Un Été Naturiste 5

L’après-midi s’est terminée dans la douceur. J’ai laissé Thomas et Thierry profiter de la fin d’après midi seuls. Nul doute qu’ils ont dû trouver l’énergie pour reprendre leurs ébats. Mais je ne voulais pas courir le risque d’être tenté d’aller plus loin avec mon fils. Le voir se délecter de ma mouille qui coulait de ma queue bandée m’avais mené à un degré d’excitation incroyable.

Heureusement que cet inconnu nous avait rejoint à ce moment, et que nous avions pu faire un plan à quatre, car Dieu sait jusqu’où j’aurais pu aller avec Thomas, autrement, sous le coup de l’excitation. D’autant que mon fils n’attend qu’une chose : pouvoir faire l’amour avec son père.

Je me suis baigné dans l’océan et suis finalement rentré pas trop tard, histoire d’aider Valérie pour préparer la réception d’Éric, Sophie et Julien ce soir. Tout cela fut vite réglé : quelques courses au supermarché du centre naturiste, la préparation d’une salade de fruits, de crudités et de deux beaux poissons à griller à la dernière minute.

Les naturistes qui connaissent la côte atlantique savent que malgré le plaisir d’être nu, il est souvent nécessaire de se rhabiller le soir, car les soirées sont assez fraîches. Et même dans ce centre naturiste, il y pas de de gens nus après 19h00. Nous étions donc tous habillés quand Éric, Sophie et Julien arrivèrent vers 19h30.

Sophie est une très jolie femme de cinquante ans environ, blonde, assez grande et mince et parfaitement assortie à Éric qui doit avoir à peu près le même âge que son épouse et, pour autant que je sache, quelques années de moins que moi. Bel homme, bien fait de sa personne, brun et magnifiquement bronzé, d’un gabarit et d’une pilosité tout à fait classique. Bref un beau quinquagénaire. Eris et Sophie ont 3 s et nous connaissons la famille depuis des années, car nous réservons tous les étés les mêmes chalets voisins dans ce centre naturiste. Nos s, du même âge, ont noués très jeunes des amitiés qui ne se sont jamais démenties.

Cependant, cette année, seul Thomas est venu avec ses parents. J’appris ce soir-là que son frère et sa sœur n’était plus aussi intéressé par le naturisme et avaient décidé de passer leurs vacances chez leurs grands-parents.

Compte tenu de la relation entre Thomas et Julien, je comprenais pourquoi Julien, quant à lui, préférait revenir au centre.

Nous servîmes l’apéritif, et la conversation roulait sur les banalités habituelles. Il était temps de préparer le barbecue pour la grillade du poisson. C’est bien connu : c’est le boulot des hommes. Très naturellement, Éric annonça qu’il m’accompagnait jusqu’au coin grillade aménagé en bout de parcelle, pendant que Sophie et Valérie papotaient de leur côté et que Thomas, Julien et Julie semblaient pris dans une conversation très animée sur des sujets qui, certainement, n’intéressaient pas leurs parents.

Pendant que nous allumions le barbecue, je sentais Éric un peu gêné.
- Quelque chose ne va pas ? lui dis-je.
- En fait, Alain, je ne sais pas trop comment t’annoncer cela, mais comme on est à deux et que nos femmes ne peuvent pas nous entendre, je saisis l’occasion. Excuse-moi d’avance si tu es choqué.
- Comment ça choqué ? Qu’est-ce qui se passe ?
- Hé bien, c’est un peu délicat à raconter. Notre chalet est conçu comme le tien : tu sais donc qu’il y a une grande fenêtre dans la salle de bain. Et que quand on est dans la douche, on a vu sur cette fenêtre en regardant le miroir.
- Oui, c’est pareil chez moi, mais où veux-tu en venir ?
- Figure toi, qu’il y a quelques jours je prenais ma douche dans la journée et il m’a semblé apercevoir quelqu’un qui m’observait par la fenêtre. C’était un jeune homme, j’en suis absolument sûr compte tenu de sa taille et de son allure. Mais la buée sur le miroir m’a empêché de voir précisément qui cela pouvait être. En plus, il a dû s’apercevoir que je l’avais remarqué car il s’est reculé très vite. Le temps que je sorte de la douche et que j’ouvre la fenêtre pour regarder, il n’y avait plus personne dehors.

- Bon, dis-je en prenant le ton de la plaisanterie, il semble que ton charme agisse encore.
- C’est pas drôle Alain, surtout quand tu connaîtras la suite. Il y a deux jours, la scène s’est reproduite. Cette fois-ci la fenêtre était entrouverte, et de ce fait, il n’y avait pas de buée sur le miroir. Devinant la présence de cet homme, j’ai fait comme si de rien n’était, j’ai continué à prendre ma douche normalement, tout en regardant du coin de l’œil dans le miroir. Figure-toi que ce voyeur, c’est ton fils.
- Tu es sûr de toi Éric ?
- Tout à fait sûr Alain, et comme je n’ai pas montré que je l’avais aperçu, il a continué à m’observer et je suis à peu près certain qu’il se caressait pendant qu’il m’observait. Tu comprends que je suis hyper gêné vis-à-vis de toi et Valérie. Ton fils est peut être homo, ce qui m’est complètement égal, et en tous cas, il a un comportement limite.
- Merci de m’en avoir parlé Éric. Écoute, je te promets que je vais en parler avec lui et tirer ça au clair. Et je te rejoins complètement, aller jouer les voyeurs comme ça, ce n’est pas possible.
- Merci de ta compréhension Alain. Imagine qu’il arrive la même chose de ton côté et que Julien vienne jouer les voyeurs pendant ta douche ou celle de Valérie ? Comment réagirais-tu ?

Difficile de répondre à Éric que dans ce cas, je n’aurai qu’un réflexe : inviter Julien à me rejoindre sous la douche pour pouvoir le savonner de mes mains, dans les moindres remplis et pouvoir ensuite le déguster des pieds à la tête.

On en resta là pour ce moment. Il était temps de passer à table. Julien se plaça à côté de moi, à ma droite et en face de Thomas. Je faisais face à Eric. Valérie et Sophie était face à face également, Sophie à ma gauche et Valérie à la droite d’Éric. Julie, notre fille, était en bout de table, entre Julie et Thomas.

Le repas se déroulait très normalement et je ne sentais, heureusement, aucune gêne entre mon fils et Eric. Et puis après quelques minutes, je sens la main de Julien se poser sur ma cuisse.
Tout en poursuivant une conversation tout à fait banale, sa main gauche commence à me caresser l’intérieur de la cuisse, et arrive au niveau de mon short. Ces caresses me laissent d’autant moins indifférent que je ne portais ce soir-là qu’un short de gym, et rien dessous.

C’est dire si ma queue avait toute liberté de réagir à la caresse sensuelle et taquine du beau Julien. Je surpris un clin d’œil entre Thomas et Julien : j’en suis désormais sûr : les deux compères et amants ont décidé de m’exciter et je comprends pourquoi Julien a tenu à se placer à côté de moi.

Me voilà avec une demi molle, sans slip ou boxer pour la contenir, dans un short large. Et me connaissant, je sais que cette excitation va très vite me faire mouiller abondamment. Même si ma demi-molle ne se voit pas trop quand je vais me lever, j’aurais du mal à cacher la large taille de mouille.

Mon petit Julien, tu vas me le payer ! me dis-je en moi-même. D’autant qu’il continuait de plus belle. Sa main gauche passe maintenant sous mon short trop large et je sens ses doigts sur mes couilles, puis sur ma queue. Il prend vraiment un malin plaisir à me faire bander. Ses doigts si habiles jouent avec mon prépuce et la mouille qui commence à couler. Il me décalotte plusieurs fois et j’ai peu bouger pour échapper à sa masturbation, rien n’y fait. Il revient toujours à la charge ma queue est maintenant complètement déployée et je sens mon short bien humidifié par ma mouille.

Valérie débarrasse les entrées. Il va falloir me lever pour aller faire griller le poisson au barbecue qu’Éric et moi avons préparé. Pas moyen de m’échapper.

- Vous voulez que je vous aide à griller le poisson, Monsieur ? lance Julien.
- Merci Julien, je vais me débrouiller tout seul. C’est simple et se sera très rapide.
- Comme vous voulez, vous savez vous n’avez qu’à me demander ce que vous voulez.

OK, j’ai compris. Ce coquin de Julien a décidé de me chauffer et de jouer les tentateurs.
Il ne perd rien pour attendre. D’autant que Thomas n’en perd pas une miette et qu’il a parfaitement saisi les sous-entendus de son copain d’enfance.

Cet échange m’a un peu fait débander, mais il faut que je trouve une solution. Finalement, je fais mine de vouloir boire un verre d’eau et de le renverser sur moi par maladresse. Me voilà trempé. Ma tâche de mouille ne se voit plus. L’eau fraiche a calmé mon érection. C’est donc soulagé que je retourne me changer rapidement. Je file à la salle de bains. À ma grande surprise, Julien m’a suivi, prétextant de rapporter les assiettes et de les mettre au lave-vaisselle. À table, la conversation est animée. Personne ne va s’étonner si je prends un peu de temps.

J’ai décidé de me venger de Julien, qui m’a trop excité et a joué avec mes nerfs. Je laisse la porte de la salle de bains entrouverte et comme je m’y attendais, Julien passe la tête. J’ai déjà retiré mon short trempé et mon T-shirt. Je suis nu, devant le lavabo, et commence à me caresser. Je suis bien décidé à me faire jouir, même rapidement pour faire baisser la tension que ce petit salaud a déclenché.

La présence de Julien m’excite encore plus.

- Entre, petit con et ferme la porte. Tu sais que tu joues à un jeu dangereux avec moi. Si tu me provoques, il va t’arriver des histoires : tu vas sentir passer ma queue partout.
- Je ne demande que çà, Monsieur. Et ça va exciter encore plus Thomas à qui je pourrais tout raconter.
- Sacré Julien, tu es vraiment incroyable. Commence par te mettre à genoux devant moi.

Face à cette jolie petite gueule de vingt ans, bronzée, légèrement barbue, je me fais rapidement bander. Une fois bien raide, je biffle Julien. Il adore jouer les fistons soumis. Ma queue a repris tout son volume et mouille à nouveau abondamment. Malgré tout, on a peu de temps. Je m’empresse de forcer ses lèvres et pousser ma queue à fond dans sa bouche. Aucune résistance de sa part, il n’attendait que cela. Je suis tellement excité qu’il ne me faut que quelques aller-retours pour jouir, bien aidé par sa langue particulièrement douée pour tailler des pipes.

- Merci Monsieur pour le dessert, me dit-il en me faisant un sourire angélique.
- Content que tu aimes ma queue et mon jus, mon grand. Mais, s’il te plait, reste calme pour le reste de la soirée, ne me provoque pas. Je te promets qu’on va se retrouver dans les dunes cette semaine et je te garantis qu’on va explorer ensemble tous les moyens de se faire du bien. Et maintenant, rejoins les autres avant qu’ils ne se posent des questions, pendant que je finis de me changer,

Et c’est par un baiser où je peux goûter ce qui lui reste de mon sperme en bouche que je le libère de la salle de bains, avant de mettre un boxer bien moulant sous un short sec de façon à éviter tout risque d’érection pour le reste de la soirée.


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