Collection Pute. Grand-Mère Odette. Saison Iv (11/12)

Qui y a-t-il dans ce dernier sac ?

C’est sur cette interrogation suite à la coupure de la conversation entre le portable de Jocelyne cheffe gendarme belge et un de ses adjoints retourné avec un jeune débutant en police au commissariat de Tournai que nous nous interrogeons.
Ils devaient déclencher un ordre d’interception du véhicule de Serge, le comptable de grand-mère et Lala sa barmaid semblant l’avoir abusée.
Par chance, par négligence de mamy lorsqu’elle a fait un AVC fulgurant, le coffre-fort qu’elle avait dans son bureau était ouvert et j’y découvre un vrai trésor.
Liasses de billets d’euros et surtout quatre lingots d’or semblant venir de la Seconde Guerre mondiale, vu les signes nazis et la date, 1936.
Quand par chance, je m’arrête chez Serge, l’expert-comptable ayant pignon sur rue au centre de Tournai, les pièces comptables de mamy, je déclenche un effet secondaire.
Lala étant sa maîtresse, ils profitent de mon absence pour certainement vider le coffre, la barmaid en ayant la combinaison.
Les lingots, l’argent et accessoirement les godes sont chez Sacha où elle les a cachés, car pour nous couvrir, après avoir mis les filles en repos, j’appelle la police locale.
C’est Jocelyne qui se déplace avec deux de ses adjoints.
Jocelyne, les renvois après que j’ai orienté les recherches vers le couple étant venu chez mamy fouiller son logement.
Jocelyne car en attendant le judiciaire venant de Bruxelles, nous devenons amantes et dans un jeu érotique je l’ai menotté au barreau de mon lit or, elle a oublié ses clefs.
Quand nous nous en apercevons, c’est trop tard, Alissia de la police bruxelloise arrive et après l’idée que j’en ai, je lui demande de l’aide avec ses propres clefs de menottes.

Note de Chris71.
Ingratitude féminine.
Dans leur détresse, les filles m’appellent au secours.
Dans la situation où elles se sont mises et maintenant que tout semble rentrer dans l’ordre, en expliquant ce qui leur arrive, Gladys s’approprie la piste que je leur ai donnée.


Mais, si j’écris c’est que j’aime les situations ou je place mes héroïnes et mes héroïnes elles-mêmes.
Je leur pardonne.

Aix la chapelle, c’est en Allemagne, mais nos voleurs se sont fait arrêter avant la frontière en Belgique.

• Pourquoi ça a-t-il coupé ?
• Ma batterie, je l’ai mise en charge, mais elle a des faiblesses et j’oublie toujours d’en commander une nouvelle à notre administration.
• Tu vois pourquoi tu es toujours à Tournai et moi à Bruxelles.

Je comprends que ces filles, si un moment elles se sont aimées malgré ce que m’a expliqué Joselyne sur ses problèmes liés à ses tendances sexuelles étant une gendarme, elles restent chienne et chatte.

• Bien, il est temps que j’aille bosser, mes hommes doivent m’attendre.
Jocelyne, toi tu retournes auprès de ton équipe à ton commissariat.
Vous vous occupez du suivi des fuyards et tu feras le nécessaire pour que ton portable fonctionne.
Mademoiselle Gladys, pouvez-vous nous laisser jusqu’à demain, avez-vous un endroit où dormir cette nuit ?
Donnez-moi les clefs, je les déposerais au commissariat en repartant.
• Si tu le veux Gladys, je te dépose chez moi, je te ramènerais demain matin.
• Merci, mais inutile, Sacha mon amie va m’héberger pour la nuit, de toute façon, je devais passer la voir pour lui donner des nouvelles de ma grand-mère et ses s m’attendent.

Je quitte les filles, je vois bien que Jocelyne est un peu déçue que je semble en préférer une autre, mais elle se tait, sentant qu’elle avait fait assez de conneries devant Alissia
Quand je croise l’équipe de cette dernière, il me regarde passer.
Je suis fière des quatre paires d’yeux qui saluent le passage de mon petit cul.

• Alors où en est-on ?

Je lui raconte par les détails devant un bon bol de soupe et quelques chocolats belges, après avoir été embrasser les s.
Après avoir pris une douche ensemble avec seulement quelques caresses lorsque nos mains ont réciproquement nos corps,

• Ou as-tu mis l’argent et les lingots Sacha.

• Quels argents et lingots de quoi parles-tu ?
• Arrête de te foutre de ma gueule, ça pourrait marcher si tu étais une salope alors que tu es la femme la plus droite qui m’est été amenée de rencontrer dans ma courte vie.
• Et ça se voit comment ?
• Être capable après ce qui t’est arrivé avec son mari de se prosti pour élever ses s, peu de femmes sont capables de telles décisions.

De nouveaux baisers sellent mes propos.

• Cacher ton magot a été difficile, mais j’ai rapidement trouvé une solution.
Le coffre de pirate des filles, c’est le seul endroit qui avait une clef et qui irait chercher de l’argent caché à l’intérieur ?
• Des pirates !

Nous éclatons de rire et un gros baisé ponctue mes propos.
L’argent bien gardé, je peux attaquer la principale proposition que je veux lui faire.

• Sacha, prendre des bites tous les jours pour élever tes filles est-il une fin en soi ?
• Je vieillis et j’aimerais trouver un job qui me rapporte autant.
Avec le chômage qui sévit et les travaux à faire dans ma maison, ça m’éloigne pour des années de la possibilité de retrouver une vie normale.
• Tu vois que tu es une femme honnête, tu es riche à millions.
L’idée pourrait t’effleurer de piquer l’argent de mamy pour sortir de ta condition et à aucun moment l’idée semble t’être venue.
Je te propose une alliance.
Pour commencer, je reviens définitivement ici.
Je récupère mamy et tu m’aides à trouver une infirmière à domicile comme me l’a suggérée le docteur Sala.
• L’infirmière qui s’occupe de mes filles, me disait qu’elle cherchait des clients pour ce genre de travail Loïse serait parfaite pour cela.
• Tu t’en occupe, il faudrait qu’elle soit là pour que nous l’installions dans sa chambre.
Ensuite, il faut que je remplace Lala et c’est là que je pense te redonner une respectabilité.
Tu deviens mon bras droit, tu remplaces la salope qui va passer quelque temps à regretter d’avoir trahi mamy et tu gères les filles.

• Si j’accepte, il va falloir me remplacer, les filles auront trop de clients, ta grand-mère a toujours refusé que sa maison soit une maison d’abatage pour les filles.
• Là encore, j’ai une solution, tu as vu le classeur rose, un premier profile de candidate m’a semblé convenir.
Nous pourrions la convoquer et voir ce qu’elle est capable de faire et surtout d’accepter.
Comment Odette faisait lorsqu’elle a recruté Sabine ou Sylvie ?
• Ta grand-mère et Lala après avoir choisi la confiaient à un bon client qui s’occupait d’elle et qui leur faisait un rapport.
• Deux mecs ensemble, ce serait possible !
De toute façon, nous embaucherons au moins deux filles
• Encore mieux, mais qui pourrait te rendre ce genre de service.
• Deux gars qui sont français et que je connais, des jumeaux.
Ils habitent tout près de la frontière et ainsi je serais en position de force pour négocier l’ensemble des réparations de cette maison, ta maison.
Souvient toi que nous avons de grosses liasses de billets que s’il le faut nous irons récupérer avec des sabres chez les pirates.

Elle se lève avec un baiser sur mon sein droit, le plus proche au passage.
L’autre est déjà jaloux, mais malgré ses grossesses elle est agile et disparaît dans la salle de bains.
J’entends ses jets tomber dans la cuvette, le bruit du rouleau de papier ponctué d’un grand mot de Cambronne lorsque le rouleau de papier 17 se déroule avant qu’elle arrive à l’arrêter.
Le rouleau remis en état, la chatte propre je l’entends farfouiller.
Elle revient, à sa taille elle a fixé autour de sa taille, le gode trouvé chez grand-mère.
Depuis que j’ai pris ma Vespa, pour retrouver une femme, appelée Odette, qui s’avère être ma grand-mère tenancière de bordel à Tournai en Belgique, ma mentalité a évolué.
Ce gode, mamy a dû s’en servir avec divers partenaires, lorsqu’elle monte sur le lit flamberge au vent, j’écarte mes cuisses, toutes inhibitions disparues.

Un vrai petit mâle qui se déchaine.

• Oui, oui, oui.

Le sexe en moi est rigide et doux à la foi, je pars rapidement.
Sacha est plaine d’initiative, un vrai petit mâle en puissance.
Elle quitte ma chatte pour se retourner et me présenter ce sexe ayant appartenu à grand-mère pour un usage que je préfère ignorer quand je le prends dans ma bouche.
Sacha commence à me lécher me renvoyant vers un nouveau paradis qui, lorsque nos jeux cessent, me laisse vanner.
C’est le gode de mamy toujours en pleine forme est collé à mes fesses et je dore.

Dans la nuit je me réveille, une petite envie pressante.
Je me lève, je manque d’éclater de rire.
Sacha est allongée, dormant du sommeil du juste.
Sa bite est bandée vers le ciel, toujours en pleine forme.
Une fois essuyée, faisant attention que le rouleau reste en l’état, je m’essuie, tentée de m’empaler de nouveau.
Terminée les tergiversations sur mamy baisant ou se faisant baiser avec cet engin toujours en pleine forme pour nous satisfaire.
Je descends dans la salle à manger où je sais que ma maîtresse chérie à un ordinateur.
Pas de chance, un code de sécurité.
Je vais pour remonter, trouver celle qui m’héberge si divinement.
Je sursaute de peur.

• C124578, c’est ce code que tu cherches.


Je me retourne, Sacha est là aussi nue que moi et la flamberge en ceinture au vent.
Vue dans la lumière de la lampe de bureau que j’ai allumée, elle est grotesque.

Mais que vient-elle faire aussi ici, avons-nous eux la même idée dans nos rapports fusionnels...

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