Collection Zone Rouge. La Comtesse De Forchambeau (8/16)

Je sors de la salle ou je me suis fait confesser, intriguée par un faisceau de présomptions que je me suis fait r par deux hommes certainement des paysans qui ont pris la place du confesseur du couvent.
C’est sœur Olga qui attend derrière ma porte.

• Tu as eu des problèmes, je t’ai entendu crier.
• Non, tu as dû entendre des voix comme Jeanne d’arc la pucelle.

Je me souviens de mes études données par mon précepteur sur notre pays, c’est ce que je lui réponds quand elle me parle avec cette grosse voix avec un accent gutturale jamais entendu à ce jour.
Je me dépêche de retourner vers ma cellule tout en cherchant Agnès.
Je passe devant le bureau de la mère supérieure qui est en conversation avec la Prieure.

• Je vais enguirlander notre évêque, il aurait pu me prévenir que le curé du village était malade et qu’il nous envoyait deux remplaçants dont un jeune qui est en formation.
• Que lui as-tu dit ?
• Je leur ai parlé de Blanche que nous cachons pour la protéger de ces barbares, ils m’ont promis de s’en occuper dès qu’ils seront revenus au village.
• Cela me rassure, nous avons assez de filles de bonne famille qui payent pour que nous fassions tourner notre couvent, cette fille en cavale risque de nous attirer les foudres des révoltés, car nous ignorons si ce qu’elle t’a dit, être la fille du Comte et de la Comtesse de Forchambeau est là réalité.
• Elle a deux Louis d’or que le Duc qui l’accompagnait lui a donné.
• Un leurre, ils peuvent les avoirs trouvés dans un château qu’ils avaient pillé.
Comment étaient-ils habillés ?
• Tiens, tu as raison, ils avaient même des bonnets avec la cocarde, mais comme ici aucun insurgé n’est venu, j’ignorais comment ils étaient faits.
• En plus, sœur Isabelle vient de venir me dire que cette fille l’avait martyrisé afin qu’elle arrête de venir nous dire ce qu’elle remarquait dans le couvent.



La salope, j’espère pouvoir me venger de l’affront qu’elle vient de nous faire.

• Je vais faire ce qu’il faut pour la virer, tu as raison la vie est pleine d’incertitude mieux vaut être du côté du manche que de la cognée.
• Je vais à confesse cela va être mon tour, nous nous revoyons après.

J’entre dans ma cellule en courant en ayant assez entendu, la Prieure passant à quelques centimètres de moi quand je pousse ma porte.
Quand je suis sûr de pouvoir bouger sans risque, je retrouve ma copine Agnès dans la lingerie qui plis les serviettes que nous avons lavées hier.

• Viens, dépêche, suis-moi sans discuter.

Je l’entraîne vers la chapelle où les deux curés continus à confesser les sœurs dans la pièce contiguë, je vois la Prieure remplacer Olga qui a les yeux qui brillent, a-t-elle dit des secrets les obligeant à l’exorciser.
Nous montons dans le clocher sans croiser qui que ce soit.
Je récupère ce que j’ai caché sur la partie haute d’une corniche quand je suis venue dans la chapelle en portant des linges dans la cellule de la mère supérieure à savoir les Louis d’or et le papier avec l’adresse.

• Où as-tu eu cet argent, c’est de l’or, j’en voyais chez mon père, mais ici jamais.

Elle les prend les regarde avec admiration, je les récupère soulève ma robe et les glisses dans les bas de coton enfilés avant de sortir chercher Agnès.
Je regarde tout autour quand je vois une colonne de paysans monter vers nous, à ce moment j’entends la porte placée non loin de nous malgré la hauteur grincée et je vois les deux confesseurs sortir précipitamment.

• Tirons-nous, tu as vu la vieille peau qui est entrée, je me voyais mal la baiser comme on a baisé la Comtesse cachée là et l’Allemande encore plus vicieuse que l’autre, la salope, c’est elle qui nous provoquait quand elle a compris que nos bites étaient à sa disposition.

Les derniers mots, je les devine plus que je les perçois, car ils se sont éloignés et s’approchent du groupe d’insurgés qui au début sont agressifs avec les faux curés maintenant, j’en suis certaine.

Ils leur montrent leurs chaussures preuve que j’avais vue juste et je les vois faire un geste montrant la bâtisse.
Ils reprennent leur chemin, le groupe hurlant, montant vers nous.

« Ah ! Ça ira, ça ira !
Les aristocrates à la lanterne,
Ah ! Ça ira, ça ira !
Les aristocrates, on les pendra ! »

Ils entrent dans le couvent, j’entends crier les sœurs qui sont surprises, car j’entends la porte qui est enfoncée, trop tard pour redescendre et pour se sauver par l’escalier par lequel on est monté.

« Ah ! Ça ira, ça ira !
Les aristocrates à la lanterne,
Ah ! Ça ira, ça ira !
Les aristocrates, on les pendra ! »

C’est à l’intérieur que la chanson raisonne, entrecoupée des cris des nones, si le Duc était là, il saurait quoi faire, il me faut réfléchir très vite.

• Agnès y a-t-il un autre moyen de quitter cet endroit ?
• Non, juste l’escalier.
• Et ici, peut-on se cacher ?
• Non, même la porte d’accès est impossible à fermer, la clef est tombée dans le puits où nous tirons de l’eau.
• Alors, il faut bloquer la porte, vite répond moi, ils vont monter et nous serons violés comme nos sœurs le sont en ce moment dans le couvent.
Cette cloche, que fait-elle là, posée au sol ?
• La semaine dernière, des ouvriers sont venus la changer, car elle est fêlée et devait la descendre, pendant trois jours nous avons été obligés de rester dans nos cellules dans la journée pour éviter que nous les rencontrions.
• Aide-moi, on va la rouler devant la porte à cause de son poids et toutes les deux nous devons arriver à la déplacer et faire croire que la porte est condamnée.

Deux frêles femmes avec de la volonté arrivent à faire rouler cette cloche sur les trois mètres nécessaires à bloquer la porte, mieux même malgré son poids et la peur qui se cheville dans nos corps nous arrivons à la placer pour condamner tout entrer.
Nous entendons une cavalcade dans l’escalier, la clenche est appuyée.


• Au secours, pourquoi la porte est fermée, qui est derrière, laissez-moi entrer, c’est sœur Isabelle.

Plusieurs bruits de course qui se rapproche, impossibles d’ouvrir et de replacer la cloche surtout pour ouvrir à cette salope d’Isabelle après la trahison qu’elle nous a faite en allant voir la Prieure.

• Non, laissez-moi, enlever vos sales pattes de moi, je suis marié.
• Je sais à ton mec de là-haut, appelle-le, en attendant écartent les cuisses, nous on va te donner des plaisirs bien terriens, regarde bien celle de Polo, c’est la plus grosse de la bande.
• Non, je vous en supplie, si vous m’épargnez, je serais votre servante fidèle, aie, t’es gros, c’est vrai mon salop, putain que c’est bon, oui.
• Elle m’énerve cette catin, tu vois comme elle prend la bite et regarde les coups de reins qu’elle donne pour ne se la faire entrer plus loin, Polo met lui dans la bouche elle fermera sa gueule.

Incroyable, je mets la main sur la bouche d’Agnès, car j’ai peur qu’elle ne hurle rendant la cloche inutile devant ces brutes.

• Relevez là, mettez-la à quatre pattes, je vais lui prendre le croupion à cette salope puisque l’amour de sa vie l’a abandonné.
• Non pas cette infamie, reprenez-moi par ma minette, non au secours pas mon anus.
• Tu es là gamin, tu as bien fait de monter, regarde la belle pute qu’on a trouvé, sort ta queue, mets-lui dans la chatte pour te dépuceler et après va te vider les couilles dans sa bouche, elle va adorer ton sperme de puceau.

Le « han » que j’entends doit être le moment où Isabelle se fait reprendre par la chatte et que le jeunot l’a fait jouir de nouveau.

• Finis-toi dans sa bouche, laisse-moi la place que je l’encule, la Berthe elle adore.

Je m’attendais à entendre Isabelle pleurée comme pleur Agnès en me mordant la main pour éviter de hurler, mais elle doit apprécier le traitement, car quand le jeune éjacule en même temps que son comparse dans son cul aucun cri, mais une chose incroyable si j’ai bien entendu.


• Merci les garçons.
• Vous voyez, elle en veut encore, Polo charge là sur ton épaule et descend là vers les autres, il y en aura bien un ou deux qui auront envie de s’en servir puisqu’elle aime cela.
Si j’avais su, nous serions montés plus tôt, les deux mecs en soutane tout à l’heure m’ont dit qu’il y a une Comtesse bien vicieuse qui s’appelle Blanche qui se cache ici, trouvez-la avant que l’on ne reparte la nuit va tomber, jeune regarde derrière cette porte si aucune autre salope ne se cache.

Je fais signe à Agnès qui me libère la main de ses dents et nous nous appuyons le dos au maximum possible.
Je vois la poignée tourner et la porte qu’il pousse, il semble pressé de redescendre avec ses copains, car il capitule après un essai.

• C’est fermé, impossible de passer, attendez-moi, je bande encore, je vais me refaire, faire une petite turlute, elle semble aimer cela.

Çà cris toujours dans le couvent, mais plus aucun bruit sur le palier, ils sont redescendus.
La tension nerveuse plus la fatigue accumulée à mesure de la journée a raison de nous et nous nous endormons dans les bras, l’une, l’autre.
Qu’allons-nous faire quand ces canailles seront parties…

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