Fatalisme. M.A.K. My Life... Ou Presque. Iii
FATALISME QUATRE
Jarpentais le parc dans la nuit sans succès jusquà la sortie opposée. Là, à ma droite derrière un grand buisson jai entendu ma femme gémir doucement. Je me suis approché. Je voyais les taches plus claires de sa robe dans les trouées des feuilles.
Au détour du sentier, je les ai vu. Lui assis sur un banc de pierre, les jambes tendues et largement écartées. La braguette ouverte. Margot était assise sur lui, entre les jambes de ce jeune mâle, bien cambrée, la jupe autour de la taille. Elle ondulait lentement du bassin. Je distinguais la base du sexe et les couilles de Kemb. Jétais fasciné et hébété. Ma femme était empalée sur le sexe de ce mec. Dans le parc de la mairie. En plein centre-ville, au milieu de nuit.
Baisée par son amant !
Elle ma vu. Ma tendu sa main droite:
- Viens Didou... Viens Chéri... Cest bon...
Je ne la reconnaissais plus. Elle si prude. Si BCBG. En train de se faire enfiler dans le parc de la ville où on habitait. Pouvant être découvert par nimporte quel noctambule.
Mais, je bandais alors que jaurais dû la gifler.
Je me suis approché en tremblant face à elle. Je voyais parfaitement les petites gouttes de sueur, les crispations de son visage quand il senfonçait dans son intimité offerte.
- Regarde ta femme mon pote. Regarde comme elle prend son pied. Dans les chiottes jai pas eu le temps de la faire jouir. Je vais me rattr. Elle le mérite. C'est une bombe au lit. Pas comme toi à ce qu'elle me dit.
Les mots faisaient mal. Ce que je voyais aussi.
Elle avait la robe retroussée autour de sa taille. Ses jambes largement ouvertes entre celles de son amant. Sa toison pubienne à lair. Ses poils brillaient sous la lune, collés par son liquide intime.
Margot à mis la main sur ma braguette. Jai rien dit. C'était surréaliste ce que nous faisions! Elle a libéré lentement mon sexe pour le prendre en bouche. Directement.
- Ma parole ça te fout une bonne gaule de voir ta femme se faire astiquer man.
Javais honte. Mais je laissais faire. Margot me suçait vachement bien. Mieux que dhabitude et elle arrivait à onduler en même temps sur la bitte de Kemb. Il lui claquait doucement les fesses à chaque poussée.
- Tas du pot man. Cest vraiment une baiseuse hors pair ta femme.
Il a accéléré le rythme. Margot sursautait à chaque coup de boutoir. Mais elle me gardait en bouche.
- Putain ! Çà vient, je vais bien te remplir ma Gazelle.
Je narrivais plus à retenir moi non plus. Margot à gémis très fort sans lâcher mon sexe. Nous avons joui pratiquement les trois ensembles.
- Vas-y! Bois à fonds ton mec. Lui aussi a le droit de jouir. Puisque il aime ça être cocu..
Margot à tout bu. Je suis sorti immédiatement de sa bouche pour me rajuster. Elle sest levée. Jai pas pu voir le sexe de Kemb. Javais honte de ce que je venais de faire avec eux. Margot avait la chatte poisseuse. Jai tendu un mouchoir vers ma femme.
- Non laisse. Elle aime sentir mon jus qui coule.
Je ne savais ni quoi dire, ni quoi faire. Kemb sest levé.
- Bon je vous laisse. Je suis sûr que vous avez plein de trucs à vous dire. Merci pour la soirée.
Il a claqué les fesses de ma femme, na pas hésité à lui rouler un patin denfer devant moi avant de partir en sifflotant.
Nous sommes rentrés sans parler. Côte à côte comme des inconnus. Jimaginais le jus en train de couler entre les cuisses de ma femme. Javais été lâche et javais participé.
A la maison, elle a été directement dans la salle de bain.
Jai pris un coussin et une couverture pour minstaller sur le canapé. Je me suis couché en slip. Jessayais de revivre cette soirée complètement folle, mais je ny arrivais pas. Mon esprit refusait les images.
Margot était dans lencadrement de la porte vêtue de son déshabillé. Je voyais ses courbes si belles en contrejour. Javais une boule dans la gorge.
- Tu veux pas venir dormir avec moi Didou?
Sa voix était si douce, implorante.
- Je préfère dormir ici.
La mienne manquait dassurance.
- Viens Didou. Je ten prie... Jai froid sans toi... Je vais texpliquer.
- Mexpliquer quoi? Que je suis cocu? Que ma femme est une salope? Quil paraît que cest une baiseuse hors pair?
Je hurlais des mots qui nous faisaient mal.
- Tes quune pute ! Tu mas trahi ! Une salope qui se fait sauter par un jeune black pendant que je me tue au boulot. Une-Marie-couche-toi-là qui aime sentir le jus couler..
Elle pleurait et je crois bien que moi aussi. Elle sest enfuie dans notre chambre Elle a pleuré une bonne partie de la nuit. Jétais paumé seul dans ce salon. Jamais je ne lavais fait pleurer. Je men voulais à mort.
FATALISME ET ACCEPTATION.
Trois mois...
Trois mois que je sais que je suis cocu.
Trois mois de discussions sans fin avec Margot.
Je lui demandais sans relâche des explications. Elle me renvoyait quelle avait craqué. Que jétais jamais là. Quelle ne savait pas pourquoi elle avait cédé.
Je la mettais en garde contre ce genre de mecs. Mais Kemb est riche. En train de terminer ses études de médecines dans l'hôpital de la ville.
Je lui demandais cent fois pourquoi.
Elle ne le savait pas elle-même... Cest venu comme ça Didou...
Je lui demandais de le quitter. Elle ne me répondait pas.
A chacun de mes retours de déplacement, je sentais un changement dans la maison. Ils ne se gênaient plus pour se voir chez nous. Des draps froissés. Des odeurs inconnues. Une brosse à dents cachée au milieu de son linge. Un sac de linge propre et repassé caché dans la cave.
A chaque fois jencaissais en silence.
Et pour être tout à fait honnête dans ce récit, je suis obligé davouer que je ne pouvais pas mempêcher de penser à eux dans mes chambres d'hôtel. Et invariablement cela finissait par une masturbation.
Je me complaisais dans cette situation du cocu en rejetant la faute sur elle.
Au lit elle ne se refusait jamais à mes pulsions. Cest moi qui avais honte en pensant que je nétais pas à la hauteur. Pourtant il me semblait quelle jouissait comme dhabitude. Sa docilité à répondre à mes caprices sexuels mexcitait me surprenait et ménervait.
Je savais quelle naimait pas trop prendre mon sperme dans la bouche. Maintenant, elle le faisait sans problème en avalant jusquà la dernière goutte. Et après mavoir sucé et léché le temps que je voulais. Cela me rendait fou de jalousie parce que je me doutais bien que cest lui qui lavait convaincue.
Un soir, je me suis collé contre son dos pendant quelle lisait couchée sur le côté gauche. Javais la bitte dure et jétais très énervé car je venais de découvrir une minijupe que je ne connaissais pas dans sa garde-robe. Jai remonté sa chemise de nuit au-dessus de ses fesses. Elle a posé son livre sur sa table de chevet et éteint la lumière sans rien dire. Elle est restée dans cette position cul dégagé et fesses offertes sans bouger.
Jai salivé mes doigts pour lui mouiller la raie. Margot naime pas la sodomie. Cest une pratique entre nous qui est restée exceptionnelle. Au début javais essayé bien sûr, mais devant son manque d'excitation et sa douleur jai vite abandonné cette pratique. Cela ne me manquait pas.
Mais cette nuit, je voulais lenculer. Comme pour lui faire mal ou la punir. Jai mouillé sa raie à fond, mattendant à une rebuffade ou à un pas ça Didou sil te plaît Mais elle na rien dit. Même quand mon gland à buter contre son anus. Je lai ceinturée par la taille. Jai bien calé mon sexe avant de pousser dun coup de rein. Cest entré sans trop de problème. Elle a un peu sursauté. Pas le moindre gémissement. Pas la moindre crispation de douleur. Ses fesses ont avalé ma queue dans sa totalité. Jétais content de moi. Content denculer ma femme. Content quelle soit enfin réceptive.
Et jai brusquement compris.
- Cest pas vraie Margot! Il tencule comme une pute.
Je lai pilonnée de toutes mes forces. Je voulais lui faire mal. Elle était inerte.
- Tu vas voir. Moi aussi je sais tenculer. Avec moi tu ne voulais pas.
Je lui cassais le cul de toutes mes forces, sourd à ses sanglots étouffés.
Je me suis vidé dans ses reins. Elle a quitté le lit en larmes.
- Tes un salaud.
Elle avait raison. Un salaud et un con...
Je n'étais plus maître de mon comportement.
Je lai retrouvé dans la salle de bain en train de faire une toilette intime. Je me suis excusé, lui ai murmuré des mots tendres. Elle ma fusillé du regard:
- Oui André, il mencule. Et avec lui jaime ça et je jouis. Je lui demande même... Et je ne compte pas le quitter.
Je suis resté assommé... Douleur. Colère. Honte.
Nous ne nous sommes plus parlé de la semaine. Juste le strict minimum devant les s.
Le vendredi de la semaine suivante, je rentrais de déplacement. Nous étions couchés. Jai voulu la lécher. Elle na pas voulu. Pourtant elle adore ça. Jai insisté pensant quelle était encore fâchée. Elle a enfin écarté ses jambes. Je me suis précipité pour enfouir mon visage dans sa moiteur.
Mal men a pris. Elle mouillait beaucoup. Trop...
Jai vite compris que ce nétait pas seulement sa cyprine que je buvais. Cela ma dégoutté et excité, mais jai été jusquau bout. Cétait pour moi une manière de me faire pardonner. Une rédemption.
Elle ma laissé faire. Elle a crié sa jouissance en se cabrant. Puis une fois calmée, elle a pris ma tête entre ses seins pour me murmurer tout bas:
- Pourquoi tu as fait ça Didou?
- Je taime très fort..
- Il était ici tout à lheure.
- Je sais. Et il a joui dans ton ventre.
Elle avait compris que javais compris.
- Pourtant tas été jusquau bout. Cest dingue, jai joui comme une folle en pensant à ce que tu faisais.
Silence pesant...
- Et lui?... Tu laimes?...
Silence interminable. Son cur bat fort contre ma joue.
- Non. Mais il me rend folle.
- Ou on va là Margot? Tu te rends compte de ce qui se passe?
- Je ne sais plus Didou.
- Il ne met pas de capote ? Tu acceptes comme avec moi ?
- Il est médecin Didou
. Et jadore bien le sentir. Je sais plus Didou.
Moi non plus je savais plus. Je me suis endormi. Je venais de boire les restes de sperme de son amant. Jétais cocu et je sentais bien que rien ne pourrait faire changer davis ma femme.
oooOOOooo
Alors le lendemain sans le dire à Margot, jai été au domicile de Kemb. Je savais quil louait une chambre dans le local de lassociation.
Jai demandé le chemin à un jeune qui traînait dans le couloir.
- Cest au fonds à gauche Monsieur... Mais il doit dormir, il a fait trois jours de garde.
La porte nétait pas fermée. Jai poussé doucement. Il était là endormi et nu, dos à moi. Quand je lai vu. Jai compris pourquoi Margot était folle de lui. Jétais troublé. Il se dégageait de ce corps une puissance et une sérénité incroyable. Je suis reparti sans le réveiller.
Ma décision était prise. Il fallait crever l'abcès. Le plus vite possible. Et je me sentais le courage de les affronter les deux. Je suis retourné à la maison. Margot était en train de passer laspirateur.
- Fais toi belle. Jemmène les s chez mes parents
Et invite le.
Je me suis sauvé sans lui laisser le temps de répondre.
A mon retour, Margot sortait de la douche. Elle a enfilé un slip.
- Tu la invité?
- Oui. Il dormait. Mais pourquoi ?
- Chut...
Je lai gentiment poussée sur le lit. Elle sest couchée sur le dos. Elle était sublime.
Magnifique.
Envie de lui faire lamour immédiatement...
Envie de lui parler de mes projets pour ce repas.
Mais non... Patiente... Je regardais ce corps avec envie.
Je savais que je ferais ce quelle voulait et que jirais au bout de lexpérience. Javais le secret espoir de gagner le combat que jallais livrer contre lamant de ma femme
- Alors il vient?
- Oui. Mais il est surpris... Moi aussi.
- Nous verrons bien ou cela nous mènera.
- Tu es sur de ce que tu veux Chéri???
- Oui. Je suis sûr. Pourquoi tu mets une culotte?
Complètement décontenancée, elle a sursauté
- Enlève la. Il faut aller jusquau bout maintenant
- Cest bien lui quii souhaite que tu ne portes pas de culotte en sa présence non ?
- Mais ce nest pas pareil!
- Ah bon quest ce qui changé ?
Elle ma regardé troublée et a lentement enlevé son slip.
- Comme ça ? ?
- Oui. Cest parfait. Enfile une robe. Je descends préparer lapéro
Jai quitté la chambre.
Je bandais. Je me sentais soulagé. Soulagé, triste et inquiet.
Jai mis la table. Elle ma rejoint. Sa jupe flottait autour de ses jambes. Et un chemisier blanc moulait son buste. Je la sentais nerveuse. Très nerveuse. Comme moi. Nous nous sommes embrassés. Un baiser intense profond. Elle a touché ma braguette.
- Mais tu bandes mon cochon.
Jai passé une main sous sa robe, directement au contact de sa grotte.
- Il me semble que toi aussi tu es excitée. Tu nas pas mis de soutien-gorge?
- Jai pensé que cétait mieux.
- Tu as raison ! Que ta robe.
Nous finissions les préparatifs quand le carillon de la porte a retenti.
- Vas lui ouvrir.
Javais la gorge sèche. Mes mains tremblaient.
Il était là. Dans lencadrement de la porte. Grand sourire carnassier.
- Salut mec.
- Bonsoir
- Il parait que tes passé me voir. Fallait me réveiller.
- Cest vrai Didou ?
- Pas grave. Assieds-toi. Tu bois quoi ?
- Jus de fruit.. Margot sait que je ne bois pas dalcool.
Il a éclaté de rire. je nai pas compris pourquoi.
Margot lui a tendu son jus de fruit. Il la prise par la taille. Elle a voulu se dérober. Il la maintenu contre lui.
- Ne sois pas farouche ma gazelle. Pas de faux semblants. Il est cocu et il le sait. Et je suis sûr que si je suis ici cest parce quil croit quil va réussir à nous séparer.
Il a plaqué le dos de ma femme contre son torse. Elle me semblait minuscule devant lui. Il me défiait sans retenue.
- Tu as une femme magnifique.
Il lui caressait lentement les seins. Grosses mains noires sur chemisier blanc. Margot ne bougeait pas.
- Et tu ne te rends même pas compte que tu es en train de la perdre.
Il a passé sa main droite sous le chemisier. Elle a laissé faire soumise et consentante.
- Je crois que je lai déjà perdue.
Je nai pas reconnu ma voix. Les voir ainsi les deux dans notre propre salon me pétrifiait. La situation méchappait. Mais ce que je venais de dire à mon corps défendant les a déstabilisé.
- Pourquoi tu dis ça Didou ? Ne dis pas cela ! Cest pas vrai !
- Regarde toi ma puce. Tu es avec ton amant devant moi, en train de te faire peloter les seins et tu ne veux pas le quitter.
Kemb a pris la parole.
- Margot ma dit que tu es du signe du bélier, moi je dirais plutôt que tes un mouton.
Il a ouvert les boutons du chemisier. Ma femme ne bougeait pas. Les grosses mains noires ont empaumé les deux seins. Complètement figé, je regardais le spectacle.
Je me suis aperçu que je bandais en les regardant. Comme dans le parc.
Il lui a mordu le lobe de loreille avant de lui chuchoter un truc que jai pas compris. Margot a fait non de la tête. Il a insisté en la poussant vers moi. Cest lui qui lui a pris le poignet pour plaquer sa main sur ma braguette.
- Tu vois javais raison ma gazelle. Ton mari aime cette situation même si il ne le sait pas encore. Moi aussi je bande.
Il lui a dégrafé la jupe qui est tombée en corolle autour des jambes.
- Tes un drôle de mari toi pour admettre que ta femme soit à poil sous sa jupe quand elle reçoit son amant. Je suis sûr que cest toi qui a voulu.
Margot a ouvert mon zip. Puis ma ceinture. Jarrivais pas à reculer. Elle a plaqué sa bouche contre la mienne. Mon pantalon est tombé sur mes chevilles. Kemb lui a ôté son chemisier. Elle était nue entre nous en train de membrasser à pleine bouche. Tout à ce baiser jai pas eu le temps de réagir quand Kemb a dit:
- Vas-y ma gazelle regarde ce quil a dans le slip.
Cest son amant qui a baisser mon slip par surprise. Ma queue sest tendue raide contre le ventre de ma femme.
- Vas-y ma gazelle suce ton mari devant moi. Jadore ça.
Ma femme la fait sans hésiter. A genoux entre nous deux.
Cétait ou un rêve ou un cauchemar.
Elle a ouvert la braguette de son amant. Il ne portait rien en dessous. Sa bitte a surgit du pantalon. Sentiment dhumiliation quand je vois lengin. Plus gros que le mien.
Elle a commencé à le lécher tout en me branlant. Puis elle a pris le gland en bouche. On la regardait faire. Elle alternait entre nos sexes. Je voyais ses lèvres distendues encercler la hampe de son amant puis venir lécher mon gland ou mes couilles. Javais du mal à contenir mon excitation. Je ne voulais pas jouir. Je me laissais sucer. Je la laissais sucer son amant.
Kemb sest complètement déshabillé. Moi aussi. Nous étions les trois nus.
Ce fut notre premier trio.
Nous venions de trouver la solution.
Pas celle que j'espérais. Mais la bonne quand même.
Jadmettais la situation.
Il y eu dautres trios.
Je pensais que lon avait atteint un point déquilibre.
Je me trompais lourdement....
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