son corps sur les draps, caressa longuement ses fesses, les écarta et plongea voluptueusement son épée de chair entre les globes charnus. Sous l'effet de la pénêtration, le sexe d'Alexandre se tendit. Le roi fit appeler une servante qu'il chargea de vider les couilles du giton.
Le sport était une institution en Morée. Ils modelait les corps des jeunes athlètes. Leurs fesses musclées, la plupart du temps dénudées, attiraient les regards et les mains des hommes.
L'arrivée d'Alexandre sema le trouble dans cette contrée. Son cul sans pareil, attirait les faveurs des puissants. Pour pouvoir le regarder et le montrer aux autres, on lui fit confectionner des tuniques s'arrêtant plus haut que celles des autres. Les siennes laissaient voir le haut des cuisses et la naissance des fesses. On pouvait en voir une partie à chacun de ses mouvements.
Il n'était pas rare qu'on essaie de glisser un doigt entre elles. Le plus souvent, les hommes faisaient semblant de laisser leurs mains traîner et ainsi frôler le joli attribut.
Seuls les invités du roi pouvaient caresser Alexandre tout leur sâoul. Le petit trou étant son entrée exclusive.
Mais, Alexandre rêvait encore de bateaux. En échange d'une sodomie à plusieurs, quelques marins l'aidèrent à s'enfuir. Il voulait aller sur Candie.
Les marins, craignant la colère du roi de Mycènes, éxigèrent d'être payé en or, sur quoi Alexandre leur proposa de le vendre sur le marché aux esclaves de Candie. Le lendemain, il était sur le bateau, cinglant vers les côtes de l'île.

Pendant le voyage vers Candie, les marins se disputèrent. Certains mirent en doute, le fait que la vente couvrirait les frais et leur octroieraient un bénéfice conséquent. Ils en discutèrent entre eux et vinrent à la conclusion que le seul moyen de rentrer dans leurs fonds était de prosti Alexandre. Tout en le ménageant pour ne pas abîmer la marchandise. On lui trouva donc des clients de haute lignée pourvus de fortunes adéquates.
Plus le cul d'Alexandre était visité, plus le bouche à oreille attirait des chalands. Il ne fallu que deux mois pour réunir les 500 000 sequins prévus. La pratique du sexe, embellissait le corps d'Alexandre. Enfin, la rumeur de la vente d'un esclave, beau comme un Dieu, se répandit. Au jour dit, le marché aux esclaves était plein.
Alexandre était vêtu de la tête aux pieds. Nul ne savait à quoi il ressemblait. Qhuand on lui enleva les sandales, une rumeur de stupéfaction s'éleva, quand on découvrit qui était blanc. Les enchères montèrent immédiatement. Les riches marchands arabes avaient un penchant certain pour les esclaves européens. Au moment de l'adjudication, on lui enleva le tissu lui recouvrant la tête.
L'apparition de ses cheveux blonds et frisés, déclencha une frénésie supplémentaire.
- Montrez-le tout entier ! criaient des voix.
- C'est un homme ou une femme ? hurlèrent d'autres.
Quand ils virent ses jambes, les enchérisseurs se déchaînèrent. Le visage illuminé d'un sourire égrillard, commença à exacerber les rivalités entre acheteurs. On fit tourner le dos d'Alexandre à la foule et on fit glisser sa tunique vers le bas. A mesure que le vêtement descendait, découvrant ses épaules et son dos, la colère du public impatient montait. des sommes pharamineuses étaient annoncées. Le montreur d'esclaves, descendit la tunique centimètre par centimètre, les gens étaient debout, les yeux exorbités. Quand enfin ses fesses furent entièrement dénudées, ceux qui pouvaient s'offrir cette merveille, s'invectivaient :
- Celle-là est à moi, Mohamed Ahmed ! cria un
arabe. Il y en aura d'autres pour toi !
- Ah oui ? Et pourquoi t'offrirais-tu la plus belle ?
- Mes seigneurs ! appela le montreur d'esclaves, attendez de voir la fin !
On retourna Alexandre, et on entendit un :
- Oooohhhhh !!!!! Mais, c'est un mâle !
Alexandre avait le sexe dressé et conquérant.
- Oui, mes seigneurs, c'est un mâle. Sachez que presque tous les souverains d'Europe lui ont pris le cul. Le plaisir que vous retirerez de lui, dépassera vos espèrances.
Sa plus belle prestation fut quand Sa Majesté Le Doge Boccanègra l'encula en public sur la place Saint-Marc. En compensation pour les perdants, son acquéreur pourra en faire autant, ici-même. Il est évident que ce beau garçon sera rhabillé et que vous pourrez assister à nouveau à sa mise à nu.
Le nouveau propriétaire d'Alexandre, avait ramené d'une autre contrée, un vêtement tout nouveau, qui épousait parfaitement la forme de ses fesses. Alexandre, tournant le dos à l'assistance, son acheteur entreprit de baisser avec lenteur ce que plus tard on appellerait un slip. Il écarta de ses doigts, les fesses d'Alexandre et on entendit :
- Au fond, jusqu'au fond, enfonce-toi tout entier !
L'homme fit faire un 180° à Alexandre, pour que tout le monde puisse voir son trou du cul. Puis, le positionnant de profil, il sortit son sexe, le posa sur le trou et l'enfonça jusquà la garde.

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