Une Semaine Particulière (5Ème Jour)

Jeudi 23 novembre 2017
« Coucou Lucas, comment ça va? »
« Arrête de te moquer de moi… J’ai un rendez-vous ce matin, je reviens à 11 heures. »
« A tout à l’heure. »
**********
Je tente tant bien que mal de me concentrer sur mon dossier de la matinée. Le rendez-vous se passe bien. Je suis à l’affût d’un texto de Sarah, mais elle ne m’envoie rien. C’est gentil de sa part. Elle me laisse quand même souffler pour faire mon travail sérieusement.
Je reviens au bureau à 11 heures 30. Sarah est là, toujours rayonnante. Aujourd’hui, elle porte une robe avec des talons. Elle est sexy, c’est infernal.
« Tu n’as rien de prévu à midi Lucas? »
« Non, je comptais déjeuner rapidement. »
« OK…alors sache que tu restes avec moi. On va attendre que tout le monde soit parti manger. »
« Tu as quoi en tête là? »
« Je vais te faire souffrir.. » me dit-elle en me faisant un clin d’oeil.

Midi - Les bureaux se vident rapidement.
« Lucas, prends ça… » dit-elle en me tendant un masque de sommeil. »
« Tu veux que je fasse une sieste? »
« C’est pour notre nouveau jeu. Il n’y a plus personne. Tu vas aux archives. Tu te mets à poil. Tu m’attends à genoux, avec le masque sur les yeux. »
Ma queue, ce matin plutôt tranquille, fait un bond dans la culotte de Sarah, que je porte encore.
« Tout de suite? »
« Tout de suite. » me répond-elle avec sévérité.

J’ouvre la porte des archives, j’allume la lumière. C’est une grande salle, à l’écart des bureaux, dans laquelle la boîte classe tous les vieux dossiers. Je choisis une rangée, un peu à l’écart de l’entrée, et j’exécute scrupuleusement les ordres de Sarah.
Le masque sur les yeux, je ne vois plus rien. J’attends, nu, à genoux, sans savoir ce qui va se passer.
Au bout de deux minutes, j’entends la porte s’ouvrir et se refermer discrètement. Sarah est là, silencieuse. Son parfum imprègne la salle.

Je sens son regard posé sur moi. Je suis dur, très dur…
« C’est bien Lucas, tu as fait tout ce que je t’ai demandé jusqu’à présent. Maintenant, branle-toi. »
Sans parler, je pose ma main sur ma queue et je commence des mouvements de va-et-vient.
« Plus vite… »
« Encore plus vite… » insiste-t-elle.
Elle me laisse faire pendant trente secondes. Le silence s’installe dans la salle, chargé d’une tension érotique terrible.
« Arrête. Mains sur la tête. »
Mon plaisir montait. Je stoppe. Je n’ai jamais été dans un tel état d’excitation et de frustration. Mes gestes, ma jouissance lui appartiennent.
« Recommence. Ne parle pas, fais juste ce que je te dis. »
« Plus vite. »
« Plus vite! Je veux te voir prêt à jouir. Dis-moi quand tu n’en peux plus. »
Après ces jours d’abstinence et de jeux pervers, je suis très vite au bord de l’orgasme.
« Je vais jouir Sarah. »
« Arrête immédiatement. Mains sur la tête. »
Ma queue sursaute, avec de violents à-coups. Toujours à genoux, mains sur la tête. Sarah s’approche.
Un instant plus tard, quelle chose m’effleure le sexe. Doucement, plus avec de plus en plus d’insistance. Je réalise que Sarah me caresse la queue avec son pied. Elle me branle, caresse mes couilles, s’amuse avec mes parties. Son pied monte, descend, elle joue avec son talon.
« Tu aimes ça, je le sais. » me dit-elle.
« Ouvre la bouche ». Je m’exécute et me retrouve avec un bout de tissu mouillé dans la bouche. C’est fin et salé : c’est sa culotte, avec son jus.
Elle me donne un léger coup de pied dans les bourses. Je bondis.
« Lucas, masturbe-toi. »
Je reprends mes caresses.
« Je vais te donner un compte à rebours. A zéro, tu jouis. »
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« Tu as hâte, n’est-ce pas.? »
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Je me branle vigoureusement, je ne suis plus maître de moi-même. La situation a complètement dérapé. Ma tête est vide, je ne suis plus qu’un jouet entre ses mains.
Toutes les conventions, toutes les politesses sont réduites à néant. Je suis sa chose, son animal.
« Et puis finalement, je ne sais pas… »
Je ralentis, interdit…
« 1 et 0! Sur ma chaussure Lucas! »
Immédiatement, juste sur son ordre et au moment où elle le décide, je jouis. J’éjacule fort, longtemps. Je n’en peux plus et je tente de reprendre mon souffle.
« Bravo Lucas. Je suis fière de toi. Tu jouis à ma botte. »
Elle m’enlève la culotte de la bouche.
« On n’a pas fini. Il faut nettoyer ma chaussure maintenant. »
Elle tend sa jambe et me présente sa chaussure.
« Lèche. »
Je prends sa chaussure dans mes mains. J’approche ma bouche et avec ma langue, je procède à un nettoyage méticuleux de mon sperme.
« Voilà, on a fini notre petit jeu. Enlève ton masque et rhabille-toi. Garde mes culottes en souvenir. »
Elle part.

L’après-midi s’est déroulé comme si de rien n’était. Sarah est redevenue ma collègue, comme par magie.

Ce soir, je me suis retouché. J’ai joui en repensant aux jours écoulés. J’ai adoré être aux pieds de Sarah. Cette emprise a fait de moi un autre homme. Et dire que je n’ai même pas vu sa chatte.
Et dire que j’aimerais recommencer…Avec elle, avec une autre…avec toi ?

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