Le Remplacement. (9/X)
Je prends plaisir à mettre en forme le texte écrit par Nadia, quand acceptera-t-elle de me faire un même massage, hélas jamais.
Je suis toujours allongé sur notre lit de plaisir, Nadia enfin semble vouloir soccuper de mon intimité même si son massage sans avoir lair de toucher à mon sexe ma apporté une jouissance cérébrale que jespère retrouver dautres fois.
Je prends conscience un court instant que je serre sa hanche.
De nouveau, son doigt se pose sur mon clitoris, elle me branle doucement avant daller plus rapidement.
La pointe de mon sein est pressée entre pouce et index, puis elle roule mon téton entre le bout de ses doigts avant de le lâcher et de le reprendre avec ses ongles quelle enfonce à la base.
Je suis sur le point de larrêter et de crier, mais jouvre la bouche pour avoir plus dair, je me tends à nouveau, je pousse mon ventre vers elle, va-t-elle comprendre mon envie.
Le désir est présent dans mon ventre depuis de trop longues minutes, jessaie de me calmer, de me reprendre, je gémis doucement mais ces gémissements deviennent permanents.
Elle cesse de me masturber, sa main court sur mon bas-ventre mes cuisses, je me soulève un peu pour voir ce quelle fait, la main qui pétrit ma poitrine descend sur mon sexe ou elle ébranle mon clitoris et de lautre présente ses doigts à lentrée de ma chatte.
Jouvre un peu plus les cuisses, ma tête retombant sur le lit, jattends anxieuse, que va-t-elle trouver comme jeu pour retarder encore le moment que jattends.
Ma respiration est courte, rapide. Je sens le bout de son doigt contre moi, un instant, je recule mes reins puis, je me tends, elle me pénètre, je ne peux retenir de petites plaintes alors que ses doigts senfoncent dans mon intimité.
Les chairs de mon vagin sécartent sous la poussée, jessaie déviter de gémir trop fort de crainte de déranger les voisins.
Ma tête va de gauche à droite, je tiens sa hanche, elle fait aller et venir le leurre doucement, je sens la pulpe de ses doigts se poser sur mon point G.
Je réagis immédiatement.
Elle sait où elle est et sarrête, elle reprend en pliant alternativement ses phalanges sur lendroit quelle vient de découvrir, son autre main continue de me masturber ou appuie sur mon ventre ou encore presse ma poitrine tour à tour.
Cest absolument divin, elle sait y faire et japprends beaucoup avec elle.
Elle est attentive à mon plaisir car elle sarrête chaque fois quelle sent mon vagin se contracter.
Elle me tient ainsi au bord de lexplosion pour quelle soit plus forte, plus puissante.
Je mouille de plus en plus et je sens ma cyprine couler jusquà mon périnée et glisser vers mon anus.
Je sais que je vais jouir rapidement, trop rapidement.
Jai toujours ma main sur sa hanche, que je pince, je me sens partir de nouveau, elle est démentielle, je crois que si nous vivions ensemble je serais jouissance permanente sur jouissance permanente.
Je mords la peau de mon poignet fort, très fort, je soulève mes reins, mes hanches.
À mon tour, jenfonce mes ongles dans ses chairs, je suis loin davoir sa dextérité et je dois lui faire mal, mais elle supporte tous sans rien me dire.
Sa bouche se pose sur mon clitoris, laspire, le mord.
Ces doigts en moi sagitent férocement, avec une vélocité incroyable en appuyant sur un point si particulier.
Lorgasme me prend, à en être presque douloureux, je lève la tête, lâche sa hanche et pose ma main sur la sienne entre mes cuisses, pour la retenir.
Elle reste presque immobile, je retombe, épuisée, ivre du plaisir qui a traversé mon corps.
Je cache mes yeux, mon regard, de mon avant-bras.
Elle ma tuée, vidée.
Jai la bouche entrouverte, je reprends doucement ma respiration.
Je crois que je tremble un peu, ses doigts toujours sur moi immobiles, je ressens ses lèvres qui se posent sur les miennes, sa langue contre la mienne.
Alors ma belle ?
Je réponds par un long soupir et reste à la regarder, ladmirer.
Ses lèvres rencontrent les miennes une nouvelle fois, je lui caresse les cheveux dans un geste lui montrant lamour que je lui porte et je réponds à son doux baiser.
Merci, mille fois merci.
Je suis épuisée au point de sombrer dans les bras de Morphée.
Plus tard, la nuit étant tombée sur notre chambre ce sont de douces caresses qui me ramènent à la réalité.
Bienvenue !
Me suis-je endormie ?
Endormie, évanoui, tu veux dire.
Longtemps ?
Non, trois-quatre minutes.
Désolée !
Désolée de quoi ?
Davoir pris ton pied au point den inonder les draps ?
Comment ça ?
Regarde par toi-même.
Je massieds pour découvrir une tache imposante.
Cest moi qui ai fait ça ?
À ton avis ?
Jai bien senti que je mouillais plus que dhabitude mais à ce point.
Et encore il en manque une grande quantité car tu mas aussi rempli ma bouche.
Arrête !
Elle colle sa bouche sur la mienne et là je redécouvre sur ces lèvres mon odeur.
Nadia je meurs de soif, veux-tu une coupe de champagne ?
Excellente idée, moi aussi je mangerais bien quelque chose, nos débordements sexuels ont tendance à mouvrir lappétit.
Des fruits ?
Parfait, surtout pour gagner ma ligne, il faut faire tout le temps attention.
Je décroche le téléphone pour appeler le roomservice et passer commande.
Nous prenons une douche qui est loccasion de nouvelles caresses pleines de sensualité.
Nous venons de nous allonger quand on frappe à la porte.
Oubliant ma nudité je me lève pour aller ouvrir.
Cest en voyant la tête la jeune fille que je réalise létat dans lequel je suis, heureusement que cétait une serveuse et non un serveur bien que depuis que je remplace Nadine si je calcule bien je me suis montré nue devant un grand nombre hommes que tout le reste de mon existence alors un de plus.
Je mefface pour la laisser entrer et là elle découvre Nadia une main plantée entre ses cuisses.
Sans est trop pour elle, elle devient aussi rouge que les rideaux.
Posez ce plateau sur le lit.
Nadia att son sac et en extirpe un billet de 50 quelle tend à la jeune fille qui se dépêche de sortie de la chambre.
Pourtant dans cette maison dhôte libertine la nudité doit être chose courante.
Assise en tailleur au milieu du lit, Nadia débouche la bouteille, inondant un peu plus le lit.
Nous avons tellement soif que la première coupe est bue rapidement.
La discussion va bon train tout en dégustant des fraises et du raisin.
Il y a de la vraie connivence, de la complicité entre nous.
En portant mon verre à ma bouche quelques gouttes tombes sur ma poitrine.
Nadia se précipite.
Le champagne est encore meilleur sur toi.
Elle me lèche le buste en faisant couler quelques gouttes supplémentaires pour profiter de mon corps plus longtemps.
Elle fait elle aussi couler un peu de champagne sur ses seins, invitation claire et je bois et lèches à mon tour dégustant le précieux breuvage au milieu de ses pommes damour.
Tu veux jouer alors jouons.
Jatt une fraise que je coince entre mes dents et je mapproche de sa bouche, doucement, délicatement elle sempare du fruit morceau par morceau en faisant bien attention déviter mes lèvres.
Lors de sa dernière approche javale ce quil reste et lui tend ma langue dont elle sempare.
Un baiser long et passionné nous uni de nouveau.
À moi de jouer, cest mon tour !
Nadia sempare dun grain de raisin quelle suce un court instant avant de la glisser à lentrée de son intimité.
Allez vient le chercher.
Ce que je fais pour mon plus grand bonheur, pour la première fois je pose mes lèvres sur sa chatte qui est douce et accueillante.
Les premiers essais sont infructueux car je lenfonce plus que je latt, quelques aspirations et je réussis à memparer du grain à la saveur particulière.
Bien joué ma chérie, ta langue est douce et agile et ta bouche un véritable aspirateur à grains.
Elle déplace le plateau pour le poser par terre découvrant à nouveau les souillures de mon plaisir précédent.
Que regardes-tu ?
Cette tâche, ou plus exactement mon plaisir, jignorais que jétais fontaine. Cest une découverte grâce à toi mon coeur.
Dici demain matin il y en aura dautres car moi aussi je suis femme fontaine.
Toutes les femmes ?
Certaines mais beaucoup lignorent car il faut avoir la chance quun amant ou une amante leur révèle.
Croit moi maintenant que tu le sais, tu vas rechercher ce plaisir à chaque fois.
Pendant qu'elle dépose le plateau je l'observe à la dérobée, mon envie pour elle grandit encore.
Ce joli petit cul, ses jolies fesses rondes et fermes quelle mexpose, pliée en deux jambes tendues !
Quand elle a terminé, elle se retourne, sallonge à mes côtés, se colle contre moi, et cette fois, notre baiser est violent, sauvage, passionné.
Nos corps sont brûlants lun contre lautre.
Nous nous serrons très fort, j'ai envie qu'elle se fonde en moi, je passe ma main entre ses cuisses.
Nadia tu es déjà mouillée
Jallais dire quelle salope, mais je sais que pour elle sest un mot tabou comme pute quelle remplace par courtisane
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