Collection Zone Rouge. La Comtesse De Forchambeau (15/16)

Je viens de rejoindre la maison d’Arlette sœur de la mère supérieure du couvent où je m’étais réfugié pour échapper au sort de père et mère, laissé par le Duc mon premier amant, avant de me réfugier dans cette maison s’avérant être un bordel.
Dès le premier soir, je monte des clients pour remplir mon bas de laine, je suis devenue complétement immoral, mais s’il faut en passer par là pour survivre, je suis prête à tout.
J’ai tapé dans l’œil de la patronne qui m’invite dans son lit pour bien commencer la journée, elle commence par me caresser les seins, après être venue entre mes jambes pour me brouter l’abricot jusqu’à ce qu’elle me fasse jouir sous sa langue experte.
Elle se couche sur le dos écarte ses cuisses et c’est à mon tour de venir lui sucer le clitoris ressemblant à une petite bite.

• Oui, Blanche, j’aime, viens, je vais t’apprendre à bien t’occuper d’une femme, je te sens un petit peu novice, tu vas voir il y a plein de possibilité, connais-tu comment l’on se positionne pour un 69 ?

C’est là, comme je l’ai dit au début, que j’apprends ce terme et que je me retrouve ma chatte de nouveau sur sa bouche pendant que mes mains et ma bouche écartent la masse de ses poils pour prendre son gros bouton.
Je la fais jouir, mais je suis en retard, alors, j’entre trois doigts dans sa chatte la masturbant fortement.
Elle quitte ma vulve une seconde pour me parler.

• Oui, chérie, mets tous tes doigts, tu vas voir, je suis très large.

Un 69, la fister, car rapidement, ma main entre jusqu’au poignet dans sa grotte qui s’ouvre et semble l’absorber, voilà les deux mots que j’apprends aujourd’hui complétant mon éducation sexuelle qui a ce jour se cantonnais à une bite pendante et à un bébé la tête en bas dans un livre sur l’anatomie humaine.

• Ma chère, tu m’as fait énormément jouir.
• Mais, je peux te poser une question.
• Si je peux te répondre !
• Comment dans une même famille une jumelle peut être none et l’autre tenancière de bordel ?
• Tu dois te douter que j'en sois là, suite à une situation bien étrange.


• Raconte si tu le peux.
• Ok, nous avons trois quartes heures avant d’aller dîner et de descendre commencer la soirée.
Nous avions dix-neuf ans, quand notre père nous ayant élevé seul, maman étant morte à notre naissance, a convoqué une réunion de famille.
Il nous a mis au courant d’une demande en mariage pour l’une de nous, nous avons compris que c’était moi qui étais l’heureuse élue.
J’ai eu le temps de voir qu’il avait tiré à pile ou face la pièce étant toujours dans sa main, il a joué avec pendant toute cette conversation,
Il nous a appris que suite à des problèmes dans ses affaires, il avait besoin que j’épouse un notable de notre ville, j’étais pucelle, comme j’ai eu l’impression que c’était le cas pour toi, ignorant tout de l’amour.
Je me suis mariée et ma nuit de noces s’est bien passé, sans plus, mon mari qui avoisinait les soixante-dix ans ayant des difficultés à bander.
Les affaires de mon père ont continué à décliner entraînant celles de mon mari.
La seule solution pour ma sœur immariable dans notre milieu suite à sa faillite a été d’entrer au couvent, c’est à ce même moment que mon époux a décidé de se retirer dans sa tombe.
J’ai repris ses affaires, rapidement, j’ai constaté que la dette était abyssale, j’ai vendu tout ce que je pouvais et quand tout a été épongé, il me restait une affaire invendable qui avait atterri dans ses mains des années avant pour rembourser la dette d’un homme ayant une ardoise avec lui du temps ou tout était florissant.
C’était cette maison, j’y suis venue dans la journée avec le notaire quand les filles dormaient, notaire avec lequel tu as passé un moment ce soir, qui m’a ouvert les yeux sur ce qu’elles faisaient aux hommes dès l’ouverture en regardant par le même œilleton que toi et ton amie hier à ton arrivée.
Fine mouche, j’ai compris que si la pièce que notre père avait en main il y a quelques années étais tombée de l’autre côté, je serais none, ma jumelle tenancière de ce bordel.

Il fallait bien vivre et surtout gagner de l’argent dans ces années qui étaient de plus en plus troublées, les premiers jours, j’ai travaillé avec la tenancière précédente qui s’est retirée me laissant gérer la monter des filles.
J’ai été aidé par un comte habitant à deux relais de chevaux d’ici et qui étais devenue mon amant.
• Un comte, comment s’appelait-il ?
• Le comte de Forchambeau, dis-moi, tu le connais ?
C’est vrai, j’ai la mauvaise habitude de poser des questions là où il est plus prudent de se taire, tu es Blanche fille de bonne famille se prostituant pour survivre.

Incroyable le destin a voulu que père ait été l’amant de cette femme qui vient de devenir ma maîtresse.
Quel retour du destin, mère était la maîtresse du Duc devenue mon amant et l'homme qui m'a dépucelé.

• Montait-il avec les filles ?
• Tu rigoles, le notaire lui avait dit qu’il y avait une affaire qui pourrait lui rapporter une bonne plus-value sans lui dire que c’était un bordel.
Il m’a tout de suite dit qu’il était marié, mais l’amour rendant aveugle, j’ai accepté la situation jusqu’au jour ou après une dernière visite, il m’a avoué que sa femme avait découvert qu’il venait au bordel, lui refusant de revenir.
Mais dit moi, es-tu sûr que ce nom ne te dît rien ?

Il faut savoir réfléchir vite, or, je tiens à garder mon anonymat.

• Non, je te le répète, simple curiosité.

Père voulait quitter mère sans que je le sache à un moment de son récit, elle parle de la fille du comte, à ses dires, une petite oie blanche, elle ne connaissait rien de la vie et serait comme sa mère qui baisait mal, je me tais, évitant ainsi de lui dire que son oie blanche de fille, avait appris très vite.

• Mais assez parlé, viens que je t’embrasse, si je refuse les hommes dans l’attente de mon amant, je compense avec des jeunes filles comme toi mon corps ayant des besoins que tu sembles être à la hauteur de pouvoir assouvir.


Nous roulons sur le lit les bouches soudées et nous recommençons à nous donner du plaisir, si elle savait le chemin qu’a fait cette oie blanche.

• Et toi Blanche qu’elle a été ton parcours, peux-tu me parler un peu de toi.

Je lui raconte une belle histoire d’amour avec le Duc mon promis qui m’a caché dans le couvent de sa sœur, je lui mens pour éviter de parler de père et entraîner des réactions qui auraient mis ma vie en danger, je lui parle des deux faux curés qui ont profité de ma crédulité en m’exorcisant, en profitant pour me prendre en me sodomisant et finissant en double pénétration.
C’est à ce moment qu’Églantine vienne nous dire que le dîner avant ouverture était servi.

• Blanche, as-tu apprécié la sodomie ?
• Oui, un peu dur au début, mais mon anus a fini par admettre cette intrusion.
• Si tu veux te faire un bon pécule ce soir, Aimée qui était dans ta chambre avant toi avait ta morphologie, dans l’armoire où tu as trouvé ton peignoir, il y a une tenue d’homme qui lui servait à aguicher les clients qui aiment les rapports entre hommes.
Tu apprendras que bien des hommes aiment avoir des rapports avec d’autres hommes, mais comme ils sont mariés, ils reculent devant le risque qu’ils courent la morale refusant leur déviance comme le disent les curés.
Si tu décides de mettre cette tenue, mes autres filles sauront que tu es là pour t’occuper de ces hommes, en ce moment aucune d’elles n’accepte à part Isabelle qui aime se faire sodomiser, mais sans accepter de réserver ses soirées à cette pratique.
Tu vas voir, tu seras surprise et tu feras de bonnes affaires, pardon nous allons faire de bonnes affaires.

J’ai appris que toute expérience est bonne à vivre, aussi dès le repas madame Arlette peut montrer aux filles que je suis la nouvelle spécialiste des hommes aimant les hommes, les petits regards en coin me font penser que j’aurais dû y regarder à deux fois avant de mettre ce costume.


• Aie.
• Écarte tes fesses, je vais te passer de la pommade, tu es folle quand j’ai vu que le douzième client me payait le prix pour te sodomiser, j’ai failli refuser que vous montiez surtout que l’homme qui était avec toi à la plus grosse bite de mes clients.

À l’évocation du mot cheval, je repense à Tyran laissé derrière moi dans mon autre vie qui s’est arrêtée à la lisière de cette forêt où j’ai dû lui enlever ses brides et ma selle pour le libérer.
À son évocation, les larmes me montent aux yeux, une perle descend jusque sur mon sein au moment où Arlette me récupère dans ses bras.

• Mon pauvre amour, tu pleures, ces hommes sont tous des salauds, nous ne sommes que des réceptacles de leur semence, j’aurais tellement voulu être maman, alors tu es un peu ma petite fille, pour te redonner le moral, au lieu de 40 % sur tes passes du soir, je vais te donner 50, 50.

La salope, elle prend la plus grande part de ce que nous gagnons, elle a oublié de me parler de ce détail quand je suis arrivée avec Agnès.

• Madame Arlette, je peux vous parler !

Il est seize heures quand je viens d’entrer dans son bureau.

• Bien sûr Blanche, je t’ai dit que tu étais ma petite fille.
• Voilà, j’accepte de mettre la tenue qu’apprécient certains hommes à deux conditions.

Elle me regarde l’air sévère.

• Je t’écoute !
• Premièrement, je mets le costume une fois par semaine, le jour qu’il vous plaira.
• Bien, ce sera le lundi et principalement le premier lundi du mois le commissaire de police ayant cette déviance, ainsi, tu pourras me donner la lettre anonyme qui libérera ta copine d’Émile.
• Super, deuxièmement, ce jour-là, c’est moi qui toucherai 60 % des coups de bite reçus dans mon cul.
• Impossible, j’ai des frais surtout de pommade, 55, pour toi, 45 pour la gestion de mon bordel.
• Tapons là !...

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