The Black One


Non, tous les blacks ne sont pas hyper membrés ! Je l’ai “touché” du doigt par une belle nuit de printemps. Sa mine enjouée et son sourire m’avaient instantanément mis en confiance. Le temps d’échanger quelques banalités nous permit de nous retrouver suffisamment à l’écart pour que j’étreigne sa virilité à travers l’étoffe de son pantalon.
Toutes les images colportées depuis des années vantant l’incroyable puissance de sexes aux dimensions sensationnelles bousculaient dans mon esprit échauffé par le désir. Mais ce premier contact avec les blacks ne m’apporta pas la réponse escomptée. Cette verge couleur d’ébène était tout ce qu’il y a de plus conventionnelle, n’arrivant pas à rivaliser avec mes amants blancs connus jusque là.
Ce n’est que plusieurs années plus tard qu’il m’a été donné de renouer avec l’objet de tant de rumeurs. Une histoire sans grand romantisme, perdu dans les fourrés d’un lieu réputé pour la facilité de rencontres rapides entre hommes avides de plaisirs rapidement consommés.
Depuis une bonne vingtaine de minutes, j’arpentais les sentiers à la recherche de sensations lorsque je vis un black de belle allure se diriger directement entre d’épais buissons et y disparaître. Sans trop y croire, je marchais sur ses traces, ne tardant pas à le retrouver. Il se tenait au milieu d’un espace clairsemé, face à moi. De son pantalon complètement ouvert, il avait sorti un sexe aussi gros et long que noir. Tout en sondant mon regard, il agrippa sa virilité et sans autre forme de procès commença à uriner.
Son gland pourpre à demi décalotté était à l’échelle de son organe. Le méat largement ouvert par l’imposant débit, il se soulageait longuement avant de secouer les dernières gouttes rebelles. J’étais incapable de détacher mon regard de cette lourde queue. D’un geste naturel, il décalotta complètement pour bien l’égoutter, puis avança de deux pas en ma direction. C’était sans équivoque, Monsieur en attendait un peu plus.


Comme aimanté, je ne résistais pas à l’attraction qu’exerçait son membre fascinant. Mes doigts étaient bien trop courts pour circonscrire totalement sa brillante hampe délicieusement veinée, qui d’ailleurs dépassait de part et d’autre de ma main. Vaincu, convaincu même, je m’agenouillais devant lui. N’étais-je pas là dans l’espoir de tailler une bonne pipe ? Bien que de fort belles tailles, ses bourses semblaient tellement disproportionnées. Elles se faisaient voler la vedette par une verge de compétiteur s’affichant... loin devant.
Je le saisissais à pleines mains pour porter à ma bouche le beau gland sombre. À demi bandé, celui-ci force pour se frayer un passage et finit par reprendre son volume à peine le rempart de mes lèvres franchi. Ma langue part à la découverte simultanée de sa texture et de ses saveurs musquées malgré le peu de place qu’il lui reste pour s’exprimer. Les quelques gouttes d’urine encore contenues dans son urètre ne me dérangeaient pas le moins du monde.
“Outch, Monsieur est puissant !” pensais-je intérieurement. Délicieuse confusion cérébrale lorsque l’on réalise pouvoir branler une queue à deux mains tout en ayant la possibilité de sucer ce qui dépasse largement au-delà de mon emprise. Là, on sait qu’il s’agit d’une bite exceptionnelle, pas besoin de mesurer.
J’avance sur lui pour en prendre un maximum en bouche. L’épaisse hampe se frotte à mes dents, pas d’autre alternative, je suis incapable d’ouvrir mes mâchoires davantage malgré toute ma bonne volonté. Je sens la grosse veine rouler à chaque passage de mes lèvres. Sa verge branlée à un rythme régulier gagne encore en rigidité, devient plus consistante en se gorgeant de sang.
Ses couilles ballotent régulièrement alors qu’avec des gestes posés, il déboutonne complètement sa chemise. Sa toison pubienne drue est assez localisée, seule une colonne remonte le long de son ventre plat, pour finir son ascension autour de son ombilic. Loin comme ils le sont, ils ne me chatouilleront pas le nez, et je ne devrais pas en avoir sur la langue !
Ma salive s’épaissit.
Je marque une pause pour admirer ce monument. J’att ses bourses d’une main en pesant sa queue de l’autre, constatant sa semi-rigidité imputable à l’énorme volume qu’elle représente. Je la lèche, m’en frappe les joues et le front, ce qui le fait sourire.
Que demander de plus ! Il se tient debout, le pantalon sur les chevilles, la chemise grande ouverte, les mains sur ses hanches, la queue cajolée par un admirateur inconditionnel. Je ne dois pas être son premier fan, du reste.
Je reprends en bouche son vît et repousse mes limites pour tenter de le satisfaire. Je passe une main entre ses cuisses pour plaquer ma main sur ses fesses. Ses couilles posées sur mon bras, je caresse son cul lisse musclé — si typique de la physionomie black— en propulsant son nœud de plus en plus vite au fond de ma bouche. De l’autre main, je le branle en cadence, ce qui ne semble pas lui déplaire, puisque son bassin vient à ma rencontre.
Il me plaît, tous mes sens sont en émoi. Ma mâchoire devient douloureuse, mais peu m’importe, je le pompe de plus belle. Il ne semble pas pressé de jouir. Je ferme les yeux en le savourant, vrille ma succion autour de son membre, entame de petits sprints avant de revenir à un tempo plus langoureux... Sa main passe dans mes cheveux. En ouvrant les yeux, je croise un regard gentil, et toujours ce sourire aux lèvres...
J’accélère un peu, agrippe ses bourses en posant mon majeur entre ses fesses. Ses petits coups de bassin confirment son désir d’aller plus fort, quelque chose me dit que nous sommes sur la bonne voie. Alors je m’emporte. Il m’écartèle la bouche. Moi qui n’aime “que les grosses”, je suis comblé ! Mes lèvres chauffent à tant frotter, ma salive devient presque collante, s’il ne vient pas bientôt, je vais prendre feu !
Mon doigt posé sur son anus lui met juste un peu de pression, ses fesses se serrent d’ailleurs régulièrement. Je le branle avec force maintenant, pressé d’en finir. Comme s’il lisait dans ma tête, il pose alors une main sur mes cheveux alors que son autre main presse la mienne pour que mon doigt le viole.
Deux phalanges suffisent à lui arracher un mot : Ouais !
Le bassin en avant, les couilles remontées, il m’envoie une épaisse coulée de sperme. Je m’empresse de l’avaler, découvrant à peine son goût salé. Une autre coulée suit, bien plus conséquente que la précédente. Elle comble le peu d’espace restant autour de son puissant nœud qui n’est pas encore décidé à ramollir. Je m’y reprends à deux fois pour tout avaler, juste avant qu’il ne projette de nouveau son sexe vibrant au fond de ma gorge pour de nouveau m’abreuver de son foutre. J’en voulais, il me comble. Je tente de le garder un peu pour moi, le temps qu’un dernier spasme ne dépose ses dernières réserves.
Là, le bout de son gland au bord des lèvres, j’en découvre la texture délicieusement gluante, le goût presque métallique, la troublante chaleur... Le nectar coule dans ma gorge, je ravale mon gros boa pour tendrement le finir. Son gland perd de sa superbe, sa hampe redevient plus souple, l’homme est vaincu. Je retire doucement mon doigt de son fondement pour aller caresser ses douces fesses totalement imberbes.
Avec une infinie tendresse, je savoure ce membre de compétition encore un long moment. J’apprécie qu’il me laisse jouer avec. D’une main ferme j’extirpe de sa hampe les dernières larmes de sperme pour m’en délecter une dernière fois. Une dernière gorge profonde me permet d’avaler la moitié de son sabre avant de remettre en place son prépuce et de lui rendre définitivement.
Debout à ses côtés, il referme toujours calmement ses boutons de chemise. N’y tenant plus, j’ouvre mon pantalon et att ma queue bandée. Pas ingrat, il plaque son sexe contre ma cuisse et pétrit mon cul tout blanc. En trois ou peut-être quatre aller-retour, mon sperme jaillit dans les airs pour finir sa course sur le sol. Aussi soudain que puissant, cet orgasme me laisse les jambes tremblantes, la tête à l’envers et le souffle court. Les yeux fermés, je reste ainsi, le goût de son sperme encore incroyablement présent bien après que mon beau black m’est claqué la fesse en reprenant son chemin.
En d’autres circonstances, je l’aurais volontiers laissé s’enfoncer dans mon ventre. Mais certainement pas derrière un arbre.
Les années qui ont suivi, fort de cette expérience, m’ont permis de rejouer avec quelques blacks. Si j’en ai rencontré un incroyablement long, il était trop fin pour m’impressionner ou même me donner envie. Les quelques autres essais ne m’avaient pas apporté plus de sensations que cela. Alors que quelques copines ne juraient que par eux, employant toutes sortes de superlatifs pour décrire leurs performances, je dois bien dire que pour ma part, aucun ne m’avait fait vibrer. Sans être catégorique, ils ne représentaient pas l’élite en matière de sexe. Je trouvais parmi “les blancs” de solides spécimens comblant mes deux orifices avec beaucoup d’efficacité, et jusque là, aucun black ne m’avait pris...
C’est beaucoup plus tard que l’occasion m’en a était donnée, comme le plus souvent, à un moment où je ne m’y attendais pas. Une rencontre totalement fortuite, au rayon musique d’un grand magasin. Il n’y avait pas grand monde ce jour-là. Grand, le crâne rasé, il se tenait devant les bacs à disques de cette grande boutique, exactement à l’endroit où se trouvait l’objet de ma recherche : Rockall du groupe Mezzoforte. Cette musique ne quittait plus ma tête depuis que la radio l’avait distillé il y a quelques jours.
Je demandais pardon à cette personne, un harmonieux mélange de Seal et de Harry Roselmack, le temps de saisir quelques disques. Il s’excusa, m’expliquant qu’absorbé par ses recherches, il ne s’était pas aperçu de ma présence et recula d’un pas pour me céder la place. Il faisait bien une tête de plus que mois ; je me souviens avoir remarqué que son entrejambe arrivait au niveau de mon coude.
— Merci ! Je n’en ai pas pour longtemps. disais-je.
— Faites !
Me voyant brasser du Mezzoforte, nous échangeons quelques mots assez naturellement. Mon morceau trouvé, je prétendais être presque comblé.
— Il ne me reste plus qu’à traverser la ville sous la pluie pour pouvoir l’apprécier !
Et me voilà reparti. Le temps de flâner dans au rayon Hi-fi afin de nourrir ma frustration, je me dirige vers la caisse où le géant se trouve juste devant moi.
— J’ai trouvé mon bonheur aussi. dit-il en tenant plusieurs CD dans sa main. La journée sera moins triste sur fond musical !
C’est vrai qu’il pleut des hallebardes. Nous sommes sur le parvis du magasin, à l’abri de l’auvent, pas plus décidé l’un comme l’autre à nous jeter sous la pluie.
— Quel temps ! lâche-t’il.
— Un temps à rester coucher !
— Et faire des gosses ? demande-il en arborant un large sourire. Ça implique de lourdes responsabilités, non ?
— Ce n’est pas faux.
Je ne sais plus exactement comment cela et venu, mais nous nous retrouvons presque naturellement à la table d’une brasserie. Cet homme cultivé semble s’intéresser à tout. Il se prénomme Simon, la quarantaine. Il est musicien, ne vit que pour — et par— la musique, m’apprend-il. Si l’écouter parler est un plaisir, le regarder devient de plus en plus attractif. Je n’ai pas envie de perdre une occasion, il me semble bien que nous ne soyons pas là par hasard. Qui ne tente rien ne récolte généralement pas grand-chose ; je lui demande s’il est marié. Ce à quoi il me répond être trop attaché à sa liberté pour “s’enfermer” dans un tel schéma. Je ne peux qu’acquiescer. D’un air faussement timide, j’avoue avoir du mal à fixer mes centres d’intérêt, prenant tellement de plaisir d’un bord comme de l’autre. Alors que je m’attends à un changement d’attitude de sa part, il me regarde fixement en me disant :
— Tu a déjà connu des blacks ?
— Oui. répondis-je en rougissant réellement cette fois, surpris par une question aussi directe.
— Quel est ton point de vue sur les rumeurs qui circulent à propos de... notre constitution ?
L’homme est bien dans ses baskets. Je bredouillais alors en avoir “trouvé” de toutes les tailles, comme chez les Européens d’ailleurs, que je n’avais trouvé de quoi alimenter mes fantasmes qu’une seule fois, mais pas... complètement ni suffisamment longtemps pour pouvoir en juger.
— Il y a des fantasmes qui devraient le rester, d’autres qui méritent d’être réalisés. continue-t-il. Qu’en penses-tu ? Tu serais partant ?
— C’est en effet très tentant.
Cette fois, son aplomb me fait rougir, ce qui est rare. Cet homme à une telle présence qu’il semble occuper mon esprit, deviner mes pensées les plus intimes.
— Accepterais-tu de venir en discuter chez moi ? Je n’habite pas très loin. lance alors l’homme.
J’accepte l’invitation. Nous parcourons les quelques centaines de mètres qui nous emmènent chez lui, la pluie s’est à peine calmée, ce qui finalement me rafraîchit les idées. Nous passons un porche d’un bel immeuble ; une double porte vitrée donne sur un hall carrelé. Lorsque l’ascenseur ouvre sa porte, c’est d’une main sur la fesse que mon hôte me fait y entrer, donnant le ton. Pendant que la porte se referme sur nous, j’ose poser une main curieuse à l’endroit où ses jambes se rejoignent. Puisque la météo est à rester sous la couette, Simon devrait pouvoir nous occuper un bon moment.
La porte de son appartement fermée, nos blousons trouvent place sur le porte-manteau. Sans attendre, il m’attire à lui. Ses grandes mains sur mes fesses, il plaque son entrejambe contre mon ventre, comme pour signifier que je ne suis pas là pour faire l’état des lieux. Comme je cherche à dégrafer sa ceinture, il m’entraîne jusque dans la chambre pour que nous soyons plus à notre aise.
Avec des gestes délicats malgré les circonstances, nous sommes rapidement à demi nus. Je suis plutôt habitué à des rencontres sur des lieux de dragues où chacun vient chercher la même chose, et où l’exhibition l’emporte sur la pudeur. Cette rencontre inopinée est si différente que j’en serais presque déstabilisé. Nos mains découvrent nos corps bien avant nos yeux. Lorsque Simon n’a plus que son shorty comme vêtement, je constate l’extrême puissance de ce colosse. Outre la montagne de muscle qui le constitue, il y a cette protubérance qui part du centre de son caleçon pour tenter de sortir sur le côté de sa hanche.
Incapable d’y résister plus longtemps, je tire sur l’élastique pour dégager sa verge. Comme la plupart des verges épaisses et longues, la gravité la maintient à l’horizontale.
— Impressionnante ! ne puis-je retenir alors. Ce n’est donc pas qu’un mythe !
Mes mains s’en emparent et confirment qu’il ne s’agit en aucun cas d’une illusion optique. Elle est lourde et épaisse, très large depuis la base jusqu’aux deux tiers de la hampe. Le prépuce recouvre encore son gland dont les contours se dessinent sur la peau. Occupé par ma découverte, je réalise que sa main palpe mes fesses.
— Viens sur le lit, que je puisse aussi profiter de toi.
À peine allongé, je m’accroupis et me jette sur sa queue. Ma langue se fraye un passage sous le prépuce pour tournoyer autour de son gland, découvrant avec délice sa texture. Sa main explore ma croupe et découvre rapidement ma raie. Un doigt teste la souplesse de mon anus à quelques reprises pendant que je tire sur sa hampe pour le décalotter. Son goût musqué se mêle à ma salive lorsque le nœud de Simon pénètre ma bouche pour la première fois. Ses bourses sont du même acabit, rasées, ma main s’occupe d’elles pendant que j’essaie de le sucer de mon mieux.
J’étais venu acheter un CD, et voilà que je me retrouve dans un lit, la bouche pleine d’un sexe aux mensurations inhabituelles. Sa main caresse mon dos et flatte régulièrement mes fesses. Je l’encourage à me doigter en écartant les fesses lorsqu’il s’aventure de nouveau vers elles.
Son gland est énorme, bien dessiné, et le sucer est presque douloureux au bout de quelques minutes. De sa main dans mes cheveux, il m’encourage avec des mots assez crus, me guidant pour une succion optimale sans être trop rapide et me demande de le branler en même temps bien à la base. Je m’exécute avec application depuis de longues minutes lorsqu’il m’avertit qu’il va jouir.
Je m’applique de mon mieux pour garder le rythme. Son doigt en moi s’immobilise, il se raidit, ses abdos se contractent, son souffle devient plus court, m’annonçant l’imminence de la décharge. Ses couilles se raffermissent également, je focalise toute mon attention sur son gland que je cajole, arrondissant mon mouvement pour l’exciter un max.
— Ooooh, je vais jouir, ne t’arrête surtout pas !
Je n’en avais aucunement l’intention ! Encore trois ou quatre mouvements, sa hampe se tend, son gland gonfle d’un coup quand son foutre m’inonde la bouche. Son sperme ne gicle pas puissamment, mais s’écoule avec un débit plutôt conséquent. J’avale avec ivresse son jus alors que d’autres coulées se succèdent, toutes aussi abondantes et enivrantes.
Son sperme dans ma gorge alors que son goût investit ma bouche. Avec affection, je le garde au chaud, massant ses belles couilles en le laissant savourer sa jouissance.
Cette pipe a été rapide, j’espère que les choses ne vont pas en rester là. J’aimerais beaucoup qu’il me prenne, une queue de ce diamètre et de cette longueur me ferait atteindre le Nirvana !
— Tu m’as divinement fait partir. dit-il au bout de quelques minutes. J’étais trop excité pour résister. Tu ne m’en tiendras pas rigueur ?
— Bien sûr que non. J’étais impatient de goûter ton sperme.
— C’est rare que l’on avale. Tu aimes bien ?
— Sucer sans avaler, c’est avorter le plaisir de l’autre ! Sauf si je ne suis pas en confiance.
Dehors la pluie s’abat de nouveau sur la ville. Je suis plus à l’aise, d’autant plus qu’il ne cherche pas à conclure. Au contraire, il s’intéresse à mes goûts, mes attentes, mes besoins... Incapable de laisser sa verge tranquille, j’évoque mon désir de le sentir en moi, à condition qu’il se montre respectueux.
— J’adorerais te donner ce plaisir. Tu es tout à fait mon style et ton petit cul semble des plus accueillant ! Mais... tu en as déjà eu, des grosses ?
Sa grosse main palpe la fermeté de ma croupe. Il s’inquiète de savoir si j’ai déjà reçu des mecs bien montés. Je lui parle de Stéphane, mon premier mec au sexe plus que généreux, de Patrick et son obusier, de Franck avec sa longue hampe... Même si lui est un cran au-dessus en termes de proportion, il ne me semble pas impossible de le recevoir.
Le temps, nous l’avons apparemment tous les deux. Je le suis lorsqu’il me propose un verre. À cette heure, un jus de fruit me convient. L’homme paraît plutôt tendre et suffisamment attentionné, cela rend les choses tellement différentes de ces rencontres sur un parking qui se terminent au mieux derrière des buissons ou sur la banquette arrière, au pire dans des WC.
Et plus je le regarde, plus il me donne envie. Solide comme un roc, musclé comme un athlète, et ce sexe qui même au repos en ferait pâlir plus d’un et courir autant. Sous le charme, je prends sa verge pour la caresser.
— Qu’elle est grosse. J’adore être bien rempli, quand on m’investit doucement et longtemps. Tu prendras ton temps ? Je sais que je vais te sentir passer, mais c’est ça qui est bon.
— Alors, allons-y. Moi aussi j’ai envie de ton petit cul blanc, et de t’entendre me supplier de ne pas m’arrêter.
J’apprécie d’être là, avec cet homme. Plus je découvre ma bisexualité, plus je me sens à mon aise et apprécie de passer du temps à autre chose que baiser. Lorsque l’on a joui, généralement, la morale vient nous faire culpabiliser, nous empêchant de savourer la rencontre. Le côté sexuel prédomine sur la complicité. Mais à chaque rencontre enrichissante, je me donne un peu plus librement.
Nous retrouvant sur le lit, je glisse vers son ventre pour le déguster de nouveau. Ses bourses ramollissent sous l’action de mes doigts, j’en profite pour jouer un peu avec pendant que je le branle. Mais il ne lui faut pas longtemps pour bander. Je finis par m’agenouiller à côté de lui pour pouvoir le sucer plus efficacement. Cette grosse queue noire qui tente de m’ lorsqu’il soulève ses fesses est vraiment excitante.
Pendant ce temps, ses doigts ont trouvé place dans mon fondement, ce qui ne l’empêche pas de m’exciter en décrivant ce qu’il va m’arriver quand “mon p’tit cul blanc va se refermer sur son nœud”.
— Je vais te prendre tout en douceur. J’aime que l’on m’apprécie.
Alors qu’il me fouille délicatement pour bien m’assouplir, je branle sa queue, impatient et en même temps un peu craintif. J’en ai pas mal vu en 10 ans, certes, mais de ce diamètre...
De manière très explicite, je tends ma croupe pour qu’il puisse bien me lubrifier. Gel ou autre, je n’en sais rien. Ce dont je suis certain, c’est qu’il s’occupe bien de mon petit trou, qu’il le lubrifie généreusement, tant aux abords qu’à l’intérieur. Cela fait, je le chevauche face à lui, chaud comme la braise :
— Encule-moi maintenant, j’en ai trop envie ! intimais-je en me plaçant au-dessus de son vît. Je descends les fesses à sa rencontre jusqu’à ce qu’il pose son gland gonflé sur ma rosette. Le cœur battant, je force pour qu’il commence à s’engager en moi. Mais il me faut 3 essais pour que le gros bout de chair viole mon sphincter millimètre par millimètre pour se frayer un chemin entre mes reins. Cette exquise sensation est euphorisante, dynamisante, et je l’invite à me pénétrer lentement, je veux le sentir m’envahir.
Rapidement mon sphincter se referme derrière sa couronne, et déjà son gland me comble. Penché en avant, je prends appui des mains sur ses pectoraux, les yeux fermés pour mieux me concentrer sur la pénétration, je reste immobile le temps que les tensions diminuent. Puis ses mains quittent sa queue pour venir sur mes hanches. Et lentement, il me tractent, repoussant mes chairs de son imposant pieu au passage du bourrelet que constitue son long prépuce une fois décalotté. Chaque mouvement me fait descendre davantage.
— Oh que c’est bon de se faire prendre par une queue pareille ! Prends ton temps, ovalise-moi tout doucement, mais ne t’arrête pas, s’il te plaît, prends-moi, oh oui, encule-moi millimètre par millimètre.
En relâchant de temps en temps la pression, il m’empale graduellement sur sa hampe. Cette sodomie n’est pas vraiment une première pour moi, avec une si grosse et si épaisse queue. Un Autrichien, Dieter, à peu près du même gabarit m’a déjà sauté à 2 reprises. Du temps a passé et j’ai énormément assoupli mon rectum par une pratique soutenue. Grâce à un amant exceptionnel, Patrick, quelques années plus tôt, a jusqu’à aujourd’hui détenu la première place au Hit Parade des gros calibres qui me sautaient assidument durant... des mois.
En ce moment, il est question de ce colosse, avec sa bite étant bien plus large que Patrick. La plus grosse partie est en plein milieu de sa hampe, lorsqu’il bande. Certes, mon sphincter se détend, tout mon mental est rivé sur sa verge, un peu comme s’il pénétrait mon esprit. Sans trop le montrer, j’effectue un incontournable travail de respiration pour me détendre davantage, et cela lui permet de progresser sans réel encombre.
— Ce que tu es grooooos... Attends... reste un peu comme ça... que je m’élargisse. Mais que c’est boooooooon ! lançais-je avec une certaine confusion.
— Ton petit cul est en train de m’avaler, hummm, c’est bon d’être serré comme ça ! Tu me fais bander dur ! me dit-il alors qu’il est déjà bien engagé dans mon fondement, arrivant à la partie la plus renflée de sa matraque.
Ça fait bien 5 minutes que nous avons commencé, mes muscles sont chauds, je peux maintenant partir à la conquête de ses couilles, c’est-à-dire descendre le long de son mât de cocagne. Soufflant comme une locomotive, chaque aller-retour l’enfonce en moi, me faisant frissonner de plaisir. Ses bras musclés n’ont aucun mal à me hisser afin de mieux redescendre. — Ohhhh oui, rentre en moi. Tu me déformes les fesses, baise-moi, fais-moi jouir ! ne puis-je m’empêcher de crier. Les mots crus dérivent la douleur et les contraintes.
Je prends de l’aisance et Sim’ accompagne lentement mes descentes de légers coups de reins. J’ai très chaud, je commence à entrer en transe, sa monstrueuse barre me fascine, me transcendant complètement.
— Viens au fond de moi, je la veux toute, mets-la-moi !
Je me redresse et prends appui maintenant sur ses abdos. Alors que je force pour m’enfoncer complètement, il envoie également son bassin à ma rencontre. Mon ventre est soudain gonflé, son gland semble être dans mon diaphragme, mon estomac dans ma gorge. C’est comme si mes couilles étaient expulsées de leurs bourses, alors qu’enfin mes fesses rencontrent son bassin.
— Tu y es... ooooh... tu y es... ne bouge plus, attend... laisse-moi m’habi à ta queue. Tu vas me faire tourner de l’œil... Que c’est bon ! m’écriais-je en soufflant.
— Tu es profond, c’est incroyable ! répond-il.
Il me prend alors dans ses bras puissants pour me plaquer contre son torse. Ses pectoraux développés contre les poils de ma toison sont autant en contraste que la couleur de nos peaux. Il commence alors à aller et venir calmement entre mes reins. Chaque mouvement m’arrache de véritables décharges nerveuses, me donnant la chair de poule. Mon sexe aussi long que mou roule contre ses abdos, et mes testicules frottent son pubis. Mais cette masse énorme qui me pénètre, coulissant de plus en plus, fouillant mes intestins à coups de gland, devient un plaisir “profond” à tous les sens du terme.
Je l’accompagne, jouant sur les deux tiers de sa colonne, mes doigts s’agrippent à son dos, mon menton sur les trapèzes de ses épaules, criant qu’il me fait tant de bien que je ne veux pas qu’il s’arrête, jamais, je veux être son cul, son havre de paix, sa terre d’asile, pourvu qu’il me baise encore et toujours, jusqu’à ce que j’explose et me désintègre !
Et ça, il s’y emploie, à me baiser, me demandant si j’allais l’oublier, sa queue, si je la trouve à mon goût, si j’ai aimé son foutre. Son rythme s’endiable un peu. Les souvenirs de Dieter me traversent l’esprit, et me font juste remarquer que... un sacré chemin a été fait pour encaisser une telle queue. Il me demande si je veux bien changer de position. Lorsque je me redresse pour nous désaccoupler, l’air frais s’engouffre entre mes fesses, mon cul est étrangement béant... Je le lui fais remarquer l’incroyable plasticité de ce que beaucoup qualifient péjorativement de “trou du cul” !
— Tu cicatriseras vite ! ironise Sim’.
Je l’enjambe pour me “remettre en selle”, mais contre toute attente, il veut me prendre debout. Non, pas debout accoudé à une table ou contre un mur, mais il désire que je l’enlace de mes jambes alors qu’il me porte en me tenant à son cou ! Debout sur le lit, il me ceinture de ses puissants bras sous mes fesses alors que je m’agrippe à lui. Mes jambes s’enroulent dans son dos, et sa main guide sa grosse queue pour la placer à l’entrée de mon anus.
— Viens, descends à ton rythme, tu vas voir comme c’est bon ! me glisse-t-il, sûr de lui comme depuis le début.
Il relâche son maintien tout en tenant sa queue, et voilà que je le sens me pénétrer de nouveau, lentement. Un peu comme la cuillère s’enfonce dans le miel, sa puissante arme s’engage dans mon anus. Lorsque les premiers centimètres sont bien engagés, ses larges mains m’écartent largement les fesses. Suspendu à son cou, je lui raconte combien sa queue est bonne, comment j’aime qu’il m’encule, qu’il est le premier à me faire ce genre d’acrobatie.
— Tu aimes le cul, hein ? Tu vas jouir, tu vas aimer ma queue de black ! Viens, descends, oui, encore, mets-la bien au chaud.
Par petites contractions, la gravité opère, inexorablement. Tel un chêne centenaire, Simon reste imperturbablement droit, la queue raide, mes fesses dans ses mains. Seuls ses bras noueux se contractent afin de me rehausser, puis leur relâchement me l’envoie encore plus profond. Rapidement, mon sphincter se retrouve à la base de sa verge. Je décolle alors un peu mon torse du sien, et nous commençons à nous emboîter frénétiquement. Il est impossible de définir ce que je ressens, plaisir et douleur, opulence et grosseur, puissance et amplitude, tous ces mots s’associent pour me faire vibrer autant que trembler, coulisser autant que me contracter.
— Ooooh, tu n’es pas humain ! Ce n’est pas possible d’avoir une aussi grosse bite !
Sa réponse n’est que physique, il me lime, et moi, je me jette fanatiquement du haut de sa verge jusqu’à ses couilles. Cette chute est contrôlée, et le frottement qu’elle occasionne m’irradie les reins de bonheur. Mais il faut tout de même varier les postures, le plaisir est une quête permanente. Délicatement, il se dégage, s’allonge sur le dos. Je le chevauche instantanément en lui tournant le dos, et le guide entre mes reins alors qu’il m’écarte les fesses, ses pouces posés sur mon sphincter. La voie est ouverte, son mandrin m’investit sans peine alors que je visionne dans le miroir posé face au lit le film que je suis en train de vivre. Une amie me disait un jour que la sensation d’être “over quota” était indescriptible avec certains noirs. Et ce soir... j’en prends plein la rondelle !
Il se tortille alors que je me déchaîne sur son mât, mais rapidement demande à voir mon visage. Lorsque je me rassois sur lui, il me saisit aux hanches et me lime puissamment, me la faisant sentir sur toute la longueur, ses couilles sautant contre mes fesses à chaque coup de reins. Le souffle coupé, la bouche ouverte, je lui crie mon plaisir, mais il faut que l’on fasse une pause lubrification tant son joujou est gros. D’autorité, il me met sur le ventre. Le gel froid coule dans mon anus hyper dilaté, puis je le vois s’enduire son muscle dans le reflet que nous renvoie la glace.
— J’aime beaucoup baiser avec toi. Je vais te prendre tant que tu le voudras. Si tu as mal, dis-le-moi, je m’arrêterai de suite.
— Je ne sais plus où j’en suis. On ne m’a jamais autant fait tourner la tête. haletais-je, presque content de faire une pause.
— Tu l’aimes ma bonne queue ? Tu la sens bien, hein ? Laisse-toi aller, laisse-toi faire, je m’occupe de tout.
Ceci dit, il me place sur le côté, s’allonge contre moi, s’engage et reprend un lent mouvement alternatif entre mes globes. Mon ventre est empli d’une douce sensation, mes organes se sont adaptés au sien, et la douce chaleur que me procure son membre glissant de nouveau à merveille me transporte. Je saisis ses testicules et les pétris en ahanant d’extase, en le comblant de superlatifs. Graduellement, il intensifie son martèlement, mais n’hésite pas à s’immobiliser tout au fond de mon cul pour gonfler son gros bout, style “Who’s the boss ?”. Il sait ce qu’il a entre les jambes, et surtout comment on s’en sert !
La tête toute remuée, probablement par l’hyperventilation lorsqu’il accélère, et aussi parce que je crie bien plus que je ne respire, je me retrouve à quatre pattes sur le lit, face à la glace, Simon debout derrière moi pliant les jambes pour me repointer. Ses coups se font plus fermes, et toujours cette pression montante dans mes entrailles qui me rappelle que je suis un homme, et que même si ma queue est à demi-molle, j’ai tout de même de bonnes réserves de sperme à évacuer. Je n’en peux plus, je vais décoller, ou mourir, je ne sais d’ailleurs plus grand-chose tant je divague. Son bras passe sous mon torse, et me voilà couché la tête au bord du lit, survolé par mon colosse qui m’enfonce son pieu en de longs coups de sagaie africaine.
— Oui, vas-y, je sens que tu vas jouir, lâche prise ! Tu sens ma queue écraser ta prostate, hein, jouis, oui, vas-y ! me susurre-t-il à l’oreille.
Ses coups assénés avec une minutie toute chirurgicale m’envoient des vagues de chaleur, des ondes de bonheur, provoquent des cris à la limite du supportable. Mon cul n’en peut plus et pour la première fois, j’ai hâte de jouir pour en finir, mais me refuse d’interrompre une telle action. Soudain, submergeant toutes autres sensations, venue du fond de mon cortex, une boule de feu descend le long de ma colonne, déclenchant des dizaines de spasmes dans mes reins et mon ventre, ainsi qu’une étrange chaleur dans ma verge écrasée sur le lit. Mes vésicules séminales se vident alors que mon anus se serre autour de sa matraque, me la faisant sentir encore plus grosse. Je feule en répétant sans cesse que je jouis, que c’est un Dieu, que je me vide. Mon amant m’encule à chaque spasme tout au long de mon orgasme avant de rester planté au plus profond de mon rectum.
— Jouis, c’est trop bon de t’entendre. Laisse-toi aller, décroche. dit-il d’une voix suave, respectueuse.
Mon anus brûlant est serré autour de la base de sa hampe. Vidé, je sens qu’effectivement, je décroche, que mes forces m’abandonnent, me quittent, ainsi que ma conscience...
Il s’est passé quelques longues minutes lorsque je reviens à la réalité. Sim’ est toujours aussi raide et planté en moi. Seul mon sphincter s’est entre-temps détendu, relâchant la pression autour de son vit.
— Je suis désolé, j’ai perdu connaissance, je crois. lui dis-je.
— Je ne pouvais pas espérer meilleur compliment !
— Tu n’as... pas joui ?
— Cérébralement, c’était le top. Tu veux me sucer pour me finir ? me répond-il alors.
J’envoie ma main entre nos deux corps, l’obligeant à reculer un peu, sa présence redevenant presque douloureuse. Mes doigts se referment alors sur sa hampe bouillante, et je le guide lentement hors de moi sans le lâcher.
— Quel vide tu laisses derrière toi ! m’étonnais-je. Mais tu n’as même pas débandé !
Il m’est effectivement impossible de le laisser dans cet état. Je me laisse tomber à genoux aux pieds du lit pour l’attirer vers moi, plaçant ses jambes de part et d’autre afin d’avoir son énorme sexe sous mes yeux. Je commence par lui brouter le scrotum, puis lui lèche ses couilles avant de les lui sucer longuement.
— Achève-moi, pompe-moi que je te donne ma crème !
J’att cette queue qui m’a tant fait vibrer et commence à la sucer, insistant sur son bout gonflé. Sa verge a un goût de sperme, il a vraiment dû se retenir et beaucoup mouiller, et puis certains hommes mouillent beaucoup, quoi qu’il en soit. J’ai la ferme intention de la vider de son jus. Mes forces reviennent et ma bouche devient furieuse, aidée de mes deux mains qui le branlent fermement. Deux tiers pour elles, un tiers pour ma bouche, nous nous partageons avidement le butin.
Ma langue s’enroule autour de son gland le temps de courtes pauses, mes dents le mordillent et déjà je reprends de plus belle. Dans un cri rauque, ses abdos se plissent, ses couilles se placent sous la base de sa queue, son bassin s’élève, et dans une grande secousse remontant le long de son vît, un volcan de foutre remplit ma bouche. Son éjaculation est particulière : pas de pression, mais une très grosse quantité qui arrive en une seule vague ! J’avale son doux nectar et déjà une autre éruption fait son apparition, assez copieuse, suivie d’encore trois autres. Sa grosse queue vaincue reste encore longtemps dans ma bouche, débandant sous mes délicates et discrètes caresses de la langue. Le goût de sa semence me comble, et je viens de vivre l’orgasme anal le plus intense de toute ma vie, grâce à cette queue de centaure. C’est la première fois que mon esprit fait “Tilt” et que je perds carrément conscience.
Lentement, je dépose sa longue verge sur son ventre avant de retourner embrasser ses belles bourses, puis enfin me relève, les reins en feu, repu de sexe pour quelques heures... peut-être ! Mon cul est un hall de gare, ouvert, distendu, gluant de foutre, et ce n’est pas si désagréable que cela. Nous filons sous la douche, puis nous allons au salon boire un verre. Je lui demande si je peux fumer une cigarette en admirant son corps d’esthète, ou s’il me met dehors de suite, ayant pris son pied.
— Un mec comme toi, on n’a pas idée de le laisser repartir ! Honnêtement, tu n’as plus envie de sexe ? me sourit-il. Moi, Africain, moi toujours besoin n’golo n’golo.
La réponse a le mérite d’être claire. Il va falloir que mon anus se fasse une raison !

oooOOOooo

Le Jack nous apporta un bon réconfort, mais nos estomacs réclamaient quelque chose de plus consistant. Son sperme ne me suffisait pas. Mon hôte improvise de quoi picorer, accompagné de deux feuilles de salade ; il ne nous en fallait pas plus pour recharger nos batteries. Une fois restaurés, en buvant un petit café, Simon me demande si je voulais bien rejouer un moment, me demandant si à mon âge je n’ai plus peur du noir. Cet homme séduisant est décidément plein de ressources, et en plus, il déborde d’hormones et d’humour. J’apprécie son hospitalité, lui confiant être sous le charme, mais que s’il veut de nouveau me prendre, ça ne sera possible qu’à la papa-maman, tout en douceur.
Nous passons une bonne partie de la soirée au salon, discutant à bâtons rompus sur fond musical. Ces quelques heures de relâche m’étaient nécessaires, elles vont me permettre de mieux le retrouver. Lorsque l’envie nous reprend, je me retrouve allongé sur lui en 69, ma bouche taquine son gros joujou et ses bourses pendant qu’il me lèche délicieusement la raie des fesses. Il ne lui faut que quelques minutes pour passer de l’état de long sexe mou à celui de démonte-pneus en acier trempé, et ainsi me disloquer la mâchoire. Il m’encourage, me répétant que je m’occupe bien de lui, qu’il va ensuite longuement m’enculer, tout doucement comme j’aime, et se vider dans mon petit cul en me faisant hurler de bonheur. Et il en est capable. Avec cet homme, combiné à untel organe, c’est 100 % garanti, sans prétention aucune.
Ma salive ruisselle sur son gros vit alors que ma main le branle régulièrement. De l’autre côté de ma personne, je contracte régulièrement mon sphincter anal pour bien me préparer à sa venue imminente, et être le plus souple possible. Son gland turgescent me livre quelques perles de présperme qui lui donne un petit goût sucré fort agréable. La pointe de ma langue plonge de temps en temps dans son large méat, si fendu et ouvert qu’il a la forme d’un mini vagin rempli de mouille.
— Ta queue me rend dingue ! Je ne sais pas où je la préfère.
Pendant que je continue de la sucer, Simon dépose une bonne quantité de gel directement dans mon rectum et au pourtour de mon anus. Puis de son majeur, il me doigte délicatement. Rapidement, c’est avec deux doigts qu’il m’entreprend, taraudant bien mon orifice. Mais ses doigts ne me suffisent plus...
Assis contre la tête de lit, il me fait reculer à quatre pattes entre ses jambes écartées, mes talons de chaque côté de ses fesses, je peux ainsi venir m’asseoir directement sur son gland. Alors que d’une main il écarte mes fesses pour bien voir mon œillet, à l’aide de son gland il étale un peu le lubrifiant, et le place dans mon orifice impatient. Aussitôt, poussant fort pour bien m’ouvrir sur son pieu, je m’empale lentement.
— Oh ouais... encule-toi à ta vitesse ! Serres fort la bite.
Cette pénétration m’arrache des gémissements, des frissons me parcourent, alors qu’une des mains de mon amant se pose sur mon sexe et commence à me branler, l’autre me prenant fermement les couilles. C’est si bon d’être sollicité de tous les côtés, écartelé. Il ne me manque qu’une autre bite ou une petite chatte mouillée pour combler ma bouche.
Atteint d’un excès de frénésie, je vais et viens sur sa bite pourtant engagée que de moitié entre mes reins, râlant à chaque descente tant elle me ramone, mais si excité par la main qui enserre ma queue durcissante que je lui demande de me tirer pour bien me la mettre. Je veux qu’il me transperce, qu’il se fasse une place dans mon ventre et l’y accueillir jusqu’à ce qu’il vide ses couilles. Sa main lâche mes testicules pour venir saisir ma hanche.
— Tu aimes ma queue autant que moi ton cul... on va partir ensemble ! me dit-il en m’aidant à m’enfoncer sa poutre entre mes fesses, la partie la plus épaisse de sa hampe.
Qu’elle est grosse, cette queue ! Mais qu’elle est bonne, génératrice de sensations exceptionnelles, et je suis très fier d’être son partenaire dans un assaut de cette amplitude. Je commence à danser calmement, m’efforçant à venir coller mes fesses contre son pubis en marquant bien l’arrêt au point bas. Coulissant timidement de quelques centimètres au début, je n’hésite pas à me relever toujours un peu plus haut, criant qu’il me défonce, qu’il me la plante jusque dans la gorge et qu’il jouisse des litres de foutre ! Sa main serre ma queue raide et longue, et plus je coulisse haut, plus il me branle fermement, et... plus j’en veux.
Me voilà parti à sauter sur son mât, exploitant 20 bons centimètres de sa hampe, l’implorant de jouir au plus vite, sentant mon foutre ronger la vanne qui le retient dans mon ventre. Sa main sur ma hanche se fait plus ferme en me tirant fort vers lui, je comprends qu’il va me bénir le cul lorsqu’il me bloque puissamment contre son ventre. Son gland gonfle tant que j’en ressens l’empreinte repousser mon rectum pendant qu’il grogne quelque chose d’inaudible, propulsant sa semence pour m’asperger les entrailles et m’en remplir le ventre. Sa jouissance déclenche la mienne, mon sperme fuse de ma bite tendue dans un désordre total, à moins que ce ne soit son foutre qui me traverse tant il est immense en moi et que mon esprit est confus. Ravagé, hystérique, je jouis, intensément, et l’incroyable tonicité de mon boyau lamine son membre démesuré.
Doucement sa main me libère. Je m’affale sur le lit, le cul transpercé par mon héros, mon superman, aussi muet et immobile que moi, épuisé par nos orgasmes. Une vingtaine de minutes plus tard, avec beaucoup de minutie, je ressors le sexe débandé de Simon de mes entrailles et me faufile dans les draps. Ses derniers mots sont pour dire que je suis complètement déjanté, mais terriblement attachant. Ma main passe entre ses jambes pour attr sa verge alors qu’il éteint la lumière.
— Jamais un sexe ne m’a donné autant de sensations. Jamais. Ni homme, ni femme. Merci infiniment. Je n’aurai plus peur maintenant que je sais ce qu’est le noir. lui confié-je alors que les dernières décharges d’énergie rebondissent de part et d’autre de mon cortex. Tilt. Game over.
Lorsque j’ouvre les yeux, le lit est vide, le jour est sur le point de poindre, et Mezzoforte parvient à mes oreilles. La première chose qui me vient à l’esprit en me remémorant la dernière scène est de contracter mon ventre pour sonder d’éventuels maux, mais c’est à peine si je ressens mon anus. RAS, j’ai conservé mon intégrité. La nuit aura été réparatrice, et l’expérience m’a très souvent démontré mes prédispositions pour ce genre de prouesses. Sautant hors du lit, j’enfile un T-shirt et retrouve mon géant noir tout sourire dans la cuisine, le café fumant sur la table, me demandant si j’ai bien dormi. Je m’excuse d’être tombé de la sorte, mais Simon me rassure, satisfait de me garder à ses côtés. L’en remerciant chaleureusement, nous prenons un copieux petit déjeuner.
D’humeur joyeuse, tous deux de nature enjouée, notre discussion démarre sur la musique. Musicien de formation classique, il a ces dix dernières années joué dans plusieurs orchestres avant de rejoindre des groupes de Jazz. Et c’est avec un réel plaisir que Simon, colosse noir drapé de blanc immaculé, se livre à un concert privé, n’hésitant pas à changer d’instruments selon le morceau choisi, les maîtrisant tous parfaitement, jouant principalement du classique, mais aussi des airs plus contemporains, enchaînant même de vieux blues sur sa guitare. Pendant presque deux heures, il m’en met plein les oreilles, terminant sur un morceau de saxo torride, assis face à moi sur le tabouret de son piano. Ses jambes largement écartées dévoilent son long sexe pendant, véritable point d’exclamation noir sur fond de toile blanche. C’est précisément à cet instant que mon esprit cesse d’être captivé par la musique. Soudain, c’est de sa queue que j’ai envie. Cet être exceptionnellement doué me fascine. Le goût de son sperme m’envahit instantanément la bouche, m’obligeant à me mettre en quête de sa semence.
— Ne bouge surtout pas ! lui intimais-je alors qu’il vient de terminer sa prestation. Tu es magnifique, j’ai trop envie de toi, là, tout de suite. Laisse-moi te sucer. continuais-je en me jetant entre ses jambes à même le plancher.
Mes jambes trouvent place sous le tabouret, aussi naturellement que mes mains se placent sur ses genoux. Ma bouche aspire cette épaisse colonne de chair luisante, celle-là même qui cette nuit naviguait délicieusement entre mes reins. Comme un rêve éveillé, mon esprit ne souffre d’aucun parasitage : ni faim, ni soif, pas de contraintes horaires, thermiques, sonores, posturales, rien. Au contraire, il est entièrement focalisé sur une action précise, en l’occurrence, sucer avidement la queue de mon amant.
Loin de s’en offusquer, il se laisse déguster avec quelques souffles exprimant son approbation, sa participation. Son boa prend de la consistance en s’insinuant profondément dans ma bouche. Une nuit de sommeil ne m’a pas donné de super pouvoir, mais une évidente frénésie me porte, ce qui me permet de me surpasser, de profiter pleinement de cette grosse queue. Son goût un peu fort, musqué, divinement mâle, titille mes papilles lorsque ma langue visite la couronne de son champignon fendu. Ses lourdes couilles ne sont pas épargnées non plus, trouvant asile régulièrement entre une langue hystérique et un palais friand de mille saveurs. Je les aspire, lui tète la peau des bourses, darde son scrotum de la langue, puis renfonce son pieu brûlant aux confins de mes amygdales, engageant ce puissant gland le plus loin possible dans mon arrière-gorge, à m’en couper le souffle. Ma salive s’épaissit, devient gluante, et ma main en enduit sa lourde hampe dans un énergique branle. Et ça lui convient bien si j’en juge par ses encouragements et son érection !
— Tu vas me faire jouir à cent à l’heure si tu continues ainsi ! gémit mon Africain.
Je LE veux, je veux qu’IL vide ses grosses burnes dans MA bouche et déguster chacun de SES spermatozoïdes avec un rare plaisir. Ma succion devient terrible, mon branle intense, une main serrant ses testicules, ne lui laissant d’autre choix que de jouir, et vite. Il souffle, son ventre se tend plusieurs fois de suite, se creuse, s’arrondit, comme si un être l’habitait. En fait, il y en a juste plusieurs... millions.
— Oh oui ! se contente-t-il d’exprimer alors que son foutre parcourt les quelques 25 cm qui le séparent de mes lèvres, générant un puissant spasme en chemin. Chaude et copieuse, sa semence se mélange à mon épaisse salive, trouve précipitamment place en me gonflant les joues, en passant sous ma langue, déchargeant au contact ses subtils arômes sur mes papilles ravies. Un coup de langue remonte le long de son frein, puis mes joues se creusent pour propulser son sperme dans ma gorge et ainsi permettre à la nouvelle salve de venir intensifier ma soif de jus. Lorsqu’elle me submerge, j’en grogne de plaisir, m’en repaît, mais fort de mon expérience, l’avale, car déjà son ventre se creuse de nouveau, m’annonçant le départ de nouvelles troupes.
La nuit lui aura était profitable, remettant à niveau ses vésicules séminales rien que pour moi. Mon geste porte également ses fruits, car ce ne sont pas moins de cinq lourdes et chaudes décharges que mon beau et puissant black dépose dans ma bouche. Je garde la dernière pour jouer avec son gland tendrement alors que la gravité le ratt, rendant ses testicules de nouveau pesants dans ma main protectrice. Sortant sa longue trompe débandante d’entre mes lèvres pour savourer ses dernières gouttes de foutre, je lui répète être sous le charme de ses attributs sexuels, de son foutre, et de ce qu’ils provoquent en moi.
Alors qu’il reprend lentement ses esprits, je nettoie sa belle queue amoureusement. Satisfait d’avoir obtenu ma récompense, je l’abandonne pour aller me servir un autre café, et sortir sur la terrasse fumer une cigarette en profitant du soleil matinal. Juste avant de passer la porte, je le regarde se remettre de son orgasme, et lui dis qu’après mon estomac, ce sera au tour de mes reins de réclamer leur dû.
Le bruit de la douche me permet de rapidement le localiser lorsque je reviens. Naturellement, il m’invite à le rejoindre, et la douceur de l’eau me fait le plus grand bien. De sa propre initiative, il me savonne tout le corps, insistant bien sur mes fesses et mes organes génitaux. Alors que ses doigts me pénètrent délicatement l’anus, sa main me malaxe les couilles et me branle lentement. Mes mains ne restent pas inactives, et bien qu’il ait joui un quart d’heure plus tôt, sa queue semble déjà vigoureuse, lourdement dressée à l’horizontale. Afin de bien me faire comprendre qu’il se sent “d’attaque”, il retire ses doigts, me plaque contre lui en coinçant son mandrin entre mes jambes.
— Tu as envie de moi ? Tu veux me faire jouir aussi fort que cette nuit ? Attends un peu. Rincé, je sors de la douche et me sèche rapidement, puis me penche de façon provocante sur la paillasse, la tête entre les deux lavabos.
— Att n’importe quoi de lubrifiant et mets-la-moi tout de suite ! J’ai besoin de sensations. Il envoie sa main dans un tiroir pour en ressortir je ne sais quel tube, m’en enduit les fesses que je tiens bien ouvertes avant de s’en graisser la colonne. Son bout gonflé se pointe à l’entrée de mes reins et déjà il s’enfonce en moi. Sa barre chaude et dure me perfore avec insistance alors que je force pour lui faciliter l’entrée. La douleur est au rendez-vous après autant de pénétrations extrêmes en si peu de temps, mais j’ai tellement envie de lui que je passe outre la raison.
— Oh oui, encule-moi ! crié-je alors qu’il fait une courte pause.
Déterminées, mes mains l’agrippent aux hanches et l’attirent en moi, sa queue alors me brûle, violant mes entrailles, mais je le veux tout entier en moi. Mon souffle est court, la partie la plus large de sa hampe me donne le “La” en me déformant terriblement la rondelle, mais finit par passer sans dommage. Déjà des perles de sueur envahissent mon front, mais encore quelques coups de reins et mon black adoré écrase ses bourses contre mes fesses.
— Oooooh, tu es si gros, j’ai le cul rempli ! Prends-moi, j’ai envie de hurler de jouissance, s’il te plaît. Crié-je, déjà à moitié en transe.
Mais Simon n’est pas un bourrin, un de ces minables “casseurs de culs”. Il m’est arrivé quelques fois d’expulser des hommes d’entre mes fesses pour “violence avec préméditation”. Et aussi surprenant que ce soit, ce n’étaient pas les mieux montés, mais plutôt ceux qui s’imaginent l’être et qui plus est, prétendent savoir s’en servir. Baiser, enculer, ou encore sauter quelqu’un est à la portée de presque tout le monde, activement autant que passivement. Ce qui donne finalement tout son sens à l’accouplement est la sensibilité et l’affinité des différents protagonistes. C’est à mon humble avis à ce titre que les femmes prétendent ne pas attacher trop d’importance à la grosseur ou la longueur du sexe de leurs amants, privilégiant “leur taux d’implication” à l’acte, la sincérité des sentiments et, on ne le dira jamais assez, les préliminaires !
La différence est que pour moi, l’aspect quantitatif prédomine, et que la vue, le contact de grosses pièces me drogue, boost mes désirs, optimise mes performances. Et bien qu’étant un homme, d’ailleurs fier de le revendiquer, je fonctionne avant tout au feeling, donnant le meilleur que mon partenaire soit masculin ou féminin, si je ressens une certaine complicité. Cette complicité, dans de très rares cas, tourne à la complémentarité. L’homme qui se trouve en ce moment même dans mon dos, son intimité plantée en moi jusqu’à mon nombril, est de la trempe des partenaires sexuels hors du commun, ceux qui permettent à la magie chimique et organique d’opérer pour faire d’un acte... un voyage.
Sorte de sexualité étrangement dénuée de toutes polarités, abstraite de tous jugements, ne laissant aucune place à quelques étiquettes, titres, ou rôles que ce soient. Et c’est précisément libres de toutes entraves que nos corps fusionnent, s’assemblent, telles des notes sur une partition. Véritable Maîtr’onome, il investit mon corps avec régularité, sans hésitation, prenant autant qu’il me donne. Ses coups de queue pénètrent mon esprit, sa hampe est ma moelle épinière; tout mon être vibre de ses assauts longs et appuyés, mon ampoule rectale se referme telle une bouche autour de son gland énorme chaque fois qu’il vient se perdre au fond de moi.
— Ne bouge plus ! Reste au fond de moi un moment. m’exclamais-je alors que je lui griffe les hanches.
Ses lourds testicules blottis contre les miens, sa sagaie explosant mon rectum il se penche sur moi, écrasant le bas de mes reins de ses abdominaux. Sa chaleur dans mon dos contraste tant avec le froid de la paillasse ! Je contracte mes muscles cycliquement pour lui transmettre mes sensations intimes.
— Hummmm ! Je n’ai pas souvent pénétré quelqu’un aussi profondément, c’est divin. Tu es si souple ! me chuchote-t-il tendrement, contractant sa lourde massue pour bien répondre à mes appels.
Après quelques dizaines de secondes, Sim’ recule doucement son arme sans décoller son ventre de mon dos. D’un geste gracieux, il prend appui d’un genou sur la paillasse, ce qui lui offre la possibilité de me sodomiser doucement en gardant son corps contre moi, ne basculant ainsi que son bassin d’avant en arrière.
— Ce que c’est bon ! Oooh, tu me prends si bien, tu vas encore me faire jouir !
Sa bite laboure ma prostate en me laminant délicieusement le rectum, je sens la pression monter rapidement. Mon souffle est court, je glousse de plaisir, jouissant déjà cérébralement. Mais il m’ordonne de l’attendre encore quelques minutes, qu’il veut jouir aussi et se répandre en moi comme je le lui avais demandé. Ma main passe entre nos jambes pour retrouver ses burnes chaudes et les serrer tendrement.
— Oui, continue de me baiser, je t’attends. Viens, viens en moi, vide-toi, je veux tout ton jus, verse ta crème, oh ouiiii, viiiiiiiite !
Saoul de sexe, ivre de sa queue, de sa parfaite maîtrise, je crie ma jouissance en déversant mon foutre je ne sais où, et d’ailleurs, quelle importance ? M’assénant deux ou trois longs coups de reins, je le sens jouir tout au fond de moi. Une marée brûlante submerge mes entrailles, sensations inexplicables pour qui ne les a jamais vécues.
Les jambes encore en coton, je le fais sortir de moi. Alors qu’il reste planté là, je me laisse tomber à terre entre ses jambes; ma main saisit sa lourde massue pour la porter à mes lèvres pour en découvrir toutes les saveurs. Mes fesses baignent dans mon propre sperme, alors que de mon ventre distendu, l’exquise sensation de celui de mon amant commençant à s’écouler vient sceller la fin de cette délicieuse sodomie.






































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