Le Bouchon Trop Loin 4

Le bouchon trop loin 4

- Ensuite il m'a fait toutes sortes de positions sur le lit, et puis le tour de la maison, sur la table de la cuisine, sur le balcon, le fauteuil, la table du salon, le lavabo. Retour sur le lit pour qu'il jouisse en moi et j'ai joui en même temps. Il m'a baisée pendant trois quarts d'heure sans faiblir, il m'a tuée. Comme je t'aime, je ne vais pas dire le nombre d'orgasmes.

Et vlan dans les dents, enfin, comme dit le proverbe : charité bien ordonnée est à moitié pardonnée.

- Et attends, quand j'ai voulu me lever, il m'a dit de faire attention, ça allait couler. J'ai l'habitude avec toi, t'es un bon donneur, mais là c'était au moins le double. Ça coulait le long de mes cuisses fallait voir.
- Décidément, c'est une bête de sexe. On est tombé sur Sperman.
- On s'est reposé un peu en buvant quelque chose, on était essoufflés. Même pas un quart d'heure plus tard, le voilà qui me chope dans le salon, il m'a attaché les mains dans le dos, mise à genoux devant lui et m'a dit « suce salope ! » Sa queue était redevenue dure comme du bois, je ne demandais que ça. Vu le diamètre je ne savais pas s'y j'allais y arriver facilement mais il était encore bien excité, il ne fallait sans doute pas grand chose. Je l'ai léché et pompé, finalement il a déchargé dans ma bouche et j'ai tout avalé, enfin presque. Même le deuxième jus, c'était pas mal, faut dire qu'il a de belles couilles et bien pleines apparemment.
- Il était bon son jus ?
- Ben ma foi. De toute façon, il fallait bien que j'avale si je ne voulais passer pour une nouille. Mais bon, vu qu'il m'avait dit « avale tout, petite pute ! » au moment critique, ça m'a fait une chaleur dans le bas ventre, j'étais au bord de l'orgasme, j'ai avalé tout ce qu'il me donnait avec délectation. Je me serais touchée à ce moment là, je jouissais.
- Fichtre ! Avec délectation ?
- Je t'assure, je voulais avaler son sperme.

Tout prendre jusqu'à la dernière goutte tellement j'étais excitée.
- Tu vois ? Quand je te disais que tu allais accepter de lui des trucs que tu me refuses à moi, j'avais pas raison ? Tu étais désinhibée devant un inconnu alors qu'avec moi tu aurais eu de la pudeur.

Après, sur le canapé, j'ai joué avec sa bite devenue à peine molle pendant qu'il me caressait doucement. Il a commencé à tourner autour de mon petit trou avec un doigt. C'était agréable, je dis pas, mais je peux te dire que j'étais un peu inquiète parce que s'il comptait me mettre sa queue dans le cul, j'allais souffrir. Mais bon, je l'ai laissé faire tant que ce n'était pas méchant. Quand sa queue est redevenue dure, il m'a portée dans la salle de bain, là j'ai compris que j'allais y passer. Il m'a déposée dans la baignoire et m'a demandé si c'était la première fois, j'ai dit oui, et il m'a affirmé que je n'aurais pas mal du tout, qu'il allait me préparer. J'y croyais pas trop mais bon, là aussi je ne voulais pas passer pour une nouille. Il m'a nettoyé les tripes avec le tuyau de douche et m'a travaillé l'anus avec les doigts. Ensuite, sur le lit, il a continué de m'élargir mais en mettant un lubrifiant. C'est con mais déjà ça, ça me faisait beaucoup de bien. Quand il est rentré, c'est passé tout seul.
- Alors ? Tu as aimé ?
- Je dois avouer que j'ai aimé. Dommage qu'on ait pas fait ça plus tôt.
- T'es bonne toi ! c'est toi qui n'as pas voulu.
- J'aurais voulu t'y voir, j'avais déjà mal alors que tu n'avais presque rien rentré.
- C'est vrai que j'étais sans expérience. Ensuite ?
- Là j'ai eu droit à un florilège de mots crus, il me faisait dire que j'étais une salope qui aime se faire enculer, j'en passe et des meilleures. J'étais bien décoincée, je ne me forçais pas, je ne m'en serais pas cru capable et même qu'à la fin j'ai dit de moi-même « mets tout ton foutre dans mon cul ».
- Oh ! La salope ! Tu as dit ça ?
- C'est ça, moque-toi ! Après on a parlé de choses et d'autres, il m'aurait bien mis un service supplémentaire mais j'avais ma dose et je ne voulais pas rentrer trop tard.
Voilà mon Chéri, j'ai passé une soirée excellente et inattendue et je te remercie du fond du cœur d'avoir rendu cela possible. Tu es un amour, je t'aime.

Bilan : elle a avalé sans faire d'histoire alors qu'elle me l'a fait une fois au début puis tintin pendant vingt ans et elle s'est fait déflorer le petit trou par un autre. Je ne cache pas que le deuxième point me reste un peu en travers de la gorge.
Enfin, ce sont les risques auxquels je pouvais m'attendre et je ne peux pas lui reprocher, j'en suis à l'origine. D'un autre côté, elle paraît plus décoincée, ce que je voulais au départ.
Je suis donc là sur mon canapé, la bite tendue sous les doigts et la langue d'Anne.

- J'ai hâte de tester la nouvelle Anne. Allons au lit, je vais te baiser comme tu le veux, tu n'as qu'à me dire.
- Ben c'est que… tu vois… j'ai encore son sperme en moi.
- Oui, et alors ? Ça ne me gêne pas, au contraire.
- Ben… tu comprends, ça me gêne d'avoir deux spermes différents dans le vagin.
- Pourquoi ? Ça te fait des gratouilles ? Ça te démange ?
- Il faut comprendre, tous ces spermatozoïdes qui se baladent dans mon ventre, ça me fait quelque chose de savoir qu'ils sont là. C'est le sperme d'un autre que je ramène à la maison. Je préfère ne pas le mélanger. Ou alors tu mets une capote.
- Alors là, pas question de te baiser avec une capote quand l'autre te baise sans. C'est le monde à l'envers ma parole ! Je rêve ! J'en ai jamais mis avec toi, je ne vais pas commencer maintenant.
- Mamour, attends, pas ce soir tu veux bien ? Je te le demande.
- Bon, bon ! Comme tu veux. J'attendrai demain. Abandonné-je.
- C'est que… les spermatozoïdes, ça dure bien 48 heures.
- Oui, et alors ?
- Ben ce sera la même chose demain.
- Ah d'accord ! Le mec te baise une fois et pour moi c'est deux jours d'abstinence !
- Mais non, pas d'abstinence, je te suce quand tu veux, d'ailleurs c'est ce que j'ai commencé à faire depuis tout à l'heure.

- Si je comprends bien, j'ai le lot de consolation. Mais j'y pense ! Si je ne peux pas passer par devant, je peux passer par derrière, parce que les spermato, ils doivent déjà être tous crevés.
- Ben… c'est que… comment dire… mon cul est réservé.
- Réservé ?
- Oui, à Jean. Il m'a dépucelée, ce serait bien qu'il en ait l'exclusivité, du moins tant qu'on se voit.
- Hein ! Ça veut dire que tu comptes le revoir ?
- C'est prévu, mais je ne sais pas quand, il doit me rappeler.
- Mais je t'avais dit que j'étais d'accord pour une seule fois, sans lendemain quoi.
- Non, tu m'as dit à condition que ça ne dure pas, ça ne signifie pas juste une fois. Et puis tu as vu la difficulté pour trouver quelqu'un de convenable, alors si j'en tiens un, je m'en contente. Si c'est pour encore aller en boîte tous les samedis, non merci.
- Bon, si tu veux mais que ça ne dure pas.

Je dis ça mais ça ne fixe aucun délai. Mais comme dit le proverbe : à cheval donné, reprendre c'est voler.

- Chéri, tu es un amour. Je t'aime.
- Bon ben suce-moi alors, puisque j'ai cet immense privilège.

Elle se met à l'ouvrage, je ne tarde pas à venir et j'envoie une quantité supérieure à la moyenne. J'ai la surprise de la voir se relever et courir vers la cuisine la bouche pleine. Quand elle revient je lui demande :

- Je croyais que tu avalais maintenant ?
- Oui, le sperme de Jean.
- Elle est bonne celle-là ! Alors là, tu m'auras fait la totale !
- Laisse-moi le temps mon chéri, tout cela est nouveau pour moi. Bon, je vais me coucher, je n'en peux plus.
- Dis-moi, je pense à une chose là. Le jour où tu as mon sperme dans la chatte, normalement Jean n'y a pas droit le lendemain, c'est logique. Sinon ça fait double sperme. Dis-je tout content de la coincer.
- Non, après toi je me laverai.
- Ah ! Dis-je tout déçu. Tu me détaches s'il te plaît.
- Excuse-moi, j'avais oublié.


En me libérant elle m'annonce :

- Ce soir je voudrais dormir seule. Tu prends le canapé ou tu vas dans la chambre d'ami ?
- C'est bien de me laisser le choix. Et si je voulais mon lit tout simplement ?
- S'il te plaît Chéri, fais ça pour moi, ce n'est pas un soir ordinaire, langoure-t-elle.
- Bon d'accord, le canapé. T'as de la chance que j'aie les couilles vides.
- Merci, tu es un amour. Ne bouge pas, je t'apporte un T-shirt et une couverture.

Je m'allonge sur le canapé, me préparant à une nuit pleine de pensées interlopes, j'ai prévu le rouleau de papier absorbant. J'entends qu'elle ferme la porte de la chambre, chose qu'on ne fait jamais quand on est seuls, et qu'en prime elle ferme à clé. Je pensais qu'elle m'avait tout fait, mais non, il y en a encore. Et moi comme un con, je rebande. J'imagine qu'elle se masturbe tranquillement en pensant à son Jean. Les images défilent dans ma tête, je ne vais pas m'endormir de sitôt.


J'entends des claquements de talons, elle éclaire son chemin en laissant sa porte ouverte et va dans la cuisine, à poil et en hauts talons. Ça aussi c'est nouveau. Je la rejoins elle boit un verre d'eau.

- Tu ne dormais pas ? Me dit-elle.
- Je somnolais, tu m'as réveillé. C'est ta nouvelle tenue pour la maison ?
- Elle te plaît ? Elle coûte pas cher.
- Tu dors avec tes chaussures ?
- J'ai eu la flemme de les enlever.
- Bah ! Tu as baisé dans cette tenue et tu te masturbes en y pensant.
- Peut-être. Mystère !

La chienne ! Elle veut me faire tourner en bourrique ou quoi !

----------

Le samedi est le jour où nous faisons les boutiques en ville, en même temps nous nous baladons dans les vieilles rues. Nous n'avons pas parlé des événements de la veille et sommes partis vers dix heures. Elle a voulu rentrer dans une boutique de tissus.

- Vas-y, je reste dehors, ça ne m'intéresse pas.

Je regarde distraitement les vitrines adjacentes, marchouille en rond, puis je la vois téléphonant, ça discute, ça discute. On se voit à travers la vitrine, elle me fait signe qu'elle arrive et raccroche.

- Je n'ai rien vu d'intéressant.
- ment, il faudrait déjà que tu regardes la marchandise.
- J'ai vu ce qu'il y avait à voir, le reste c'est pour les grands-mères.

Je vais chez mon libraire, elle reste dehors et elle téléphone, pareil chez le disquaire. Je ne voudrais pas faire de conclusions hâtives mais ça me met la puce à l'oreille, enfin, comme dit le proverbe : il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant les bœufs.
À part ces singularités, elle me tient par le bras, on se donne la main, un vrai couple d'amoureux. À midi, on va à une de nos gargotes préférées. Elle va aux toilettes, je ne peux pas dire si c'est pour téléphoner mais je sais qu'elle a son téléphone dans une poche de sa veste. Ah ! Soupçon, quand tu nous tiens !
L'après-midi, queue à la boulangerie. Elle sort, me laissant faire la queue, quand je ressors, elle range son téléphone. Ça commence à bien faire.

- Mais à qui tu téléphones sans arrêt ?
- À Sylvie, je t'ai dit qu'elle était pas bien.
- Mais oui, je te crois. Tu coupes à chaque fois que j'arrive.
- Ben oui, ça ne t'intéresserait pas.

Je sais bien à qui elle téléphone. C'est énervant d'être pris pour un con.


Le soir, nous prenons l'apéro avec nos nouveaux voisins, on les a invités pour leur rendre la politesse. Quand ils partent, je sors les plats que l'on avait préparés pour les mettre au four.

- Je vais téléphoner à Jean. Tu vois, quand je lui téléphone, je te le dis, me dit Anne.

Tu parles d'une preuve, si elle ne veut pas avouer qu'elle l'a appelé quatre ou cinq fois, c'est ce qu'il faut dire. Je la vois quitter la cuisine, mais pas pour aller dans le salon, elle sort dans la rue, s'éloigne et téléphone. Je n'entends même pas quand elle parle. Décidément, je ne suis ouvertement pas dans la confidence. Elle revient après un quart d'heure de parlotte.

- Il me semble que je devais être tenu au courant des faits et gestes et toi tu vas téléphoner au bout de la rue.
- Je t'ai raconté ce que j'ai fait, là je n'ai rien fait, c'est juste un coup de téléphone.
- Et vous avez parlé de quoi pendant un quart d'heure ?
- Écoute, il faut bien un peu de cachotterie, je suis sûre que ça te fait bander, c'est ce que tu veux non ? Imaginer ta femme faire des plans cul dans ton dos, c'est pas excitant ?
- Ouais. Pourquoi pas.

Elle n'as pas tort.

- On en reparlera après, pour l'instant, on mange, dit-elle.


On est assis devant la télé. Avec l'air de dire une chose sans importance elle dit :

- Alors on a parlé avec Jean. On peut se voir le lundi, le mercredi et le vendredi.
- Et ce sera lequel ?
- Ben, les trois.
- Quoi ! Tu plaisantes ? T'as calculé qu'avec ton coup de deux jours à chaque fois qu'il te baise, ça ne me laisse que le dimanche ?
- Ah, j'avais pas fait gaffe.
- Évidemment, tu te moques pas mal de mon sort.
- Mais je te sucerai tous les jours si tu veux.
- Oh ! Ma reine, quelle bonté ! Je m'en esbaudis !
- Bon ! Fais pas la gueule. C'est toi qui m'as poussée et maintenant tu te plains, faut assumer mon vieux ! Il se trouve que je prends mon pied alors lâche-moi un peu, ne me retiens pas maintenant que j'y ai goûté. De toute façon tu sais bien que je t'aime.

Elle vient avec moi sur le canapé et me déshabille lentement en me roulant des pelles et en me caressant. C'est dur de refuser et j'ai bien entendu une érection.

- Tu veux que je t'attache les mains comme hier ?
- Vas-y, attache.

Puis elle se met nue et vient sur moi. Elle me fait une séance d'échauffement très sensuelle, rien de neuf si ce n'est qu'elle la fait d'elle-même. Elle me lèche un peu partout, me fait goûter ses seins, frotte ses jambes contre ma queue, me palpe les couilles. Je ne dis rien, j'en profite, un long moment.
- J'oubliais, Jean va peut-être m'emmener en week-end dans quinze jours. Un bled dans l'Aveyron.
- Ah ben c'est bien, ça me fait sauter un dimanche, dis-je résigné.
- On sera rentrés le soir, tu auras une pipe. Je sais, ce n'est pas aussi bien mais c'est juste pour un week-end.
- Il est de là-bas ?
- Oui. On va chez ses parents.
- C'est bien, il va te présenter à ses parents et dans trois mois vous vous mariez.
- Ne sois pas bête. C'est pour visiter.
- Et baiser.
- Oui. On aura peut-être pas le temps de visiter d'ailleurs.
- Salope !
- Ben je m'améliore. C'est ce que tu voulais.
- Tu apprends vite.

Lentement elle approche sa tête de mon sexe en léchant mon torse puis mon ventre. Je m'attends à une fellation imminente.

- Ça ne te fais rien si je te mets une capote ?
- Encore ! Je te l'ai déjà dit : pas de capote avec toi. Surtout pour une simple pipe !
- Qu'est-ce que ça peut faire ? Ça ne change rien puisque je n'avale pas.
- C'est une question de principe !
- Bon, bon, ça va ! Si on ne peut plus rien changer, faisons comme d'habitude.
- Tu as suffisamment changé, pas tout à la fois que je m'habitue au fur et à mesure.

Bien entendu, son ouvrage terminé, elle se rue vers la cuisine. Une fois débarrassée de son fardeau, elle me détache et m'apporte ma couverture.

- Bonne nuit mon amour.
- Bonne nuit Chérie.

Elle va dans la chambre, elle et ses spermatozoïdes. Clic-clac, fait la serrure.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!