Fatalisme. M.A.K. My Life... Ou Presque. Ix

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

J’ouvre les yeux. Pendant un bref instant je ne sais pas où je suis. La veilleuse du chevet est allumée. Il y a des Mickey sur l’abat-jour. Margot est assise sur le lit à côté de moi. Elle me tient la main. Je me sens calme. J’arrive à respirer. Ma femme à des perles brillantes aux yeux quand elle réalise que je suis éveillé. Je bredouille:
- Qu’est ce qui s’est passé?
- C’est rien mon Chéri. Tu as eu un malaise. Ça va aller maintenant.
J’ai la gorge comme du papier. Du mal à avaler ma salive.
- J’ai soif.
Elle se lève immédiatement et sort en courant de la chambre.
Quand elle revient, Mathieu et avec elle. J’ai un mouvement de recul. Peur viscérale.
- Calme-toi André... Calme-toi... C’est rien. Ca va aller.
Je me calme. Il me prend le pouls. Semble satisfait. Mathieu m’aide à m’asseoir sur le lit. Dos contre le mur. Il tient le verre. J’avale avidement quelques gorgées.
- Bois doucement. Juste un peu. Tu risques de vomir. C’est normal au bout de 72 heures.
- 72 Heures ?????
- Oui Chéri. Trios jours que tu dors. J’ai failli devenir folle.
Mathieu me prend le verre des mains.
- Stop ! Margot prépare lui du lait chaud et fait fondre dedans des biscuits des s.
Elle lui obéit en se précipitant.
- J’ai envie d’aller aux toilettes.
- Je vais t’aider.
Lui aussi s’est transformé en toubib. En nounou même. Il reste près de moi et me raccompagne au lit. Je n’arrive pas à tenir debout. Margot est là avec un bol d’une mixture chaude qu’elle entreprend de me faire avaler à la une petite cuillère.
Elle me nourrit devant Mathieu. Je mange à peine.
- Force-toi Didou.
- Non Margot laisse le.
Il prépare une piqûre. Je réalise que je suis nu.
- Kemb a été obligé de te droguer à fond pour calmer la crise. C’est pour ça que tu as dormi trois jours. Je vais juste te faire un décontractant.

Rien d’autre. Tu te sentiras bien après. C’est rien André, tu as eu un gros coup de fatigue et avec cette chaleur.
Je ne sens même pas la piqûre.
- Voilà repose-toi un peu.
Il part. Margot reste près de moi ; me regarde tendrement.
- Ils se sont relayés sans relâche. Ils ne voulaient pas te laisser seul. Tu m’as fait une de ses peurs Didou. Kemb dit que tu fais une dépression. Repose-toi mon Ange.
Elle se lève.
- Margot! Ne me laisse pas seul. Ne me laisse pas. Pars pas.
Elle revient m’embrasser sur le front
- Non chéri, je ne te laisse pas. Jamais de la vie. Je ne te laisserais jamais. Tu m'entends ? Jamais ! Nous deux c’est à la vie.
Elle se couche à côté de moi dans le petit lit de notre ainé.
Je me sens bien. Reposé. Je plane sans voir le temps passer.
oooOOOooo
Kemb me tire de ma rêverie:
- Alors réveillé!... C’est bien...
Margot n’est plus là. Kemb sort son matériel et m’ausculte sous toutes les coutures. Il a des petites griffures sur le front, les joues, les mains. Je le laisse faire. J’ai du mal à tenir debout.
- T’as mangé?
- J’ai pas faim.
Je regarde toutes ses écorchures.
- Excuse-moi.
Les mots ont du mal à sortir.
- Pour?
Je lui montre les cicatrices d’un mouvement de tête.
- Ah!. C’est rien j’en ai vu d’autre. Il faut que tu manges. Habille-toi. Tu peux marcher?
Il m’aide un peu pour le slip, le pantalon, et descendre l’escalier. Margot m'accueille avec des petits cris de joie. Mathieu est là aussi. La table est mise. On mange. J’ai faim, très faim. Ça va mieux. Je me sens euphorique.
Au milieu du repas Kemb me donne deux comprimés.
- Cela va t’aider à retrouver la forme. Tu en prendras six par jour matin midi et soir. Il me tend des plaquettes sans emballage juste un code dessus
- C’est quoi???
- Un traitement. Pendant trois mois minimum.
Je ne mets pas en doute ses compétences. J’avale les comprimés.

- Maintenant va te coucher. Tu en as encore besoin. Le sommeil est le meilleur des remèdes et laisse ta porte ouverte.
Margot m’accompagne. M’aide à me dévêtir et me borde tendrement.
- Je ne suis pas loin. Repose-toi mon cœur.
Elle m'embrasse le front:
- Dors bien chéri... Tu m’as fait tellement peur Didou.
oooOOOooo
Je somnole. Kemb est à côté de moi:
- Ça va?
Il me tend deux cachets:
- Prends ça. Avec ce que tu as déjà dormi, tu risques d’avoir du mal à passer une bonne nuit.
J’avale sans rechigner.
Je suis dans le noir. Le sommeil ne vient pas.....
Je les entends dans notre chambre à coucher. Le mur est mitoyen.
- Tu vois ma Gazelle, il va mieux.
- Cet idiot m’a fait une de ces peurs.
- Ne t’inquiète pas Margot. On est là.
- Merci les garçons. Je ne sais pas ce que j’aurais fait sans vous?
- Comme tout le monde. T’aurais appelé le SAMU
- Et il l’aurait amené chez nous.
- En tout cas merci. Je ne pourrais pas vivre sans lui. C’est impossible.
- Ça on le sait, hein Kemb?
- Ouais, malheureusement.
- J’ai eu tellement peur. Merci beaucoup.
- C’est tout ?
- ......
- Tu pourrais peut être nous remercier autrement ma Gazelle.
- Tu crois que c’est le moment Kemb.
- Il va bien je te dis. Allez lève ta jupe.
- Kemb tu sais je n’ai pas trop la tête à ce genre de chose pour le moment. Demain si tu veux.
- Fous-toi à poil Margot! Et en vitesse ! Je n’ai pas dit demain quand il a fallu s’occuper de ton mec.
....
- Oui enlève ton sous-tif et ta jupe maintenant. Pourquoi t’as mis une culotte? Tu sais bien que j’aime pas quand je suis avec toi. C’est pas grave. On va faire avec.
-.....
- Garde ton slip et rentre-le dans tes fesses.
Les voix sont de plus en plus rauques et tendues; je comprends clairement les paroles.
- Cambre-toi... Mieux... Montre-nous ton cul.
Fais ta salope ma Gazelle. Et maintenant baisse ton slip et marche devant nous.
- Y a pas à dire, elle a un beau cul ta Margot!
- Ouvre tes jambes et penche toi bien ma Gazelle. On veut voir tes deux trous. C’est bien... Écarte tes fesses lentement. Mieux que ça.
- Putain qu’elle vue!
- Oui. Tu as raison Mathieu. Elle est sublime.
Je commence a m’assoupir. Du mal à garder les yeux ouverts dans le noir.
- Caresse-toi devant nous. Aller fais le. Ce soir je te veux complètement impudique. Rien que pour nous. Pour nous remercier tu vas faire la pute. Enfonce bien tes doigts dans ta moule. Oui. Caresse-toi bien le clito. Ce soir ma douce tu vas être très gentille avec Mathieu. Mon pote le mérite non?
- Oui Kemb...
- Mets-toi à genoux devant le lit. Écarte bien tes jambes. Mieux. Je te veux offerte. Moule à l’air. Comme ça c’est bien. T’es superbe. Couche ton torse sur le lit. Ne bouge plus. Ouvre tes fesses avec tes deux mains. Vas-y Margot. Je veux que tu demandes à Mathieu de t’enculer. Je veux que tu lui offres ton cul. De toi même. C’est sa récompense.
- Non Kemb... Pas ce soir.
- Tais-toi Margot! Il mérite un truc exceptionnel. Alors?
- .....
- J’ai rien entendu mon amour.
- Encule-moi Mathieu... Encule-moi.
- Demande lui encore
- Encule-moi s’il te plaît Mathieu... Encule-moi.
- Vas-y Mathieu. Son garage est à toi ce soir.
J’entends Margot couiner de douleur... Puis d’autres petits cris.
-Aie. Aie.
- Doucement Mathieu. Doucement. Prends ton temps et savoure le cul de ma maitresse.
- Elle est serrée. C’est bon.
- Mathieu prends du gel s’il te plaît, tu me fais mal.
- Non ma Gazelle. Laisse toi faire ; Juste de la salive. Vas-y Mathieu ne te prive pas.
Je sais que t’aimes y aller en force. Ce soir le cul de Margot t’appartient.
Mélange de cris, de gémissements. Les bruits du lit qui cogne contre le mur. Cris de douleur de plus en plus forts.
Voix haletante, crispée
- Kemb il me fait mal. Doucement. Ohhh ! Doucement.
- Je suis désolé ma Gazelle. Mathieu il adore comme ça. Tu peux crier ma gazelle, ton cocu dort profondément. Dommage d’ailleurs, je lui aurais bien fait prendre mon biberon en vous regardant. Ne gicle pas tout de suite Mathieu. Laisse-moi ta place on va se la faire en relais elle va adorer se faire casser le cul. Son mari nous casse assez les couilles pour qu’on se prive pas de casser l’oignon de sa femme mon pote.
Malgré les cris de ma femme en train de se faire enculer, je sombre dans un sommeil de plomb.

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