Une Semaine Particulière (4Ème Jour)

Mercredi 22 novembre 2017

J’ai mal dormi. Une érection m’a réveillé ce matin. L’abstinence comme à peser. Non seulement l’abstinence, mais également cette tension sexuelle permanente dans laquelle Sarah me tient.
J’arrive tôt au bureau. Sarah n’est pas encore là. Je dépose ma lettre, sous enveloppe, sur son bureau, en évidence. Et je l’attends comme jamais je ne l’ai attendue.
9h10 - Elle arrive. Une déesse me ferait moins d’effet. Cheveux longs, lâchés, débordant sur sa poitrine. Elle a mis un décolleté plongeant, me gratifiant de la naissance de ses seins, fermes, blancs et onctueux. Dès son arrivée, je sens ma queue durcir, fermement, implacablement. Son simple parfum me fait réagir en un instant. Je suis à elle.
Elle me fait la bise, ne me dit rien et s’installe à son bureau. Elle voit la lettre, me regarde et me sourit. Elle ne l’ouvre pas, mais la met de côté, sur la pile de son courrier. Je baisse les yeux, je ne dis rien non plus. Mon téléphone sonne. Je vais essayer de bosser.

10 heures - rien
11 heures - rien
« Sarah? »
« Oui? »
« Tu n’as rien à me dire aujourd’hui ? »
« Non, je travaille. »
« Ok ok. »
Je suis désemparé. Me laisse-t-elle tomber?

11h30 - Sarah se lève, et sans un mot, disparaît. Je ne la vois plus jusqu’à 14 heures.

14 heures 15 sarah.xxx@conseilxxxx.com
Coucou Lucas. Je parie que tu as attendu ce mail avec impatience. J’ai lu ta lettre pendant la pause déjeuner. J’ai bien aimé. A 15 heures, rendez-vous aux toilettes, comme la dernière fois. Tu te mettras à poil, évidemment. A tout à l’heure.

Ouf…encore une épreuve. J’en suis venu à attendre ma prochaine humiliation avec envie. Les minutes défilent lentement.

15 heures - Je file, je ferme la porte, verrouille le loquet. J’enlève mes vêtements. Quelques secondes plus tard, je reçois un texto.
« Prouve-moi que tu es nu. »
Je me prends en photo.

Je n’ai plus rien à cacher. J’envoie.
« C’est bien. Assieds-toi sur la lunette. On va jouer. Je ne viens pas. »
MMS : Sarah m’envoie une photo de son soutien-gorge, en selfie, pris à l’endroit même où je suis actuellement.
« Branle-toi de suite et vite. Sur ma photo. »
Je ne me fais pas prier. J’attaque une masturbation frénétique.
Texto de Sarah : « Doucement maintenant. Ne jouis pas… »
MMS : Autre photo, sans soutien-gorge! Je vois les seins de Sarah apparaître pour la première fois sous mes yeux.
Texto : « Mes seins te plaisent? branle-toi fort. »
Puis 30 secondes plus tard : « Stop ».
Elle me laisse en suspens une minute. Mon sexe bondit de plaisir, mon liquide séminal abonde et coule le long de mon gland. Je ne quitte pas des yeux la photo de ses seins.
Texto : « Tu as envie de jouir? »
Texto : « Je n’en peux plus Sarah. »
Texto : « Je te fais un décompte. A zéro, tu jouis, pas avant. »
10
9
8
7…accompagné d’une photo de sa culotte, jambes écartées, main à l’intérieur…
6…plus vite
5
4…plus vite
Je suis en train de rêver, je vais être délivré.
Texto : « Stop tout. Rhabille-toi et je t’ordonne d’effacer les photos. »

J’arrête difficilement. J’étais sur le point de jouir. Je suis frustré, je ne lui réponds même pas.
Texto : « Reviens. »

De retour, je m’assois.
« C’était bien? »
« C’est dur…je commence à avoir mal maintenant.
« Tu me fais de la comédie. J’espère que tu as bien profité. »

Il est 15h30. Je suis sur les nerfs.
« Nous allons encore jouer tout à l’heure Lucas. »
J’arbore un sourire contrit. « Tout ce qu’il te plaira… »

Nous reprenons le travail. Deux heures de silence, deux heures de répit.

17 heures - « Lucas, viens, j’ai besoin de toi. »
Je lève la tête. Elle a l’air sérieuse. Je vais vers son bureau.
« Tu sais transférer ce type de fichier? »
Je me penche, à côté d’elle, et regarde l’écran.
Nous sommes deux collègues normaux.
« Oui c’est facile.. » En deux manips, le transfert est fait.
« Ouvre mon tiroir » me dit-elle.
Je tombe, au beau milieu de ses affaires de bureau, sur un plug anal, de taille normale, et sur sa culotte en dentelle noire. Je ne dis rien, j’attends.
« Tu aimes ce que tu vois? » me demande-t-elle.
« ça me rappelle quelque chose… »
« A 18 heures, avant de partir, tu viens ici, à mon bureau, devant moi. On vérifiera si tout le monde est parti. Si c’est le cas, tu enlèveras ton pantalon et tu retireras ton boxer. Tu mettras ma culotte à la place. Ensuite, tu t’introduiras ce petit plug. Devant moi. »
Elle me fait un grand sourire. Ma queue frémit.

L’heure passe. Dès que je pense à la fin de journée, je sens ma verge en érection, réprimée par mon boxer.

18 heures…18h15
« Tu viens? Les autres sont partis. Viens jouer Lucas…. »
« J’arrive. J’éteins mon ordinateur. » Je m’avance vers elle.
Elle rigole :
« Allez, baisse ton froc. Montre-moi ta queue! »
Je m’exécute. Me voilà, pantalon baissé, la queue dressée et gonflée devant elle. Sarah la fixe, sans rien ajouter, puis :
« Approche, pose tes fesses sur mon bureau. »
Elle est là, assise dans son fauteuil. Je la surplombe, assis. J’attends mais elle ne fait rien. Elle examine de loin ma verge, mes couilles. Je suis son objet.
Elle ouvre le tiroir et sort le plug et la culotte.
« Allez, à toi… »
« Tu as du lubrifiant…? »
« Non, tu le mets à la bouche, tu lubrifies avec ta salive. Tu fais pareil pour ton trou. Tu as une minute. Dépêche-toi. »
Je n’ai pas le temps d’hésiter. Sous son regard narquois, plug en bouche, je le mouille le plus possible. Je prépare le passage en massant mon anus, avec deux doigts.
« J’adore te regarder. C’est tellement humiliant pour toi et tellement jouissif pour moi. » me dit-elle.
« Maintenant, tourne-toi, montre-moi ton cul.
Ecarte tes fesses pour moi. Et fais-moi entrer ce petit accessoire. »
Je me tourne lentement. Elle admire mon cul. Je lève un petit peu une jambe pour faciliter l’insertion.
« C’est bien, un vrai petit chien. » savoure-t-elle?
Le début est douloureux. Je dois remettre le plug à la bouche, puis je reviens vers mon trou. Je pousse, je force. Sarah n’en manque pas un instant. J’ai mal, mais je finis par absorber le plug en entier. Mon anus se resserre sur lui.
Je suis parcouru de frissons de plaisir et de honte au fur et à mesure qu’il se contracte sur ce bout de caoutchouc.

« Tu t’en mets souvent? » me demande-t-elle.
« ça m’arrive oui. »
« Mets ma culotte Lucas. Elle sent ma chatte, je l’ai portée toute la journée d’hier. Tu vas la garder sur toi jusqu’à demain. »
Je la prends dans mes mains.
« Sens-la. »
Je la respire. Elle sent fort, une odeur humide et musquée.
« Tu aimes l’odeur de ta maîtresse? »
« Oui Sarah.. »
« Lèche l’intérieur, là où j’ai frotté… »
Je sors ma langue. De l’extérieur, je dois faire belle figure. Mon pantalon baissé, un plug dans le cul, et en train de lécher une culotte sale.
« Elle a bon goût? »
« J’adore le goût de ton jus Sarah. »
« N’en profite pas trop. Mets-la. Mets ma culotte. »
Elle est trop petite pour moi. Je suis obligé de me tortiller pour que mes parties intimes puissent s’y introduire et y rester. J’y arrive tant bien que mal.
« Tu es très beau comme ça. Rhabille-toi. »
« J’enlève le plug? »
« Non, je t’envoie un texto ce soir pour te dire quand le faire sortir de ton petit cul. »
Pantalon remis, nous plions bagage. Sarah me souhaite une bonne soirée avec un petit sourire diabolique.

Il est 21h30. Le plug frotte, appuie, c’est agréable. Ma queue scintille de liquide séminal, produit en abondance par la stimulation de ma prostate.

Texto : « Enlève ton plug mon chéri. Tu as assez souffert pour ce soir.
Garde ma culotte jusqu’à demain et porte là demain sur toi quand tu viens au bureau. Bisous. »

Demain?

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