Un Été Naturiste 2

Le chemin de retour au chalet a été long… J’étais complètement perdu dans mes pensées. Ainsi donc mon fils est bi ou gay et comme moi, il aime venir se perdre dans les dunes pour des rencontres improbables. Et lui, que j’ai toujours regardé comme mon , que j’ai vu grandir années après années, y compris dans ses détails les plus intimes grâce à notre vie naturiste, m’apparait désormais pour ce qu’il est vraiment : un magnifique jeune mâle, qui vit librement sa sexualité et qui partage les mêmes goûts que les miens.

Ce qui me troublait le plus à ce moment, c’est surtout la question de mon attitude vis-à-vis de lui. Il ne sait rien, mais moi je sais. Comment continuer à le regarder et lui parler comme je l’ai fait jusqu’à présent. Et je ressentais aussi de partager avec lui cette complicité nouvelle.

C’est donc un peu troublé que je suis rentré au chalet. Il n’y avait encore personne. J’ai décidé de prendre une douche pour me remettre de cette étrange après-midi. Une fois sous l’eau, j’ai repensé à ce que j’avais vu de loin, Thierry allongé sur le dos et Thomas, mon fils, avec sa casquette orange, affairé sur la queue de mon pote de sexe.

Imaginer mon fils sucer cette queue que je connais si bien m’a immédiatement excité et fait bander. Ma queue a déployé ses 18 cm, le prépuce s’est enroulé pour dégager mon gland qui, déjà, laisse échapper quelques gouttes de mouille, que j’étale bien pour mieux me branler. Fermant les yeux, mes ma main gauche passant de mes tétons à mes couilles, puis ma rondelle encore assouplie par le pilonnage de la queue de Thierry, pendant que je continue de me branler de la main droite, je fais durer le plaisir jusqu’à jouir enfin et maculer le carrelage de la douche de quelques gouttes blanches et crémeuses. Deuxième éjaculation de l’après-midi : je me sens à nouveau plus détendu et je vais m’allonger dans le hamac où je ne tarde pas à m’assoupir.

Il doit être 19h00 quand j’émerge enfin, en entendant du bruit autour de moi.

Toute la famille est rentrée et nous nous asseyons autour de la grande table de la terrasse. Chacun se raconte son après-midi. Ma femme s’est faite papouillée au centre de massage, Julie s’est amusée sur la plage avec ses amis et amies, qu’elle fréquente ici tous les étés depuis des années. Thomas nous raconte son après-midi de surf près de la plage nord avec ses copains. Il oublie juste de préciser que sa séance de surf n’a pas commencé vers 14h00, mais bien plus tard.

-Tiens Thomas, je suis aussi allé me balader vers le nord du domaine, j’aurais presque pu t’apercevoir. Une prochaine fois, dis-le-moi avant, je t’accompagnerai jusque-là ou on rentrera ensemble.
-Mon fiston rougit un peu avant de me répondre : oui pourquoi pas mais tu sais j’étais avec mes potes et tout se décide un peu à la dernière minute.
-Pas de problème mon grand, je te taquinais. C’est sûr qu’à 20 ans, on n’a pas besoin ni ment envie d’être accompagné par son papa dans ses sorties.

Lui faisant un clin d’œil et lui passant la main dans les cheveux pour l’ébouriffer, comme j’aime le faire si souvent, je lui dis : Va ta douche et rejoins-nous pour le dîner. Je ne sais pas s’il se branlera en prenant sa douche mais je ressens une excitation à penser qu’il va marcher là où mon sperme est tombé un peu plus tôt.

Finalement, ce fut une soirée comme les autres. Après le repas, les s sont partis rejoindre leurs amis pour ne rentrer que vers 23 heures. J’ai entrepris une longue conversation avec Valérie, ma femme, au sujet des s, qu’ils grandissaient trop vite, qu’ils étaient devenus des adultes et que dans très peu de temps, ils ne viendraient sans doute plus en vacances avec nous. Elle a été un peu surprise de ces pensées nostalgiques, qui ne me sont pas habituelles.

Autant dire que je n’avais pas trop envie de sexe avec Valérie ce soir-là et j’ai fini par m’endormir en repensant à cette journée peu ordinaire.
Le lendemain matin, ma décision était prise : quoi qu’il en coûte, j’étais résolu à partager avec Thomas ma bisexualité et à donner un tour complètement nouveau à ma complicité avec mon fils.


Rien qu’à cette idée, je ressentais déjà une excitation perverse au creux des reins.

Premier levé, j’allais prendre ma douche et je préparais, comme à mon habitude, le petit déjeuner pour toute la famille. Entre temps, Valérie et Julie étaient levées, mais Thomas trainait encore….

Les s ont dû rentrer tard, car je ne les ai pas entendus de la nuit. Je décidais donc de frapper à la porte de la chambre de Thomas. Sans réponse, j’ouvrais la porte. La chambre était plongée dans l’obscurité. J’entrais : Thomas dormait encore, j’entendais sa respiration calme et l’observait un instant, allongé avec un simple drap sur lui. Une vision magnifique de ce jeune homme athlétique, bronzé, viril. Je m’assis sur le bord du lit et passait la main sur l’épaule de Thomas pour le réveiller.

- Bonjour mon grand, désolé de te réveiller, mais il est déjà tard. Tu nous rejoins pour déjeuner.
- Bonjour papa, oui, désolé. Suis rentré tard hier soir, j’ai passé la soirée avec Julien et Adrien (ses copains d’enfance ici au centre naturiste). On a bu des bières sur la plage et suis un peu cassé ce matin.
- OK, prend ton temps alors, on commence sans toi.

Un peu plus tard dans la matinée, prétextant d’aller nager à la piscine du centre, comme tous les matins, je décidais d’aller voir mon pote Thierry à sa caravane et lui expliquer ma résolution.

On se retrouve ainsi installés dans sa caravane, devant un café.
Moi : « Tu sais que cette histoire avec Thomas m’a rendu dingue. Me suis branlé hier en rentrant en y repensant et j’ai décidé que je voulais aller plus loin aujourd’hui.
Thierry : comment ça, plus loin ? Tu veux coucher avec ton fils ?
M. Non, ça je ne le pourrais pas. Mais j’ai envie de pousser la complicité sexuelle avec lui et j’ai mon plan. Puisque tu lui as donné rendez-vous cette après-midi dans les dunes, je viendrais vous surprendre quand vous serez en pleine action. Là, il ne pourra pas nier ou se défiler.

T. : Tant que je peux jouer avec cet Appolon et aussi avec toi, ça me va. »

Et joignant le geste à la parole, il me caresse la cuisse, puis s’accroupit devant moi qui suis toujours assis sur la banquette de la caravane. Il écarte mes cuisses et commence à me lécher les couilles à petits coups de langue, puis plus langoureusement. Il sait que j’adore me faire gober les couilles et continue ainsi pendant quelques minutes. Ma queue n’a pas attendue longtemps avant de se redresser. Elle est complètement décalottée et je mouille abondamment.

Thierry adore lécher ma mouille, toujours abondante, mais ce n’est pas ma queue qui l’intéresse ce matin. Toujours accroupi devant moi, il m’attire à lui puis m’allonge sur la banquette et me redresse les jambes. Je lui offre ainsi ma rondelle bien poilue et il s’empresse de me la lécher, puis d’y enfoncer sa langue.

Je suis aux anges et gémis sous ses caresses. « Continue Thierry, c’est trop bon et tout à l’heure, tu pourras aussi goûter au cul de mon fils. On s’offrira tous les deux à ta langue et à ta queue ».

Après quelques minutes de ce délice, nous décidons d’arrêter, pour conserver toute notre énergie en prévision de cette après-midi qui sera inoubliable, quelle que soit la suite des évènements. Nous fixons les derniers détails de notre scénario et je quitte bientôt Thierry pour aller nager à la piscine avant de rentrer déjeuner. Il faut bien que je donne consistance à mon alibi !

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