One Shot

Une première fois, classique, brève, mais qui m'a donné le goût d'y revenir.
Parenthèse à l'histoire ; j'ai 48 ans, je fais 183 et 85 kg, sportif (même si aujourd'hui j'ai plus de mal à effacer les excès) châtain grisonnant, les yeux bleus, plutôt soigné)
Situez l'histoire 15 ans de moins et 10 kg en moins lol
Il y a 15 ans, sur l'autoroute, une aire, un besoin à satisfaire. Après mettre garé sans prêter attention aux véhicules (j'étais sans expérience en ce moment lol), je me dirige vers les sanitaires.
J'ai pour habitude d'ouvrir ma ceinture et mon pantalon pour dégorger avec aise. Ainsi, j'entre dans le WC, en laissant la porte ouverte. Mon jet frappe bruyamment la faïence et agite l'eau dans un bruit intense.
J'ai la satisfaction du relâchement, après mettre retenu par flemme de m'arrêter. La vessie gonflée, limite douleureuse, au moment où je pisse, m'apporte un plaisir de jouissance tellement je n'en pouvais plus.
J'ai du en émettre un grognement de satisfaction. Ma golden shower privée terminée, la situation avec légèrement gonflée mon sexe. j'en profitais pour me détendre un peu et me branler doucement. Du bruit derrière moi, je lâche mon sexe, me réajuste le pantalon, et j'aperçois, un homme passer. Bref, rien d'anormal, je me dirige au lavabo et sur ma gauche j'avais une vue sur le second chiotte, ouvert avec un mec, planté là me regardant. Une petite soixantaine, rond, quasi 1.65, en t-shirt et short ample (nous étions courant de l'été) Et là le mec m'exhibe, une paire de couilles a son image, ronde épaisse. J'en étais gêné, d'humeur plutôt cool, j'aurai pu en rire, mais la j'ai les mains sous le robinet et mes yeux rivés ses burnes. Je tourne la tête, vire volte, sors du sanitaire...sur le parking ma voiture et son véhicule. J'allais repartir, putain, une envie irrépréhensible de revoir ses couilles...je reviens sur mes pas, il est toujours là, les ressorts à nouveau...il a du capter que j'avais aimé le mater.

D'une banalité affligeante, je lui dis "beau paquet", . Sa réponse, "tu veux que je te suces", j'étais prêt à mettre ma bite dans n'importe quel antre. Cette situation m'avais chauffé à blanc. Honnêtement je ne gérai plus mon désir...il faillait que ma queue serve, un trou d'arbre m'aurait convenu. J'étais d'autant plus perdu, que la gars n'avait rien d'attirant ni par son age (mais je vous en parlerai dans d'autres aventures) ni par son physique (en tout cas selon mes critères). Je le suis vers le plus grand WC, et la directement, sa paluche boutinée me flatte l'entrejambe. Je suis gauche, je ne sais pas quoi faire, alors vite, je baisse, mon pantalon. Génuflexion de mon suceur, mi molle en bouche, ses mains arpentes mes cuisses, fesses, ventre et dos... je n'ose pas le toucher, mais le salop c'est y faire, sa main glisse entre ma raie, il presse dessus pour mieux m'emboucher et en profite pour titiller ma rosette. Humm, effet immédiat, mon gland se colle à son palais de tension. Je le domine de ma hauteur, il me regarde avec affront en me faisant comprendre, par défi, que c'est lui qui me tiens par les couilles. Il a raison, je me laisse faire, pour mon plaisir, il me tourne et me fait me cambrer pour un anulingus, la rugosité de sa barbe, la chaleur de sa langue, l'humidité de sa bouche, merde, j'écarte mon cul, pour le sentir s'engouffrer dedans, j'ai ma tige a la main que j'astique car je veux la délivrance. Le pervers la bien compris, il me fait me replacer bite devant son visage. J'ai quand envie, de lui agripper la queue, je veux la sentir, je me penche, passe ma main et baisse son short, une bite pas large mais épaisse, des couilles surdimensionnées.
Je le branle, maladroitement, mais je l'astique, prend ses couilles qui me remplissent la main... il souffle déjà fort, son sexe est turgescent, il me caresse le cul, son doigt épais a frayé un passage et j'ai une phalange qui me travaille. Je crois qu'il était encore plus excité que moi, sa hampe se contracte et lâche sur le carrelage 3 jets épais, j'ai les doigts englués.
..il rale, lime l'entrée de mon petit trou. Je l'agite encore quelques aller-retour, pour le vider. J'ai aimé sentir cette tige partir dans mes doigts.
Mais il n'est pas ingrat et vient de suite emboucher mon sexe, qui reprend vigueur immédiate... et la un pipe jusqu'à la garde, un massage du cul et de burnes, qui va avoir un effet direct...une dizaine de pompage à peine j'explose, je n'ai pas le temps de lui dire, mais il voulait néanmoins tout en bouche, je souffle comme un fauve, il m'aspire pour tout recracher, humm, j'en ai les jambes qui flageolent...je reprend vie, je retombe sur terre, j'ai honte, j'ai veux me casser en courant...Il me propose de rester, son camping car est sur le parking, je refuse, je balbutie...un vrai puceau déniaisé qui ne sait plus quoi faire. Rapide toilette, je lui dis merci, monte dans ma voiture et ma casse la tête pleine et les couilles vides...2 jours de déplacement professionnels, j'y pense toute la journée, le soir je me branle frénétiquement. Pour mon retour chez moi, autoroute en sens inverse, je laisse passer la première aire, mais ma main se porte déjà sur ma queue, à la deuxième je m'arrête, il faut déjà nuit, une bonne dizaine de voiture sont là. Je sors et me dirige vers les chiottes...Il s'agita de ma prochaine aventure vécue.
A plus...

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