Série Insolite. Épisode 9 : « Bertrand » La Patronne Baise Avec Son Apprenti.

Mercredi 12 mai 2021 10 heures

Je m’appelle Bertrand, je suis né en 1977. N’étant pas fait pour les grandes études, en septembre 1995 mon père, connaissant bien la patronne d’un petit garage dans de la ville où nous habitions, me fit embaucher comme apprenti mécanicien. Cette affaire fonctionnait bien, la patronne s’occupait de la petite station-service, toute la mécanique était l’affaire de Monsieur P et de son employé. Claude avait l’âge du patron, connaissant parfaitement le métier, il fut mon tuteur pendant toute la durée de mon apprentissage. Paul P avait 54 ans à l’époque, il s’était marié tardivement avec Denise, de douze ans sa cadette, avec laquelle, ils avaient eu une fille, Sabine, âgée de 13 ans.

Denise P avec ses 42 ans était encore très désirable, malgré sa masse corporelle au-dessus de la moyenne. C’était une femme légèrement enrobée, avec une superbe poitrine généreuse et un fessier rebondi. Heureusement, elle était grande, ce qui lui affinait la silhouette. Elle portait toujours des tenues moulantes à l’excès, dont les décolletés plongeants mettaient en valeur ses gros seins, j’adorais cela. Elle n’était pas d’une très grande beauté mais avec son maquillage et son sourire permanent, elle était courtisée. Au niveau réputation, Denise était considérée comme infidèle, suivant les rumeurs, elle avait eu une relation adultère par le passé, avec Claude son employé et depuis, elle n’hésitait pas à tromper son mari avec certains clients. (Je pense que mon père en faisait partie.)

Tandis que Paul était vu comme un homme gentil, serviable et très compétent dans son métier, seulement c’était peut-être le seul à ne pas savoir qu’il était cocu, ou s’il le savait, il ne le montrait pas. Il était en permanence en train de travailler dans son garage. Je m’en étais vite rendu compte, dès les premiers rendez-vous avec Denise, j’avais vu dans son comportement envers moi, que cette femme n’hésiterait pas un seul instant à me mettre dans son lit.

Ce n’était pas pour me déplaire, je fantasmais depuis longtemps sur cette femme mûre et si l’occasion se présentait un jour, je ne me gênerais pas de la satisfaire. Néanmoins, je savais qu’il ne fallait pas me faire de films, je n’avais que 18 ans ?.

J’allais en être fixé, le jour de mon embauche, je fus reçu par la patronne qui devait s’occuper de moi toute la matinée. Visite des locaux, habillement, horaires, règlement intérieur et signature des contrats. Toute la matinée, je n’avais pu me concentrer, j’avais bandé pendant trois heures durant. Toutes les occasions étaient bonnes pour Denise pour me toucher, pour m’exposer sa poitrine devant les yeux, surtout lors de la lecture des contrats, lorsqu’elle se pencha derrière moi en passant sa main au-dessus de mon épaule me montrant de son doigt l’emplacement de la signature.

À ce moment-là, j’avais la tête entre ses seins qu’elle appuyait sans pudeur. Le comble fut dans le petit local à l’arrière de son bureau où étaient entreposés les vêtements. Elle me tendit une combinaison et un teeshirt à l’effigie du garage, en me demandant de les essayer :
— Allez Bertrand ne soit pas timide. Essaye-les ! Si ceux-ci ne sont pas à taille je t’en passerai d’autres.

Ne m’ayant pas laissé me changer seul, dans ce minuscule endroit, je fus contraint de me dévêtir devant elle. Je n’étais pas pudique au contraire, cependant je ne pus dissimuler l’érection que j’avais dans son boxer. Pendant l’essayage, elle m’aidait à m’habiller en me flattant sur sa corpulence et sa musculature :
— Je ne pensais pas que tu étais si musclé Bertrand. Tu es un homme, un vrai. Me dit-elle en passant ses mains agiles et délicates sur mon torse et sur mes abdos.

Elle avait dû faire exprès car la taille était bien trop grande, je dû recommencer. Ses caresses ne faisaient qu’augmenter mon désir, je bandais comme un taureau, je commençais à me demander si je ne devais pas la baiser immédiatement.
Mon envie, de l’attirer à moi de la prendre dans mes bras pour l’embrasser, lui peloter ses nibards, m’obsédaient, c’était très présent dans son esprit mais la raison fut plus forte. C’était mon premier jour, je ne voulais pas tout gâcher en pensant que cette femme me tendait peut-être un piège. Je pris la décision d’attendre qu’elle fasse réellement le premier pas.

Quand je fus habillé, elle passa derrière moi, me prit par la taille en se collant contre mes fesses. Elle posa sa main droite sur mon entrejambe, en me massant le sexe et me dit doucement à l’oreille :
— Tu ne peux pas rester comme ça. Attends !
Je ne pouvais plus attendre, c’était le moment d’attaquer, je voulus me retourner mais elle m’en empêcha :
— Tu ne crois pas que je vais coucher avec toi, Bertrand, je pourrais être ta mère. Dit-elle en descendant le zip de ma combinaison. Laisse-moi faire ! Poursuivit-elle en me faisant une bise dans le cou.

Elle glissa sa main droite dans mon boxer et sortit ma queue de sa prison. Toujours collée dans mon dos, sa main gauche emprisonna mes testicules pendant qu’elle commença à monter et descendre son autre main sur ma colonne de chair. C’était inimaginable, je fermai les yeux et penchai ma tête en arrière, je gémissais, sous ces caresses, ses mains étaient douces, je n’avais jamais connu une telle masturbation, le bout de son doigt passait régulièrement sur mon méat d’où s’écoulaient sans cesse, ce liquide doux et transparent qu’elle répandait sur toute la surface de mon gland. Denise était une experte, elle me triturait les couilles à la limite de la douleur pendant qu’elle glissait ses doigts de fée sur la hampe lentement :
— Hum ! Oui, je viens ! Dis-je.

Elle n’accéléra pas le mouvement pour autant, elle m’enferma le bout de ma queue dans la paume de sa main, je me contractai quand dans un râle indescriptible j’éculais une quantité énorme de sperme qu’elle essuya avec le teeshirt que j’avais essayé quelques minutes plus tôt et en me faisant une bise sur la joue :
— Tu ne diras rien de tout ça Bertrand.
Ça reste entre nous ! Tu ne voudrais pas que ton père apprenne que tu as essayé de toucher.
— Bien sûr Mme P ! Merci, c’était vraiment super. Fus-je obligé d’admettre, avant d’aller rencontrer mon tuteur.

Elle m’avait donné beaucoup de plaisir, cependant j’étais déçu de ne pas l’avoir touchée, léchée, ni baisée. Dès que Claude me vit, il regarda sa montre et me dit : « Je reviens dans un moment. En attendant midi, tu n’as qu’à visiter l’atelier. » En effet, il était déjà onze heures et demi. Seulement, dix minutes plus tard, ne le voyant pas revenir, je m’étais aventuré vers le magasin des pièces détachées où j’entendais du bruit. Discrètement je me penchai par l’entrebâillement de la porte en restant bouche bée devant le spectacle.

Je voyais Denise assise sur le bureau du magasin, à demi dénudée, les seins sortaient de son décolleté et elle avait sa robe relevée jusqu’aux hanches. Entre ses cuisses écartées, se trouvait Claude debout devant elle, la combinaison baissée jusqu’aux chevilles. Il allait et venait puissamment dans la chatte de ma patronne qui gémissait de plaisir. Tellement surpris de voir cette scène, je restais là à les regarder baiser comme un voyeur. J’étais très jaloux de mon tuteur, j’avais très envie d’être à sa place et lorsqu’il éjacula sur le ventre de Denise, je remarquai que je bandais comme un cerf une nouvelle fois. Je m’étais faufilé discrètement vers les toilettes pour me branler pendant qu’ils se rhabillaient.

J’étais certain à présent que ma patronne était bien une salope, sa réputation n’était pas usurpée. Je ne l’avais pas baisée ce jour-là, mais je savais au plus profond de moi-même que cela ne tarderait pas et j’attendais avec impatience mon heure. Denise m’obsédait, pendant toute la semaine, je m’étais aperçu que Claude baisait la patronne tous les deux jours, peu avant midi, lorsque le mari était dans son bureau au sous-sol. Je prenais un malin plaisir de venir les observer et je me masturbais en les matant en espérant qu’un jour je prendrais la place de mon tuteur.


Trois semaines s’étaient écoulées, je perdais espoir car Denise ne m’avait plus approché. Pourtant j’avais vu juste, le vendredi suivant, Claude avait demandé sa journée et Paul fut appelé en dépannage en début d’après-midi. À la station, il n’y avait que très peu de clients, la patronne en profita pour demander à sa fille Sabine, de la remplacer afin de faire le bilan du mois avec son apprenti. La gamine avait l’habitude, elle aimait trainer dans le garage dès qu’elle sortait du collège ou lorsqu’elle n’avait pas école. Elle passait ses journées derrière son père ou sa mère, jamais derrière Claude. Néanmoins, depuis mon arrivée, tous les soirs et le mercredi après-midi, elle ne me quittait pas.

Denise avait choisi son bureau pour me recevoir, afin d’être au calme et complètement à l’abri des regards. Après un petit interrogatoire sur le déroulement de mes activités du mois, ma patronne comprit que le travail et l’entreprise me plaisaient. Cependant elle avait surtout senti, au vu de mes regards que j’en pinçais pour elle. Denise connaissait suffisamment les hommes pour le comprendre et la masturbation qu’elle m’avait faite avait mis le feu aux poudres et elle le savait. Ce matin-là, elle n’avait pu coucher avec son employé absent, ce fut certainement la raison pour laquelle, elle s’était levée et vint se mettre debout à côté de moi. Elle prit sa poitrine à pleine mains en me regardant droit dans les yeux :
— Je sais que tu aimerais les prendre dans tes mains. N’est-pas Bertrand ? Me demanda-t-elle tout en soupesant ses seins.

J’en étais complètement fou, bien entendu je rêvais de les toucher, de les peloter, de les triturer, de lécher et mordiller ses tétons énormes que j’avais vu à plusieurs reprises. Je ne m’étais pas dégonflé, je lui répondis :
— Bien sûr Mme P, ils sont magnifiques. Je peux aujourd’hui ?
Sans répondre à ma question, elle me tendit la main afin que je me lève de mon siège, m’attira et me plaqua contre elle :
— Es-tu puceau Bertrand ?
— Non ! Madame P.
— Me désires-tu ? Car j’ai très envie de toi et de son sexe.

Denise était une fougueuse, elle frottait son bas ventre contre ma verge déjà raide tout en m’embrassant goulument. Ce n’était pas dans mes habitudes, mais je me laissais mener, c’était elle qui était aux commandes. J’adorai lui peloter ses gros seins et triturer les mamelons que je trouvais énormes et tendus. En quelques minutes, nous nous étions retrouvés, dans les mêmes conditions qu’avec Claude. Elle assise sur le bureau, la jupe retroussée sa petite culotte à ses pieds et moi le haut de la combinaison enlevée et baissée jusqu’à mi-cuisse :
— Lèche-moi la chatte mon petit. M’imposa-t-elle, l’air pressée.

J’exécutai les ordres, je me mis à genoux devant elle, les mains de Denise appuyaient sur ma tête, enfuie entre ses cuisses. Je pus constater qu’elle mouillait fortement sous les coups de langues qui tantôt léchait, tantôt s’insinuait entre s grandes lèvres ou s’attardait sur son clitoris. Mes doigts aidaient ma langue, j’avais même joué avec son anus sans qu’elle ne refuse. Lorsque mon index fut enfoncé entièrement dans sa rondelle étoilée, pendant que je la léchais, je compris qu’elle devait aimer être sodomisée. Après seulement quelques minutes, elle ne tarda pas à jouir, elle semblait avoir très apprécié ce que je venais de lui vivre :
— Tu sais y faire mon petit lapin ! Viens que je te suce à mon tour.

Denise me masturba un instant, avant d’avaler mon dard avec une grande gourmandise. Malheureusement elle n’avait pas beaucoup de temps à me consacrer avant que son mari ne revienne, elle me demanda donc de la prendre rapidement. Cette savante fellation, m’avait mis en appétit, toujours sa poitrine nue entre mes mains je l’avais pénétré en douceur jusqu’à la garde et l’avait fait jouir avec de longs va et viens. Après plusieurs minutes à ce rythme, après l’orgasme, elle se leva, m’embrassa avec fougue et se retourna, à plat ventre sur le bureau :
— Prends-moi par derrière Bertrand. Baise-moi plus fort.

je ne me fit pas prier, j’aimais cette position, je pouvais m’enfoncer un peu plus dans le vagin. Je la ramonais, cependant Denise ne me trouvait pas assez sauvage dans ce rapport, ça ne lui convenait pas :
— Plus fort ! Vas-y ! Baise-moi plus fort.
Je n’avais jamais sodomisé une femme, son anus devant les yeux m’avait tout retourné et sans me contenir, je lui répondis :
— Ah t’en veux salope et bien je vais t’en donner. Prends-ça !

Sans qu’elle n’ait eu le temps de réagir, ma bite avait pris possession de son cul, je l’enculais malgré sa petite protestation du départ. Au vu des petits cris de plaisir qu’elle poussait, j’avais vu juste et je savais être brutal, pour son plus grand plaisir. je m’en donnai à cœur joie, je l’attrapais par les hanches et la pénétrais avec force. Ce fut à grands coups de boutoir et avec endurance que je fis prendre à ma patronne, un troisième orgasme avant que je me vide sur sa raie après avoir retiré ma capote. Denise m’avait embrassé sur les lèvres en me disant : « Merci mon petit mais sache Bertrand que c’est moi qui commande, je ne t’avais pas demandé de m’enculer. »

Depuis ce jour au garage, à chaque occasion, Denise m’appelait dans son bureau, elle ne voulait plus baiser avec Claude qui se demandait bien ce qu’il avait fait. Le temps de passer me laver les mains aux sanitaires, je rejoignais discrètement ma patronne et la baisait suivant ses désirs. Très vite ce fut elle, qui me demanda d’aventurer mes doigts sur sa petite rondelle avant que je la sodomise, elle adorait ça en fait mais le premier jour, elle n’avait pas supporté que je la domine.
Malheureusement cela ne dura pas, quelques mois plus tard, en octobre 1996, je fus convoqué chez le patron. Paul P m’aimait beaucoup mais il fallait qu’il mette les choses au clair :
— Bertrand ! C’est difficile à te dire ces choses-là… Mais tu dois être au courant. Comme beaucoup dans la commune le pensent, ma femme me trompe depuis longtemps. J’ai toujours fermé les yeux mais là ça va trop loin. Je lui ai donné un ultimatum, si elle te demande de coucher avec elle, tu dois refuser.
— Mais Monsieur P…Je…
— Je ne veux pas savoir si tu l’as déjà fait ou pas, je te mets en garde. Denise est capable de baiser avec toi avec plaisir, elle a certains arguments pour convaincre n’importe qui et ce ne serait pas ment de ta faute. Maintenant si, car tu es averti.
— Bien Monsieur P, je ne veux pas vous décevoir.
— Je sais Bertrand, tu es un bon jeune, tu bosses très bien et tu apprends vite. Quand Claude partira dans quelques années, après le BP je t’embaucherai, je te le promets.

J’avais tenu ma promesse, après en avoir parlé à Denise qui était déjà au courant, nous avions interrompu immédiatement notre relation. À l’atelier, je progressais très vite, les compétences des deux mécaniciens étaient complémentaires et avec ce que j’apprenais à l’école, j’étais devenu rapidement autonome. Côté sexe, j’avais également progressé, j’avais pris beaucoup d’assurance avec les filles de mon âge et j’avais même baisé une cliente de l’âge de Denise qui voulait elle aussi se taper un petit jeune.

Néanmoins, un problème surgit deux ans plus tard début 1998, Sabine la fille des patrons qui ne me quittait jamais d’une semelle, m’avoua un mercredi soir, juste avant que je quitte le garage :
— Bertrand, je suis amoureuse, maintenant j’en suis sûr.
— Tu en pince pour qui ? Je le connais ce chanceux ?
— C’est toi Bertrand ! Oui ! C’est toi que j’aime. Insista-t-elle en voulant l’embrasser sur la bouche.
— Enfin Sabine, tu n’as pas encore 16 ans bon Dieu ! Je t’aime bien mais quand même. Si ton père savait ce que tu viens de faire, il me foutrait dehors sur le champ.
— Ouais mais toi, tu n’as que six ans de plus que moi…
— Arrête Sabine, tu verras ça te passera, je ne veux surtout pas me fâcher avec toi. Réfléchis bien nous en reparlerons plus tard.

Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Bertrand, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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