The Last One

Apres deux essais transformés dans les vestiaires de notre piscine préférée, Franck m’avait proposé de venir faire un apéro chez lui. Je me doutais bien que derrière ce menu aux apparences classiques se tramait une degustation qui ne disait pas son nom. Initialement, nous avions convenu de nous voir le weekend suivant notre dernière rencontre mais Franck avait quelques soucis d’agenda à cause de sa mutation qu’il l’occupait. Les trois semaines d’attente entre son invitation et ce fameux samedi soir furent longues et presque éprouvantes… Entre temps, j’enchainais frénétiquement les masturbations multipliant tous les scénarios possibles. Je ne pensais qu’à ca, j’étais totalement obsédé par les multiples cascades que cette nuit pouvait nous permettre d’accomplir.

La vieille avant le grand soir, j’en ai profité pour me raser intégralement, titiller ma petite fente et laisser encore couler un peu de jus chaud.

Le lendemain, j’étais dans les starting bloc. Franck m’envoya un petit message le matin vers 10:00 pour me donner quelques brèves instructions: je devais arriver vers 21:00, rentrer directement, suivre la lumière et entrer avec mon boxer dans la deuxième chambre à droite.

Arrivé devant sa porte, j’avais le coeur qui battait fort et j’hésita meme à faire demi-tour. Cette sensation de chaleur au niveau du bas vendre apaisa et dissipa - heureusement - ce stress. Passé la porte d’entrée, j’inspectais son intérieur à la recherche de cette seconde porte à droite. Une fois repérée, je me déshabilla complètement et découvris que mon boxer présentait deja une belle marque de mouille d’excitation. Aucune raison de le garder autant l’enlever. Je me retrouva nu et commença à marcher en direction de cette pièce; mon gland ouvrant la voie. Les secondes vagues de jus d’excitation continuaient à maculer mon gland. Arrivé à mi-chemin et afin de susciter une pointe d’excitation supplémentaire, je marqua un temps d’arrêt pour imbiber un peu ma fente de ma mouille qui lubrifiait abondamment mon sexe.

Je me souviens de cette excitation puissante à ce moment précis, j’avais l’impression de me presenter face au vide avant d’être consommé.

Trop poli, je toqua à sa porte et ouvra celle-ci de façon assez fébrile. La pièce était plongée dans la pénombre, seule une petite bougie était placée dans l’angle de la pièce. Je pénétra dans ce qui semblait être sa chambre et m’avança jusqu’à ce grand lit dont je devinais les proportions au fur et à mesure que j’avançais.

Franck était à coté de la porte qu’il referma.

Il s’approcha derriere moi et je sentis son souffle chaud couvrir ma nuque. Il posa ses mains sur mon bas ventre, les laissa glisser entre mes cuisses pour m’inviter à les écarter. Je me cambrais au fur et à mesure que ces mains prenaient possession de mon ventre puis le laissa saisir ma queue dans ses mains. Il laissa filer ses doigts uniquement sous mon gland comme pour s’assurer que c’était bien moi et verifier qu’il était en terre connue. Il se colla enfin à moi et sentis son sexe se blottir entre mes fesses. Nous nous sommes embrassés de longues minutes et commencions à onduler sur le meme rythme. Mon sexe me faisait presque mal tellement je bandais fort. Je sentis un moment son gland se blottir sur l’entrée de ma fente pendant qu’il titillait mes tétons avec ses doigts. Je découvrais à cet instant précis le pouvoir de ces zones érogènes qui m’était encore totalement inconnu. J’avais envie de prendre sa queue en bouche et de le téter jusqu’à ce que son jus chaud inonde ma bouche ou mieux, qu’il me soulage immédiatement à coup de puissants va et viens. Il coupa court à mes envies et m’invita à occuper toute cet espace vide sur ce lit. Je me mis à quatre pates sur son matelas et lui tendis ma fente en cadeau. Sa langue plongea immédiatement dans ma chatte. Je sentais sa bouche exercer des sussions sur ma fente humide déjà certainement bien dilatée par l’excitation. Je gémissais fort à chaque coup de langue, ca commençait à sentir fort la transpiration, l’orifice en action et les glands mouillés.
Il s’arrêta un instant et me félicita sur la qualité de ma petit fente bien lisse. Elle était bien chaude, humide, imbibée de sa bave qui coulait sur mes bourses bien gonflées. Il décréta ensuite que c’était le moment de gouter mon gland alors il m’invita à me placer sur le dos. Je m’exécuta en arrêtant mon cul près du bord du lit ne sachant pas vraiment comment il voulait me combler. Il se pencha ensuite vers moi et goba instinctivement et langoureusement mon gland. Il portait une grande attention à parcourir chaque millimetre de ma lance. Je ne cessais de lui dire que c’était trop bon, que j’adorais sa bouche. J’entendais ces sussions goulues fendre le silence alors qu’il mettait toujours autant d’amour à me sucer comme un dieu. Chacune de ses interventions étaient enivrantes de plaisir, je sentais alors que je perdais un peu plus le contrôle voulant totalement m’abandonner à lui. Alternant entre de long rales de plaisir et les compliments sur sa bouche feline, il continuait toujours à me téter avec amour prêt à déguster ma cuvée du jour. Il m’intima de ne plus me retenir et de le laisser se sustenter à sa guise. Ivre d’excitation et d’extase, les quelques tétées supplémentaires et palpage de couilles me firent arriver à destination. J’inonda sa bouche en hurlant de plaisir, appuyant fort sa tête contre ma queue. Les spasmes
étaient d’une rare intensité et seule mon gland parfaitement decalloté occupait encore sa bouche. Il resta un long instant dans cette position le temps d’expier mes derniers râles. Il m’offrit un ultime plaisir en gardant mon jus chaud et en me laissant accomplir mes derniers va et viens dans cet écrin de plaisir. Il se leva subitement pour plonger ensuite sa tete au niveau de ma fente afin d’y déverser mon foutre encore tout chaud. Il glissa son doigt dans mon intimité pour pousser ma production à l’abri, bien au chaud. Il prit délicatement la base de ma lance en main pour exercer ces dernières sussions et effacer toute trace de son passage.


J’étais exténué, prêt à m’endormir après cette ejaculation aussi intense. Je sentais cette source chaude glisser le long de mes fesses et couler le long de mon dos, c’était agréable et le silence s’installait de nouveau. Je ne pouvais pas être plus comblé au final. Je me demandais quelle heure il était, il était difficile de trouver un repère au milieu de la pénombre.

Il entama quelques mouvements sur le lit pour se mettre à genou pour tendre son gland en direction de ma bouche. Il me demanda de sucer sa belle tige amoureusement et d’accueillir comme il se doit sa semence lorsque l’envie lui en prendrait. Lorsque son gland tout chaud fut enfin ma bouche, j’étais heureux de redécouvrir son petit gout si caractéristique et de pouvoir lui procurer enfin du plaisir. Je le suça comme un prince comme pour le remercier de m’avoir initier au plaisir de la chaire. J’attrapais ces belles couilles en main et empalait ma bouche sur sa lance vigoureuse. Il gémissait intensément sous mes coups de langue et je me plaisais à découvrir ses zones les plus sensibles. Je sentais le gout de sa mouille de plus plus en plus présente. Soudain, j’eus l’idée et l’envie de lui titiller sa fente. Je ne savais absolument pas si cela pourrait lui plaire mais ces différents encouragements laissèrent au final peu de doute a ce sujet. Mon index commença à trifouiller sa zone humide pendant que ma langue épousait parfaitement les courbes de son gland. Ces râles gagnaient en intensité et je sentis tout d’un coup sa semence chaude tapissée ma langue rythmée par de puissant spasmes ! Il secouait légèrement sa verge chaude pour s’assurer que le transfert se déroule dans les meilleurs possibles et pour ne pas perdre une goute en chemin. J’ai pris le parti de ne rien avaler à cet instant car je tenais à ce que sa lance soit maculée de son nectar et qu’il me féconde avec. Il se pencha vers moi et m’embrassa langoureusement; nos langues liées par le reste de sa semence. Il se releva à deux reprises pour tenter de vidanger du mieux qu’il pouvait mais il ne restait plus rien, plus une goute à verser.


La suite de notre tête à tete fut long et intense. Nous avons besognée toute la nuit sans relâche. Il m’a fallu une longue douche pour être bien propre au petit matin. Une fois enfin propre, il fit irruption dans la salle de bain pour me prendre une énième fois, il me chevaucha avec amour et son nectar revenait une fois encore se loger au plus profond de mon intimité. Il me donna pour dernière consigne de porter un de ses slips, de laisser autant que possible échapper son jus chaud dedans et de me branler avec tout le weekend. C’est la seule fois où j’ai envoyé un sous vêtement maculé à ce point.

Franck a ensuite finalisé sa mutation puis quitter le territoire pour gagner la nouvelle Calédonie. Rien ne me ferait plus plaisir de que de passer à nouveau une nuit avec lui.

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