Un Été Naturiste 3

L’ambiance du déjeuner familial fût un peu curieuse pour moi. Thomas ne se doutait de rien et je le trouvais un peu dans la lune. Il devait certainement penser à ses retrouvailles programmées dans quelques heures avec mon ami Thierry dans les dunes. Valérie, mon épouse, et Julie notre fille étaient d’excellentes humeur et parlaient de leurs projets pour l’après-midi. J’annonçais que j’irai faire une promenade digestive dans l’après-midi, comme à mon habitude et que j’irai probablement nager dans l’océan avant de rentrer me reposer.

Moi : et toi Thomas ? Quels sont tes projets cette après-midi ?
Thomas : Julien passe me prendre et nous allons ensemble surfer. Je pense qu’on y passera toute l’après-midi.
Moi : vous ne serez que tous les deux ? Où sont passés vos autres copains ?

Touché ! J’ai vu à l’air un peu embarrassé de Thomas que la question le gênait. Je n’insistais pas et savourais par avance mon scénario qui se mettait en place comme je l’espérais.

Vers 14h00, nous avons accueilli Julien, qui a pris le café avec nous. Du même âge que Thomas, et tout aussi bien bâti que lui, il a néanmoins un système pileux moins développé : une barbe très peu fournie, des cheveux châtains et quasiment pas de poils sur le corps. Et puis cette habitude de se raser le pubis, comme on le voit tant chez les naturistes. Les 2 garçons se connaissent depuis l’enfance. Thomas et sa famille fréquentent le centre tous les étés, depuis à peu près aussi longtemps que nous. D’ailleurs nos 2 familles s’invitent de temps en temps pendant notre passage au centre.

Bref, Thomas et Julien sont depuis toujours très complices et presque comme deux frères. Ayant vu grandir Julien comme Thomas, au fil des ans, je le considère aussi un peu comme un fils pour moi et suis très heureux pour les deux que leur amitié d’enfance se consolide au fil des ans.

Peu après, les garçons partent en direction du club de surf, où ils entreposent leur planche et leur combinaison.

Valérie et Julie se mettent en route peu après. Je suis libre de mon après-midi et prépare ma petite expédition vers les dunes au nord du centre, pour lesquelles j’ai une bonne demi-heure de marche dans la pinède.

Je laisse de l’avance à Thomas, car il doit retrouver mon ami Thierry pour une après-midi de sexe et mon projet est de les surprendre tous les deux pour profiter du spectacle et regarder de près mon fils s’offrir totalement et passivement à un homme de mon âge. En route, j’envoie un SMS à Thierry pour lui confirmer mon arrivée.

Je retrouve sans peine l’emplacement habituel ou Thierry et moi avons l’habitude depuis plusieurs années de nous retrouver pour nos rencontres discrètes, parfois partagées avec d’autres mecs. Je ne suis plus qu’à 20 mètres lorsque je réalise qu’ils sont 3 : Thierry, Thomas et, surprise, Julien. Tous les 3 à genoux, en train de s’embrasser et de se caresser, dans ce qui ressemble fort aux préliminaires d’un plan à trois. Je comprends mieux cette complicité qui lie Thomas et Julien depuis des années et qui explique aussi pourquoi ces 2 jeunes adultes continuent à venir en vacances avec leurs parents en centre naturiste, alors qu’ils pourraient passer leur été tout autrement.

Je me repais du spectacle pendant quelques minutes, observant les mains des uns passer sur les dos, les fesses, le sexe des autres, devinant les queues qui se mettent à gonfler et se redressent. Ma queue aussi ne reste pas indifférente à ce spectacle, et je la sens déjà à moitié érigée.

Il est temps de passer à l’action, je m’approche du trio et, posant une main sur les fesses de Thierry et une autre sur les reins de Julien, je les fais sursauter en disant « Je peux me joindre à vous ? ».

C’est le choc. Thomas blêmit et il débande aussitôt. Julien ne semble pas plus à l’aise.
Moi : « Calmez-vous les garçons, je suis très heureux de voir que vous connaissez Thierry aussi intimement que moi. Nous nous connaissons depuis des années maintenant et nous nous retrouvons tous les étés pour nous amuser ici ensemble.
Et je suis ravi de voir que mon fils adoré partage les mêmes goûts que moi en matière de sexe.
Quant à toi, Julien, c’est une belle surprise de te retrouver là aussi. Tous les deux vous formez un beau binôme de surf. »

Thomas : « Mais comment savais-tu que nous étions ici ? »
M. « Je t’ai aperçu de loin hier, en train de pomper Thierry. Lui et moi en avons parlé et j’ai décidé de te faire la surprise. Mais c’est aussi une excellente surprise pour moi de voir Julien ».

Joignant le geste à la parole, je caresse les fesses de Julien et ma main se fait insistante pour fouiller sa raie, que je sens lisse et bien humide. Il tourne le visage vers moi et nos lèvres se rapprochent. Non seulement Julien est chaud, mais je le sens d’une sensualité et d’une tendresse à laquelle je ne vais pas résister bien longtemps.

Thierry n’est pas en reste. Il fait face à mon garçon et lui passe les mains sur son torse, son ventre, le dos… Puis ils s’embrassent passionnément.

Sentir que mon fils est dans les bras de mon ami, juste à côté de moi, décuple mon excitation. Ma queue est maintenant complètement dressée et vient buter sur celle de Julien.

Nous nous allongeons tous les deux. Julien se met sur le dos. Quittant ses lèvres et sa langue, je viens d’abord l’embrasser dans le cou, sur le torse. Je lèche ses tétons, puis lui relève les bras et viens longuement lécher ses aisselles, l’une après l’autre. Pour mon plus grand plaisir, elles ne sont pas rasées et mon nez vient se perdre dans cette toison brune, humide et salée, que je lèche avec délectation. Je descends vers son ventre pour pouvoir commencer à humer sa queue, la lécher et découvrir son goût salé et masculin, descendre vers ses couilles. Je remonte ses jambes sur mes épaules et les écarte, lui fait arrondir les reins et j’ai ainsi un accès direct à son périnée et sa raie, que je m’empresse de lécher. Je le sens vibrer sous mes caresses et ses gémissements quand je m’attarde sur sa rondelle me confirment que Julien adore s’offrir.


Pendant ce temps, du coin de l’œil, j’observe Thierry qui s’occupe de mon fils. En fait, c’est plutôt l’inverse. Thierry se laisse lécher et pomper par Thomas qui semble se régaler de déguster la queue et les couilles de mon ami. Et Thierry se lâche complètement en traitant Thomas de bon fils soumis, de bonne suceuse, de fiston pervers….

J’abandonne le cul de Julien et me place au-dessus de son visage. Je lui tends ma queue bandée et il ne se fait pas prier pour l’avaler et commencer une pipe d’enfer. Je mouille toujours beaucoup quand je suis très excité. Je prends plaisir à ressortir ma queue de sa bouche pour mieux lui faire lécher ma mouille.

Thomas est toujours occupé à pomper Thierry et je vois que lui aussi mouille terriblement : un filet s’écoule de sa queue raide et qu’il ne touche pas. Décidemment, mon fils tient de moi sur tous les plans : la pilosité, le goût des hommes, une belle queue de 18 cm et pas trop épaisse, et beaucoup de fluides à partager. Cette découverte de notre complicité père-fils dans notre sexualité m’excite et me réjouit.

Je me retourne. Je laisse ma queue et mon cul à la bouche de Julien pendant que de mon côté, j’embouche sa queue et je le doigte en même temps. Mon index a vite fait de rentrer de plusieurs cm dans son cul déjà bien ouvert. J’y ajoute un deuxième puis un troisième doigt, alors que je sens mon jus prêt à jaillir, sous l’effet de la pipe magistrale de mon jeune amant. Je me retire rapidement et je mets Julien en levrette pour le prendre et profiter au mieux de son cul. J’entre facilement et doucement, avant d’accélérer. Je sens le plaisir qui monte. Julien se branle en même temps, ce qui ressert son trou sur ma queue et augmente encore les sensations. Après quelques minutes de ce régime, il me demande de me lâcher en lui, ce que je fais en gémissant, dans une ultime poussée des reins. Je sens Julien qui jouit sous moi, en même temps.

Les gémissements que j’entends à côté ne laissent aucun doute : Thierry et Thomas vont bientôt jouir eux aussi.
Julien et moi tournons la tête pour découvrir une scène magnifique : Thomas s’est empalé, assis, sur la queue de Thierry qui est couché sur le dos. Tout en se branlant d’une main et en se pinçant un téton de l’autre, il s’agite sur la queue de mon ami et se donne du plaisir à son rythme. Thierry, les mains sur les hanches de mon fils, l’accompagne dans ses mouvements de bassin. Finalement les deux jouissent en même temps, dans un râle de plaisir, à l’unisson.

Nous reprenons nos esprits pendant quelques minutes, tous les 4 allongés l’un à côté de l’autre. Thomas semble blotti contre Thierry, alors que je caresse d’une main le ventre et le torse de Julien. On sent tous comme une gêne qui s’installe, tout est allé si vite. Je décide donc de briser le silence.

Moi : alors les garçons, j’espère que vous ne m’en voulez pas de ce piège que je vous ai tendu.
Thomas : Au contraire, Monsieur ! (Je le connais depuis tout petit, et il m’a toujours vouvoyé en m’appelant Monsieur).
M : je crois que tu peux m’appeler Alain et me tutoyer, tu sais, Julien.
Julien : je ne sais pas si je pourrai. Et puis je dois vous dire que ça fait très longtemps que je fantasme sur les papas en général et sur vous en particulier. Alors pouvoir enfin vivre mon rêve aujourd’hui de faire l’amour avec vous, tout en vous vouvoyant, ça me plait vachement.
M. Comme tu veux mon grand. Et je peux te dire que moi aussi, j’ai adoré te faire l’amour.

Mon fils ne parlait toujours pas. Il fallait que je prenne les devants. « Et toi Thomas, comment te sens tu ? Tu vois, on a encore plus de points communs que l’on imaginait toi et moi. »

Thomas : Je suis un peu gêné que tu aies découvert mon homosexualité comme ça, Papa. J’aurais préféré vous l’annoncer à Maman et toi plus normalement, mais je n’ai pas encore eu le courage de le faire.

M. En tous cas mon grand, tu devines qu’il n’y a aucun problème et que tu peux assumer tes désirs comme tu le souhaites. Toi et Julien, vous êtes en couple ?

J. Non, monsieur, pas vraiment. C’est vrai qu’on a découvert le sexe ensemble il y a 4 ans, mais en fait lui comme moi sommes attirés par les hommes mûrs comme vous et Thierry. On aime draguer ensemble ou se partager un même amant, comme on pensait le faire cette après-midi avec Thierry.

Mon ami Thierry se mit à rire : tu vois Alain, tu m’as privé d’un plan à 3 : j’aurais pu profiter de ces 2 charmants jeunes gars pour moi tout seul.

M. Mon cher Thierry, suis vraiment désolé pour toi. Mais les vacances ne font que commencer et je crois que tu auras l’occasion de vérifier que tu plais aussi à Julien. Quant à toi, Thomas, je suis vraiment heureux de cette complicité qui nous lie ainsi intimement. J’espère que c’est OK pour toi.

Thomas se rapproche de moi et, posant sa tête sur mon épaule : tu sais Papa, quand j’étais petit je rêvais de coucher avec toi. Plus tard, j’ai vraiment commencé à fantasmer sur toi, jusqu’à me masturber dans tes slips que je trouvais au linge sale. Maintenant je sais qu’on sera encore plus complices. On ne fera pas l’amour ensemble mais on pourra tout partager de notre sexualité. Je ne pouvais pas imaginer mieux.

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