Fatalisme. M.A.K. My Life... Ou Presque. X
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Derniers jours de Juillet.
Les calmants me font du bien. Je suis un peu dans les vap; mais plus dangoisse ni de stress. Par contre je n'ai aucune volonté ni force. Je traîne dans la maison comme un zombi. Goût à rien. Pas de force pour révolter.
Ils sont de repos les deux. Il fait très chaud. Cest l'après-midi. Margot a décidé daller à la piscine pour se rafraîchir. Kemb et Mathieu regardent Eurosport. Moi je repasse. Ils mappellent.
- Alors ça va mieux?
- Oui ça va bien... Mieux... Merci
- Tu sais tu as des problèmes.
- Le chômage.
- Non pas uniquement ce problème.
- Je sais.
- Tu as des problèmes didentité. Je vais te faire ta visite et après on parlera les trois. Mathieu et moi nous sommes tenus au secret professionnel. Tout ce qui se dira entre nous restera secret. Même pour ta femme. Déshabille-toi entièrement. Tu gardes juste ton slip.
Les médicaments que je prends annihilent ma perception des choses et réduisent ma volonté. Je le sais pour avoir entendu en cachette Kemb lexpliquer à ma femme. Ils agissent aussi sur ma libido. Je ne bande plus.
Je me mets en slip debout entre les deux. Ils commencent à mausculter minutieusement.
- Tu ne sais plus où ten es avec ta femme. Ni avec nous. Ouvre la bouche et tire la langue. Tu te sens prisonnier de ton éducation. Tousse. Encore... Cest parfait.. Ne bouge pas on na pas fini. Je ne veux pas prendre de risque... Tourne-toi... Respire profondément... Encore une fois... Cest bien assieds-toi.
Jobéis. Ils sont faces à moi et nont plus leur éternel regard narquois, humiliant ou autre. Loin de là. Ils sont avenants attentifs, compatissants. Cest Kemb qui parle:
- Tes en train de faire une dépression. Assez grave. Mais cela se soigne bien. Déjà avec les comprimés que tu prends. Mais la meilleure voie de guérison, cest toi. Tu sais, aux urgences on voit de tout.
Il se tait un instant. Je réalise que je suis toujours uniquement vêtu de mon slip. Il vient de finir de me prendre ma tension.
- Trop basse encore. Les médications que tu prends ont pour but de dissiper tes angoisses, de te décontracter. Ils doivent taider à appréhender la réalité et surtout à laccepter. Nous taiderons. Nous te fournirons les soins nécessaires. Nous comprenons que cette réalité est difficile pour toi. Elle te semble insurmontable. Mais tu verras tu iras mieux. Tout dépend de toi.
Jai envie de lui dire que je suis daccord avec lui mais que mon problème cest eux justement.
- Tu es en train de te dire que tout est la faute de ta femme. De nous. Que si on foutait le camp, tout rentrera dans lordre. Mais en es-tu sur?... Es-tu sûr que c'est ce que Margot veut ? Qu'elle sera contente de ne plus nous voir. Tu crois quelle voudra de toi si on part ?
Je le regarde complètement désemparé. Il a raison. Que veut Margot ? Il reprend d'une voix douce.
- As-tu le choix? Margot taime tu le sais ça. Trop à mon goût. Mais moi non plus je nai pas le choix. Je dois faire avec... Mathieu et moi allons tout faire pour te sortir de là. Pour faire plaisir à Margot. Et parce quon est toubib. Cest notre job de réparer les dégâts de la vie. Mais toi que veux-tu ? Réponds... Essaye de formuler ce que tu ressens... Essaye de nous parler...
Impossible d'articuler. D'avoir une pensée cohérente. J'ai des larmes silencieuses.
- Ne te formalise pas. Cela va sortir. Un jour tout ressortira.
Grand silence. On sest tout dit. Ils se lèvent. Moi aussi...
Curieusement la discussion ou plutôt le monologue de Kemb ma fait du bien.
Nous regardons la télé. Je me lève pour aller chercher à boire. Je reste en slip. A mon retour je les trouve debout les deux. Mathieu qui me toise curieusement. Fini le regard du toubib :
- Tes pas mal foutu pour ton âge. Bon ce que tas entre les jambes ne te sert pas trop. Mais tas su faire des mômes. Et il paraît que tu suces comme un pro. Ou une pro.
A nouveau les angoisses et la gorge serrée. Je baisse la tête honteux.
- Cest aussi un de tes problèmes didentité Pti mâle. Tu ne sais pas si tu es un mari, un cocu ou plus.
Kemb a posé ses mains sur mes fesses. Je sens la chaleur à travers le tissu du slip.
- Daprès toi tes un Pti mâle ou une Ptite femelle?...
Je perds toute capacité de révolte. Il me semble quil ne sert à rien de refuser. Aucune envie de révolte ou de refus. J'ai juste envi que Margot soit là.
- Tu vois les cachets te font du bien. Et en plus comme t'as rien dans la culotte. Tu ne sens pas ton manque de libido.
Kemb me claque doucement les fesses. Mathieu enchaîne
- Jai enculé ta femme. A donf. Elle est serrée. Cétait sa façon à elle de me remercier. Cest elle qui ma demandé de lenfiler. Je lui ai ramoné le cul à sec. Au début elle a eu un peu mal. Mais après elle en redemandait.
Kemb a baissé mon slip sous mes fesses. Les claques sont plus viriles me faisant sursauter. Une de ses mains se pose sur ma nuque.
- Mathieu a raison. Ta femme lui a offert son cul à ma demande. Peut-être que tu pourrais le remercier toi aussi. A ta façon.
La main pousse ma tête. Les coups claquent sur mes fesses. Je me penche devant Mathieu. La main de Kemb me serre la nuque.
- Bien sûr, Margot a eu un peu de mal à marcher, mais elle a aimé. Ta femme est faite pour le sexe. Je ne comprends pas pourquoi elle veut rester avec toi. Ça me fait chier.
Jai le visage à dix centimètres du short de Mathieu. Je vois la bosse. Kemb se met à ma droite, une main serre ma nuque et lautre claque mes fesses nues en cadence.
- Demande à mon pote lautorisation de le sucer. Demande-lui. Tu te sentiras mieux après. Crois-moi. Il faut que les mots sortent de ta bouche de cocu.
Je ne dis rien. Les coups sur mes fesses me chauffent de plus en plus. Kemb reprend en serrant plus fort ma nuque:
- Vas-y dis à mon pote que tu es une suceuse de bittes.
- Je ... Je suis une....
Un claque plus violente.
- Je suis une suceuse de bittes.
- Répète.
Une autre claque encore plus forte
- Je suis une suceuse de bitte.
- Et la suite.
Une série de claque. Jai le slip autour des chevilles. Jai à peine mal aux fesses. Je men fous.
- Je veux sucer Mathieu.
- Pas comme ça.
Mathieu baisse son short. Il ne porte pas de slip. Son sexe me saute au visage.
- Mathieu, jai envie de te sucer.
Il me bloque la tête entre ses mains
- Répète.
Il relève ma tête pour voir mon visage
- Allez le cocu, répète.
- J'ai envie de te sucer la bitte.
- C'est bien. Tu vois quand tu veux. Tu commences à comprendre ce que tu es vraiment. Ouvre la bouche le cocu.
- Obéis à Mathieu. Tu sais que tu es un mari qui a perdu sa femme et qui accepte de servir son amant pour rester avec elle. Que tu es incapable de te défendre pour garder ton bien. Tu es devenu un cocu au service de lamant. Admets-le et suce bien mon pote.
- Mathieu me pilonne la bouche. Varie les rythmes. Pousse son gland au max . Kemb continue de jouer avec mes fesses.
- Eh bien tu vois Pti mâle. Tu vois que tu aimes la bitte. On a déjà régler un de tes problèmes didentité. Cest un bon début.
Ils rigolent. Fini les médecins. Voilà les jeunes loups.
Je suis à genoux. Les deux bittes sont devant moi. Je suce sans rien dire. Une après lautre en alternant et de plus en plus vite.
- Cest vrai quil suce bien.
- Jte lai dit mec. On a à notre disposition une bon cocu suceur. Applique-toi bien... Vas tout au fond. Cest bien.
Ils m'obligent à lécher sur toute la longueur. Mon nez senfouit dans leurs poils. Ils sentent la sueur. Dès que je donne un signe d'essoufflement, ils me bloquent le visage et me pilonnent jusquau fond de ma gorge. Les deux sexes se relaient. Jen branle un et je suce lautre; jai mal aux mâchoires. Les cadences saccélèrent. Mathieu bloque ma tête. Son gland bouge dans ma bouche. Un liquide crémeux fuse. Je veux reculer
- Bouge pas le cocu, ce nest pas fini. Tu dois boire la semence de tes cocufieurs.
Ma bouche est inondée. Jai du mal à tout avaler. Mathieu me lâche brusquement. Mais Kemb investit mon palais.
- A mon tour de te faire boire tes vitamines. Ten as bien besoin.
A nouveau des giclées épaisses tout au fond de ma gorge qui me font tousser et coulent sur mon torse. Je bois de plus en plus vite pour ne pas m'.
Ils me lâchent. Kemb triomphant :
- Cest bien. Tu vois quand tu veux. - On dirait que taimes ça la pipe. Tu sais déjà que tes un bon suceur. Ce nest déjà pas si mal. On a bien avancé.
Rires et une dernière claque sur mes fesses.
- Vas préparer le repas. Tinquiètes pas on dira rien à Margot. Secret médical...
Ils éclatent de rire pendant que je remonte mon slip et me sauve à la cuisine.
Bien sûr ils ont tout raconté à ma femme. Elle semblait contente. Nous avons fait une partie à quatre, moi dans le rôle de suceur de queues et du lécheur de chatte. J'étais comme une marionnette sous l'effet des drogues que je prenais docilement.
A la fin de la semaine, cétait devenu un rite. Je les suçais et nettoyais la chatte inondée de ma femme.
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